vendredi 18 juillet 2014

Le triangle des Bermudes : l'énigme du Vol 19


Un thème qui a fait couler beaucoup d'encre à une époque.


Le triangle du diable revisité

Les théories paranormales seront-elles ou non déboulonnées ?


Par Franck Joseph, Atlantis Rising, mars 2013
Traduction par Hélios pour le BBB.

[Note d'Hélios : toutes les photos proviennent d'internet]

Il semblerait que tout a été dit sur la disparition de bateaux et d'avions dans le dénommé "Triangle des Bermudes" et publié ou débattu à de multiples reprises depuis presque 70 ans. Pas suffisamment au goût de Jon F. Myhre, officier aviateur pendant 20 ans dans l'armée US. Myhre a commencé à voler à l'âge de 12 ans, est devenu pilote en solo trois ans plus tard et c'est aujourd'hui un pilote commercial et un instructeur de vol. Il fut aussi le premier enquêteur à s'intéresser au "Triangle des Bermudes" en se basant exclusivement sur sa propre expérience professionnelle et en se concentrant sur l'événement le plus tristement célèbre : la perte inexplicable des cinq appareils et des 27 hommes du "Vol 19" et de l'hydravion venu à leur rescousse.

Des "Avengers" identiques à ceux qui ont disparu en décembre 1945

Tout disparut dans la partie ouest de l'océan nord-atlantique qui forme un triangle entre Miami (Floride), San Juan (Porto Rico) et l'île des Bermudes. Le 5 décembre 1945 en début d'après-midi, cinq élèves-pilotes décollèrent vers cette zone de 1 million et demi de km² pour une mission d'entraînement de routine depuis la base aéro-navale de Fort Lauderdale en Floride. Chaque homme volait sur un Grumman TBM Avenger d'un poids en charge de plus de 8 tonnes, le monomoteur le plus lourd de la seconde guerre mondiale, connu pour sa robustesse et sa stabilité. Malgré un vent soufflant par rafales et des nuages noirs présageant des averses, les météorologues de la base de Lauderdale décrivaient ces conditions comme "favorables, état de la mer : agitée à forte".


Les élèves-pilotes n'étaient pas des novices, ils avaient 60 heures de vol sur l'Avenger et leur mission était de former des escadrilles opérationnelles après cet exercice final d'entraînement connu comme "problème de navigation numéro 1". Leur but était d'apprendre les principes de la navigation à l'estime, ils devaient voler plein est jusqu'aux hauts fonds de Hen and Chicken où ils lâcheraient des bombes à basse altitude (300 mètres). Le vol devait se poursuivre avec ce cap sur 120 km avant de virer à 346 degrés pendant 135 km, en survolant à cette occasion l'île de Grand Bahamas. Il fallait ensuite mettre le cap à 241 degrés et poursuivre sur 225 km, au bout desquels l'exercice se terminerait en faisant virer à gauche les Avengers pour rentrer à Fort Lauderdale.

En haut, Training 49 décrit le trajet de l'hydravion le 5 décembre 1945

Les pilotes étaient familiers de la région, ayant survolé l'Atlantique pendant plusieurs missions d'instruction précédentes et ils avaient pour moniteur le lieutenant Charles Carroll Taylor, qui avait à son actif environ 2500 heures de vol, sur des Avengers pour la plupart. Le début du vol 19 se déroula selon le plan prévu ; 45 minutes après le dernier largage de bombes, le suivi des transmissions radio indiqua que les deux compas à bord de l'avion de Taylor étaient devenus inopérants, ce dernier demanda donc au capitaine E.J. Powers, du corps des Marines, qui faisait partie de la mission d'entraînement, de lui donner le bon azimut.


"Je ne sais pas où nous sommes", répondit Powers. "Nous avons dû nous perdre après le dernier changement de cap". Aux environs de 18h20, le dernier message de Taylor fut entendu alors qu'il ordonnait, "Tous les avions en formation serrée. Nous allons devoir faire un amerrissage forcé. Dès que le réservoir du premier avion tombe en dessous de dix gallons [45 litres], nous descendrons tous ensemble". La transmission de Taylor déclencha une opération massive de sauvetage par air et par mer à laquelle participèrent des centaines de garde-côtes et personnels de la Navy avec une armada de vaisseaux et d'avions, et parmi eux deux Martin PBM Mariner. C'étaient d'immenses hydravions largueurs de bombes, chacun d'eux d'un poids en charge de 25 tonnes et d'une envergure de 36 mètres. L'un des PBM décolla à 19h27 depuis la base navale de Banana River (aujourd'hui Patrick Air Force), fut appelé pour un message radio de routine juste trois minutes plus tard, qui fut le dernier. Pendant cinq jours, selon Myhre, "plus de 300 avions, 30 bateaux, des milliers de personnel militaire et des centaines de volontaires civils ratissèrent presque 1 million de km² de l'Atlantique, des Caraïbes, du golfe du Mexique et de la péninsule de Floride."

Hydravion Martin PBM Mariner

Ils ne trouvèrent aucune trace des Avengers ou du Mariner et un rapport de 500 pages du bureau d'enquête de la Navy publié début 1946 déclara qu'on ne pouvait offrir aucune explication concluante sur ce qui était arrivé aux pilotes ou à leurs avions. Depuis cette date, les suppositions vont bon train avec différentes théories, comme un enlèvement par des extraterrestres, un cristal géant de l'Atlantide qui fonctionnerait toujours au fond de l'océan, et très récemment, des bulles de méthane sortant du plancher océanique de temps à autre et qui perturberaient la durabilité de l'air et de l'eau, faisant ainsi tomber les avions du ciel et couler les navires.

Le pilote Jon Myhre entendit parler pour la première fois de l'accident en 1982 lors d'une escale à Nassau dans les Bahamas et il eut la certitude que la disparition du Vol 19 pouvait être résolu par une enquête entièrement rationnelle sans la moindre considération paranormale. Mais la recherche ne fut pas aussi aisée qu'il le pensait au départ, et elle se poursuivit pendant le siècle suivant, culminant avec la publication l'année dernière [en 2012] de Révélations sur le Vol 19 : 30 ans à la recherche de la patrouille perdue dans le triangle des Bermudes. [photo ci-dessous]


"J'ai interviewé des centaines de gens", dit Myhre. "Beaucoup connaissaient les pilotes, avaient participé à la vaste recherche ou avaient une connaissance personnelle de l'accident. L'un d'eux était le dernier membre survivant du Bureau d'enquête de la Navy en 1945. J'ai aussi étudié la géographie de la zone où le Vol 19 avait opéré, les courants océaniques et la météo. Les données provenaient de rapports soumis le 5 décembre 1945 par des stations de la côte est de la Floride et des Bahamas."

Dans la préface, le colonel Edward L. Chase, retraité de l'US Air Force parle de l'approche faite par Myhre de ce mystère, "Il n'y a aucune magie dans sa technique d'investigation. Il n'utilise qu'une solide logique aéronautique – les caps, les distances, la chronologie, les vents pour établir un dossier exemplaire sur l'endroit où le Vol 19 a sombré."

Un examen approfondi des transcriptions radio, des bulletins météo, de la direction du vent et des coordonnées de vol convainquirent Myhre que la dernière mission d'entraînement était une combinaison fatale de mauvais temps et d'une erreur de pilotage. Pour confirmer sa conclusion, son livre est de loin la reconstitution la plus détaillée, étape par étape, du Vol 19 et des efforts de sauvetage en se basant sur des faits connus. L'utilisation de cartes aéronautiques, de cartes d'approche aux instruments et d'un calculateur de navigation "me convainquirent de pouvoir calculer en gros où le premier Avenger avait sombré dans l'océan Atlantique. Cette déduction s'est basée sur mon expérience de vol, l'interprétation des conversations radio transcrites et le fait que je sois un familier des Bahamas."

Ayant rassemblé tous ces facteurs, Myhre démarra des expéditions sous-marines et fut récompensé par la découverte de plusieurs bombardiers Avenger récupérés au fond de la mer. L'un d'eux fut retrouvé pendant la recherche de l'épave de la navette spatiale Challenger qui explosa en 1986. Malheureusement aucun des Avengers n'appartenait au Vol 19. Tous avaient été coulés par l'US Navy comme ayant des défauts ou avaient sombré pendant d'autres missions d'entraînement dans des circonstances beaucoup moins énigmatiques. En fait il y eut jusqu'à 95 élèves-pilotes de Fort Lauderdale qui furent tués pendant des accidents d'entraînement en Atlantique entre 1942 et 1945.

Myhre pense que deux Avengers du Vol 19 auraient quitté la formation et seraient aller s'écraser dans les marécages de Floride et au moins un Grumman TBM y fut découvert dans un coin perdu. Mais de nouveau, il s'avéra qu'il n'appartenait pas au Vol 19.

Ce qui aurait pu s'approcher le plus de la découverte de l'un des avions perdus le fut en août 1991, quand il découvrit un Avenger reposant sens dessus dessous dans les eaux au large de Cap Canaveral. L'épave gravement endommagée fut remontée à la surface. En faisant une inspection soigneuse des vestiges, il "trouva le vague contour de la lettre "M" s'étalant sur 35 cm de hauteur sur le flanc du fuselage, en dessous et légèrement vers l'arrière du compartiment d'évacuation d'urgence où se trouvait d'ailleurs toujours un radeau. Quand la tourelle se tordit pendant la remontée, elle effaça la lettre M en l'éraflant. Il fut donc impossible de voir s'il y avait un "T" avec le M, ce qui aurait fourni une preuve concluante que l'Avenger que nous avions découvert appartenait au Vol 19, l'identification de son escadrille étant "MT". Même s'il semblait improbable que cet épave d'avion fasse partie de la mission d'entraînement disparue, "l'épave fut vendue ensuite à la ferraille. La question qui brûlait les lèvres : l'Avenger récupéré provenait-il du Vol 19 ? En deux mots : probablement". Cela y ressemblait peut-être, mais ce fut un manque de chance.

La remontée d'un Avenger en 1991

À ce titre, Myhre échoue à présenter la promesse implicite du titre de son livre, "Découverte du Vol 19". Au tout début du livre, il déclare que "le principal objectif de ma quête était de dissiper ces notions ridicules", ou les tentatives non-conventionnelles s'efforçant de comprendre ce qui s'est passé le 5 décembre 1945. Personne n'aurait pu apporter une application plus rigoureuse de la science aéronautique à ce mystère ni le développer avec des détails aussi documentés. Dans toute cette indubitable expertise et investigation logique, l'énigme qui hante les historiens de l'aviation militaire depuis 60 ans continue de résister à toutes les explications traditionnelles.

Il y a parfois un clin d’œil relatif au paranormal même dans les pages entièrement traditionnelles du livre de Myhre : "Vingt-cinq minutes après l'heure programmé pour le début du briefing du Vol 19, le lieutenant Taylor arriva. Ses quatre élèves et les neuf membres d'équipage engagés attendaient l'arrivée de leur chef. Pour des raisons que personne ne saura jamais, Charles Taylor demanda à son ami, le lieutenant Howard Williams de diriger le vol d'entraînement. Williams a dit, "Il voulait que je m'occupe de son vol ce jour-là. Je pense que Taylor a eu une sorte de prémonition".

Myhre déclare que les deux compas du lieutenant Taylor sont devenus inopérants avant la disparition du Vol 19 mais il ne nous dit pas que le non-fonctionnement de l'un des deux compas était très inhabituel, alors qu'une panne simultanée de deux compas était virtuellement inconnue. De plus Taylor a passé un appel radio à l'un de ses élèves, le capitaine Powers, dont le propre compas semble être pareillement tombé en panne, ce qui suggérait que ceux installés dans les autres Avengers étaient aussi tombés en panne, parce que Taylor aurait pu se rabattre sur n'importe quel autre pour reprendre son cap. Car tous les compas magnétiques – dix en tout – qui tombent en rade au même moment était une impossibilité technique, à moins qu'ils aient été affectés par quelque cause extérieure que Myhre n'est pas disposé à prendre en compte.

L'auteur du livre posant à côté d'un Avenger

Il est certainement correct quand il souligne que le dénommé "Triangle des Bermudes" n'a pas eu la prétention à faire plus de victimes que toute autre région océanique. Pourtant il ne parle pas du point évident qui met l'accent sur cette zone particulière. Quand un navire ou un avion coule en mer, il laisse invariablement derrière lui une traînée de carburant et des débris en surface. Cinq Avengers qui seraient tombés ensemble, selon les derniers ordres envoyés par le lieutenant Taylor, auraient répandu ensemble 50 gallons (225 litres] de kérosène, car son intention était de garder les bombardiers en vol jusqu'à ce que l'un d'entre eux soit descendu en dessous de 10 gallons [45 litres]. Malgré l'état agité de la mer à ce moment-là, le carburant et les débris dispersés dans la zone auraient été aisément découverts avec le déploiement des 300 avions et des 30 navires partis à la rescousse.

La même chose pour l'hydravion Mariner qui a disparu. Le champ de débris qui aurait couvert la surface de la mer à la suite d'une explosion n'aurait pu être manqué. Le fait que ce Martin PBM et cinq autres avions aient disparu à la même heure approximative, dans sensiblement la même zone, mais pour des causes supposées différentes, est assez curieux, c'est le moins qu'on puisse dire. Par ailleurs, Myhre estime que le Mariner envoyé à la rescousse du Vol 19 a été détruit dans une explosion en plein ciel causée par des fuites d'émanations gazeuses et il cite une transmission du SS Gaines Mills [un tanker] qui a rapporté que des flammes montaient à 30 mètres en brûlant pendant 10 minutes à la position 28.59° N 80.25°W. Le capitaine Shonna Stanley n'a trouvé aucun survivant alors que son navire croisait une zone couverte de pétrole. Le porte-avions USS Solomons a également rapporté avoir perdu le contact radar avec l'hydravion à la même position et à la même heure. Mais ces observations ne font qu'approfondir le mystère, parce que le Mariner fut porté disparu presque deux heures avant que Stanley ou l'USS Solomons ne fassent leurs signalements.

En se concentrant exclusivement sur ce qui est arrivé au Vol 19, Myhre néglige de situer sa disparition dans le contexte des autres disparitions en rapport avec le triangle des Bermudes. Les lecteurs autrement peu au courant de cette région ne savent pas que d'autres avions et navires ont été pareillement portés disparus là-bas. La plus importante fut celle de l'USS Cyclops [navire ravitailleur charbonnier] de 19.670 tonneaux, qui s'évanouit quelque part après avoir quitté l'île de la Barbade le 4 mars 1918. Le lieutenant-commandant G.W. Worley avec 306 passagers et l'équipage disparurent sans laisser de traces dans la seule et la pire perte en vies humaines de l'histoire de l'US Navy. La quantité de débris et de carburant recouvrant la mer sur le lieu du naufrage d'un tel navire de 165 mètres de long aurait dû être prodigieuse. Pourtant, pas le moindre morceau de débris ni aucune goutte de fuel n'ont été retrouvés.

USS Cyclops

Trois ans plus tard, le Carroll A. Deering, une goélette à cinq mâts, fut retrouvée échouée et abandonnée à Diamond Shoals, près du Cap Hatteraas en Caroline du nord. Le catalogue, déjà copieux, de bateaux perdus ou désertés de la même façon dans le triangle des Bermudes s'épaissit toujours.

Les 5 bombardiers du Vol 19 n'ont pas été les seuls avions engloutis sans rien laisser derrière eux. Le 30 janvier 1948, le Star Tiger, un Avro Tudor IV, avion de ligne appartenant à la compagnie British South American Airways (BSAA), disparut au-dessus de l'Atlantique pendant un vol entre Santa Maria dans les Açores et les Bermudes. Comme pour la mission de sauvetage lancée trois ans plus tôt pour le Vol 19, une recherche de 5 jours impliqua 26 avions volant 882 heures restant en liaison radio avec de nombreux bateaux, mais on ne trouva aucun signe du Star Tiger ni de ses 29 passagers et membres d'équipage.

Tudor IV

L'année suivante, un autre Avro Tudor Mark IVB de la BSAA s'évanouit pendant un vol entre les Bermudes et Kingston en Jamaïque avec 13 passagers et 7 membres d'équipage, de nouveau sans aucune trace. Cette disparition avait été précédée par celle d'un Douglas DC-3 transportant 32 personnes pendant un vol entre San Juan, à Puerto Rico et Miami. Il est à remarquer qu'aucun de ses supposés "accidents" n'a laissé de preuve matérielle.

Le pourquoi de ces disparitions qui n'en finissent pas est une question dépassant le cadre du livre de Jon Myhre ou celui de cet article. Mais que le triangle des Bermudes représente un phénomène particulier au pouvoir réel semble ne faire aucun doute.

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Pour la liste des bâtiments portés disparus dans la région du triangle des Bermudes entre 1800 et 2005, voir ICI.

6 commentaires:

  1. Ils ont été télé transporté sur Jupiter.

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  2. Oui, avec une sauce marron aux châtaignes du siècle dernier.
    Prochain article, le triangle du diable au sud du Japon....
    Non, finalement plutôt un épisode (inédit) de Derrick,
    avec la célèbre cascade de la cendre de cigarette sur la nappe.(non doublé !)

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  3. Bigre, ils étaient fortiches en ce temps là ;-)
    La remontée d'un Avenger en 1191

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    1. Lol, une belle coquille... C'est corrigé. Au moins, tu as lu l'article, merci Dany.

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  4. OK,;-) à mon humble réalisme plausible contemporain, ces triangles, répartis assez semblablement sur la mappemonde/LeyLanesGrid, sont conjoints d'anciennes pyramides englouties, ensevelies datant d'anciennes civilisations. Entre 15 000 et des millions d'années....
    Tout comme Richard Hoagland, j'admets la réalité d'une physique dite "quadrimensionnelle" qui attribue aux formes des effets énergétiques.
    Dans notre univers électrique, le soleil nous retransmets (et réciproquement d'ailleurs, comme toutes les planètes d'un système donné) des informations electro-magnétiques qui ont des effets sur l' E-M terrestre (et sur le notre propre individuel, voir communautaire/égrégoric champêtre:-). Du coup la terre bouge, son coeur enfle ou pas, et les tornades électro-magnétiques résultants des équilibrages entrainent des effets climatico-météos dramatiques et nouveaux, à notre mémoire.
    Résumé SOTT - Juin 2014 - Météorologies extrêmes et bouleversements planétaires
    http://www.youtube.com/watch?v=CkMVbiN_PRE
    "Il$ pourraient calmer tout ça en usant de manière empathique et non eugéniste de "leur$" instruments de géo-ingénierie. Le but est une drastique réduction de population, donc...
    Et autour des triangles-trou noirs si troublant s'opère le grand mystère de la vie : Y est, Y est plus ! J'le vois, j'le vois plus. Enfin c'est ce qu'on peut interpréter tant qu'on ne voit pas TOUTES les fréquences signant tous les mouvements-échanges d'énergies, heu ...alentour et partout aussi !
    On peut polémiquer sur les causes de cette évidente transformation des informations électriques de notre système solaire. Car comme le rapport Dmitri le constate, TOUT le système solaire est en bouleversements, parfois bien supérieurs à notre entendement.
    On aurait tendance à oublier Nibiru sous un épais coussins de poussière mentale avec un arrière gout d'escroquerie-à-gogos. Ou le doute d'un false-flag répétitif de cataclysmes prophétiques dont le but reste le même que précité....
    Perso, je rajoute l'emprise archontique même sur les reptos qui manipulent les marionnettistes de nos criminels personnels politiques et autres "happy few".
    Certains reportages plus EXOPOLITIQUE, d'origines rarement francophone (ben, chez nous y-a pas d'crise, alors pfff !) affirment bien la sous-jacence d'entités sombres dans des milieux influents, finances, médias, religions, politiques ( etc, etc)
    31 ALCYON PLÉIADES - INFORMATIONS 2014: Apparitions d'OVNI, Conspirations, phénomènes Etranges...
    https://www.youtube.com/watch?v=JOQXzZuZko4&list=UU2JD4uOltGoWsh0x5Md0aTw
    Je suppose que si l'épidémie d'ébola avait été subjuguée, par un quelconque charme (MMS ?), ça se saurait. Pareil à Fukuchima, au WIPP, et un peu partout d'autres pertes de territoires viables, de ressources renouvelables, et personne ne parle ni de KESHE, ni d'Autres dont la liste, après avoir réjoui le moral d'éclair de ciel bleu, BLEU, fini par déprimer du fait de sa virtualité dans cette guerre contre la vie.
    Snif, Sobs, glou-glou, hips, Bom ! (Paf !)
    Tiennez bon, j'arrive ! (bientôt, heu..., là tout de suite j'ai une petite urgence, mais après, sans faute, j'y penserai; ((en pleurant)))
    ;-Q


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  5. LE TRIANGLE DES BERMUDES CACHE T IL UN VORTEX DE TYPE 1, 2, 3 OU 4.
    Nous avons vu qu’il existe 4 types de Vortex dans l’Univers Généralisé. Pour rappel les Vortex de type :
    - 1 permettent de voyager dans l’Espace d’un Univers Multiple vers un autre,
    - 2 permettent de voyager dans l’Espace d’un Univers Parallèle vers un autre,
    - 3 permettent de voyager dans l’Espace en reliant 2 points appartenant au même Univers Multiple ou appartenant au même Univers Parallèle,
    - 4 permettent de relier 2 points appartenant à l’Univers Généralisé en voyageant dans l’Espace et dans le Temps (Porte Spatio-Temporelle, Trou noir, Trou de Ver, Trou Blanc).
    Par définition l’UNIVERS GENERALISE est la réunion des Univers Multiples, des Univers Parallèles et du Temps T. La dimension de l’UNIVERS GENERALISE est 5.
    Emplacement géographique du Triangle des Bermudes :
    La zone géographique que représente le Triangle des Bermudes est très fluctuante selon les récits rapportés et les considérations des écrivains qui ont décrit les mystères liés à cette zone géographique. Selon les auteurs, la zone varie de 500 000 à 1,5 million de kilomètres carrés, ce qui influe sur le nombre des disparitions qu'on y reporte. C'est en février 1964 que Vincent Gaddis dans un article nommé « The Deadly Bermuda Triangle », définit dans le pulp magazine Argosy, la zone géographique que recouvre le Triangle des Bermudes. Cette zone se situe à l'intérieur d'un triangle formé par l'archipel des Bermudes, Miami et San Juan à Porto Rico. Néanmoins, cette zone géographique n'est pas reconnue par l'United States Board on Geographic Names.
    Nombreuses sont les disparitions de Navires et d’Astronefs durant ces derniers siècles, le mystère reste total. Je présume qu’il existe une Porte Spatio-Temporelle dans cette zone géographique qui à l’instar d’un Trou Noir aspire tout ce qui est matériel et métallique, les Navires et les Astronefs sont projetés dans le Temps (passé ou futur) dans l’UNIVERS GENERALISE. Suite dans une prochaine rubrique LE TRIANGLE DES BERMUDES CACHE T IL UN VORTEX DE TYPE 1, 2, 3 OU 4.
    Alain Mocchetti
    Ingénieur en Construction Mécanique et en Automatismes
    Diplômé Bac + 5 Universitaire (1985)
    UFR Sciences de Metz
    alainmocchetti@sfr.fr
    alainmocchetti@gmail.com
    @AlainMocchetti


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