Lucien D’Onofrio: agent, dirigeant et banquier du foot liégeois
S’il quitte le Standard en 2011, Lucien D’Onofrio ne met clairement pas un terme à ses activités. Un rapport confidentiel de la Cellule de traitement des informations financières (Ctif) permet de retracer ses investissements à Eupen et Seraing, ainsi que les liens étroits qu’il entretient avec Axel Witsel.
C’est presque un dimanche comme un autre. Le 4 mars 2012, le KAS Eupen reçoit le White Star dans le cadre du championnat de deuxième division. Si le club germanophone occupe alors la tête du classement, les observateurs scrutent plutôt les tribunes : Lucien D’Onofrio parcourt les travées du stade comme celles d’un terrain fraîchement conquis.
L’homme vient tout juste d’être annoncé comme le sauveur des Eupenois. Il reste pour beaucoup celui qui a su ramener le Standard de Liège au sommet, une entité qu’il s’est résigné à quitter, huit mois plus tôt. Alors dans le petit milieu du football belge, c’est un événement.
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