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Fosses-la-Ville : au CPAS, une dette sociale abyssale de 4,5 millions€ qui amène à grappiller les moindres centimes
La Ville de Fosses est sans le sou. Au conseil communal, lundi soir, les élus, majorité contre opposition, ont voté une modification budgétaire dans un contexte d'endettement du CPAS d'environ 4,5 millions€. Une cata, qui impose une marche arrière. Les travaux de rénovation intérieure de la collégiale sont notamment reportés.
Plaie d'argent n'est pas mortelle, professait autrefois un certain Pierre Dac. Certes, la citation signifie qu'il y a toujours espoir de trouver une solution mais ça vous plombe quand même une législature. "La directrice générale est passée dans tous les services - pour passer au crible les dépenses de fonctionnement, -et retrouver de l'argent, et elle en a trouvé 300 000 €", édifie le bourgmestre de Bilderling. Fosses en est-elle là, à racler les fonds de tiroirs, jusqu'à s'émouvoir, véridique, d'avoir grappillé 14 centimes ? Malheureusement oui. En cause, une dette qui trouve son origine au siècle dernier, en 1998."Une dette d'un montant assez important, face auquel le CPAS ne pourra pas faire face tout seul", note la directrice financière, Nathalie Alvarez. À l'époque, sous le mayorat de Benoît Spineux, le collège transfère l'exploitation de la Résidence Dejaifve (la maison de repos) à une intercommunale (l'Association intercommunale de santé de la Basse-Sambre). Elle lui refile tout, façon patate chaude: une masse salariale d'une 30e de personnes et, déjà, des dettes. Un transfert entre pouvoirs publics qui revient en boomerang, comme une gifle. La faute, 14 ans après la cession de l'institution de repos et de soins, à une nouvelle réforme du financement des pensions du personnel nommé.
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J'ai construit en 1996/97, et depuis, je n'arrête pas de voir des tas de chantiers dans tous les villages de la commune. Je ne pense pas qu'il y ait de problèmes pour trouver un logement dans la com