C’est un paradoxe qui frappe tous ceux qui s’intéressent aux finances de l’État. D’un côté, le déficit se creuse, les « dépenses publiques » rapportées au produit intérieur brut (PIB) augmentent, mais, de l’autre, la qualité des services publics ne cesse de se dégrader.
Économie et social Analyse
Les services publics sacrifiés sur l’autel de l’aide au capital
Si les finances de l’État et les services publics se dégradent de conserve, c’est d’abord en raison d’une politique de l’offre coûteuse et inefficace. Une nouvelle étude vient renforcer ce constat.
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