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Récit

Suicide assisté : des militants d’Ultime liberté devant les juges pour contrebande de médicaments

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Des militants de l’association Liberté ultime sont accusés de contrebande et détention illicite de Pentobarbital, un barbiturique à l’usage strictement réglementé.
Des militants de l’association Liberté ultime sont accusés de contrebande et détention illicite de Pentobarbital, un barbiturique à l’usage strictement réglementé. felipe caparros cruz / STOCK ADOBE
À partir de lundi 15 septembre, 12 militants d’une association prônant le « droit à une mort volontaire douce » comparaissent devant le tribunal correctionnel de Paris pour contrebande et détention illicite de médicament ou complicité. Un procès qui prend un relief particulier dans le contexte du débat sur la fin de vie.

À quelques heures d’un procès qui peut lui valoir jusqu’à cinq ans d’emprisonnement et 75 000 € d’amende, Claude Hury, 76 ans, cofondatrice de l’association Ultime liberté, qui milite pour la légalisation du suicide assisté, se déclare « très sereine ».

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