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Pleins feux sur les nouveaux adeptes du piment : « Voir ses potes tester leur résistance, c’est toujours drôle »

Emblématique des cuisines exotiques, le piment voit ses saveurs brûlantes s’imposer sur nos tables. Qu’il s’agisse de tester le plus piquant ou de cultiver le plus rare, l’heure est au sensationnalisme gustatif.

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Publié aujourd’hui à 06h30

Temps de Lecture 10 min.

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Noir ou jaune ? A la chaleur douce ou explosive ? Dans quelques semaines, Vincent Lafargue connaîtra le résultat de sa tentative d’hybridation entre un aji pineapple, une variété de piment péruvienne à la saveur d’ananas relevé, et le pimenta da neyde, originaire du Brésil, aux gousses pourpres, presque noires, très épicées. Depuis quelques années, ce quadragénaire en reconversion, ancien chauffeur de poids lourds, fait partie de la confrérie des piqués de piments, des soldats du feu en bouche qui ne se contentent pas de faire pousser des variétés existantes, mais s’essayent à des croisements. Pour le « fun », dit-il, mais aussi pour trouver des saveurs inédites. C’est en banlieue parisienne, loin, très loin de l’Amérique du Sud et centrale, et du Mexique, terres d’origine de ce végétal, que l’homme cultive les fruits de sa passion.

« Cette année, je suis parti sur 90 plants, de 47 variétés différentes, issus des cinq grandes familles de capsicum [qui regroupe les piments et les poivrons] réellement cultivées aujourd’hui, explique ce père de trois enfants. En général, je n’ai pas trop de perte, de 80 % à 90 % de mes semis prennent. » Et pour cause. Les plantes qu’il chouchoute occupent une chambre entière, transformée en biotope exotique, au sein du logement familial de Cergy-Pontoise (Val-d’Oise).

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