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C’est un vœu qui aurait pu tout avoir de consensuel. Signe des temps, il n’en a rien été. Lundi 26 mai, à la fin du conseil municipal d’Angers, les élus de gauche du groupe d’opposition Demain Angers ont, par la voix de Claire Schweitzer (L’Après, petit parti fondé par des anciens de LFI), proposé de faire de la préfecture du Maine-et-Loire une «ville antifasciste», comme ce fut récemment le cas à Bruxelles à la veille des 80 ans de la fin de la Seconde Guerre mondiale. «Face aux menaces croissantes qui pèsent sur nos institutions démocratiques, nos libertés fondamentales et nos cohésions sociales, la neutralité n’est plus une option, a introduit l’élue d’opposition. Le vœu que nous proposons ce soir ne se veut ni symbolique, ni partisan. Il est un acte de vigilance démocratique.»
Dans une ville marquée par de récurrentes violences d’extrême droite et l’implantation de groupuscules catho-nationalistes –
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