Alors que le gouvernement se veut désormais le promoteur de la transition écologique, l’élève modèle des accords de Paris, quels signes faut-il voir dans la nomination express d’Élisabeth Borne au ministère de l’écologie, censé être un des plus importants du gouvernement ? Tout laisse craindre que ce ne soit pas celui du sursaut, de la rupture, de l’urgence qu’appelait de ses vœux Nicolas Hulot lors de sa démission fracassante en août 2018.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous