Une partie significative de mon travail consiste à installer des postes de travail Linux1, le plus souvent en remplacement de Microsoft Windows.2 Sur un coup de tête, j'ai décidé de synthétiser et de partager une vue d'ensemble détaillée de ce travail sous forme d'une petite checklist.
Marre des algorithmes et des réseaux sociaux avec leur tsunami de fake news et d'infos à deux balles ? Marre des plateformes qui vous dictent ce que vous pouvez voir en fonction de vos clics passés ? Pour la durée de cet article, je vais rejoindre le rang des vieux cons qui vous expliquent que c'était mieux avant, mais peut-être pas comme vous pensez. Je vais vous parler d'un protocole de communication tombé en désuétude, et qui mérite d'être remis au goût du jour : les flux RSS.
La distribution Void Linux est une rolling release qui vise un maximum de stabilité dans la mesure du possible. Une installation standard utilisera le dernier noyau LTS, par exemple.
Le PC qui fait office de bac à sable dans mon bureau est équipé d'une vieille carte graphique NVidia GeForce GT 710 :
Le programme d'installation de Void Linux est un grand bol d'air frais si vous avez l'habitude des assistants d'installation des distributions modernes qui réfléchissent à votre place et qui vous font sauter à travers des cerceaux en feu pour les opérations les plus triviales.
Depuis quelque temps, je joue avec la distribution Void Linux, que je trouve plutôt bien fichue.
La distribution a été créée en 2008 par un développeur NetBSD.
Elle est développée de manière complètement indépendante.
Elle repose sur le système d'initialisation runit plutôt que systemd.
La documentation est excellente.
Elle tourne comme une flèche.
Certains de mes contacts professionnels utilisent Microsoft Teams pour les réunions en visioconférence, une plateforme de communication propriétaire qui s'intègre à la suite Microsoft Office 365. En un mot, une usine à gaz propriétaire aux antipodes de mon biotope logiciel habituel.
Depuis quelque temps, je reçois régulièrement des e-mails des lecteurs fidèles de mon blog technique qui veulent savoir pourquoi je ne publie quasiment plus de nouveaux articles techniques. Le moment est donc venu pour dévoiler officiellement ce qui mitonne sous le capot depuis quelques mois.
Historiquement, Red Hat Enterprise Linux et les distributions dérivées comme CentOS ne pouvaient pas être mises à jour « à chaud ». Le passage à une prochaine version majeure nécessitait une réinstallation complète du système.
Si vous lisez régulièrement ce blog, vous aurez compris que je suis un adepte des clones libres de Red Hat Enterprise Linux, que j'utilise depuis le bon vieux temps de CentOS 4.x. Quelques années en arrière, lorsque Red Hat a décidé de nous couper l'herbe sous les pieds en supprimant le support longue durée de CentOS, j'ai testé Oracle Linux avant de passer au clone libre Rocky Linux, qui tourne actuellement sur toutes mes machines de production, les serveurs comme les postes de travail.