Accueil Hauts-de-France

« J’ai soif de souffrir pour effacer » : dans les archives de l’abbé Pierre à Roubaix, la chasse aux fantômes d’Emmaüs

Les révélations sur des agressions sexuelles commises par l’abbé Pierre se multiplient depuis le début de l’été : d’autres secrets sont-ils cachés à Roubaix, aux Archives Nationales du Monde du Travail (ANMT), où sont entreposées depuis 2000 ses archives personnelles et celles d’Emmaüs ?Article réservé aux abonnés

Article réservé aux abonnés

Pour lire la suite de cet article :

Abonnez-vous à notre offre numérique.

Sans engagement de durée.

S'ABONNERVous êtes déjà abonné ou inscrit ?
Se connecter

L'info en continuToute l'info en continu >

Juste pour vous