Zelensky dit que la situation « tendue » sur le front est la cause de son absence …
Par Arnaud Sagnard
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Récit Personnage récurrent des livres de l’écrivain maudit, son chat de gouttière l’a accompagné lors de ses années de fuite en Allemagne et au Danemark. Au point où les deux, retombant toujours sur leurs pattes, ont fini par se ressembler.
Pour aller plus loin
Bien avant que la souris américaine de Disney n’inonde le monde avec ses « Aristochats » en 1970, les chats de gouttière ont révéré une idole. Une légende dont ils se racontent sur les toits les aventures les soirs de veille, une déité française, parisienne même, une figure des faubourgs qui a traversé l’Europe et l’Histoire. Un peu comme il y a deux millénaires de cela les Egyptiens révéraient la figure de Bastet, déesse de la joie, du foyer, de la chaleur du soleil et de la maternité, incarnée en un félidé qu’on peut encore voir se tenant assis assez prétentieusement dans le département des antiquités égyptiennes du Louvre.
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C’est à quelques encablures de là au rayon « animaux » de la Samaritaine que l’existence de l’animal qui nous intéresse aujourd’hui a été révélée au monde en 1935. Sans doute trouvé par la Société protectrice des Animaux, ce chat auquel Frédéric Vitoux, critique au « Nouvel Observateur », expert de la vie et de l’œuvre de l’écrivain Céline et futur académicien, a consacré un livre publié en 1976 (« Bébert, le chat de Louis-Ferdinand Céline », pa…
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