À Bruxelles, une soixantaine de bandes de narcotrafiquants se livrent une vraie guerre de territoire : "Ils recrutent de plus en plus de jeunes"

En région bruxelloise, les narcotrafiquants se livrent une guerre de territoire pour le contrôle des "hots spots" et autres points de deal à travers la capitale ces dernières années. Voici un aperçu non exhaustif de ces territoires contestés. À Bruxelles, on dénombre une soixantaine de bandes urbaines.

Les narcotrafiquants de Bruxelles, liste non-exhaustive.
Les narcotrafiquants de Bruxelles, liste non-exhaustive. ©La DH
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Les bandes urbaines ont évolué ces dix dernières années, tant dans leur organisation structurelle que leurs activités, pour devenir ce qu'on nomme aujourd'hui les narcotrafiquants. Les "historiques", comme le Negatif Clan ou les Black Wolf à Ixelles, pour ne citer qu'eux, ont petit à petit disparu en même temps que leurs membres vieillissants, emprisonnés ou tués dans des règlements de comptes, souvent pour des questions d'honneur. Leurs activités délictueuses étaient plus élargies qu'aujourd'hui, de la prostitution au vol en passant par la vente de stupéfiants.

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