Du 24 au 26 octobre prochain, se tiendra à Rome le pèlerinage traditionaliste annuel Summorum Pontificum. Créé en 2012, il tire son nom du motu proprio Summorum Pontificum (2007), par lequel Benoît XVI avait libéralisé la célébration de la « forme extraordinaire » du rite romain, en autorisant l’usage du missel de 1962. Autrement dit, la messe en latin. Une disposition abrogée par François en 2021 par un autre motu proprio (Traditionis custodes) devant le constat que cette liturgie alimentait une contestation du concile Vatican II et mettait en péril l’unité de l’Église catholique. En conséquence, la messe tridentine était interdite à Rome depuis trois ans à l’occasion de ce pèlerinage qui rassemble jusqu’à 2000 personnes.
Léon XIV, contraint de se positionner, a choisi le retour en arrière. En effet, on vient d’apprendre que le 25 octobre prochain, la messe pontificale, point d’orgue du pèlerinage Summorum Pontificum dans la basilique romaine, se tiendra selon le rite ancien. Et pour célébrer ce retour en grâce à Rome, qui d’autre que Raymond Burke
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