Les victimes des harceleurs de l’époque étaient je crois plus souvent des hommes hétéros blancs que des femmes ou des minorités: c’est mon souvenir, celui de @narvic entre autres, et ce que l’on peut probablement voir en regardant les témoignages accumulés sur twitter...
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Possible et largement compatible. J’imagine aussi que c’était devenu leur propre lecture de l’histoire: « on était un peu macho mais on a changé depuis ». S’ils avaient été plus malin, ils auraient tout fait pour éviter cet angle, qui ne pouvait que les broyer.
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Surtout, reconnaitre la mécanique dans sa nudité, par exemple un: « on tape sur les gens pour se faire de la place, et puisque ça fait plaisir, on ne retient pas toujours nos coups »... Tout celà demande beaucoup de recul et de lucidité. Pas sûr qu’ils en soient tous capables.
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Oui à vous lire, les anciens, on tire surtout l'impression d'un arrivisme forcené et sans pitié aucune auquel s'ajoute un rire commun (utile par ailleurs dans ce cadre d'ambitions) utilisant toutes les ficelles les plus détestables des oppressions sociétales.
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Cet arrivisme était pour certains d’entre eux teinté d’une vraie passion pour le sujet, le média, ses pratiques émergentes. Dont ils ont été parmi les meilleurs analystes. Transformant ce savoir en avantage social.
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Ça je suis assez vieux pour le savoir ;-) c'est d'ailleurs à mon sens une des raisons pour lesquelles il ne leur est rien passé, rien pardonné : ils n'avaient pas le droit de ne pas savoir la portée (et la dégueulasserie) de leurs actes.
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Mais j'étais loin de me douter que leur expertise n'était pas la seule à contribuer à cet avantage social (qui serait alors légitime), car elle se doublait aussi de la formation d'un réseau (délibérément excluant) fondé sur tout ce que l'humain a de plus malsain sur les RS.
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