Nicolas Grégoire

mais alors expliquez moi donc. une femme dit non. vous la pénétrez quand même. comment diable appelez vous cela ?

elle dit non, vous la pénétrez. Vous avez conscience de son refus, vous dites "le rapport est refusé". La réaction n'est pas d'arrêter ou de se retirer, mais de continuer à imposer le rapport "j'éjacule froidement". Aucune ambiguïté, c'est bien un viol.

C'est faux, ce n'est pas un viol. Et si c'était un viol, je l'aurait écrit ! Et je me serais dénoncé moi-même ! Je dénonce un comportement, et on me traîne dans la boue comme si j'en faisais l'apologie, sur des bases fausses, c'est absolument insupportable.

Il n'y aucun doute sur le fait que c'est un viol. 1/ elle est endormie, même si elle ne disait rien = pas de capacité de consentement 2/ vous dites VOUS MEME qu'elle dit "non", que le rapport est refusé, et vous imposez pénétration + éjaculation.

Si si je t’assures que tu viens d’avouer un viol, un crime donc, dans un livre que tu as ensuite fait publier. Ce qui fait de toi une immonde ordure de violeur doublée d’un énorme abruti. Et maintenant on est des milliers à savoir que tu n’es qu’une petite merde.

Et encore j'ai chié des étrons plus respectables que ce mec

Elle dit "non non" Vous vous "introduisez en elle" Prenez conscience de son refus Vous "ejaculez froidement" Mais ce n'est pas un viol... Le "sentiment de honte" semble avoir été de courte durée. Miserable...

@Medium @MediumFrance On peux savoir par quel miracle vous avez pu éditer ce truc ?

Le mec, fier de lui, qui écrit ça la bouche en cœur. Faut vraiment détester les femmes pour en arriver à ce degré de mépris.

Alors je propose qu’on demande l’avis de personnes qui connaissent le code pénal comme vous dites; @Maitre_Eolas @Proc_Epique , quelqu’un qui pénètre une femme dans son sommeil et continue alors qu’elle dit non à 5 reprises, vous appelez ça un violeur?

Vous voulez un avis?... ok. Vous en aurez même deux.

J’ai lu par ailleurs que @nicolasgregoire s’insurgeait que cet extrait soit qualifié « d’apologie du viol ». Il a raison sur ce point. Les mots ont un sens, l’apologie ce n’est pas l’absence de condamnation d’un acte, c’est sa glorification, a minima une présentation flatteuse.

En revanche, l’acte lui-même pourrait parfaitement s’analyser en un viol, qualifié pénalement comme un « acte de pénétration sexuelle, par violence, menace, contrainte, ou surprise ». En plus clair, l’acte a-t-il eu lieu malgré l’absence de consentement de la victime?

Fort heureusement pour lui, on ne juge pas quelqu’un sur dix lignes. Il faudrait connaître le contexte, savoir ce qui s’est passé précisément, comment débute cet acte sexuel...

Mais, sur ce qui est décrit, profiter du sommeil de quelqu’un pour la pénétrer sexuellement, puis continuer malgré des « non » réitérées, pourrait être qualifié de viol, les circonstances pouvant caractériser la contrainte ou la surprise....