2- Les réseaux sociaux ont joué un rôle croissant dans le processus de radicalisation au sein des mouvements extrémistes. Parmi eux, ce sont les membres de la mouvance islamiste qui ont le plus utilisé les réseaux sociaux pendant ces dates.pic.twitter.com/4St8SO3xkq
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3- Une majorité des individus ont utilisé les RS pour 'consommer passivement' la propagande. D'autres, moins nombreux, ont été plus actifs (dialogue, relais ou création de contenus). Une minorité a utilisé les RS pour faciliter une action sur place ou d'un départ sur zone.pic.twitter.com/kYBY1Jd1PY
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4- Parmi ceux qui ont utilisé les réseaux sociaux avant une attaque, leur utilisation active est inversement corrélée au succès de cette attaque. Corollaire : ce sont ceux qui n'ont pas utilisé les RS qui avaient le plus de 'chance' de mener l'attaque à bien.pic.twitter.com/tApTsoxvdE
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5- De même, un usage des réseaux sociaux est inversement corrélé au succès d'un départ sur zone. Ces deux constats illustrent de façon quantitative la vulnérabilité potentielle de ceux qui utilisent les réseaux sociaux ouverts à 1 identification ou 1 repérage par les autorités.pic.twitter.com/uO36Fa50UX
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6- Ces résultats [NB- préliminaires & circonscrits temporellement / géographiquement], illustrent le levier que constitue le renseignement glané sur les RS ouverts. Ils interrogent, de fait, sur la stratégie de suppression systématique de contenus, susceptible de le compromettre.
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