Histoire de Monsanto, "La société la plus maléfique au monde"
Waking Times, 20 juin 2014
Traduit par Hélios pour le BBB
Comme pour les vrais champions du mal, elles ne s'arrêteront pas avant...eh bien, qu'on les arrête ! Mais qu'est Monsanto et comment est-elle devenue si incroyablement maléfique ? Je pense que la meilleure manière de démarrer ce périple est de retourner vers les profonds et glauques égouts de son sinistre passé, alors munissez-vous d'un en-cas et de boissons sans OGM et allons-y.
1901 : La société est fondée par John Francis Queeny, membre des Chevaliers de Malte, avec derrière lui 30 ans d'expérience dans l'industrie pharmaceutique ; il épouse Olga Mendez Monsanto, dont le nom deviendra celui de la société, Monsanto Chemical Works. La société produit au début de la saccharine de synthèse, qui est vendue à Coca-Cola comme édulcorant artificiel.
Le gouvernement savait déjà que la saccharine était un poison et il lui fit un procès pour stopper sa fabrication mais le perdit en cour d'appel, ouvrant ainsi la Boîte de Pandore Monsanto qui commença à empoisonner le monde avec ce soda.
Olga Mendez Monsanto, qui donna son nom à la société et son mari John Francis Queeny |
Années 20 : Monsanto étend son activité aux produits chimiques industriels et aux médicaments, devenant le plus gros fabricant mondial d'aspirine, l'acide acétylsalicylique (toxique, bien sûr). C'est aussi l'époque où les choses commencent à se précipiter horriblement pour la planète avec l'introduction de leurs polychlorobiphéniles (les PCB).
"Les PCB étaient vus comme une merveille chimique par l'industrie, un liquide visqueux résistant aux fortes températures et à la dégradation et ayant des applications presque illimitées. Les PCB sont aujourd'hui considérés comme l'une des plus graves menaces chimiques pour la planète. Largement utilisés comme lubrifiants, fluides hydrauliques, huiles de coupe, revêtements imperméables et produits d'étanchéité, ce sont des carcinogènes potentiels et on les retrouve impliqués dans des maladies de la reproduction, de la croissance et du système immunitaire. Le centre mondial de fabrication des PCB était l'usine Monsanto aux abords de St Louis dans l'Illinois, qui possède le plus fort taux de morts fœtales et de naissances prématurées de l'état."
Bien que les PCB aient été finalement interdits après 50 ans de dégâts, ils existent toujours dans le sang et les cellules des animaux et de l'homme à travers le globe. Des documents présentés plus tard au tribunal ont montré que Monsanto était parfaitement conscient des effets meurtriers, mais l'a criminellement caché au public pour conserver le filon des PCB !
Années 40 : Ils démarrent la recherche d'uranium, qui servira pour la première bombe atomique du Projet Manhattan, qui sera larguée ensuite sur Hiroshima et Nagasaki, tuant des centaines de milliers de japonais, coréens et militaires américains et en empoisonnant des millions d'autres.
La société poursuit sans relâche ses folies meurtrières en créant des pesticides pour l'agriculture qui contiennent la mortelle dioxine, source d'empoisonnement de la nourriture et des réservoirs d'eau. Il fut découvert ensuite que Monsanto avait omis de dévoiler que la dioxine était utilisée dans un large éventail de leurs produits, ils auraient sinon été obligés de reconnaître qu'elle avait créé un enfer écologique sur Terre.
Années 50 : S'alignant de près avec la Compagnie Walt Disney, Monsanto crée plusieurs attractions au Disney's Tomorrowland ("le pays de demain"), qui exposent la gloire des produits chimiques et des plastiques. Leur "Maison du futur" est entièrement faite de plastique toxique non biodégradable comme ils l'avaient affirmé. Quoi ? Monsanto a menti ? J'en suis scandalisé !
"Après avoir attiré un total de 20 millions de visiteurs entre 1957 et 1967, Disney fit raser la maison, mais découvrit que ce ne serait pas sans mal. Selon le Monsanto Magazine, les boulets de démolition rebondissaient sur la fibre de verre et les matériaux en polyester armé. Chalumeaux, marteau-piqueurs, tronçonneuses et pelleteuses se montrèrent impuissants. On attacha finalement des élingues tractées pour décoller petit à petit des éléments de la maison qui seront évacués ensuite par camion."
Années 60 : Monsanto, avec son complice criminel, la société Dow Chemical, produit l'Agent Orange dont la dioxine est l'un des composants, qui sert à l'invasion américaine du Vietnam. Résultats ? Plus de 3 millions de personnes contaminées, mort d'un demi-million de civils vietnamiens, un demi-million de bébés vietnamiens qui naissent avec des malformations de naissance et des milliers de vétérans américains qui souffrent ou meurent encore aujourd'hui de ses effets !
Monsanto est de nouveau traîné en justice et des mémos internes révèlent qu'ils connaissaient les effets mortels de la dioxine de l'Agent Orange quand ils l'ont vendu au gouvernement. Bien que ce soit scandaleux, Monsanto est autorisé à présenter sa propre "recherche" qui concluait que la dioxine était inoffensive et ne présentait un quelconque risque de santé. Satisfait, le tribunal se rallie à Monsanto et classe l'affaire. Il apparaît plus tard que Monsanto a présenté des études mensongères et que la vraie recherche concluait que la dioxine tuait très efficacement.
Un autre mémo plus tardif publié dans un tribunal en 2002 admettait "que les preuves validant la persistance de ces composants et leur présence universelle en tant que résidus dans l'environnement sont incontestables...des pressions du public et juridiques pour les éliminer afin d'éviter une contamination mondiale sont inévitables. La question fait boule de neige. Où allons-nous à partir d'ici ? Les alternatives : mettre la clé sous la porte ; s'en débarrasser autant que possible et ne rien faire d'autre ; tenter de continuer l'activité ; avoir des produits alternatifs."
Monsanto devient partenaire de I.G. Farben, fabricant de l'aspirine Bayer et des produits chimiques d'Hitler qui ont exterminé des millions de gens durant la seconde guerre mondiale. Ensemble, les deux sociétés utilisent leurs compétences communes du génocide pour introduire un autre produit neurotoxique mortel, l'aspartame, dans l'alimentation. Quand des questions font surface concernant la toxicité de la saccharine, Monsanto exploite cette opportunité pour amener un autre de ses poisons mortels à un public peu méfiant.
Searle, pendant ce temps, désigne stratégiquement un initié haut placé de Washington, Donald Rumsfeld, qui servit comme secrétaire de la défense durant les présidences de Gerald Ford et George W. Bush, pour qu'il devienne PDG. Le but premier de la société est que Rumsfeld utilise son influence politique et sa vaste expérience des affaires pour mettre la FDA dans sa poche.
Quelques mois plus tard, Samuel Skinner reçoit "une offre qu'il ne peut refuser", se retire de l'enquête et démissionne de son poste d'avocat pour aller travailler comme juriste chez Searle. Cette tactique mafieuse retarde le procès assez longtemps pour que la prescription soit prononcée et que l'enquête soit abandonnée abruptement et commodément.
Années 80 : Au beau milieu des recherches incontestables révélant les effets toxiques de l'aspartame et alors que le Dr Jere Goyan, commissaire à la FDA, était sur le point de signer une pétition pour l'interdire légalement sur le marché, Donald Rumsfeld téléphone à Ronald Reagan le lendemain de son entrée en fonction pour obtenir une faveur. Reagan vire ce Goyan peu coopératif et nomme le Dr Arthur Hayes Hull directeur de la FDA, qui va faire rapidement pencher la balance en faveur de Searle et le NutraSweet est approuvé pour la consommation humaine dans les produits secs. La suite est tristement ironique, car Reagan, connu pour son goût des bonbons et sucreries souffrira ensuite d'Alzheimer durant son second mandat, l'un des nombreux et horribles effets de la consommation d'aspartame.
Le but réel de Searle était cependant de voir l'aspartame approuvé comme édulcorant des sodas car des études exhaustives révélaient qu'à des températures dépassant 30°C, il "se décompose en toxines nommées Diketopiperazines, alcool méthylique et formaldéhyde", devenant bien plus léthal que sous sa forme en poudre !
L'Association Nationale des Buveurs de Soda proteste violemment au départ, craignant de futures poursuites judiciaires des consommateurs malades chroniques ou tués en buvant le poison. Quand Searle peut démontrer que l'aspartame liquide, bien qu'incroyablement létal, entraîne une addiction beaucoup plus importante que la cocaïne, l'association est convaincue que les profits de la vente de sodas contenant de l'aspartame qui grimpent en flèche compenseraient toute responsabilité dans l'avenir. Avec ça, la cupidité est gagnante et les consommateurs de soda peu méfiants le paient de leur santé.
Coca-Cola est de nouveau le premier sur les rangs (vous vous souvenez de la saccharine?) et commence dès 1983 à empoisonner les buveurs de Coca Light avec l'aspartame. Comme prévu, les ventes s'envolent car les gens deviennent éperdument accro au doux poison en canette et tombent malades. Le reste de l'industrie des sodas, satisfaite de ce qu'elle voit emboîte rapidement le pas, oubliant fort à propos toute ses réticences du début pour l'aspartame comme produit chimique mortel. Il y a de l'argent à gagner, beaucoup d'argent et c'est tout ce qui compte vraiment pour eux de toutes façons !
En 1985, sans s'émouvoir outre mesure des relents de corruption et des multiples accusations de recherche frauduleuse réalisée par Searle, Monsanto achète la société et installe une nouvelle filiale pour l'aspartame qu'il nomme NutraSweet Company. Quand des multitudes de scientifiques et de chercheurs indépendants continuent d'avertir sur les effets toxiques de l'aspartame, Monsanto passe à l'offensive, soudoie l'Institut National du Cancer et fournit ses propres études personnelles frauduleuses pour que l'Institut confirme que le formaldéhyde ne provoque pas de cancer, de façon à garder l'aspartame sur le marché.
Les effets connus de l'ingestion d'aspartame sont : "manie, rage, violence, cécité, douleurs articulaires, fatigue, prise de poids, angine de poitrine, coma, insomnie, torpeur, dépression, acouphènes, faiblesse, spasmes, irritabilité, nausées, surdité, pertes de mémoire, éruptions cutanées, vertiges, maux de tête, AVC, anxiété, palpitations, évanouissement, crampes, diarrhée, panique, inflammation buccale. Les maladies déclenchées comprennent le diabète, la sclérose en plaques, le lupus, l'épilepsie, le Parkinson, les tumeurs, les fausses couches, la stérilité, la fibromyalgie, la mort du nourrisson, l'Alzheimer..." Source:FDA
De plus, 80 % des plaintes faites à la FDA sur les additifs concernent l'aspartame, qui se retrouve aujourd'hui dans plus de 5000 produits dont les sodas light et non-light et les boissons pour sportifs, les gommes à mâcher, les desserts glacés, les cookies, les gâteaux, les vitamines, les boissons lactées, les thés instantanés, les cafés, yogourts, aliments pour bébés et de très nombreux autres ! Lisez les étiquettes de près et n'achetez pas tout ce qui contient de cet horrible tueur !
À suivre...
Excellentissime ! Merci Hélios de ton travail. Enfin un article qui fait des connexions et je suppose que la machine de guerre qui est aux commandes de cette planète, le véritable gouvernement deviendra plus visible dans la suite.
RépondreSupprimerTant qu'il n'existe pas dans notre pays une "Association Nationale des Buveurs de Soda", il y a de l'espoir !
Quant aux "effets secondaires" de la consommation d'aspartame, ils sont à peu près ceux des autres "médicaments" en général.
Brigitte
merci mille fois ,attend la 2ème partie pour photocopier et faire lire a maximum de moittié
RépondreSupprimerréveillée
VOYEZ ceci, cela est extrêmement IMPORTANT !
RépondreSupprimerDRAMATIQUE. voir jusqu'à la fin !
https://www.youtube.com/watch?v=si_VATnmNME
Dany propose "Le monde selon Monsanto" diffusé sur ARTE. Merci.
SupprimerBonsoir,
RépondreSupprimerMerci a toustes,
Attention!
http://www.lemonde.fr/planete/article/2014/06/17/monsanto-investit-137-millions-d-euros-dans-deux-usines-en-france_4439904_3244.html
Grosses bises, Léa
Dommage que vous soyez tombé dans les ragots contre L'Allemagne et le 3 Reich sur l'empoisonnement de "millions de gens"
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