:
Disons alors que notre hardie hypothèse, ressemble comme 2 gouttes d'eau, à ce qu'a fait, avec le peuple juif, le nommé YHWH Elohîm (Chez André Chouraqui 1985), ou Iahvé Elohim (Chez Edouard Dhorme 1956).
Pour mieux saisir les subtilités sous- jacentes, de cette affaire ancestrale, plongeans à nouveau, si vous le voulez bien, dans l'incontournable petit fascicule, de Sir Brinsley Le Poer Trench :
On y découvre alors ce passage très important, en page 19 :
Nous avons souligné en rouge, les mots clefs de ce texte, qui montrent que le support d'écriture de l'époque, papier ou parchemin, était très difficile à préparer et que donc chaque mot écrit, avait son importance, et même par exemple, le vocable Iahvé, peut représenter diverses entités, à des moments différents.
Vous pensez bien aussi , que les scribes si méticuleux de l'époque, ne se seraient pas permis de transformer le je masculin... "ani", en un je féminin "anochi"
, par simple plaisir graphologique.
Vérifions dans la mesure du possible, cela, dans l'ouvrage monumental de Fabre d'Olivet : "La Langue hébraïque restituée" (déjà présenté dans le volet 4), et publié en 1971 en Suisse, dont voici les pages de présentation 5 et 7 :
et à la page 204, on trouve ceci :
Le terme anochi, figure bien au verset 4 du chapitre 7 de la Genèse et sauf erreur de notre part, cela correspond aux 4 symboles hébraïques :
Mais voyons un peu plus loin au chapitre 9 verset 12 :
Le terme ani, est maintenant présent et s'écrirait (sauf erreur) avec seulement 3 symboles hébraïques :
Donc, il y a bien, une bonne différence
, dans le texte hébreu, entre le je masculin, et le je féminin, différence totalement escamotée, par les divers traducteurs du texte d'origine ...
Donc, ce jour, on voit déjà, que l'on trouve là,
une première preuve, que l'on nous a menti pendant des siécles, (comme d'ailleurs, on continue à le faire actuellement ...), sur la signification des éléments d'un texte dit sacré, dont on ne devait pas pourtant changer, dit-on, un iota, dans sa retranscription hébraïque.
Mais comme il est bon d'avoir un autre " son de cloche ", voyons, ce que l'on trouve sur le super site :
et plus particulièrement à la rubrique : Texte bilingue hébreu français (Genèse) à :
D'abord en Genèse 7 vers 4, on trouve :
Bien que l'écriture anochi nous manque dans l'image de droite, on voit que ce sont les mêmes 4 symboles hébraïques qui sont présents ici.
Mais d'après Brinsley le Poer Trench, on trouve aussi le vocable anochi en Genèse 15 vers 1. Allons voir cela de plus près :
Comme vous le voyez, ce sont bien encore les mêmes 4 symboles hébraïques, qui entrent ici en jeu.
Enfin pour terminer cette affaire de je masculin et de je féminin, revoyons ce qui est écrit en Genèse 9 vers 12 déjà vu plus haut et qui correspondait au vocable ani :
Cette fois-ci encore, ce sont bien 3 symboles hébraïques qui représentent cet ani, hélas absent ici à droite.
Donc en conclusion, on découvre bien, que l'on nous a trompés délibérément, dans toutes les traductions du texte biblique qui circulent dans le monde. À vous donc de juger, documents à l'appui !!
D' ailleurs ce verset 12 du chapitre 9 de la Genèse, est très important et on vient de voir sa traduction coutumière. Nous préférons évidemment, celle de Dhorme :
" Elohim dit :" Ceci est le signe de l'alliance que je mets entre moi et vous pour les générations à jamais." "
Puis aux versets 13, 14, 15, et 16, on découvre ces phrases inouies :"
13- " Je mets
mon arc dans un nuage et il deviendra le signe d'alliance
entre moi et la terre. 14 - Il arrivera donc que, lorsque je
ferai paraître un nuage sur la terre et que dans le nuage l'arc sera aperçu, 15- je me souviendrai de mon alliance
qui existe entre moi et vous, et tout animal vivant en
toute chair, pour qu'il n'y ait plus d'eaux pour un Déluge
pour détruire toute chair. 16- L'arc sera dans le nuage
et je le verrai pour me souvenir de l'alliance perpétuelle
entre Élohim et tout animal vivant en toute chair qui est sur la terre. "
Notons que Chouraqui écrit dans ce même passage à la place de nuage : la nuée et par exemple on trouve ceci : " Et c'est quand j'accumulerai la nuée sur la terre et que l'arc apparaîtra dans la nuée, je me souviendrai de mon pacte qui est entre moi et vous...." .
Enfin surtout, notons bien que Elohim n'installe pas l'arc d'alliance pour les humains, mais pour lui même, afin de se souvenir , (sa mémoire a-t-elle parfois des lacunes ?), en temps utile, de son alliance, avec la race humaine.
Certains auteurs pensent que cet arc dans la nuée est simplement l'arc en ciel, et d'autres pensent que cet arc nous attend sur la Lune.
A vous donc de juger tout cela, documents à l'appui.
Donc il en résulte, comme le texte le dit bien, que le représentant des Elohim en question, pouvait assurément être une femme, à un moment donné. Seul donc ceux qui ont le grand privilège de connaître l'hébreu, peuvent découvrir dans le texte d'origine ces particularités, qui ont été escamotées dans toutes les bibles traduites connues, et certainement dans celle (nous l'avons déjà dit plus haut), sur laquelle Barach Obama, a fait son serment. Point Barre.
Nous demandons donc à tout internaute connaissant bien l'hébreu, d'avoir l'extrême amabilité de nous envoyer, svp, toute surprenante incongruité, de même nature, qu'il aurait détectée, dans le texte d'origine. Merci d'avance.
Pour aller encore loin, prenons cette allégorie habituelle en écrivant cette phrase faisant allusion à notre automobile : "Je roulais tranquillement sur ma droite, quand un motard sortant brûtalement d'une petite rue, a défonçé ma portière avant droite". Cet exemple très coutumier de notre époque, a pourtant inspiré l'écrivain Marc Dem dans son ouvrage intitulé "Les Juifs de l'espace", paru aux Editions Albin Michel en Sept 1974 dans la prestigieuse collection "Les chemins de l'impossible".
Il nous dit, en effet que l'on peut lire au chapître XXXIII verset 11, cette phrase incroyable :
"Alors Iahvé parlait à Moïse, face à face comme parle un homme à son prochain". ( Dhorme).
Et pourtant au verset 20 du même chapitre, Iahvé dit à Moïse :
"Tu ne peux voir ma Face, car l'homme ne peut me voir et vivre".
Comment donc, concilier ces deux expressions apparemment contradictoires ?
Marc Dem explique alors :
" La Face n'est pas le visage de Iahvé, La Face , c'est l'engin, (le mot Iahvé désigne à la fois l'engin et l'astronaute), ou plus précisément la partie antérieure du vaisseau. La suite du récit dissipe toute hésitation à ce sujet : Yahvé dit encore verset 21 :
"Voici un endroit à côté de moi . Tu te tiendras debout sur le rocher. Et il arrivera, quand passera ma gloire, que je te mettrai dans le trou du rocher et que je couvrirai de ma paume jusqu'à ce que je sois passé. Puis je retirerai ma paume et tu verras mon dos, mais ma face ne sera pas vue"."
Après nous avoir expliqué que le rocher en question est formé de minéraux pouvant intercepter les émissions frontales du vaisseau, Marc Dem, nous dit alors :
"Le vaisseau, pour nous résumer possède un système de propulsion dont nous ignorons le principe, mais qui implique un dégagement de particules ou de radiation par la partie avant. Ces éléments, quels qu'ils soient sont nocifs pour l'orgnanisme humain. On peut utiliser le vaisseau comme une arme tactique sans dispositif supplémentaire. Il peut aussi transporter des équipements propres à causer des destructions plus importantes ou à effectuer des travaux de génie d'une grande ampleur. (Ouvrir par exemple la Mer Rouge pour le passage des hébreux)...."
Donc, on va n'est-ce pas, de surprise en surprise, dans ce texte hébreu, qui s'explique toujours mieux en fonction de nos connaissances astronautiques actuelles.
À suivre...
Fred IDYLLE.