Histoire de Monsanto, "La société la plus maléfique au monde" (2ème et dernière partie)
(...)
Années 90 : Monsanto dépense des millions pour mettre en échec la législation nationale et fédérale qui refuse à la société du Mal de continuer à déverser de la dioxine, des pesticides et autres poisons cancérigènes dans les réseaux d'approvisionnement en eau potable. Quoi qu'il en soit, ils vont au tribunal d'innombrables fois pour avoir rendu malades des ouvriers d'usine, les habitants des zones environnantes et entraîné des malformations congénitales chez les bébés.
Avec leurs coffres remplis des milliards de bénéfices, débourser 100 millions de dollars de dommages et intérêts n'est pas cher payé pour faire des affaires et grâce à la FDA, au Congrès et à la Maison Blanche, les affaires restent très bonnes. Si bonnes que Monsanto est poursuivi en justice pour avoir donné du fer radioactif à 829 femmes enceintes lors d'une étude pour voir ce qui se passerait.
En 1994, la FDA criminellement approuve encore une fois la toute dernière monstruosité de Monsanto, l'hormone de croissance bovine synthétique [qu'on injecte aux vaches pour augmenter leur production de lait], produite à partir de bactéries E. Coli génétiquement modifiées, malgré une communauté scientifique manifestement scandalisée par ses dangers. Bien sûr, Monsanto prétend que du lait rempli de pus, bourré d'antibiotiques et d'hormones est non seulement sain, mais en fait bon pour nous !
Encore pire, les exploitations laitières qui refusent d'utiliser ce pus toxique pour leurs vaches et étiquettent leurs produits comme "sans hormone de croissance" font l'objet de poursuites judiciaires par Monsanto, affirmant que c'est une concurrence déloyale par rapport aux rivaux qui l'utilisent. Ce que dit Monsanto en essence, c'est "Ouais, nous savons que l'hormone de croissance rend les gens malades mais ce n'est pas correct d'avertir qu'elle ne se trouve pas dans vos produits".
L'année suivante, la diabolique compagnie commence à fabriquer des céréales génétiquement modifiées tolérantes à leur herbicide toxique, le Roundup. De l'huile de colza, des graines de soja, du maïs et du coton BT, tous Roundup Ready, commencent à envahir le marché, annoncés comme étant des alternatives plus saines à leur concurrents biologiques sans OGM. La propagande a apparemment fonctionné car aujourd'hui plus de 80 % du colza du marché provient de leur variété d'OGM.
Comme ces céréales GM ont été créées pour "s'auto-polliniser", elles n'ont pas besoin de la nature ou des abeilles. C'est comme d'avoir un rapport sexuel avec vous-même pour faire un bébé. Oui, Monsanto veut gâcher aussi ce plaisir. Mais toute plaisanterie à part, il existe un très sombre agenda à ce sujet et c'est d'exterminer mondialement la population d'abeilles.
Monsanto sait que les oiseaux et surtout les abeilles perturbent leur monopole par leur capacité à polliniser les plantes, créant ainsi naturellement des aliments en dehors de l'agenda de domination totale de la compagnie. Quand les abeilles tentent de polliniser une plante ou une fleur GM, elle s'empoisonne et meurt. En fait l'effondrement des colonies d'abeilles est attesté et se produit depuis l'introduction des céréales GM.
Pour contrer les accusations selon lesquelles ils auraient délibérément généré ce génocide en cours des abeilles, Monsanto rachète diaboliquement Beeologics, la plus grande firme de recherches sur les abeilles qui se consacrait à l'étude du phénomène d'effondrement des colonies et dont les recherches fouillées accusaient le monstre comme étant le premier coupable ! Et ensuite leur discours devient, "les abeilles, quelles abeilles ? Tout va pour le mieux !" De nouveau je n'invente pas, à mon grand regret !
Au milieu des années 90, ils décident de redorer leur société maléfique en se spécialisant dans le contrôle de l'approvisionnement mondial de nourriture par des moyens artificiels biotechnologiques pour empêcher la poule aux œufs d'or, le Roundup, de perdre des parts de marché face à des herbicides compétitifs moins toxiques. Vous voyez, le Roundup est si toxique qu'il extermine les céréales sans OGM, les insectes, les animaux, la santé humaine et l'environnemen tout à la fois. Vraiment très efficace ! [Lire à ce sujet cet article sur les études du Pr Séralini]
Comme les cultures Roundup Ready sont conçues pour être de toxiques pesticides se faisant passer pour des aliments, elles ont été bannies de l'Union Européenne, mais pas en Amérique ! Existe-t-il un quelconque lien entre cela et le fait que les américains, malgré le coût élevé des soins de santé et les difficultés pour y accéder, sont collectivement les gens les plus malades dans le monde ? Bien sûr que non !
Tel était le plan de Monsanto depuis le début, toutes les céréales ne venant pas de chez eux seraient détruites, obligeant les agriculteurs à n'utiliser que ses semences Terminator. Et Monsanto s'est assuré que les agriculteurs qui refusaient d'entrer dans le circuit soient expulsés ou poursuivis en justice quand les graines terminator apportées par le vent empoisonnaient les terres cultivées en biologie.
Ce qui a donné à la société un monopole virtuel car les semences terminator et le Roundup travaillent en collaboration et les cultures OGM ne peuvent survivre dans un environnement non-chimique, obligeant les agriculteurs à acheter les deux.
L'étape suivante était de dépenser des milliards pour racheter mondialement autant de compagnies semencières que possible et les transformer en sociétés vendant des semences terminator dans le but d'éliminer les concurrents et de supprimer les aliments biologiques de la face de la terre. Selon Monsanto, toute l'alimentation doit être sous leur total contrôle et génétiquement modifiée, sinon elle n'est pas comestible !
Ils font semblant d'être choqués par les critiques de la communauté scientifique remettant en question le fait que des céréales génétiquement modifiées à base de gènes d'animaux malades, (porcs, vaches, araignées, singes, poissons), et de vaccins et virus soient sains à consommer. La réponse à cette question est manifestement un très grand "jamais de la vie !"
On pourrait penser que la société est si fière de ses aliments GM qu'elle en sert à ses employés, mais ce n'est pas le cas. En fait, Monsanto a interdit de servir des aliments GM dans les cafétérias de ses propres employés. Réponse peu convaincante de Monsanto "Nous laissons la liberté de choix". Il faut entendre, "nous ne voulons pas tuer notre personnel".
C'est tout à fait d'accord par contre de forcer les nations pauvres et les américains à consommer ces monstruosités modifiées comme moyen de mettre fin à la famine, il est sûr que les morts n'ont pas besoin de manger ! Je parie que dans l'esprit de la plupart des gens actuellement, Monsanto s'oriente clairement vers un eugénisme et un génocide, et pas de fournir des aliments qui nourrissent le monde. Comme dans la Belle au Bois Dormant de son coéquipier Disney, la méchante sorcière donne aux gens la pomme GM qui les fait dormir éternellement !
Le monstre continue à grossir : Monsanto fusionne avec Pharmacia & Upjohn, puis les sépare de son entreprise de chimie et se requalifie société agricole. Oui, c'est exact, une entreprise de produits chimiques dont les composants ont dévasté l'environnement, tué des millions de gens et la vie sauvage pendant des années veut nous faire croire aujourd'hui qu'elle produit des aliments sains et nutritifs qui ne décimeront plus les gens. C'est extrêmement difficile à vendre, c'est pourquoi ils continuent à grossir par le biais de fusions et de partenariats secrets.
DuPont étant une corporation trop importante pour permettre une fusion, ils forment à la place un partenariat discret où chacun est d'accord pour laisser tomber les actions mutuelles en justice et commencer à partager les technologies d'OGM pour un bénéfice mutuel. Pour dire les choses simplement, ensemble ils seraient trop puissants et trop liés politiquement pour que rien ne les empêche de posséder un monopole virtuel sur l'agriculture ; "contrôlez la nourriture & vous contrôlez les peuples !"
Tout n'est pas rose quand même, car le monstre est régulièrement condamné à des amendes de 100 millions de dollars pour avoir causé des maladies, des malformations chez les enfants et des morts en déversant illégalement tout leur PCB dans les nappes phréatiques et en mentant continuellement sur la sécurité de ses produits – la routine, quoi, en quelque sorte.
Le monstre commence en même temps à faire déposer des brevets pour des techniques d'élevage de porcs, affirmant que des animaux élevés plus ou moins selon leurs brevets leur en donnerait la possession. Ce dépôt de brevet est si vague qu'il est devenu évident qu'ils voulaient prétendre que tous les porcs élevés dans le monde enfreindraient leur brevet.
Le terrorisme mondial s'étend à l'Inde, avec plus de 100.000 agriculteurs qui sont en faillite à cause de mauvaises récoltes, avec certains qui se suicident en buvant du Roundup pour que leurs familles puissent toucher une assurance-vie. Le monstre répond en tirant parti de la situation, en alertant les médias sur un nouveau projet d'assistance aux petits agriculteurs indiens qui consiste à offrir les choses-mêmes qui ont entraîné au départ des récoltes ratées dans le pays ! Le média Forbes nomme ensuite Monsanto "société de l'année". Ignoble, mais vrai.
Encore plus inquiétant est que Whole Foods [chaîne de distribution de produits], une corporation qui se qualifie comme biologique, naturelle et écologique, s'avère tout sauf cela. Ils refusent de soutenir la proposition 37, mesure d'étiquetage des OGM en Californie que Monsanto et ses copains OGM ont finalement aidé à mettre en échec.
Pourquoi ? Parce que Whole Foods a "couché" longtemps avec Monsanto, garnissant secrètement ses rayons de cochonneries hors de prix, bourrées de pesticides, d'hormones de croissance bovine, et d'antibiotiques, qu'une publicité mensongère nommait "naturelles et biologiques". Ils refusent donc bien sûr l'étiquetage obligatoire qui les feraient paraître comme "Whole Frauds" et "Whore Foods" [jeu de mots intraduisible, frauds signifiant mensonges et whore, putains, NdT], ce qu'ils sont en réalité !
Quand cependant plus de 20 compagnies biotechnologiques dont WalMart, Pepsico et ConAgra ont rencontré la FDA dans l'optique de lois d'étiquetage obligatoire, ceci après avoir combattu becs et ongles pour mettre la Proposition 37 en échec, Whole Foods voit une opportunité de sauver la face en devenant la première chaîne d'épicerie à annoncer un étiquetage obligatoire de leurs OGM...en 2018 ! Merci quand même. Putains.
Et si on pense que ses confrères se sont soudainement achetés une conscience, réfléchissez à deux fois. Ils réagissent simplement au tollé public pour la mise en échec de la Proposition 37 en fabricant des lois trompeuses sur l'étiquetage des OGM pour contourner un changement réel, conservant ainsi un statu quo intact.
S'ajoutant au massacre mondial, Monsanto et ses partenaires criminels, Archer Daniels Midland, Sodexo et Tyson Foods écrivent et sponsorisent la Loi sur la Modernisation de la Sécurité Alimentaire : HR 875. Cette "loi" criminelle donne à l'agriculture industrielle un monopole virtuel pour surveiller et contrôler toute la culture alimentaire partout, y compris dans les potagers privés, et délivrer de sévères pénalités et peines de prison pour ceux qui n'utilisent pas de produits chimiques et d'engrais. Le président Obama a décidé que cela semblait raisonnable et a donné son approbation.
Avec cette loi, Monsanto proclame que seuls les aliments GM sont sains et biologiques et que les plantes des potagers répandant potentiellement des maladies, ils doivent donc disparaître pour la sécurité du monde. Si manger les saloperies de pesticides GM est leur vision d'une alimentation saine, j'aimerais penser que le reste du monde est assez intelligent pour s'en passer.
Comme d'autres révélations sont tombées concernant ces réelles intentions du géant maléfique, Monsanto a concocté une loi ridicule, la HR 933, qu'Obama a signé machinalement en la faisant voter aussi. Cette loi déclare que quelle que soit la nocivité des cultures OGM de Monsanto et l'étendue des dévastations qu'elles infligent au pays, les tribunaux fédéraux américains ne peuvent empêcher nulle part la poursuite de leurs cultures quel que soit l'endroit choisi. Oui, Obama a signé une clause qui met Monsanto au-dessus des lois et les rend encore plus puissants que le gouvernement lui-même. On peut se poser la question de savoir qui est vraiment en charge du pays parce que ce n'est certainement pas le gouvernement !
Puis arrive pourtant un point critique quand une corporation devient trop maléfique et qu'elle engendre une réaction ferme ! De nombreux pays continuent de faire des procès à Monsanto pour crimes contre l'humanité et a totalement interdit leurs produits, les invitant à "dégager et rester dehors !"
Le monde a commencé à prendre conscience que le monstre ne veut pas simplement un contrôle de la production mondiale au nom du profit. Non, il devient clair qu'après plus d'un siècle de mort et de destruction le but premier est de détruire la santé de l'humanité et de l'environnement, transformant le monde en un enfer sur terre mon-satanique !
Sachez que tout n'est pas perdu. Le mal perd toujours à la fin une fois qu'il est exposé à la lumière de la vérité comme cela se passe maintenant. Le fait que le gouvernement mené par le bout du nez par Monsanto trouve nécessaire de promulguer une législation désespérée pour protéger celui qui le dirige réellement prouve ce point. Chassé de partout ailleurs, les États-Unis sont la dernière place de Monsanto, façon de parler.
Même ici nombreux sont pourtant ceux qui ont commencé à riposter en manifestant et en rejetant les monstruosité OGM, choisissant de faire pousser leur nourriture et d'acheter aux paysans locaux plutôt que dans les chaînes d'épicerie commanditées par Monsanto.
Les gens qui s'éveillent commencent aussi à se rendre compte qu'ils ont été trompés par des arnaqueurs et que les criminels du gouvernement fédéral ont été pervertis par trop de pouvoir, la mainmise et la cupidité, ce qui a engendré la création d'une bête monstrueuse incontrôlable.
Et comme les gens votent contre en choisissant de ne pas acheter les poisons OGM, les branches de Monsatan sont peu à peu, lentement mais sûrement, tranchées, jusqu'à donner le dernier coup d'épée en plein dans son cœur de noirceur. C'est ce qui mettra fin pour de bon à son règne de terreur !
Source
Traduit par Hélios pour le BBB
bravo et merci pour ces belles et tragiques informations.nous devons divilguer ce texte a un máximum de personnes afin que nos enfants et petits enfants puissent profiter de cette belle terre nourricière tout en lui redonnant une santé....
RépondreSupprimerJ'aimerai ardemment que la dernière phrase soit VRAIE ! Le seul pays qui boycotte TOTALEMENT ce tueur de toutes les espèces qu'est Monsanto est le Cambodge. Le grave problème, comme il me l'a été expliqué, est que ce pays s'ouvre de plus en plus aux échanges commerciaux... par ce biais, ceux qui commercent vendent de tout...
RépondreSupprimerQuant à nous, l'Europe et ceux qui s'y trouvent, ont les poches pleines et acceptent encore les soudoiements des grands trusts de toutes sortes, afin que des "lois" soient votées pour le profit des dits trusts.
Le Monde diplomatique
RépondreSupprimerEnquête sur une stratégie de communication
Comment Monsanto vend les OGM
Habituées à dicter leur loi aux gouvernements, les sociétés transnationales doivent maintenant compter avec un éveil civique susceptible de contrecarrer leurs projets. D’où la prolifération des « codes de bonne conduite » et autres « chartes éthiques » dont elles se dotent pour occulter ce qui reste leur unique objectif : garder les mains libres à l’échelle planétaire en vue de créer toujours plus de « valeur » pour l’actionnaire.
C’est dans le secteur de l’agrochimie qu’elles rencontrent le plus d’obstacles : les organismes génétiquement modifiés (OGM) ne « passent » pas dans l’opinion, tout particulièrement en Europe, aucune étude scientifique n’ayant pu conclure ni à leur innocuité ni à l’absence de risques pour la biodiversité liés à leur dissémination accidentelle, ni même se prononcer sur leurs prétendus bienfaits.
Les grandes firmes du domaine, en premier lieu Monsanto, ont donc déployé une stratégie de contournement. Il ne s’agit pas de prouver que leurs produits ne présentent aucun danger, mais de les promouvoir comme autant de remèdes aux problèmes de malnutrition et de santé publique du tiers-monde et, surtout, comme une solution de rechange à un péril, certes bien réel, celui des pesticides. avec des campagnes publicitaires minutieusement élaborées et massivement financées, elles espèrent bien « retourner » les esprits récalcitrants.
par Agnès Sinaï, juillet 2001
Aperçu
Etat d’urgence à Monsanto : après une alerte à la bombe sur son site français de Peyrehorade, dans le département des Landes, le numéro deux mondial des semences agricoles lance sur son réseau Intranet un protocole de sécurité en cas d’attaque cybernétique ou physique de ses employés. Ces derniers sont sommés de signaler tout comportement suspect, tout appel téléphonique non identifié et toute personne non badgée, ainsi que de fermer à clé toutes les portes, de verrouiller l’accès aux écrans d’ordinateur par des mots de passe et de ne pas utiliser de modem connecté à l’extérieur. Quant aux entretiens avec des journalistes, ils sont interdits sauf aux personnes expressément mandatées. Cette culture du secret n’est, du reste, pas complètement étrangère à l’actuelle directrice de la communication de Monsanto-France, Mme Armelle de Kerros, une ancienne de la Compagnie générale des matières atomiques (Cogema). Ce qui n’empêche pas Monsanto d’afficher une volonté de « transparence »...
Depuis le scandale de Terminator, première plante tueuse de l’histoire de l’agriculture. l’entreprise est partagée entre paranoïa défensive et agressivité. Les ennuis commencèrent lorsqu’elle racheta la firme Delta & Pine Land pour la somme de 1,8 milliard de dollars. Monsanto récupérait à cette occasion un brevet qui permettait un « verrouillage » des semences grâce à une ingénierie génétique inhibant leur repousse d’une année sur l’autre, ce qui conduisit l’organisation RAFI (The Rural Advancement Foundation International) à surnommer « Terminator » cette technique de stérilisation. Devant le tollé international qu’elle provoqua, le président de Monsanto, M. Bob Shapiro, annonça le retrait du produit, avant de donner sa démission.
Depuis lors, la multinationale a abandonné son slogan d’autrefois - « Nutrition, santé, avenir » - et elle cherche à se reconstituer une notoriété. Produire des OGM (on parle pudiquement de biotechnologies) est, en effet, une entreprise à hauts risques, aussi bien en termes d’image que d’investissements. Sans (...)
Taille de l’article complet : 4 188 mots.
Monsanto reçoit le “prix nobel” de l’agriculture pour ses recherches sur les OGM !
RépondreSupprimerpar amd777 15 octobre 2013 Ecologie La Connerie Humaine Les Secrets de L'Alimentation Mondialisation Monsanto OGM Pesticides World Food Prize
tn_world_food_prize_2013_monsanto
Au comble de l’hypocrisie ambiante après le Prix Nobel de la Paix décerné à l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques , voici que le corpus élitiste mondial en remet une couche en décernant le Prix Mondial de l’Alimentation à l’entreprise-tueuse Monsanto. De quoi faire réagir les fervents opposants, mais aussi à contribuer sur l’acceptation de masse (forme de contrôle de l’esprit) aux irréalistes bienfaits qu’une multinationale comme Monsanto peut nous apporter………….. la polémique est loin d’être finie et les actions anti-Monsanto, anti-OGM, vont pouvoir redoubler d’efforts….
AMD777
Cette année, le célèbre prix World Food Prize (prix mondial de l’alimentation) a été décerné à un scientifique de Monsanto, pour ses recherches sur les OGM. La biotechnologie végétale aurait permis de lutter contre la pauvreté et la faim dans le monde, en plus d’être une mode de culture durable. Ironique ? Hélas, non.
Voilà une histoire qui va en irriter certains. Le prix mondial de l’alimentation, souvent comparé à un prix nobel pour la nourriture ou l’agriculture, a été décerné cette année à trois scientifiques cadres dans des entreprises chimiques, dont Robert Fraley, vice-président de Monsanto.
Le prix en question est décerné à des individus ou des organisations qui aident à réduire la faim dans le monde et apporte un effet positif et durable sur la nutrition. Ces trois scientifiques ont reçu le prix en raison de leur développement de la biotechnologie végétale moderne pour soutenir (parait-il) la sécurité alimentaire et une agriculture durable.
Robert Fraley partage le prix World Food Prize avec deux autres chimistes, avec lesquels il a mis au point, puis commercialement lancé, une méthode permettant d’implanter des gènes extérieurs dans une plante : les OGM. Pour un prix qui prétend honorer les hommes qui contribuent à une alimentation à la fois plus nutritive et durable dans le monde, l’objectif est raté sur les deux points. Explications…
Premièrement, les OGM ne créent, en aucun cas, un approvisionnement alimentaire plus nutritif ou durable. Vingt ans après la commercialisation de la première semence OGM aux États-Unis, presque tous sont limités à seulement deux types. Soit ils ont été développés pour résister à un herbicide spécifique, ou modifiés pour lutter contre les insectes. Bien que ces cultures se soient révélées rentables pour les entreprises qui les produisent, elles ont été coûteuses pour les agriculteurs qui les utilisent. Pour un grand nombre de ces agriculteurs, cette technologie aggrave la dépendance sur les semences achetées, les engrais et les produits chimiques. C’est un cercle sans fin.
Deuxièmement, en termes de durabilité, les OGM ne font rien pour réduire la dépendance du secteur agricole face aux combustibles fossiles, aux minéraux extraits et à l’eau. L’ensemble de ces ressources naturelles deviennent moins accessibles à mesure qu’elles deviennent plus rares.
Bien que les ingénieurs du génie génétique continuent à affirmer le potentiel nutritif et écologique des OGM, les experts restent dans le doute et soulignent les résultats positifs des méthodes d’agro-écologie et d’agriculture biologique. Ces dernières sont plus efficaces lors de situations dites “extrêmes”, en plus d’être moins énergivores et moins émettrices de gaz à effet de serre.
D’une manière générale, les grandes institutions mondiales (comme les Nations Unies, l’Organisation Mondiale de la Santé, la Banque Mondiale, etc) et de nombreux corps scientifiques mettent régulièrement en avant les qualités principales des cultures biologiques. Le bio fournit des aliments de meilleure qualité nutritionnelle, améliore la santé des sols, favorise la biodiversité et rend aux agriculteurs leur indépendance économique.
L’Actu de Monsanto
RépondreSupprimerLes bienfaits de l’agriculture biologique pour la biodiversité remarqués par l’INRA.
D’après une expertise scientifique de l’INRA publiée début juillet, l’agriculture biologique est un mode de production bénéfique à la biodiversité, et son impact positif est d’autant plus fort que l’exploitation ainsi qualifiée s’inscrit dans un paysage diversifié.
L’ESCo (Expertise Scientifique Collective) réalisée entre juin 2007 et juin 2008 à la demande des ministères de l’Agriculture et de l’Ecologie mérite une attention particulière.
Elle souligne notamment que « Certaines pratiques agricoles limitent déjà les impacts négatifs de l’agriculture sur la biodiversité et tirent meilleur parti des services qu’elle offre. Bien que son cahier des charges n’y fasse pas explicitement référence, l’agriculture biologique (AB) apparaît comme un mode de production favorable à la biodiversité. L’impact positif de l’AB sur la biodiversité est d’autant plus fort que l’exploitation ainsi qualifiée s’inscrit dans un paysage diversifié.
Plus généralement, l’organisation de rotations longues et diversifiées, une répartition adaptée des cultures dans les territoires, l’utilisation de cultures associées, l’implantation de couverts intermédiaires et de cultures dérobées, l’utilisation de variétés moins sensibles aux maladies, la simplification du travail du sol… sont autant d’éléments importants pour la biodiversité dans les régions de grandes cultures.
Elle note également que « Dans les zones d’arboriculture du sud de la France, la réduction d’emploi des pesticides et la promotion d’une production fruitière intégrée incluant la diversification des espèces végétales par l’enherbement des vergers, préservent et utilisent mieux la biodiversité ».
Si les bienfaits de l’agriculture biologique pour la biodiversité ne sont évidemment pas une découverte puisqu’ils sont l’essence de ce mode de production, le fait que ce soit ainsi souligné par une expertise de l’INRA à la demande des ministères de l’Ecologie et de l’Agriculture a valeur de symbole. Après les grandes crises sanitaires des dernières années et l’impact du Grenelle de l’Environnement sur la prise de conscience des citoyens et des consommateurs, l’agriculture biologique s’impose de plus en plus comme le mode de production agricole le mieux à même de conjuguer agriculture et préservation de l’environnement.
L’opinion favorable des citoyens pour l’AB est largement confirmée par l’engouement des consommateurs qui se traduit par une augmentation de la consommation des produits bio de 10% depuis bientôt 10 ans. Pour que ce mouvement soit pleinement profitable à l’environnement, il ne manque plus que la production bio se développe dans les mêmes proportions, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui, afin de réduire le volume d’importation des produits bio.
C’est la priorité de Corabio et des groupements de producteurs bio qui travaillent à développer les installations et les conversions en bio.
Téléchargez le rapport de l’INRA "Agriculture et Biodiversité, des synergies à valoriser"
Les "bienfaits" de la mondialisation. Merci monsanto !
RépondreSupprimerFiled under: Uncategorized — francaisdefrance @ 14:43
Peux-tu faire suivre ? Merci .
Voici une affaire qui nous concerne tous , SANS EXCEPTION ! La sortie en salle du film : " Nos enfants nous accuseront " . Pour que ce film soit en salle ( film qui dénonce les méfaits de la mauvaise alimentation et des pesticides ) , il faut qu’un maximum de personnes regardent la bande annonce dans les 2 jours qui suivent . C’est le nombre de visites dans les 2 jours qui fera emporter la décision de sa mise en distribution grandes salles . Faites le suivre rapidement , s’il vous plaît, à tous vos contacts, merci par avance . Voici la bande annonce à visionner et à transmettre :
http://www.idph-videos.com/nos-enfants-nous-accuseront.htm
Pour que Monsanto & Consorts ne soient pas leur futur…
J’ai reçu cette annonce par mail et je vous invite à la faire connaitre au maximum de gens autour de vous ! JBJ
OGM, Monsanto, Roundup & Co : comment notre société produit des malades
RépondreSupprimerPublié le 20-09-2012 à 09h03 - Modifié le 18-09-2012 à 12h31
Avatar de Joël Spiroux de Vendômois
Par Joël Spiroux de Vendômois
Docteur en médecine
LE PLUS. "Oui, les OGM sont des poisons !". C'est le titre choc du dossier du magazine "Le Nouvel Observateur" de cette semaine, réalisé sur la base d'une étude tout juste rendue publique : "Long Term Toxicity of a Roundup Herbicide an a Roundup Tolerant Genetically Modified Maize" (in Food and Chemical Toxicology). Joël Spiroux, co-auteur de cette étude, explique que nos sociétés n'assurent pas la sécurité alimentaire de leurs populations.
Édité par Hélène Decommer Auteur parrainé par Guillaume Malaurie
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OGM (Paolo Giovannini/AP/SIPA)
Des rats avec tumeurs : le résultat de l'étude sur les OGM menée par G. Séralini et J. Spiroux (Paolo Giovannini/AP/SIPA)
Depuis près de 15 ans je travaille, en plus de mes consultations avec Gilles Eric Séralini avec qui je partage les mêmes préoccupations, sur les liens entre les pesticides, les OGM et la santé. Notre étude est emblématique car elle montre une fois de plus comment nos sociétés dites évoluées sont incapables d’assurer la sécurité alimentaire de leurs populations.
"L’aliment est ton premier médicament"
La mise en garde est pourtant bien ancienne car Hippocrate, 450 ans avant J.C, précisait : "L’aliment est ton premier médicament". Comment penser qu’une plante à pesticide soit saine ? Comment penser qu’un OGM et son pesticide associé, tous deux mal évalués, puissent finir dans nos assiettes sans faire prendre de risque à la population ? Cette problématique mise en évidence par notre étude correspond exactement à ce qui se passe au sujet de tous les autres xénobiotiques déversés sur la planète depuis plus d’un siècle…
Je suis médecin libéral et consulte depuis près de 30 ans. Je n’ai jamais accepté de voir arriver dans mon cabinet des patients en souffrance, qui ne devraient pas être malades si les conditions environnementales étaient favorables à leur épanouissement. En effet, avec l’arrivée de l’hygiène bactérienne grâce à Pasteur, des antibiotiques et du développement extraordinaire des techniques médicales et chirurgicales nous avions largement diminué les causes de mort des siècles passés. Plutôt qu’une amélioration de notre état de santé, que constatons-nous ?
Une augmentation importante des cancers, des maladies neuro dégénératives, métaboliques, immunitaires, des stérilités, des malformations néonatales, une baisse de 50% des spermatozoïdes en 50 ans et en parallèle une diminution importante de la biodiversité ! Nous pouvons ajouter à cela les 8.000 maladies orphelines pour la plupart métaboliques et pour lesquelles nous constatons les troubles mais que nous sommes incapables de soigner.
Notre société produit des malades
Ce qui arrive aux humains arrive de façon concomitante à la faune et à la flore. La cause principale en est la quantité de xénobiotiques répandus sur la planète depuis le développement de la chimie organique et minérale de synthèse. 3 millions de tonnes en 1930, 420 millions en 2010 de ces produits chimiques qui sont persistants et se bio-accumulent dans l’environnement, finissent par aboutir dans notre assiette par concentration dans la chaîne alimentaire, sans compter l’air de nous respirons.
"Ils ne mourraient pas tous, mais tous étaient frappés". La Fontaine, "Les animaux malades de la peste".
OGM : Monsanto jette l’éponge en UE
RépondreSupprimerPublié le 19 juillet 2013 dans Agriculture
D’abord c’était BASF, et maintenant c’est le démon lui-même, Monsanto, qui s’est retiré des travaux sur les cultures d’OGM en Union Européenne.
Par Richard North, depuis Bradford, Royaume Uni.
D’abord c’était BASF, et maintenant c’est le démon lui-même, Monsanto, qui s’est retiré des travaux sur les cultures d’OGM en Union Européenne.
C’est la BBC qui le dit, le géant de la biotechnologie jette à la poubelle ses plans d’obtenir l’approbation pour les cultures de nouveau types de plantes génétiquement modifiées en Union Européenne. Cette décision est due au manque de perspectives pour les cultiver dans l’UE.
Elle portait sur les candidatures en suspens pour des autorisations de mise sur le marché, pour cultiver du maïs, du soja et de la betterave génétiquement modifiés. Et elle survient juste quelques jours après que l’UE n’ait entamé des discussions sur un accord commercial de large portée avec les États-Unis, dont l’agriculture, comme l’admet la BBC, promet d’être un des sujets les plus durs.
Dans ce qui tourne à l’échec de règlementation complet, c’était un domaine sur lequel le ministre de l’environnement britannique, Owen Paterson, avait particulièrement à cœur d’avancer. Mais auprès de l’UE, qui détient le monopole du pouvoir sur les autorisations d’OGM, M. Paterson pouvait obtenir gain de cause pour le Royaume-Uni, et permettre qu’on y plante des OGM.
Et nous avons donc encore un exemple de plus d’interférence de l’UE dans les affaires intérieures, empêchant l’un de nos ministres de mettre en place une politique préférée, alors même qu’elle n’a plus approuvé une nouvelle plante OGM pour la culture depuis 1998.
Dans des circonstances normales, on pourrait citer cet exemple comme une raison supplémentaire justifiant une sortie de l’UE. Cependant l’impopularité des OGM en général, et de Monsanto en particulier, est telle que l’incapacité de cette société à poursuivre ses ambitions, du fait de l’intransigeance de l’UE, a plus de chances d’être vue comme une raison en faveur du maintien au sein de l’UE.
Tristement tout n’est pas mauvais dans les OGM, et l’échec de l’UE à se saisir de cette question a de plus vastes répercussions. Mais tant que les émotions et les préjugés motivent l’hostilité contre les OGM, je serai très réticent à exploiter cette question comme un moyen d’attiser l’hostilité vis-à-vis de l’UE.
Les OGM, semble-t-il, sont plus impopulaires que l’UE. Ceci dit, peut-être que si nous avions des commissaires européens génétiquement modifié, nous aurions un sujet gagnant.
Traduction Contrepoints.
Le titan de la biotechnologie Monsanto a fait des progrès signifiants dans le développement d’un blé génétiquement modifié pour résister à un herbicide, a annoncé l’entreprise récemment et pourrait avoir une première dans le domaine du blé dans les années à venir.
RépondreSupprimerLe blé génétiquement modifié n’est pas approuvé dans le monde, mais l’entreprise agricole multi-milliardaire de St Louis dans le Missouri est déterminée depuis des années à développer une première variété OGM de cette culture très importante dans le monde en terme de profit. Aujourd’hui,le patron du département technologique de Monsanto pense que l’entreprise est sur le bon chemin avec ses recherches.
Le processus de création de Monsanto pour le blé est un des 29 projets entrepris par le groupe agro-alimentaire, qui ont bien progressés récemment, a dit le représentant de l’entreprise dans une conférence la semaine dernière. Les tests ont fait passer le projet de “concept” au stade de développement précoce.
Le blé Monsanto, comme toutes les autres cultures développées par l’entreprise, serait résistant à son tueur de mauvaises herbes RoundUp et rejoindrait la lignée des autres produits Monsdanto “RoundUp Ready” déjà vendus par l’entreprise, incluant des maïs et des sojas GM.
“Du point de vue du marché, celui de l’industrie du grain et du blé en particulier, celui-ci est resté très intéressé et soutient des avancées bio-technologiques”, a dit Robb Fraley CTO de Monsanto durant une conversation téléphonique la semaine dernière, d’après le journaliste Eric Shroeder de Baking Business.
“Un agriculteur du blé est aussi généralement un agriculteur du maïs et du soja et il comprend les avantages de la technologie, l’industrie du blé a observé les bénéfices qu’ a apporté cette technologie au maïs et au soja, ainsi nous continuons notre progression”, a ajouté Schroeder.
D’après le top technicien de l’entreprise, le blé GM ne serait pas disponible avant plusieurs années.
“Nous sommes encore à plusieurs années du lancement du produit, mais il est bon de voir ces produits sur le bon chemin”, a ajouté Fraley.
De fait, Monsanto a passé la plus claire partie des quinze dernières années à rechercher sur le blé GM. L’entreprise a commencé des tests de terrain en 1998, mais a suspendu ses opérations en 2005 après avoir déterminé qu’une souche de “super-blé” n’était pas encore prête.
Comme RT l’a rapporté la semaine dernière, Monsanto a aussi récemment annoncé que les ventes de son soja RoundUp Ready ont augmenté de 16% durant le dernier quart de l’année 2013.
L’analyste Michael Cos de Piper Jaffray Cos a dit à Bloomberg News que le soja GM de Monsanto prouverait être le leader des ventes pour l’entreprise durant les deux prochaines années D’après l’évaluation de Fralay, Monsanto pourrait bien arriver au terminus de sa création de blé GM à cette date.
Si Monsanto demeure dans la ligne, l’entreprise devra gérer les interdictions sur le blé GM toujours existantes aux Etats-Unis et dans le monde. L’entreprise est devenue le centre d’un scandale de la biotechnologie l’an dernier quand des souches de blé génétiquement modifié réapparurent dans une ferme de l’Oregon après plus de dix ans de soi-disants arrêts des tests de Monsanto sur le blé GM. Après que ces rapports eurent circulé, un officiel du gouvernement japonais a placé un embargo sur tout le blé américain.
Bien d’autres pays en dehors des Etats-Unis ont banni les importation de produits et cultures OGM et la Chine a récemment refusé cinq cargaisons de maïs américain sur des suspicions que ce maïs aurait pu être contaminé par une variété de maïs transgénique.
RT – 15 janvier 2014
Il me semble que des connexions manquent dans cet intéressant résumé : Gates, Rockefeller, armes de destruction massive, génocide, chemtrails...
RépondreSupprimerPour prendre de la hauteur, si je puis dire, et nous décentrer utilement de notre principale préoccupation occidentale habituelle -manger sain, ne pas être pollués par Fukushima...-, je propose de revisiter ce documentaire sobre et classique :
http://www.dailymotion.com/video/x7hit9_consequences-de-l-agent-orange-en-v_news?start=2
Il concerne en réalité chacun de nous. Le génocide nazi peut en cacher un autre, de plus grande ampleur, la catastrophe de Fukushima peut en cacher une autre, de plus grande ampleur.
Et je reviens si je peux pour :
- les connexions historiques
- liste des "aliments"-poisons que nous avons parfaitement à chaque instant le pouvoir de boycotter pour ruiner les empoisonneurs, (comme les Espagnols ont enfin découvert récemment qu'ils pouvaient le faire lorsque Coca-Cola a décidé de fermer son usine à Madrid : "si Madrid de produit plus de Coca-Cola, Madrid n'en boira plus") : une simplicité biblique accessible à tous
- autres documentaires
Brigitte
Liste des pays sans OGM sur la planète Terre : à part la Russie, plus grand pays du monde (presque la superficie Chine + USA), qui est sans OGM, qui connaît les autres ?
RépondreSupprimerBrigitte
La Birmanie, je pense, qui a interdit toute entrée d'OGM dans le pays.
SupprimerLes russes ont eu cette intelligence de les interdire.
Erreur, c'est un tout petit pays, le Bhoutan. Je savais bien que j'avais traduit un article là-dessus :
Supprimerhttp://bistrobarblog.blogspot.fr/2013/02/le-bouthan-passe-bientot-au-100-bio.html