Avec votre accord, nous et nos 285 partenaires utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker, consulter et traiter des données personnelles telles que votre visite sur ce site internet, les adresses IP et les identifiants de cookie. Certains partenaires ne demandent pas votre consentement pour traiter vos données et se fondent sur leur intérêt commercial légitime. À tout moment, vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer au traitement des données fondé sur l'intérêt légitime en cliquant sur « En savoir plus » ou en allant dans notre politique de confidentialité sur ce site internet.
Vos données personnelles sont traitées pour les finalités suivantes:Conservation et accès aux informations de géolocalisation pour réaliser des études marketing, Conservation et accès aux informations de géolocalisation à des fins de publicité ciblée, Données de géolocalisation précises et identification par analyse de l’appareil, Mesure d'audience, Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, études d’audience et développement de services, Réseaux Sociaux, Stocker et/ou accéder à des informations sur un appareil
« La méthode sicilienne » : le petit théâtre cruel d’Andrea Camilleri ***
À travers une nouvelle enquête, Montalbano redécouvre l’amour et permet à son auteur de partager sa passion du théâtre et de la poésie.Article réservé aux abonnésJournaliste au pôle CulturePar Jean-Marie WynantsTemps de lecture: 3 minLa méthode sicilienne, Andrea Camilleri, traduit de l’italien par Serge Quadruppani, Fleuve Noir, 288 p., 20,90 €, ebook 13,99 €
Disparu en 2019 à l’âge de 93 ans, Andrea Camilleri a poursuivi une longue carrière d’auteur, de scénariste, de réalisateur de télévision et de metteur en scène de théâtre avant de connaître un succès aussi tardif qu’inattendu avec sa série de polars siciliens mettant en vedette le commissaire Montalbano.
Cet article est réservé aux abonnés
Accédez à l'information nationale et internationale vérifiée et décryptée 1€/semaine pendant 4 semaines (sans engagement)
La Hesbaye fertile du XIXe, industrieuse et bientôt industrielle, embrasse un monde nouveau qui pour certains, sera bien difficile à avaler. C’est « Le Pain noir », classique de la littérature wallonne.Par Alain Lallemand
Pour poster un commentaire, merci de vous abonner.
S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagirPostez le premier commentaire