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Quand, dans son septième focus ARTivision, affirme que les déclarations hors normes, du grand militaire américain, Richard Evelyn BYRD, doivent êtres lues, avec une attention très soutenue.

       Mais ce 20 Septembre 2018, après une nouvelle et furtive incursion dans l'affaire des Apollos, à la page
http://www.artivision.fr/Legendes-lues-avec-respect.html, revenons à notre cursus culturel, ayant trait aux incroyables légendes de notre planète. et ceci va faire l'objet de notre Septième focus, que nous avons placé, dans cette page à part, pour ne pas trop alourdir notre premier dossier...

       Rappelez-vous que plus haut, nous avions posé la question suivante (qui est restée évidemment, jusqu'à présent, sans réponse) :

       " Pourquoi donc ces grecs situaient leur "Paradis ", justement au Pôle Nord, qui est pour nos savants actuels, situé dans une zone extrêmement froide et désertique ?" .

       Il semblerait que la réponse nous est venue, dès 1926, de certain militaire américain nommé l' Amiral Richard Evelyn BYRD, Grand Chancelier de l'Ordre de la Fayette et de la Croix du Mérite, secrétaire perpétuel de l'Académie Fédérale de la Marine et des Sciences.

       Cet Amiral est né le 25 Octobre 1888 à Winchester, Virginie et il est décédé le 11 Mars 1957 (à 68 ans) à Boston, a fait des déclarations inouies concernant les zones polaires, qu'il a explorées à diverses reprises, et déclarations que les bien-pensants actuels ont vite traitées légendes et d'hallucinations freudiennes. Nous allons ici, démontrer, noir sur blanc , qu'il n'est est rien.....

        Commençons si vous le voulez bien par cette incontournable ancienne interview de l'Amiral Byrd par la Chaîne NBC le 24 Juin 1955. (Nous avions 16 ans à l'époque) :


        Pour gagner un temps fou, voici ce que nous écrivions dès le dès le 01/08/2014, au paragraphe IV de notre super article :

http://www.artivision.fr/EpopeeduTuscaloosaNews.html

      Début de citation. (Nous n'avons pas vérifié si les Urls cités, fonctionnent toujours et disons aussi que notre amie Nicole, n'est plus de ce monde et nous lui dédions cet article en entier) .

IV Quand Byrd s'exprime vocalement dans une interview télévisée.


     C'est effectivement le 27 Juillet 2014, que nous avons reçu de notre ami canadien André, la missive suivante :

----- Original Message -----
From: André J.......
To: Fred Idylle
Sent: Sunday, July 27, 2014 7:35 PM
Subject: Admiral Byrd
     Rare interview télé avec ton copain Byrd et espérons que ça pourra être traduit très bientôt.

http://ufosightingshotspot.blogspot.ca/2014/07/rare-tv-interview-with-admiral-richard.html

    Fin de citation .

     Pour ceux qui veulent en savoir plus, prière de consulter aussi les sites :

http://www.youtube.com/watch?v=tzWHqooAJtM#t=26

http://beforeitsnews.com/alternative/2014/07/admiral-byrd-there-is-never-before-seen-land-at-bottom-of-the-world-3000952.html

     Et voici quelques images de ce film remarquable :

    

     N'étant pas du tout familiarisé avec l'américain parlé, nous avons demandé à notre très aimable amie Nicole, de nous en dire un peu plus sur cette interview de Byrd, tout à fait rare et sans doute exceptionnelle.

     Et voici sa réponse :

----- Original Message -----
From: Nicole
To: fred IDYLLE
Sent: Monday, July 28, 2014 11:48 AM
Subject: Interview Byrd

         Bonjour cher Fred,
       Même quand on parle et comprend couramment l'anglais, il est très difficile de suivre la video car Byrd n'articule pas bien, sa tête est tournée donc le micro n'est pas bien orienté - ils auraient au moins pu le cadrer un peu mieux - et avale la moitié des mots. Je trouve qu'il a l'air bien fatigué. J'ai bien réécouté la vidéo et effectivement au début, il dit:

"That there is a secret land mass the size of the United States that has NEVER been seen by any human being beyond the South Pole ."

       Vous avez parfaitement compris le début du texte et à part cette phrase d'introduction il n'en dit guère plus, car il enchaine avec des considérations parlant des progrès matériels permettant des explorations plus faciles, grâce à des technologies de pointe et des avions plus puissants etc. Il dit d'autre part qu'il organise en effet une expédition pour établir des bases au Pôle Sud (Little America), et ils reviendront en Avril. Je pense que l'interview doit dater de l'Operation Deep Freeze en 1955-56. En effet, les préparations pour l'Année Géophysique 57-58, ont commencé à partir de Novembre 1955 pour se terminer en Avril 1956....

       ...Cette interview doit venir d'archives d'époque où les Etats n'avaient pas encore complètement essayé d'étouffer l'affaire, ou alors ils ont laissé échapper des documents involontairement (ou pas). Comme on dit: Nobody is perfect, on ne peut pas toujours tout voir, certains détails finissent pas faire surface. Comptons là-dessus.

       On peut quand même remarquer, qu'il ne semble pas en très bonne santé puisqu'il disparaît en 1957. La technique d'interview aussi semble pointer vers ces années-là. Ensuite il enchaine sur le fait que ce continent inaccessible, est un reservoir gigantesque de ressources minières en particulier charbon, uranium et autres minéraux qui suffiraient à approvisionner le monde moderne pendant très longtemps. Il parle aussi de la ruée mondiale vers le Pole Nord , qui est plus accessible sans autre commentaire, mais ne manque pas de faire remarquer que le Pole Nord (surface liquide) n'a pas le meme intérêt que le Pôle Sud qui est un continent.

       A mon avis il n'a pas voulu s'étendre sur sa vraie mission, probablement par prudence de toute évidence. Mais ses paroles sont bien là et ne prêtent pas à contestation. Donc apparemment il veut donner l'impression que ses expéditions n'ont pour seul but que la recherche de matières premières !!. On ne peut certainement pas lui reprocher sa prudence sachant à quoi il s'expose. Mais un fait est certain: cette vidéo apparaît un peu partout, de + en + de gens cherchent la vérité bien cachée mais un jour ou l'autre, elle sera officiellement dévoilée. Beaucoup de monde s'intéresse à la Terre Creuse , et un jour ou l'autre quelqu'un finira par apporter une preuve indubitable. Actuellement les populations mondiales sont sous pression médiatique pour des tas d'évènements montés en épingle sciemment pour occuper le terrain. Ce sont des manœuvre bassement politiques pour noyer le poisson. Si jamais on arrive à démontrer par a+b que la Terre est creuse, vous rendez-vous compte de la révolution qui s'attachera aux dogmes bien établis, car tout le monde va se demander... comment il peut y avoir un noyau solide dans une sphère creuse ? C'est bien là que le bât blesse, toute révélation contestant l'orthodoxie, révolutionnerait le savoir mondial et toutes les données pseudo-scientifiques qu'on nous a inculquées depuis notre enfance, et c'est pourquoi ils sont prêts à tout et freinent des 4 fers, pour empêcher cette révélation qui sonnerait le glas de leurs carrières et de leur crédibilité, donc une affaire de gros sous, car dans ce cas, ils ne pourraient jamais plus exercer.

       Peut-être que votre correspondant pourra vous donner plus de détails. J'apprécie beaucoup la suite de votre article en cours.

       Amicalement


       Fin de citation.


      Remercions donc d'abord ici, mille fois, notre amie Nicole, pour cette magistrale explication, qui s'applique admirablement à un document filmé d'une grande rareté, tout à fait incomparable, et où à l'époque, Byrd , osait encore avouer, l'existence d'une Terre inconnue en plein Pôle Sud :

"That there is a secret land mass the size of the United States that has NEVER been seen by any human being beyond the South Pole .",
, que nous pourrions traduire modestement par :

      "C'est qu'il y a une terre secrète, au-delà du Pôle sud, de l'étendue des USA, qui n'a jamais été observée par un humain quelconque" .

      C'est donc clair, net, et sans bavure...
et, le site ARTivision, s'est efforcé de démontrer cela, dès Septembre 2000. A bon entendeur Salut...

      Fin de citation.

       Mais, pour les éventuels mécréants et autres détracteurs zélés du moment, voici donc en plus, l'incontournable et stupéfiant article de l'amiral Byrd publié dans le Selection du Reader's Digest de Janvier 1956, revue sortie pour les USA à Pleasant ville N.Y et publié aussi pour le Canada, la Grande Bretagne, et l'Australie...etc..., et fascicule que nous avons eu la très grande chance, de trouver ici-même, en Guadeloupe, par le plus grand des hasards. Hum...Hum, la réalité est parfois très trompeuse, on le sait...

     Faisons déjà ici, une petite adéquate digression : En premier lieu disons qu'en effet, certains internautes qui s'affirment bien-pensants, ( ayant vécu, sans doute, comme nous, les événements de Mai 68, en France ), diront d'emblée : "Oh là ...cette revue bourgeoise m'indiffère grandement". Le site ARTivision, a déjà déploré sévèrement, ce comportement dans certains de ses articles et en particulier dans NostraMystere.html, et nous précisons, une fois encore ici, que notre site, ne se préoccupe nullement du prétendu caractère sérieux ou pas, d'une revue, car somme toute, cela est très relatif dans le temps et l'espace, et ce qui est sérieux aujourd'hui, peut paraître totalement insignifiant plus tard. Point barre..., et fin de la digression.

     Il y a en effet, pas mal d'années, en cherchant dans nos dossiers tout autre chose, nous sommes tombés, avec un vrai ahurissement, sur cette revue en français, dont voici aussi, pour les puristes, (qui pourraient avoir la chance inouïe, de la trouver dans un vide-grenier ou une brocante ), la photo de la couverture :

  

      Et voici, une image de la première page de l'article incroyable en question :


     Précisons aussi que, cette revue est arrivée dans notre bibliothèque, tout simplement après le décès d'une parente qui habitait à 100 m de chez nous.

     Et, dans cet article, il y a un passage hors-norme, de l'Amiral Byrd, qui s'exprimait avec des sous-entendus notoires.


      Reprenons alors volontairement cet incroyable texte :


      "
Pour la première fois, nous possédions une image assez nette de la configuration du continent austral, mais il subsistait au-delà du pôle , une région aussi vaste que les États-Unis, entièrement inconnue, et dont il n'existait aucune carte...".

      Bien sûr, Byrd ne parle pas ici de la découverte d'une quelconque végétation, mais vous avez bien noté le terme "au-delà", et non "autour" du pôle, ou "après le pôle", ou encore "derrière le pôle". L'expression "au-delà du Pôle", nous l'avons souvent dit dans nos articles, nous fait plutôt penser à une contrée bien à part, et qui n'a pas, le mêmes particularités, que celles que l'on trouve autour du Pôle.

       Mais, comment peut-il exister, "au-delà du Pôle", une immense région, surtout "inconnue", alors que chacun s'attend à n'y trouver, à perte de vue, que des étendues glacées et neigeuses très caractérisées ?

      De plus, nous le savons bien, Byrd, était un militaire de haut rang, et donc il était évidemment astreint, à une stricte obligation de réserve dans les mots qu'il prononçait à tout un chacun.

     Bravo donc, à cette revue "Sélection du Reader's Digest", de nous avoir dès début de 1956, mis aussi en alerte sur des événements surprenants, arrivés sur le continent Antarctique...

     A vous de juger, tout cela... documents à l'appui.

    Rappelons aussi, (et nous l'avons déja exposé amplement dans d'autres articles), que dès 1929, donc pratiquement 27 ans avant 1956, Byrd avait survolé le Pôle Sud, et avait alors, participé à une incroyable émission de radio (disparue de la circulation), dont l'extraordinaire reportage, fut présenté aux pages 164 et 165 par l'écrivain célèbre Charles Berlitz. dans son ouvrage "Sans Trace" publié chez Flammarion en 1978

  

      Mais voyons donc ce récit incroyable:

      " Une curieuse légende s'est instaurée à la suite du survol du pôle sud par l'amiral Richard E. Byrd en 1929 . Elle a trait à un rapport radio qu'aurait lancé l'amiral Richard E. Byrd depuis son avion - rapport tellement incroyable qu'on préféra le taire officiellement - sur l'observation à laquelle il se serait livré dans les parages du pôle. Au cours de son vol, qui simultanément faisait l'objet d'un reportage radio, il émergea soudain d'un banc de brume et se retrouva en train de survoler une terre sans glace où il fut à même de distinguer de la végétation, des lacs, des animaux ressemblant à des mammouths ou à d'énormes buffles ainsi que des humains qui semblaient les garder. D'après certains chercheurs, spécialisés dans les domaines de la zoologie et de l'exploration. qui s'efforcèrent d'élucider ce rapport, la transmission fut interrompue et les parties de ce reportage qui avaient trait à ce phénomène insolite furent par la suite supprimées. Cependant, la croyance populaire en ce curieux rapport se trouva ultérieurement renforcée par les phrases bizarres de l'amiral Byrd quant à "cette terre au-delà du pôle... centre du grand inconnu... ", et une remarque encore plus étrange, proférée en 1957, ayant trait à ce "continent enchanté dans le ciel, terre d'éternel mystère"...

      Le fait que bien des gens semblent se rappeler, ou croient se rappeler, l'émission tronquée apporte un mystère au cœur du mystère, non seulement sur la question de savoir ce que l'amiral Byrd a vu ou était censé avoir vu, mais aussi sur ce qu'il est advenu de son rapport initial ainsi que de la brochurc écrite par lui, comprenant moins de cent pages. dans laquelle il narrait son aventure et qui disparut des bibliothèques et des collections en dépit du fait que, comme dans le cas de l'émission, nombre de personnes prétendent avoir eu connaissance de cet opuscule.

      La recherche de témoins auditeurs concernant cette émission controversée et presque légendaire est évidemment très difficile puisque tant de gens se la rappellent mais que si peu en ont un souvenir précis. A l'occasion de cette enquête, nous avons été particulièrement heureux d'enregistrer le témoignage d' Emily Ingram de Miami, journaliste judiciaire dont la profession a exercé la mémoire, a qui lui permet de se montrer très précise en évoquant les événements passés. Emily Ingram est une femme vive, à la nature enjouée, douée du sens de l'humour, qui poursuit avec brio sa carrière de journaliste. Le souvenir qu'elle garde du reportage de Byrd lors de son survol du pôle sud remonte à 1929, mais elle ne se rappelle pas moins l'incident de façon fort détaillée :

     "Nous habitions Boston à cette époque et mon père avait récemment acheté, un nouveau poste de T.S.F, qui comportait un haut-parleur en plus du casque d'écoute. L'amplificateur était encastré dans le mur et tout l'appareillage nécessitait une grande antenne. Je m'en souviens très bien parce que mon père tomba du toit en l'installant, mais il n'en réunit pas moins à faire fonctionner le poste.

     Ma mère s'intéressait particulièrement au reportage de l'amiral Byrd. On avait annoncé qu'il devait suivre le 70e parallèle jusqu'au-dessus du pôle et qu'il émettrait pendant le vol. Une fois le poste branché sur la station (un relais dc Boston) le haut-parleur commença à nous distiller l'émission. Il y eut beaucoup de parasites, puis la voix de l'amiral Byrd nous parvint. Au début, ce fut un récit classique, décrivant le survol des champs de neige et de glace. Puis, les parasites revinrent; ils s'intensifièrent et cessèrent subitement. Tout devint plus calme et la voix de Byrd nous parvint très nettement. Tout à coup, il dit :

     " Regardez! Vous voyez? 11 y a de l'herbe, là en bas.- une herbe drue... comme elle est verte!... il y a des fleurs partout... elles sont superbes... et regardez ces animaux... on dirait des élans... l'herbe leur arrive au ventre... et regardez!... il y a aussi des gens. Ils paraissent surpris de voir un avion." .

     Je me souviens qu'à ce moment, ma mère a lancé une boutade : « Je parie qu'ils ont aussi de longues oreilles! » Puis il y eut beaucoup de bruit et de parasites, et ce fut tout ce qu'on entendit jamais du programme. Impossible de le retrouver sur les ondes où de la musique succédait à la voix de l'amiral Byrd sans qu'on n'ait fait la moindre annonce.
     Jamais on ne nous expliqua ce qui s'était passé. Plusieurs de nos voisins avaient aussi écouté l'émission, mais ils n'en savaient pas plus que nous. On avait coupé la parole à l'amiral Byrd au beau milieu de son reportage. Je souhaitais vivement apprendre ce qui était arrivé et j'écrivis à la famille Byrd, en Virginie - vous savez, le sénateur - mais je ne reçus jamais de réponse
."

     Cette évocation d'une étrange émission, remontant à près de cinquante ans, souligne à quel point ce rapport radiodiffusé parut incroyable (ainsi qu'en atteste la réaction initiale de la mère d'Emily Ingram); il est donc possible que la station de Boston, sur un ordre officiel quelconque, ait préféré interrompre le reportage qui paraissait dénué de sens, en partie peut-être pour sauvegarder la réputation de l'amiral Byrd, et peut-être aussi parce que l'information était si insolite que la censure, ou tout au moins une diffusion différée, semblait s'imposer.
"

     Fin de citation.

      Que dire de plus, sinon qu'il est préférable de lire plus avant, le reste de tout cela dans l'ouvrage en question de Berlitz, qui a quitté ce monde le 18 Décembre 2003 à Tamarac, en Floride. Que Paix, et Lumière accompagnent (celui qui de son vivant fut un infatigable chercheur), dans la Haute Dimension, où il évolue en ce moment, et que sa joie, rejaillisse tant soit peu sur les terriens qui sont épris de la découverte d'une connaissance transcendante, pour que l'on puisse enfin, mieux vivre sur cette planète.

        Mais, le bien-pensant et un peu philosophe, pourrait encore parler ici d'hallucination individuelle notoire freudienne, si le site ARTivision n'avait pas, en exclusivité mondiale, trouvé le 06/06/2013, un article d'un journal américain qui prouve, que la même aventure, était arrivée à l'explorateur Byrd, dès 1926, en premier lieu au Pôle Nord de notre planète.

        Voyez donc, la copie du "Miami Daily News", en date du 25 Juin 1926, et placé pour les puristes à l'url (qui a brutalement disparu du Web), suivant :

https://news.google.ca/newspapers?nid=71XFh8zZwT8C&dat=19260625&printsec=frontpage&hl=fr

, et article, (restructuré en d'autres colonnes par nos soins) :


Remarque importante : Nous n'avons trouvé hélas que cet article, à l'url, que nous nommons GoogleOldNews, placée à : https://news.google.ca/newspapers?, et qui pssède pourtant le nom de centaines de journaux. Il est donc de la plus grande importance que l'on mette la main, au moins sur, un deuxiéme journal de l'époque, présentant les mêmes phrases en rouge, vues plus haut. Avis aux chercheurs curieux, qui seraient abonnés, à la Bibliothèque du Congrès Américain.

    On pourrait alors déjà traduire le titre grosso modo, par :

"Ovation rendue à Byrd par la foule, à son retour au bercail "

     Avant de sortir nos dictionnaires et de demander à certains traduteurs automatiques du Web, de nous aider à mettre en français, au moins les deux premières colonnes, de l'image précédente, jetons, pour bien situer le contexte de l'époque, et pour les internautes qui n'ont pas beaucoup d'affinités avec la langue anglaise, voici donc en français, deux articles, que nous avons pu découvrir au sujet de Byrd :

     D'abord à l'url :

https://news.google.ca/newspapers?nid=qStMeLs7OP8C&dat=19260510&printsec=frontpage&hl=fr


      On note alors d'abord que cette information vient de l'Agence "International News Service"(INS) qui n'est pas la même que l'agence du texte anglais l'Associated Press

     Puis voyons aussi l'url suivant :

https://news.google.ca/newspapers?nid=qStMeLs7OP8C&dat=19260624&printsec=frontpage&hl=fr

qui, avec une restructuration des colonnes par ARTivision donne :


     Concernant ce texte en français, il ne vient pas, comme on pourrait le croire du Canada. En effet c'est le 22/07/2013, que nous sommes tombés sur ce texte en Français (chose très rare) venant du contexte de http://news.google.ca/newspapers? et imprimé à l'epoque dans la ville Woonsocket des USA. il faut savoir alors que Woonsocket, est une ville industrielle de l'Etat du Rhode Island, qui comptait, il y a trente ans (en 1932) 40 000 Français sur 50 000 habitants, en majorité des émigrés canadiens. Ils définissaient leur ville comme "La ville la plus française aux États-Unis". Ce journal fut édité de 1900 à 1934, et fut suivi de 1935 à 1942 par "l'Indépendant", également en français.

    Après ce survol du contexte de l'époque, revenons à Byrd qui a alors exprimé cette incroyable déclaration, que nous avons soulignée en rouge plus haut dans l'article du "Miami Daily News" du 25 Juin 1926, et qui est telle que :


     Soit donc :

     " There is land in a vicinity of the Nord Pole " , in the belief of Commander Byrd

     " There might be land in there somewhere, and I think there is" . Byrd said after telling that his search of the icy span below the machine failed to reveal any sign of life.

     Pour bien cibler, le problème qui se pose, demandons d'abord au traducteur en ligne SYLTRAN placé à :

http://www.systranet.com/fr/traduction/

de nous traduire ces deux phrases en rouge :

     On a alors :

     "Il y a terre dans une proximité du Pôle Nord", dans la croyance de commandant Byrd.

     "Il pourrait y avoir terre dedans là quelque part, et je pense qu'il y a". Byrd a dit après avoir dit que sa recherche de l'envergure glaciale au-dessous de la machine n'a pas indiqué n'importe quel signe de vie.

     Bien que nous sachions que les traductions en ligne, méritent toujours quelques rectifications, nous voyons que ce traducteur Syltran, n'a su traduire le mot land, qui n'est pas ici précédé par un article, ou qui n'est pas écrit au pluriel (Lands). Ce traducteur, pour la première phrase, aurait dû écrire au moins, "Il y a des terres dans une proximité du Pôle Nord", ou encore "Il y a une terre, dans une proximité du Pôle Nord". Mais quelle est donc la bonne traduction ?

Comment choisir ? C'est ce qui a justifié le titre de notre article : Dilemme lexical.html

     Avançons alors progressivement, vers une solution de cette incroyable énigme.

     Nous avons en mains, trois dictionnaires qui disent que l'on peut traduire land par terre (sol), par terrains, par terres (biens propriétés et ici, il semble qu'il ne s'agit pas du tout, de cela), et enfin par pays.

     Mais, allons plus loin en digitalisant pour les purristes, d'abord les deux premières colonnes du texte du "Miami Daily News" en question, et laissons aux spécialistes de l'anglais, le soin d'obtenir pour le tout, une bien meilleure traduction que nous pourrions en élaborer.

     Voici déjà, la portion digitalisée du texte :

"RICHMOND,-Va, June 25. -      ((AP) - Commander Richard Evelyn Byrd, Virginia's modern hero, first to cross the north pole in an airplane, came home last night to receive the greatest ovation the old Dominion has accorded a son in many years.

     Several thousand persons jammed the railway station were the Richmond 1ight Infantry Blues and Richmond Howitzers formed a military escort for the returning conqueror. Gov. Harry Flood Byrd, a brother, led the official welcoming delegation.

     To thousands who filled the city auditorium, Commander Byrd recounted his adventures in the frozen north. He painted a word picture of his flight from Spitzenbergen to the top of the world, while on a screen, before the home folks' eyes, scenes of his exploits and labors were flashed.

     "There are the ones to whom the credit is due", he said several times as pictures showed, his comrades engaged in the hazardous task of floating the huge Fokker airplane on a raft through the ice floes. He also was lavish in his praise of Floyd Bennet another Virginian, who piloted the airplane on the trip to the North Pole.

     John Stewart Bryan, publisher of the News-Leader, introduced the Commander by recalling the exploits of the Byrdfamily. It was William Byrd who founded the tobacco industry in Virginia, he said, and William Byrd II, who chose the sites of Richmond and Petersburg.

     "One of the greatest miracles of all time was the flight to the pole by this descendants of the Virginia pioneer heroes," Mr. Bryan declared.

     The story of "America' s polar triumph" was unfolded by Commander Byrd in a detailed public description of the first f1ight to the north pole. The Arctic explorer was at home in the land he declared "The most wonderful event, made", and in the city founded by his ancestor, William Byrd.

     One of the largest crowds ever gathered under a roof in Richmond cheered the young Virginian. More than 4.500 persons jammed city auditorium, while nearly 2.000 stood outside and heard his voice carried by loud speaker. His address was under auspices of Richmond News Leader.

     " There is land in a vicinity of the Nord Pole " , in the belief of Commander Byrd.

     " There might be land is there somewhere, and I think there is" . Byrd said after telling that his search of the icy span below the machine failed to reveal any sign of life.

     Home among the people he knew Byrd grew intimate in his description of the flight. It was "we" as the naval officier told of the hardships of the expedition, the preparation for which he characterised as the worst of the job
".

    Fin de l'extrait anglais.

      Voici maintenant, la traduction de Google translate.google.fr, arrangée bien sûr par ARTivision du texte en question, en notant bien que Google a traduit "land" par "terres"

     "Commandant Richard Evelyn Byrd, héros moderne de la Virginie,le premier à traverser le pôle Nord dans un avion, est rentré hier soir au bercail et a reçu la plus grande ovation de la vieille Dominion a accordé un fils depuis de nombreuses années .

     Plusieurs milliers de personnes s'entassèrent à la gare quand le Richmond 1ight infantry Blues et le Richmond Howitzers formérnt une escorte militaire pour le vainqueur du Pôle. Le gouverneur Harry Flood Byrd, un frère, a conduit la délégation officielle de bienvenue .

     Pour des milliers qui ont rempli l'auditorium de la ville , le commandant Byrd a raconté ses aventures dans le Grand Nord . Il a peint une image de mot de son vol de Spitzenbergen au sommet du monde , tandis que sur un écran , sous les yeux des gens de la maison , des scènes de ses exploits et de ses travaux ont été projetées .

      " Il y a ceux à qui le crédit est dû" , a-t-il dit à plusieurs reprises alors que les images étaient montrées, ses camarades engagés dans la tâche dangereuse de faire flotter l'énorme avion Fokker sur un radeau à travers la banquise . Il adressa aussi un grand éloge à Floyd Bennet en autre citoyen de la Virginie, qui a piloté l' avion lors du voyage au Pôle Nord .

      John Stewart Bryan, éditeur du " News Ledear" a présenté le commandant en rappelant les exploits de la famille Byrd . C'était William Byrd qui a fondé l'industrie du tabac en Virginie, dit-il , et William Byrd II , qui a choisi les sites de Richmond et de Petersburg .

      "Un des plus grands miracles de tous les temps a été ce vol au pôle par ce descendant des pionniers héros de la Virginie ", a déclaré M. Bryan .

      L'histoire du "triomphe polaire de l'Amérique '' a été présentée de détail publiquement par le commandant Byrd, au sujet du premier vol au pôle nord . L' explorateur de l'Arctique de reour au bercail, a déclaré: "L'événement le plus merveilleux, a été réalisé ", et cela a a été dit dans la ville fondée par son ancêtre, William Byrd .

      Une des plus grandes foules jamais réunis sous un même toit à Richmond acclamèrent le jeune Virginien . Plus de 4.500 personnes envahirent l'auditorium , tandis que près de 2.000 étaient dehors et ont entendu sa voix, portée par haut-parleur. Son Adresse était sous les auspices de Richmond Nouvelles Leader.

     " Il y a des terres au voisinage du pôle Nord ", d'après ce que croit le commandant Byrd.

     "Il pourrait y avoir des terres là quelque part, et je pense qu'il en est ainsi", affirma Byrd, après avoir dit que sa traversée de l'étendue de glace en dessous de la machine, n'a révélé aucun signe de vie.

     Au sein des gens qu'il connaissait, Byrd a poursuivi en détail la description de son vol. C'était à "nous", en tant qu'officier de la Marine, de décrire les difficultés de l'expédition, et de sa préparation, qualifiée de la pire, qu'il soit. "
Fin de la traduction de l'extrait.

     Vous avez donc bien noté, nous l'espérons, que Google, nous propose pour la traduction de la première phrase en rouge :

     " Il y a des terres au voisinage du pôle Nord ", d'après ce que croit le commandant Byrd.

    Mais les éternels zélés ou zététiques détracteurs, embarrassés par cette affaire de Terres en pleine zone froide et glacée et désertique, nous diront évidemment qu'il fallait traduire plutôt " Il y a de la place, dans le voisinage du Pôle Nord", etc....

    Mais là, ils ne nous apprennent absolument rien car chacun sait que la superficie de la zone polaire nord, à l'intérieur du cercle arctique (latitude 66° 33'N), est immense et fait plusieurs fois la France, et donc par conséquent, il existe on le sait, effectivement de vastes étendues autour du Pôle Nord, et il en résulte que l'explorateur Byrd, n'aurait absolument pas fait allusion ici à cette notoire acception, s'il ne voulait pas passer aux yeux de ses interlocutueurs pour un vrai débile mental.

    Non, il y a pour sûr, autre chose, à prendre en considération dans cette affaire.

    On doit alors se poser la question, de savoir, si Byrd a effectué, une autre expédition au Pôle nord ?

    Nous n'avons encore rien trouvé, sur le super site de Google déjà présenté : translate.google.fr

    Mais cependant, nous avons trouvé sur le site :

http://www.ascensionplanetaire.com/terre%20creuse/tcRichardEByrd.htm


, ce paragraphe très significatif :

"En 1947, avant d'entamer une nouvelle mission dans l'Arctique, Byrd dira à la presse : "J'aimerais voir ce pays derrière le pôle (Nord). Cet endroit est le centre du Grand Inconnu". Selon les sources officielles, l'expédition fit un vol de sept heures, ce jour du 19 février 1947. Mais, étrangement, lui qui aimait parler de ses exploits à la presse, ne dit mot à quiconque de son voyage, cette fois-là. D'ailleurs, son comportement changea singulièrement à partir de cette date et pratiquement aucune information ne filtra.
    C'est chose acquise aujourd'hui, le Pentagone le mit au secret militaire et lui confisqua son carnet de vol. Par ce fait, il lui fut interdit de s'exprimer en public. Le doute plana sur cette histoire pendant près d'un demi-siècle et c'est finalement à la fin des années 1990 que ressurgit le fameux carnet de vol.
"

    Hélas, nous ne pouvons pour l'instant confirmer ce paragraphe n'ayant encore pas pu mettre la main sur un document officiel, qui le prouve.

     Mais, comme nous avons eu l'heureuse opportunité de tomber sur ce superbe entrefillet du "Miami Daily News", en date du 25/06/1926, nous avons pensé alors, que d'autres journaux devraient également parler, de cette information de l'Agence "Associated Press", autour de la même date .

    C'est ainsi que le 13/06/2013, nous sommes tombés en page 6, à l'url suivant :

https://news.google.ca/newspapers?nid=vf0YIhSwahgC&dat=19260624&printsec=frontpage&hl=fr

, sur cet entrefilet de l' Evening Tribune, en date du 24 Juin 1926:


         Notons immédiatement, que nous n'avons rien trouvé (chose surprenante concernant Byrd dans ce journal le 25 Juin 1926 venant de Agence Assosiated Press ) Et voyez donc aussi cela :


        Donc ce journal a bien reçu le communiqué du 26 juin 1926 de l'agence Associated Press sorti par le "Miami Daily News" de la même date, mais, il a préféré publié autre chose de moins ahurissant. Point Barre....

     On apprend alors ici, que l'expédition Byrd au Pôle Nord, a eu lieu le 9 Mai 1926. On sait d'ailleurs qu'une polémique a eu lieu plus tard, au sujet de cette expédition.(voir notre article :

http://www.artivision.fr/Byrd/polemique.html)

     D'autre part, et cela est très regrettable, on voit que, les phrases clefs déjà présentées :


, ne sont plus du tout mentionnées dans le texte en question. Autrement dit, une information capitale venant l'Agence "Associated Press", qui intéresse l'humanité entière, et qui a trait à la composition interne de notre planète, et même sans doute à la structure de notre système solaire, a été escamotée par des responsables inconscients et ignares de la diffusion de l'information dans leur région ( Mais évidemment ces responsables ne pouvaient le savoir à l'époque). Ceci est bien la preuve que de nombreux textes, nous venant du Passé, ont été trafiqués selon l'humeur et la droiture des transmetteurs, et par exemble, nous l'avons déjà écrit, textes sur lesquels, on a fondé toute notre civilisation judéo-chrétienne, et une grande partie de nos lois actuelles, ont été manipulés et trafiqués à profusion, et par exemple, le terme ELOHIM, qui se trouve noir sur blanc , dans le texte hébreu d'origine, a été galvaudé et traduit de très nombreuses manières, alors que la prudence la plus élémentaire, aurait, on le sait, été de ne pas le traduire.

    Mais pour ARTivision, compte-tenu des très nombreuses autres déclarations insolites de Byrd, et celle vue plus haut telle que :
      "C'est qu'il y a une terre secrète, au-delà du Pôle sud...."

, nous pensons alors que notre traduction, des phrases en rouge précédentes, devrait être plus précisément :

      " Il y a une terre, dans le voisinage du Pôle Nord " comme le croit le commandant Byrd.

      " Il pourrait y avoir une terre quelque part, là, et je pense, que c'est vrai".

     Ce sera alors aux spécialistes de la langue de Shakespeare, de donner leur avis...quand ils auront pris connaissance des incroyables documents que nous avons déjà présentés sur cette affaire très étrange de vortex polaires...

         Mais ce 24 Septembre 2018, concernant le pôle sud, disons que l''explorateur Byrd, y a effectué de nombreuses expéditions, entre autres en 1929, 1936, 1947, 1956 à la suite desquelles, il a fait, chaque fois, des déclarations insolites...

         Mais lisons avant tout ce super texte de Raymond Bernard , publié en 1971 chez Albin Michel, dans la prestigieuse collection, hélas disparue "Les chemins de l'impossible":


où tous les événements notoires sont clairement présentés et où l'on parle aussi d'un autre explorateur australien Sir George Hubert Wilkins qui comme Byrd aurait découvert au-delà du Pôle une terre totalement inconnue.



         Bien sur nous avons souligné les phrases clefs de cette liste. On y reviendra bien sûr.

        Disons cependant pour les authentiques puristes, qui aiment remonter aux sources véritables d'un document, que cette superbe liste de R. Bernard, est tirée entièrement des pages 13 et 14 du livre de 1959 "Mondes au-delà des pôles", d'un certain Amedeo Giannini, qui prétend que des découvertes inouies, auraient été faites par des explorateurs des zones arctique et antarctique de notre planète :

  


      On doit alors savoir d'abord, que Giannini était un scientifique d'origine italienne, né à Cambridge dans le Massachussets, et ayant fait ses classes dans les écoles de Boston. Et voici donc juxtaposées, une partie des pages en question de ce livre :



      Notre modeste traduction du premier paragraphe donne :

Février 1947 "J'aimerais voir cette terre au-delà du pôle (Nord). Cette région qui est le centre du Grand inconnu".
Vice-amiral Richard E Byrd de la Marine de USA, avant ses 7 heures de vol au-delà du pôle Nord.

     Hélas, nous n'avons trouvé aucune mention dans un journal américain quelconque, de cette expédition de Byrd, au Pôle Nord de 1947 (Mais un extraordinaire journal français du 6 Avril 1973 en parle).

     Si Giannini ne ment pas, cette expédition a dû être Ultra Top-secrète. C'est pour cela, qu'à notre plus grand regret, nous pensons que Giannini, a commis , une grave erreur, et qu'il aurait dû absolument, mentionner la source de cette si surprenante déclaration de Byrd. Cette déclaration venait assurément de certains membres de la Navy, avec quiGiannini, était lié amicalement, et qui lui ont interdit de citer ses sources, ce qui milite bien sûr, pour leur authenticité

     Voici donc, une des rares photos de ce Giannini :


     Notons en passant, que nous avons parlé longuement de cet Amedeo Giannini dans nos articles suivants :



     Précisons cependant, avant de poursuivre que nous ne souscrivons pas du tout, à la théorie fantasmagorique de Giannini qui, pour expliquer ses découvertes, a élaboré, à l'époque l'incroyable hypothèse qui voulait que la Terre soit collée par les pôles, à un univers parallèle bien réel, et que cet univers serait lui même en relation avec un autre, et que cela se poursuivrait ainsi à l'infini ...Pour lui tout se passe à l'extérieur par une sorte de continuité physique de l'Univers.

     Giannini, n'a à aucun moment imaginé que la Terre pouvait être creuse, et qu'il y avait deux ouvertures aux pôles, permettant d'accéder à son intérieur.

      En essayant de décortiquer cet ouvrage très ardu à lire, il va s'en dire que nous n'avons pas pensé, une seule seconde qu' Amedeo Giannini, ait pu inventer tout cela, avec tant de détails précis, surtout à l'époque, où l'on ne plaisentait pas sur la rigueur morale.

      Mais, il s'avère cependant que les prémices des recherches de Giannini, qui sont à l'origine de son extravagante théorie, sont les mêmes qui s'articulent au départ de la théorie des "ouvertures polaires", et en particulier les déclarations insolites (nous dit Giannini) de Byrd, et aussi et surtout, la découverte extraordinaire faite en 1928 par Sir George Hubert Wilkins, et découverte qui s'attache à l'exploration de l'Antarctique.

     Hélas comme vous le voyez Giannini oublie de citer ses sources. Cela n'avait sans doute pas trop d'importance à l'époque, mais de nos jours c'est indispensable.

      Il ne précise pas du tout par exemple, où l'on peut découvrir la relation de cette incroyable découverte d'une terre au-delà du Pôle Sud, précisément ce 12 Décembre 1928, et c'est toujours ainsi dans son livre, où il parle de cette découverte. Donc si un internaute pouvait découvrir au moins l'entrefilet de l'Agence en question où l'on présente cette information, il aurait presque gagné le Gros lot dans cette affaire.

      Mais il y a mieux mieux. Voici un autre passage en page 53 :



      Laissons aux fervents de la langue de Shakespeare le soin de trouver une traduction acceptable à ce passage plutôt ardu et contentons nous d'en extraire l'essentiel :

" La découverte mémorable, le 12 Décembre 1928, d'une terre jusque là inconnue, au-delà du Pôle Sud, découverte faite par le capitaine Sir George Hubert Wilkins, exige que la science revise la conception qu'elle s'était faite depuis 400 ans du profil sud de la Terre : Dumbrova explorateur russe."

      Mille fois, hélas, encore une fois, ce Giannini, ne nous dit pas dans quel document, il a découvert cette extraordinaire déclaration de l'explorateur russe Dumbrova. En fait, notre grande amie Meriten, le 15 Avril 2009, nous a proposé le fait, qu'il s'agiraît très probablement plutôt, de l'explorateur et médecin romain Constantin DUMBRAVA (1898-1935) qui a monté en 1927, donc bien avant Paul-Emile VICTOR, une expédition roumaine à Angmassalik au Groenland, et qui passa une année chez les Inuit...Il a étudié avec soin la géologie, la flore, la faune, et écrit plusieurs articles qui sont parus en Roumanie, en France et aux Etats-Unis. Il a finalement épousé une américaine et s’est installé à New-York.

     Nous demandons donc, avec une très grande déférence, à tout internaute qui connaît parfaitement le russe et le roumain, de tout faire pour retrouver la trace de la super déclaration précédente, et les écrits de ce Dumbrava. Il n'est pas besoin d'insister ici, sur le caractère très important de cette recherche, car il y va d'une plus grande compréhension de notre planète et même sans doute, de notre système solaire.

     Aux yeux égarés de nos éternels détracteurs, cette découverte faite en Antarctique par Sir George Hubert Wilkins, aurait pu passer pour de la très bonne Science-Fiction, si nous n'avions pas mis la main (aidé par notre bon ami canadien Sébastien), sur l'entrefilet remarquable, qui va suivre et qui confirme tout cela :



Puis surtout:

https://news.google.ca/newspapers?id=NpUcAAAAIBAJ&sjid=KGQEAAAAIBAJ&pg=5124,375324&dq=hubert+wilkins+unknown&hl=en

    Disons alors que SARASOTA, est une ville de la Floride, placée comme l'indique la carte suivante :


    Et voici donc l'entrefilet en question :

     Traduisons, à peu près, le contexte des deux dernières images :

Mardi 31 Décembre 1929 : SARASOTA HERALD : Au Cœur de la Socièté : Téléphone n° 2855 Page 7

Wilkins trouve une terre inconnue.

MONTÉVIDÉO. Uruguay 31 Dec.(AP)

     Les premiers effets des vols au-dessus de l'Antarctique du Capitaine Sir George Hubert Wilkins, furent révélés ici aujourd'hui par des annonces qu'il avait découvert auparavant une terre inconnue dans sa dernière expédition au-dessus de la calotte polaire glacée.

     A cet effet, le service radio gouvernemental annonça la réception d'un message en provenance du Vapeur Melville, qui véhicula l'explorateur jusqu'à l'île de la Déception, qu'il utilise comme tête de pont. Aucun détail ne fut transmis.


      Fin de la traduction.

     Mais concernant le Capitaine Sir George Hubert Wilkins, il y a bien mieux encore, car Super Hasard, allait de nouveau marquer un grand coup, et voici un texte surprenant, qui a en plus, l'mage de la photo de Sir George Hubert Wilkins, et cela, sur un entrefilet du "Berkeley Daily Gazette", en date du 18 Novembre 1930 page 10, qui nous est tombé sous la main le 09/06/2013 au soir, dont voici l'url :

https://news.google.ca/newspapers?nid=PPAp3RzCAaIC&dat=19301118&printsec=frontpage&hl=fr



     On trouve alors dans cet entrefilet, une phrase ambigüe sans, une fois de plus , l' article clef "a" devant "new land" . On a alors "...and he was the first to discover new land, from an airplane". Ce manque d'article est très génant, (et il va plus bas apparaître de nouveau). Cependant, compte-tenu du contexte, nous sommes amenés à traduire cette phrase par : "Et il fut le premier à découvrir une terre nouvelle, à partir d'un avion ", en imposant "l'article", qui cause un problème et en invitant les spécialistes de l'anglais, à nous donner leur précieux avis.

     Ce lapsus d'écriture, vient, selon nous, directement des reporters de l'Agence de Presse en question; (Agence hélas non mentionnée ici ).

     Mais, en plus, on y apprend que Willkins fut " ..the first man to attempt to go under the ice of the North Pole in a submarine..." " le premier homme à tenter de pénétrer sous le Pôle Nord, à l'aide d'un sous-marin". Pour en savoir plus sur les péripéties dramatiques de cette affaire, prière de consulter notre article :

http://www.artivision.fr/Thalasso.html

     Reste à savoir, comment il peut exister une terre nouvelle dans cette zone terrestre glacée et lugubre de l'Antarctique, couverte de neige à profusion, et où la température on le sait, tourne régulièrement autour de -50 °, ou même moins.

     Mais, ce 26 Septembre 2018, voyons d'abord quelques articles concernant le premier survol du Pôle Sud de Byrd, et, pour les internautes qui n'ont pas beaucoup d'affinités avec la langue anglaise, voici d'abord donc un entrefilet, que nous avons pu découvrir au sujet de Byrd, à l'url suivant, avec une restructuration des colonnes par ARTivision :

https://news.google.ca/newspapers?nid=qStMeLs7OP8C&dat=19291130&printsec=frontpage&hl=fr

      Ce texte en français :


     Comme on le voit cette fois pas de mention de l'Agence "International News Service" (voir plus haut) , et c'est plutôt maigre pour le prermier survol du Pôle Sud de Byrd.

On a aussi ceci en français :




     Cet entrefilet ne contient, on le voit que des descriptions normales classiques et rien d'autre. de spécial ...

       Voici encore, pour les puristes qui, ( on le sait), aiment remonter aux sources d'une information, 3 autres articles, ( il y en beaucoup d'autres) , prouvant que Byrd, a bien en 1929, survolé le Pôle Sud :


       Donc dans ces 4 articles précédents, il n'est nullement question de la découverte au Pôle Sud, d' une découverte quelconque d'une terre inconnue, comme cela a été dit plus haut, pour le Pôle Nord dans le "Miami Daily News", en date du 25 Juin 1926 .

       Disons cependant que nous avons aussi trouvé assez difficilement à l'adresse :

https://news.google.ca/newspapers?nid=jvrRlaHg2sAC&dat=19291130&printsec=frontpage&hl=fr

la présentation du Milwaukee journalen date du 30 Septembre 1929 :


Et en page 2 :

       Où, nous avons repéré cependan, les phrases insolites suivantes (Merci à l'internaute qui en trouvera d'autres ) :


      Pas besoin d'être fortiche en anglais, pour decouvrir que dans l'image de gauche Byrd avoue en douce, que "l'endroit est effrayant" et à droite " qu'il n'a jamais observé, un aussi magnifique spectacle" . A vous bien sûr, de savoir lire entre les lignes...

      Donc nous n'avons pas encore eu la chance, de découvrir en fin Novembre 1929 (Il y en a peut-être), un seul texte de ces même journaux ou d'autres, disant que Byrd, a découvert en plein Pôle Sud, une zone inconnue, ( comme on l'a vu plus haut), pour le Pôle Nord. ( Merci mille fois, encore à l'internaute béni, qui pourrait découvrir un tel texte, par exemple, à l'office même du "Miami Daily News", ou à la Bibliothèque du Congrès américain au 30 Nov. 1929 , ou juste après...)

       Mais, poursuivons maintenant notre ineffable exposé, après avoir montré d'une manière claire et nette
 ,  le fait qu'il existait aussi des chercheurs très méritants, comme par exemple, Sir George Hubert Wilkins, Amedeo Giannini, Constantin DUMBRAVA ... qui avaient mis en relief, (ainsi que l'a fait Byrd), l'incroyable histoire, stipulant l'existence d'une Terre inconnue, au beau milieu des zones polaires.

       Mais voila ici comment nous allons trancher une fois pour toute, le nœud gordien de l'affaire en question, ce qui mettra, les étérnels zélés et zététiques détracteurs, qui nous traitent sans vergogne de "conspirationniste", carrément au pied du mur, car, nous avons par contre trouvé une flopée de textes, datés du 7 Septembre 1933, où Byrd dit son sentiment, juste avant son expédition de 1935, comme par exemple, l'article suivant du "Berkeley Daily Gazette ": (à lire avec la plus grande attention)...


    Mais extrayons de cet article, le passage suivant et soulignons encore en rouge les mots qui nous interpellent:


    Traduisons alors grosso modo ce passage :

     " Byrd expliqua :

: "Je suis sur le point de tenter d'explorer une terre non répertoriée aussi étendue, que les Etats Unis et le Mexique réunis. "

    Il ajouta qu'il espérait faire 10 fois aussi bien que son vol effectué lors de son précédent vol en Antarctique, quand il partit de sa base au Pôle Sud et qu'il y retourna.

Byrd dit : "Je suis sur le point de tenter cette fois, de voler au-delà du Pôle, car là se trouve une zone non répertoriée. Je crois que, aussi longtemps qu'il existera un aussi vaste territoire inconnu de l'homme sur la face du globe, nous allons devoir l'explorer. Nous allons vivre dans une époque glacière, et chercher un nouveau continent, et dans le même temps nous mettre au service de 10 à 12 branches de la Science. "

     Byrd, qui a volé au dessus du pôle, 4 ans auparavant, dit qu'il était plein d'espoir en compagnie de ses amis explorateurs de fournir à la science quelques uns des liens manquants dans le déroulement des faits. "


    Fin de la traduction.

    Il nous faut maintenant analyser soigneusement le passage en question, tout en sachant (voir plus haut) que Byrd était un militaire, et donc qu'il était astreint à une obligation de réserve absolue, surtout en ce qui concerne, ce qui ne pouvait être considéré que comme un Secret d'Etat de la plus haute importance qui soit.

    Comme on le voit, ces expressions de Byrd sont déjà très claires, même si l'on doit parfois, savoir lire entre les lignes. L'expression "et chercher un nouveau continent", nous interpelle bien sûr grandement, mais nous y reviendrons plus tard.

    Mais restons donc à la date du 7 Septembre 1933 , et voici un entrefilet venant de la "seconde Section" du "Spokane Daily Chronicle" , et qui est formulé dans le même style, issu de l'Agence Associated Press, et placé à l'url :

https://news.google.ca/newspapers?nid=ddB7do2jUx8C&dat=19330907&printsec=frontpage&hl=fr


    On voit aussi que , on retrouve les mêmes expressions concernant l'affaire du territoire aussi vaste que les USA et le Mexique réunis, l'affaire du vaste territoire inconnu de l'humain, existant sur la face du globe et nécessitant une investigation, puis encore l'affaire des liens manquants à la science dans le déroulement des faits, et enfin surtout l' affaire clef et très surprenante du "nouveau continent". C'est donc un entrefilet, qui vient confirmer parfaitement le précédent .

     Mais, Super Hasard , le 17/05/2013, a mis encore la barre, à un plus haut niveau, puisqu'il nous a placé sous les yeux, ce qui suit, également en date du 7 Septembre 1933 ( Nous n'étions même pas encore né ) :

     En effet sur le site :
https://news.google.ca/newspapers?nid=jvrRlaHg2sAC&dat=19330907&printsec=frontpage&hl=fr

     On trouve alors :


    Traduisons alors, grosso modo, le début :

"L'expédition de Byrd au Pôle Sud, est prète à partir, par avion, de Boston le 25 Septembre"

L'amiral fait appel aux bons offices du Président.

L'expédition, utilisera deux navires, un personnel élargi, pour partir à la recherche d'un vaste continent et du pôle.

    On voit alors que l'on retrouve ici, le vocable surprenant : "continent", mais certains, pour noyer le poisson, auront vite fait, de dire que là, il ne s'agit que du continent Antarctique. Mais allons plus loin, voulez-vous ...


    "Comme on lui demandait pourquoi il tenait à retourner dans cet Antarctique lugubre, Byrd a répondu " qu'il y a , une zone encore inexplorée aussi vaste que les USA et le Mexique réunis. Aussi longtemps qu'il existera une étendue aussi géante que cela, sur la face de la Terre, dit-il, nous devons nous attacher à la connaître. Il y a aussi le fait que nous devons compléter certains liens manquants relatifs aux problèmes scientifiques en explorant cette contrée qui s'attache à notre ère glacière "

Nous recherchons un nouveau continent .

    Byrd dit : " Nous espérons découvrir un nouveau continent, en plus de celui déjà découvert : afin d'affirmer que les montagnes du Pôle Sud sont dans le prolongement de la cordilière des Andes; afin de cartographier ce territoire jusqu'à présent inexploré et afin de déterminer si l'actuel terre gelée a été autrefois une terre tropicale comme l'Inde..."


    Là, tout est clair
, Byrd parle bien, d'un nouveau continent, et même, si vous savez lire entre les lignes, ce continent aurait des caractéristiques d'une zone tropicale, car si Byrd parle de cela, dans ces régions ultrafroides et gelées, c'est bien qu'il a trouvé des témoins géologiques et climatiques, qui en attestent la présence.

    Et même le Président des USA de l'époque, T. Roosevelt, renchêrit en affirmant qu'il existe bien une immense zone à répertorier d'un nouveau continent, jusqu'à présent inexploré, et s'il ne sagisait que d'une autre grande étendue extrêmement froide de neige et de glace, il n'aurait jamais utilisé ce langage, n'est-ce pas !!!

    Finalement, on en déduit qu'en 1933, les protagonistes de cette exploration polaire, étaient loin d'imaginer la portée gigantesque, de leurs découvertes dans les régions polaires de notre planète. Nous y reviendrons....

    Mais voilà qu'arrive le 29 Septembre 2018, où nous allons poursuivre nos investigations au sujet des légendes, véhiculées par la médiasphère, et celles concernant les expéditions de Byrd, ont la vie dure. Voici donc pour cela, notre huitième (notez bien la consonnance de ce mot) focus.

Huitième focus :Quand ARTivision , sort à nouveau, l'hallucinant document, découvert le 23 Nov. 2014, et vite retiré de GoogleOldNews, (https://news.google.ca/newspapers?), où Byrd, affirme l'existence d'un huitième continent inconnu, sur cette planète.

          En effet, une fois de plus, il est bon de rappeler ici, le fait que la réalité dépasse de très loin, la fiction, et rappelons aussi, à toutes fins utiles, que cet article n'est pas du tout une thèse scientifique rigoureuse, (comme certains détracteurs le souhaiteraient sans doute), mais plutôt une sorte de causerie au clair de Lune, au pied du volcan tropical La soufrière, où nous habitons, et causerie telle qu'elle avait lieu autrefois, quand le modernisme n'était pas entré dans les mœurs. C'est aussi une sorte de conte philosophique antillais à la veillée, et ce conte inclut le fait que certains auteurs ( comme l'amiral Byrd, fait état, de très nombreuses fois, d'une terre fertile et luxuriante, en pleine région polaire. La non-orthodoxie, de ces récits extraordinaires, ne peut que nous interpeller, et nous pensons que nous ne sommes que des vecteurs privilégiés, destinés à mettre en relief ces documents initiatiques, sortis de leur contexte par des Maitres en mission, venant d'une autre dimension, pour établir le Temps des Révélations, qui approche à grands pas...

      Pour illustrer tout cela, voici un autre document qui complète, les précédents et daté également du 7 Septembre 1933, et qui nous vient de la ville de Youngstown de L'OHIO des USA, voir le site : https://www.google.fr/#q=Youngstown+ohio+usa :

.  

      
Ce document est le journal Youngstown Vindicator, dont l'ulr est placé, tel que :

https://news.google.ca/newspapers?nid=pqgf-8x9CmQC&dat=19330907&printsec=frontpage&hl=fr .

, où l'on découvre ceci :


Gageons que document, qui va faire encore grincer des dents les éternels zélés détracteurs, car il écrit en un gros titre, une phrase insolite, déjà exprimée dans de nombreux autres articles présentés plus haut.

    Commençons donc, si vous le voulez bien, par ce titre important:

" Wants To investigate continent Bigger than U.S and Mexico."

" Il désire chercher un continent, plus grand que les Etats unis et le Mexique "

    Ce titre est l'expression condensée du paragraphe suivant, placé plus bas :


, que nous pourrions traduire modestement, et dont les termes ont été déjà exposés plus haut :

    "Comme on lui demandait pourquoi il tenait à retourner dans cet Antarctique lugubre, Byrd a répondu " qu'il y a , une zone encore inexplorée aussi vaste que les USA et le Mexique réunis . Aussi longtemps qu'il existera une étendue aussi géante que cela, sur la face de la Terre , dit-il , nous devons nous attacher à la connaître. Il y a aussi le fait que nous devons compléter certains liens manquants relatifs aux problèmes scientifiques en explorant cette contrée qui s'attache à notre ère glacière "

     Vers la fin de l'article, on trouve aussi ceci :


     Que nous pourrions de même traduire, grosso modo :

    "Il espérait découvrir un nouveau continent, dit-il, en plus de celui déjà découvert, afin d'affirmer que les montagnes du Pôle Sud sont dans le prolongement de la cordilière des Andes; afin de cartographier ce territoire jusqu'à présent inexploré et afin de déterminer si l'actuel terre gelée a été autrefois une terre tropicale comme l'Inde..."

     Là, tout est clair, Byrd parle bien, d'un nouveau continent, et même,on l'a vu plus haut, si vous savez lire entre les lignes, ce continent aurait des caractéristiques d'une zone tropicale, car si Byrd parle de cela, dans ces régions ultrafroides et gelées, c'est bien qu'il a trouvé des témoins géologiques et climatiques, qui en attestent la présence.

    Mais pour faire très court, rappelons seulement ici également, cet entrefilet également du 7 Septembre 1933, du NewBurg News et placé à :
https://news.google.ca/newspapers?nid=rUiCm8s56TIC&dat=19330907&printsec=frontpage&hl=fr


    Traduisons, grosso modo, le début :


Les objectifs de Byrd : 2 années d'exploration en Antarctique.

" Washington UPI . L'explorateur polaire, le vice Amiral Byrd , annonça à la Maison Blanche aujourd'hui, qu'il s'envolera le 25 Sept de Boston pour un voyage de deux ans d'exploration en Antarctique . Byrd télephona au Président Roosevelt , avant son départ avec deux navires " The Old revenue Cutter Bear " et "the supply Vessel Pacific Fir", pour sa base de glace "Little America", en Antarctique .

     Byrd dit encore : " Je suis sur le point de tenter d'explorer une terre non répertoriée aussi large que les USA et le Mexique réunis ", et il ajouta qu'il espérait faire 10 fois mieux que sa précédente incursion dans l'Antarctique."
.

    On voit là, bien à regret, que l'affaire très importante, du nouveau continent, à découvrir est passée, carrément à la trappe.

     Mais, pour mieux comprendre cette affaire concernant les USA et le Mexique réunis, voyez donc les vignettes suivantes, donnant la superficie des USA et du Mexique :

    Voyons alors, les vignettes suivantes, donnant la superficie des USA et du Mexique :

Atlas du Monde chez Hachette 1996 ISBN 2.01.166807.7

     Au total, cela fait en tout pour la superficie de ces deux pays : 9 529 063 + 1 958 201 = 11 487 264 Km2

     Comme on apprend sur le site : https://fr.wikipedia.org/wiki/Antarctique , que l'Antarctique a une superficie de 14 107 637 km2, on voit alors que : 14 107 637 km2 / 11 487 264 Km2 = 1,2228...

     Autrement dit, compte tenu du vaste territoire de l'Antarctique déjà connu par Byrd,(et aussi occupé par de nombreuses nations), il n'y a pas la place en Antarctique pour un autre continent inconnu, aussi large,que les USA et le Mexique réunis, comme Byrd le dit, dans de nombreux documents semblables, présentés dans d'autres articles.

         Donc, autrement dit, il ne reste pas grand chose dans ce territoire, pour l'Antarctique déjà connu , et si l'on retire encore en plus, les immenses territoires de l'Antarctique, que dès le 23 Juillet 1923, la Grande-Bretagne s'était permise d'annexer sans demander rien à personne, il ne reste donc plus grand chose pour les nombreux autres pays, qui s'étaient aussi installés sur ce continent austral. Voyez-vous même la carte suivante, où nous avons colorié en vert, les territoires en question :

carte tirée des excellents"Grands dossiers de l'illustration : La conquête des pôles" - Nov. 1969.

    Un internaute géographe pourra additionner, les nombreuses surfaces des portions occupées par les diverses nations, et l'on verra vite, que le compte, n'y est pas. Donc pas question d'y découvrir un territoire inconnu aussi vaste que les USA et le Mexique réunis, comme Byrd le dit, dans de nombreux documents semblables, présentés dans d'autres articles.

    D'ailleurs, voici une carte que nous présente aussi le volume 92, n°4 d'Octobre 1947 de la revue The National Géographic Magazine :


    Donc, sans même y ajouter le Mexique, on voit clairement qu'il ne reste vraiment pas grand-chose pour les portions occupées par les diverses nations.

    Mais il y a justement un cas où, en 1955, Byrd, ne parle plus du Mexique, tout en invoquant une surface de 3 millions de milles carrés (soit environ 7 770 000 km²). Voyez donc la fin de l'article suivant :


    Mais où donc Byrd a-t-il pu découvrir ces 7 770 000 km², surtout tout à fait inconnus des humains, et ce qui entraîne le fait clair et net , que le territoire occupé par autres nations (voir plus haut), se réduit évidemment comme une peau de chagrin ?

    Alors Messieurs les détracteurs zélés irréductibles, vous avez le choix, dans ces deux options :

a) Soit, le vice amiral Byrd de l'époque était tout à fait timbré , et un blagueur fini.

b) Soit, il a bel et bien pénétré, dans le vortex polaire sud, que nous cachent nos gouvernements depuis des lustres, et vortex qui conduit, quand il s'ouvre, à l'interieur de la Terre creuse, où il y a vraiment un immense continent à découvrir, possédant vies et civilisations, très développées par rapport à nous.


    Mais, pour ceux qui tout de même, douteraient toujours, voici encore mieux :

    En effet, sur le site :

https://news.google.ca/newspapers?id=UIIhAAAAIBAJ&sjid=eosFAAAAIBAJ&pg=930,6964374&dq=lee+van+atta&hl=en

    On découvre alors ceci qui a aussi disparu comme par enchantement de GoogleOldNews :


     Nous n'avons reproduit qu'une partie de cet article, et aussi nous avons souligné en rouge, les termes qui, ici, nous interpellent grandement .

     Traduisons, à peu près, le titre et les paragraphes en question :

Byrd prédit qu'un huitième Continent sera trouvé dans les régions Antarctiques

Par Lee Van ATTA
Participant à l'expédition de Byrd dans l'Antarctique.

"L'amiral Richard E Byrd a exprimé l' intuition que son expédition, puisse dans les quatre semaines suivantes, faire " La plus grande découverte géographique primordiale du 20 siècle "- soit : un huitième continent."

     Donc ici, seule la croyance affirmée de Byrd, nous intéresse ici, car ce dernier stipule ici clairement, l'existence d'un huitième continent , qui pourra être ajouté à la cartographie mondiale, après son expédition.

     Mais que signifie donc tout cela ?...

      Précisons d'abord, ce que l'on découvre au sujet des continents sur le site :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Continent#Comparaison.html


     Comme on le voit, il a bien 7 continents, et l'Antarctique est déjà un des 7. Alors comment se fait-il que Byrd, parle d'un huitième continent qui existerait encore en Antarctique ?

     La seule façon de comprendre ce langage tout à fait énigmatique, (voulu sciemment par Byrd, et qui a autorisé Lee Van ATTA à l'utiliser), est d'admettre, une fois pour toutes, que Byrd, ayant déjà, à plusieurs reprises pénétrer, (en quelques milliers de km) dans "l'ouverture polaire sud" ( les guillemets ont ici une très grande importance) ( et rappelons aussi que Byrd, l'a fait également pour celle du pôle Nord en 1926), est certain cette fois, avec la puissante armada de l'opération "High Jump", de pouvoir démontrer définitivement l'existence de ce continent, qui s'étend à l'intérieur de la Terre

      Mais, par contre, on le sait, il rencontrera alors, une résistance hors normes, et il s'en retournera hébété, au point de parler ensuite, de manière ambigüe, de menaces voilées et peu explicites, envers les USA, venant des deux pôles. Voir nos articles :

http://www.artivision.fr/euxnousail.html

http://www.artivision.fr/ByrdDeseret.html

http://www.artivision.fr/ByrdMercurio.html



      Et surtout l'article, où le lanceur d'alerte Corey Goode en dit bien plus :

http://www.artivision.fr/SuperFlashback-sur-EpopeesPolairesByrd.html

     Mais, qui fut donc ce Lee Van ATTA, qui savait tout ? C'est maintenant , qu'il faut chercher, des éclaircissements supplémentaires, n'est-ce pas ...!

    C'est à vous qu'il appartient désormais, de juger tout cela, documents à l'appui, et encore merci à Super Hasard, de nous avoir permis ici de faire ici, un flash-back, toujours utile, sur les déclarations insolites de l'amiral Byrd, qui a quitté ce monde, rappelons-le à toutes fins utiles, à 68 ans, au soir du 11 Mars 1957.

        Il nous appartient aussi de demander à Messieurs les fervents sceptiques de cette affaire : les psychologues, psychiatres, ethnologues, archéologues, géographes, et consorts intellectuels affiliés, de nous expliquer brièvement pourquoi le journal Palm Beach Daily News, en date du 9 Février 1947, que nous avions découvert dès le 23 Nov 2014, a entièrement disparu du portail GoogleOldNews, (https://news.google.ca/newspapers?), et qu'il en a été de même du journal Miami Daily News, en date du 25 Juin 1926, qui lui aussi avait, une déclaration fracassante de Byrd. Merci d'avance pour vos judicieux éclaicissements.

     Mais ce 29 Septembre 2018, il nous appartient de signaler, une fois encore, que le site ARTivision, est avant tout un site Mystico - Rationaliste, (mot que vous ne trouverez dans aucun dictionnaires), et pour cela, il intégre pleinement des affaires transcendantes, de très haut niveau, et tout-à-fait surprenantes...

      Certains détracteurs irréductibles et intellectuels blasés, émules inconscients des enfants de Bélial d'Edgar Cayce, vont encore se tordre de rire en douce, en lisant les propos qui précèdent, mais alors qu'ils s'amusent maintenant, à philosopher, tant soit peu, au sujet de ce que nous dit justement ce 29 Septembre le Grand Maître de Findhorn, dont nous avons bien souvent évoqué sur ARTivision, les surprenantes méditations : .

Tu as souvent entendu ces mots :
"La vie est ce que tu en fais"
mais qu'en as-tu fait ?.

Ne vois-tu pas que tu contrôles ta vie,
ton bonheur, ton succès, tes joies et tes chagrins ?

La vie peut être merveilleuse, excitante et splendide,

mais il ne tient qu'à toi de la rendre ainsi
en espérant le meilleur.

Vis un jour à la fois et vis-le pleinement.

Ne perds jamais de temps à t'inquiéter du lendemain
et de ce qu'il peut apporter.


ni à te laisser aller au découragement
parce que tu sens que tu ne peux pas faire face à toutes les éventualités ?

Regarde toujours le bon côté de la vie
et concentre-toi dessus dans l'éternel présent .

Le fait qu'hier ne s'est pas bien passé
ne veut pas dire qu'il en sera de même aujourd'hui.

Laisse hier derrière toi.

Tires-en la leçon, mais ne le laisse pas gâcher aujourd'hui.
Aujourd'hui est devant toi, pur et sans tâche.

Que vas-tu en faire ?


La petite voix :Eileen Caddy. Le Souffle d'or (1994).
Méditation pour le 29 Septembre, après adaptation
d'ARTivision.


          Quelle superbe leçon de philosophie !!. Mais helas, ceci s'oppose carrément à notre mode actuel de socièté, où il est de bon ton de thésauriser dans les banques, pour les jours maigres à venir. Surprenant n'est-ce pas ce langage, à contre courant....

     En résumé, si l'on sait lire entre les lignes,, il semble donc, d'après ce que nous dit ci-dessus le Grand Maître, en question , que mieux vaut apprécier dans l'instant les beautés et sa générosité de la Nature, et elle saura amplifier, toujours davantage, cette structuration transcendante de nos pensées d'aujourd'hui...

      Notons aussi, que l'on découvre que sur ARTivision, la notion de quatrième dimension, est de rigueur et que l'intuition personnelle est de mise, ( hélas, cela ne s'apprend pas dans nos écoles publiques), ce qui en fait un site tout à fait singulier, où rien ne se fait par hasard ...

    Il est surprenant de s'apercevoir que de très nombreuses sources ésotériques, que nous ne pouvons détailler ici, nous redéfinissent, ces temps-ci, ce concept du Temps, et d'ailleurs, voici ce qu'en dit aussi le Collectif Soria en page 14, de son premier livre, publié dès 2001:

 

    " Le passé est dans le présent et le futur l'est aussi. Illusion du temps. Il n'y a pas de passé ni de futur; seul existe le moment présent ; cette notion va prendre corps et sera assimilée dans les dix ans à venir. D'ici là, les événements futurs viendront du chemin ouvert par vos pensées. La lumière dégagée depuis cinquante ans a aplani beaucoup de difficultés et d'épreuves, et a sauvegardé votre planète."

    Nous ajoutons enfin que cette notion révolutionnaire du temps cosmique semblait être connue du Maître Jésus-Christ, puisque qu'il préconisait ouvertement de "ne pas se préoccuper du lendemain et de vivre au jour le jour", sans doute pour mieux s'ancrer dans l'énergie relevant de la quatrième dimension, ce qui lui permettait évidemment de réaliser ce que nous avons appelé " des miracles", et miracles qu'il avouait, lui-même, être à la portée de chacun de nous.

      Dur... Dur, n'est-ce pas !! à encaisser, Messieurs les grands sceptiques, et autres intellectuels blasés ... Mais SVP, attachez... vite, vos ceintures, car le plus étonnant, est encore à venir...


         Si donc ces Maitres, ont raison, alors, on est pas du tout sur la bonne longueur d'onde, et ll faut s'attendre bientôt, à une remise à zéro des compteurs .

       A vous de juger, une fois de plus... tout cela, documents à l'appui ...


       Mais ce 1er Octobre 2018, disons que la disparition sur GoogleOldNews, des fameux journaux Palm Beach Daily News, en date du 9 Février 1947 et du Miami Daily News, en date du 25 Juin 1926 , nous conduit à remettre en exergue la superbe maxime :

"L'absence de la preuve d'une chose,
n'est pas la preuve de l'inexistence de cette chose"
.

          En effet le site ARTivision aurait vite été qualifié par les détrateurs zélés et zététiques, de site qui parle dans le vide, sans preuve tangibles, si nous n'avions pas trouvé juste à temps (notez la couleur fuchsia relative à la 4edimension), les copies des journaux en question, avant leur magique disparition, de GoogleOldNews, et évidemment, les extraordinaires images suivantes, (déjà expliquées plus haut ) :


     

,vont bien sûr, par ces Messieurs, être classées dans la catégorie des illusions d'optique. Point à la ligne...

     Ce que ces zélés détracteurs oublient, c'est que le site ARTivision, a toujours dans ses dossiers, d'autres ressources sous-jacentes, pour appuyer ses dires...

       Analysons en effet plus avan, les lignes soulignées en vert dans la liste suivante de R . Bernard 1971, déjà présentée plus haut :


      On le sait déjà cette surprenante liste, nous vient d'Amedeo Giannini, tirée de son livre de 1959 : "Mondes au-delà des pôles":

      Mettons alors, quelques couleurs, dans cette superbe déclaration :

Janvier 1956 " Le 13 Janvier, des membres de l'expédition des Etats-Unis ont accompli un vol de 4320 km à partir de la base de McMurdo Sound, située à 640 km à l'ouest du Pôle Sud et pénétré dans,une terre sur une distance de 3700 km au-delà du pôle". Message radio en provenance de l'expédition antarctique de Byrd, confirmé par la presse américaine du 5 Février 1956."

         Disons alors, pour les puristes, que la déclaration fracassante ci-dessus, de la la Navy américaine, a bien sûr, été supprimée des colonnes des grands médias ayant pignon sur rue, mais il se pourrait bien, qu'une "feuille de chou", ait échappé à la censure et qu'un internaute béni, puisse mettre la main dessus,. Nous pouvons dire alors ici, qu'il aura gagné bien plus que le gros lot au loto...

         Disons enfin, que cette ahurissante déclaration de la NAVY mise en exergue,on le sait, par Amedeo Giannini, aurait été pour ARTivision, très conjecturale si nous n'avions pas eu la très grande opportunité de recevoir chez nous, en Février 2015, (bravo, encore une fois, à Super hasard) cette excellente revue (déjà présentée dans le premier volet) :



     A la page 42 on y trouve une missive d'un certain David COX, habitant 2546 Sepulveda Blvd, W. Los Angeles 64 .Calif, envoyèe à l'époque au Directeur Ray Palmer, de la revue.

     En voici le début, qui nous semble très significatif :


     Et voici, une traduction que nous a proposée notre amie Nicole, passée hélàs, on le sait, dès lors dans une autre dimension :

" Votre article : "soucoupes volantes venant de la Terre" , dans votre dernier numéro de F.S. est l’article le plus surprenant que j’aie lu depuis que je me suis intéressé au phénomène en 1952.

     Le ton positif, presque agressif de l’article, semble suggérer, que vous êtes vraiment tombé sur "quelque chose" après des années de recherche.

     Votre article est rédigé de manière très sérieuse, toutefois et c’est une bonne chose, que nous en soyions convaincus.

     Dans la préface, vous commencez à considérer votre vérité (affirmation) , comme inattaquable, et que des faits déja connus, comme tellement importants, sont cosidérés comme .. top secret . Il y a grand danger … etc.. Est-ce que cela est vrai ? Je pense que vos lecteurs ont le droit de savoir, jusqu'à quel point de telles affirmations sont valables.

     L’idée d’une terre creuse, est bien évidemment captivante, c’est le moins que l’on puisse dire, et elle n’est pas trés éloignée des idées de M.K. Jessup, au point de vue de l'origine des disques volants. (je sais que les soucoupes existent, en ayant vu une moi-même, du début de l’année dernière à Los Angeles).

     Je me souviens quand ont été diffusés les rapports de la Marine, dont les appareils ont volé jusqu'à 2 300 miles (environ 3 701km) "au-delà" du Pôle Sud, et je me suis quelque peu interrogé à ce sujet, et j'ai pensé qu’il s’agissait d’une erreur typographique ou autre coquille d’impression. Puis j’en ai moins pensé, n'ayant aucune idée, que ce fait puisse contenir une signification aussi fantastique, que celle que vous lui attribuez."


Fin de citation

     Donc dans cette lettre à Ray Palmer, le lecteur David COX, plutôt sceptique, affirme avoir lu ou entendu, le rapport de US NAVY, mais hélas, il ne dit pas où, et le petit détail, donnant les coordonnées de l'information (Radio, ou nom du journal en question) est manquant... et c'est justement cela, que nous recherchons depuis des lustres...,

    Si donc, un petit journal de l'endroit, où peut habiter, un internaute quelconque, a publié l'info en question, ce sera pour lui, le super BUZZ :

    Où donc peut-on (sauf en radio bien sûr), trouver ce rapport de la NAVY et Quel organisme à part l'INS (International News Service) à l'époque, publiait ces rapports ?

      Voilà, ce que l'on doit trouver, absolument, et qui est bien sûr, d'une importance inimaginable .

     Mais les latinistes disent souvent : "Testis unus, testis nullus" : Témoin unique, témoin nul. Cela fait désormais une deuxième personne, ( la première est A. Giannini), qui affirme avoir eu en main ou entendu, les rapports de US NAVY, qui parlent d'un vol de 2300 milles (3701 km) au-delà du Pôle Sud.

      On trouvera bien un jour en plus, un autre journal qui mentionne cela. Mais le 5 Février, étant un Dimanche, il convient aussi de fouiller à la date 6 Février 1956...

      De plus, voici d'ailleurs, un schéma, qui montre bien, le côté vraiment hors normes de cette affaire, et schéma, où nous avons tracé un cercle rouge, centré sur le Pôle Sud, et ayant les 3700 km, mentionnés de rayon :

(Tiré de l'ouvrage Fernand Nathan de 1997, réservé aux élèves de 6 éme.)

     Et, l'on voit alors bien, que parcourir 3700 km (2300 miles), à partir du Pôle Sud, nous conduit directement dans l'océan, et donc cette déclaration est incompréhensible, si l'on ne fait pas appel, au vortex polaire sud , que l'on dissimule assurément par un énorme disque noir, sur cette photo de la revue bien connue Science&vie de Novembre 2004, numéro 1046.


      Rappelons aussi que nous avons parlé dès le 18/04/2011, de ce K. Jessup auquel fait allusion le lecteur nommé David COX, dans notre article :

http://www.artivision.fr/TheCanadianNatNewspaper.html

      tel que :

      " Astronomy literature reports the sighting of a 12-mile bridge-like structure over the Sea of Crisis in 1954 by John O'Neile, and in the 1950s astronomer Morris K. Jessup realised that UFOs had bases on the Moon (and so does the government of course). Other strange lunar phenomena are: the observation by Dr. Frank Harris of a black body on the surface, 250 miles long and 50 miles wide; clouds and lightning; strange moving shadows and objects, and spire-like structures thousands of feet high; a huge boulder with tracks (behind it) from inside a crater to the rim (uphill); the shrinking, over a period of time, of the crater Luna from six miles in diameter to one and a half miles; 'hill' effects in craters appearing and disappearing in a few hours; over 800 substantial observations made by scientists of blinking and flashing lights; the results of NASA photographs of the lunar surface, indicating several large pyramid structures, strange rifts in the surface with entrances, massive girders, machinery and some 1000 kilometre blocks of metal, alongside tears in the surface. This reveals massive subsurface interior 'plumbing', huge crosses a mile long, and enormous excavating equipment."

      Les fervents de la langue de Shakespeare, traduiront assurément, bien mieux que nous, ce passage. Merci d'avance.

      Donc, ce David COX, en connaissait certainement un rayon sur les anomalies spatiales, dommage qu'il n'a pas été très bavard concernant l'origne des "rapports de la Marine", ayant eu des appareils, pouvant voler, jusqu'à 3 701km "au-delà" du Pôle Sud .

      Finalement, ces rapports de la NAVY, ont certainement été publiés par l' International News Service et ( où sont donc actuellement les archives de cette Agence ?) et publiés aussi très propablement par un journal, de petite envergure des USA ou du Canada, ou même d'Australie, ou d'un autre pays, et qu'il faut retrouver absolument...

      Mais pour les puristes qui en veulent plus, voici un autre document, qui prouve concernant alors le Pôle Nord, qu'à l'époque, de nombreuses autres expéditions étaient en voie de réalisations, comme si, ce Pôle Nord se trouvait être bizarrement, comme le sommet de mât de cocagne..

      Voyez donc, vous-même cette affaire étrange de recherche, dans le coin, d'une terre inconnue

:
Article tiré du "The Reading Eagle" du Lundi 10 Mai 1926

      Nous n'avons reproduit, qu'une petite partie de l'article, où l'on insiste surtout de la dangerosité de l'expédition, et ce qui est surprenant, c'est que Vilhjalmur Stefansson, un explorateur canadien des régions polaires du nord (1879-1972), affirme déjà, que Byrd était à la recherche d'une terre inconnue, et l'on affirme aussi plus bas que George H. Wilkins, lui aussi cherchait une affaire de nouvelles terres.

        A vous de juger tout cela ...documents à l'appui.

     Mais ce 03 Octobre 2018, passons à notre 9e focus, qui on le verra bien, vaut son pesant d'or. car il va nous permettre d'éclaicir, tant soit peu, pas mal d'interrogations concernant les expéditions de Byrd restées en suspens.

Neuvième focus :Quand ARTivision, sort de ses dossiers d'incroyables documents (dont les sources sont hélas inconnues) mettant en exergue des expeditions secretes de Byrd au Pôle Nord

      Pour commencer, présentons ce passage extraordinaire de Monsieur Jean Brun, tiré de l'hebdomadaire Nostra, n° 425 de la semaine du 29 Mai au 4 Juin 1980, dont voici pour les puristes, la couverture importante :


      Et voici, le début de l'article, en page 15 :

     Selon cet article l' amiral Byrd, aurait vécu une aventure tout à fait exceptionnelle dans les glaces du Pôle Nord :

    Début de la digression :

    L'amiral Richard Evelyn BYRD, Grand Chancelier de l'Ordre de la Fayette et de la Croix du Mérite, secrétaire perpétuel de l'Académie Fédérale de la Marine et des Sciences ,

        Voici donc quelques lignes de cet article:

    "Byrd, accompagné d'un capitaine de vaisseau et de deux quartiers-maîtres, marchaient depuis des heures sur la banquise, escaladant les moutonnements chaotiques des glaces éternelles, dévalant de dangereux à-pics plus périlleux qu'un rocher vertical. Et soudain, du haut de la falaise blanche où l'expédition était parvenue au prix de mille dangers, ils découvrirent un spectacle inoubliable. Sous leurs yeux médusés s'étendait une longue vallée étroite et profonde couverte d'une végétation luxuriante et apparemment baignée d'un chaud soleil permanent. une véritable oasis de vie au milieu du grand désert de glace.
    D'un geste machinal, Richard Byrd consulta son thermomètre: - 58°! Son adjoint, le capitaine Fitin, nota sur le journal de marche:" Le 14 Juin 1926 à 74 m d'altitude à 12h 08 ". Les Quatre hommes se mirent à dérouler les échelles de corde pour rejoindre la merveilleuse prairie qui s'étendait à une centaine de mètres en contrebas au pied de la muraille de glace au sommet de laquelle ils se trouvaient.
    Après une longue heure de descente, ils avaient changé de monde : une plaine où régnait une végétation prolifique et presque paradisiaque s'étalait devant eux. La chaleur douce et pénétrante (le thermomètre indiquait 19°8) les obligea à quitter leurs équipement d'explorateurs polaires. Sous leurs pieds, ils foulaient une herbe drue et grasse. A perte de vue, en croyant à peine leurs yeux , Byrd et ses compagnons apercevaient des petits ruisseaux coupant les herbages naturels, des lacs, des collines boisées. A 1500 m environ, ils virent une tache brune qui se déplaçait lentement. Jumelles braquées, Richard Byrd observa un animal massif au pelage brun qui entra dans un fourré. Un animal qui ressemblait étrangement à un mammouth.
    Hélas! il fallait borner là, l'exploration de ce jour. La fatigue de chacun, le manques de vivres, l'épuisement des accumulateurs de radios faisaient un devoir au chef du détachement d'ordonner sans perdre un instant le retour au campement de base.
    Après avoir repris quelques forces et renouvelé leurs équipements, Byrd et ses compagnons prirent (à nouveau) la route pour tenter de retrouver ce qu'ils appelaient entre eux le "paradis perdu". Malheureusement, il leur fut impossible de retrouver la vallée. Située pratiquement à quelques kilomètres du pôle géographique, il avait été impossible au capitaine Fitin d'en effectuer le relevé des coordonnées topographiques. Sous leurs yeux médusés s'étendait une longue vallée étroite et profonde couverte d'une végétation luxuriante et apparemment baignée d'un chaud soleil permanent, une véritable oasis de vie au milieu du grand désert de glace.
    Fin de citation.


     Notons, qu'avec grand regret, nous n'avons pas trouvé les sources importantes relatives à cet extraordinaire récit de Mr Jean Brun, et nous ne pensons pas qu'il puisse s'agir du philosophe Jean Brun (1919-1994), qui fut professeur à l'Université de Dijon de 1961 à 1986. Nous implorons donc, avec la plus grande déférence, tout internaute qui connaîtrait ce Monsieur (s'il est encore vivant), de lui demander la nature des documents, où il a puisé, les éléments étranges de ce qui précède. Il y va de notre plus grande compréhension de la géographie de notre Terre, et, vous allez vous en rendre compte plus bas, il y va même aussi, de notre meilleure appréciation du contexte de notre système solaire. Merci d'avance...

     En effet, disons ce 03 Octobre 2018, que le texte du Nostra n°425 de la semaine du 29 Mai au 4 Juin 1980, présenté ci-dessus sous la signature de l'énigmatique Monsieur Jean Brun, (qui pour une raison sans doute ultra secrète, n'a pas cité ses sources), n'était en fin de compte, qu'un court condensé, paru vers le 6 Avril 1972, d'un autre article bizarrement non signé, et paru dans la revue Nostradamus (ancêtre de Nostra)

 


        Nous allons donc devoir faire ici, une importante digression, qui consiste à présenter l'affaire du très mystèrieux n° 52, de la revue Nostradamus de l'époque.

      Il faut d'abord savoir, que la revue "Nostradamus""L'hebdomadaire de l'actualité mystérieuse", (comme elle était présentée à l'époque), avait le format (29;43), et dont le n° 1 (que nous possédons toujours) est du 13 Avril 1972, et elle a duré environ 10 ans jusqu'en Juillet 82. Elle s'est appelée Nostra à partir du n° 147 du 30 janvier 1975 format (20; 28) .

     Mais après le n° 51, il s'est passé une chose bizarre, que nous n'avons jamais pu expliquer. Si n° 51 et 53 étaient tout à fait normaux (format 29;43), nous n'avons jamais reçu le n°52, mais il est arrivé à l'époque une sorte d'ersatz du journal, de format plus petit (27;39), sans n° et sans date. Comme-ci la rédaction ou l'imprimeur avait eu un empêchement quelconque pour produire la revue normale. (Grève, rupture de stock etc..)

       Nous en avons déduit plus tard que cet ersatz représentait bien le n° 52 manquant, et que la date de sortie devait être le 6 Avril 1973. Pour tester cette affaire, lors de notre visite à la Bibliothèque Nationale de Paris, en 1992, (voir pourquoi sur le document suivant et la page Byrdsuite.html )



, nous aurions dû, demander au préposé de la BN, d' aller nous chercher, ce n° 52, de la revue NOSTRA et surtout, bien noter son explication devant l'inexistence de ce n°. Hélas nous avons oublié de le faire. Avis à l'amateur...

      Fin de la digression.

      Mais d'une part, le format étant trop grand pour notre scanner, nous avons dû couper le document de couverture, et d'autre part, étant donnée l'humidité qui règne au pied du volcan où nous habitons, les convertures de ce n° 52 fictif ont été détériorées. Veuillez donc excuser, le manque de netteté des images que nous reprenons ici, étant données leur importance :

 


      Mais ce qui nous a amené à parler de cette histoire, c'est que justement, ce n° fictif 52, possède un article unique en son genre, pour l'époque et article qui nous interpelle absolument quant aux sources qui ont servi à son élaboration.

      Mais voyez donc vous-même :





       Nous avons évidemment coupé la publicité de l'époque dans la deuxième partie de la feuille.

      Bien que les caractères soient encore lisibles sur ses deux images, pour ne pas vous fatiguer la vue, voici la digitalisation de ce document.

      " Richard Evelyn BYRD, Grand Chancelier de l'Ordre de la Fayette et de la Croix du Mérite, secrétaire perpétuel de l'Académie Fédérale de la Marine et des Sciences, n'avait jamais été aussi stupéfait. Le flegme légentaire des officiers de l'American Navy faisait place sur son visage à son étonnement qu'il n'avait pu contenir.

      Dieu sait pourtant qu'au cours d'une longue carrière d'explorateur polaire il avait subi de dures épreuves : il avait vu trop de ses plus fidèles compagnons, morts de froid et d'épuisement, immergés dans l'océan sauvage, une gueuse de fonte lestant leurs corps cousus dans une toile à voile, selon la séculaire coutume des matelots.

     Il avait supporté lui-même, jusqu'à l'inanition, la dure loi des expéditions en terres inhumaines loin des bases où la fraternité des amis aguerris réchauffait le cœur dans ce climat mortel.

     Mais là, avec deux quartiers-maîtres et un capitaine de vaisseau, il parvenait au bout de la surprise.

      - Je n'aurais jamais cru ça possible, Damned ! lança-t-il en jurant comme un vulgaire canonnier.

     De fait, même pour un marin américain que rien ne devrait étonner, il y avait de quoi être surpris.

     Richard Byrd venait de découvrir, au sein des glaces perdues au Pôle Nord, un véritable paradis terrestre !

     Depuis huit heures, il marchait sur la banquise, avec son équipe, escaladant les moutonnements chaotiques des glaces éternelles, dévalant de dangereux à-pics plus périlleux qu'un rocher vertical.

     Et soudain, du haut de la falaise blanche où l'équipe de pointe de l'expédition était parvenue au prix de mille dangers, le spectacle était inoubliable. Sous les yeux de Byrd médusé et de ses compagnons ahuris, s'étendait une longue vallée étroite et profonde, couverte d'une végétation luxuriante et apparemment baignée d'un chaud soleil permanent. Une véritable oasis de vie au milieu du grand désert de glace...

    D'un geste machinal, l'amiral consulta son thermomètre: - 58°! Son adjoint, le capitaine Fitin, nota sur le journal de marche:" Le 14 Juin 1926 à 74 m d'altitude à 12h 08 ". Les quatre hommes se mirent à dérouler les échelles de corde pour rejoindre la merveilleuse prairie qui s'étendait à une centaine de mètres en contrebas au pied de la muraille de glace au sommet de laquelle ils se trouvaient.
    Après une longue heure de descente, ils avaient changé de monde : une plaine où régnait une végétation prolifique et presque paradisiaque s'étalait devant eux. La chaleur douce et pénétrante (le thermomètre indiquait 19°8) les obligea à quitter leurs équipement d'explorateurs polaires. Sous leurs pieds, ils foulaient une herbe drue et grasse. A perte de vue, en croyant à peine leurs yeux , Byrd et ses compagnons apercevaient des petits ruisseaux coupant les herbages naturels, des lacs, des collines boisées. A 1500 m environ, ils virent une tache brune qui se déplaçait lentement. Jumelles braquées, Richard Byrd observa un animal massif au pelage brun qui entra lentement dans un fourré. Un animal qui ressemblait étrangement à un mammouth, placide et lourd comme ceux que l'on a rencontré en 1921 en sibérie centrale. Autour d'eux les gazouillis d'oiseaux et la stridence des cigales démontraient à l'evidence l'existence d'un climat subtropical.

    Hélas! il fallait borner là, l'exploration de ce jour. La fatigue de chacun, le manque de vivres, l'épuisement des accumulateurs de radios faisaient un devoir au chef du détachement d'ordonner sans perdre un instant le retour au campement de base.
    repartis sur la banquise, les explorateurs, un moment émerveillés, retrouvaient le grand silence blanc et la desolation du froid éternel. A leur retour, ils racontèrent leur découverte à leurs camarades restés au camp.

     Après une journée de repos tous voulaient retourner voir ce que l'amiral Byrd appela désormais le " paradis inconnu ".

    Malheureusement, il leur fut impossible de retrouver la vallée. Située pratiquement à quelques kilomètres du pôle géographique, dans la région même du pôle magnétique, il avait été impossible à l'ordonnance de l'amiral d'en effectuer le relevé des coordonnées topographiques.

    En effet dans cette région du globe terrestre, les boussoles deviennent folles et leurs aiguilles aimentées virevoltent sans jamais se fixer !

     Pendant des années dans son laboratoire de Boston, Richard Byrd, chercha à délimiter la position géographique de la vallée heureuse cachée au fond des glaces. Nostalgique du paradis perdu, il réalisa de nombreuses autres expéditions après s'étre entouré de toutes les précautions et de tous les détails qu'il jugeait indispensables..

    En 1929 il repartait de l'île Wrangel à l'estuaire nord de la Sibérie, avec la plupart de ses premiers accompagnateurs. Ce fut en vain.

    En 1936, accompagné d'Amundsen, il survolait sans résultat toute la banquise arctique avec les tout premiers hélicoptères. En 1947 encore, n'ayant pas perdu l'espoir de refouler à nouveau le merveilleux gazon du paradis polaire, il repartait avec un matériel ultra-moderne. Ce fut un voyage pour rien...

    Jusqu'en 1957, où il mourut brutalement d'un transport au oerveau, l'amiral américain n'a jamais retrouvé le paradis du fond des glaces...

    Et pourtant, sa découverte a été confirmée par un médecin de Los Angelès, le docteur Nephi Cotton. Celui-ci recueillit de l'un de ses patients un étrange récit. Le malade, habitant l'extrême nord de la Norvège, avait, avec un ami, entrepris une croisière en direction du pôle.

    Après un mois de navigation hasardeuse, entre les écueils et Ies icebergs, ils avaient atteint un pays où, selon leurs aifirmations, "la température était extraordinairement élevée" et "la flore était d'une richesse comparable à celle des pays tropicaux les plus fertiles".

    A plusieurs reprises, des expéditions quasi-clandestines furent organisées par des explorateurs norvégiens et anglais. Ce furent des tentatives stériles, car dans le voisinage du Pôle, les boussoles ne servent plus à rien et le hasard qui avait si bien servi Byrd n'a jamais consenti à aider ceux qui suivirent ses traces. Plus récemment et à trois reprises, les services spéciaux des grandes puissances du monde ont monté des explorations aussi couteuses que secrètes. Rien n'y fit. Au, désespoir des organisateurs, les barbouzes de l'ouest et de l'est sont revenues bredouilles.

    Le Paradis polaire garde jalousement son extraordinaire secret.

    Les survivants de l'expédition de 1926 rêvent encore de leur journée du 14 Juin. Avec l'amiral Byrd, ils affirment qu'ils ne furent pas victimes d'un mirage ou d'une hallucination. Ils se bornent, devant l'incrédulité générale, à répéter qu'un jour, on saura bien retrouver la vaIlée perdue...
"


    Fin de citation.


     Comme vous l'avez sans doute remarqué, ce document est bourré de détails pointus que l'on pourrait vérifier (comme par exemple, le nom de l'ordonnance de l'amiral Byrd : le capitaine Peter Fitin). Mais il n'est pas signé, et il n'indique pas hélas les sources utilisées pour faire l'article.

    Ce document précise clairement, que Byrd et ses compagnons ont bel et bien monté des expéditions sans doute secrètes au Pôle Nord en 1926, 1929, 1936, et surtout ce que l'on ne savait pas du tout, en 1947.

    Comme on y parle de Services spéciaux de Grandes puissances et de barbouzes, nous soupçonnons le fait que ce texte, proviendrait du savant atomiste Jacques Bergier, qui, on le sait, faisait partie des Services Secrets Alliés de la dernière guerre. Il a d'ailleurs écrit entre de nombreuses autres choses : Un Mémoire sur la détection électromagnétique des avions autour de 1939 et Le Manuel du parfait saboteur en 1943 .

     Mais, à part l'histoire du docteur Nephi Cotton, et la photo de la Terre, qui sont directement tirées du livre de R. Bernard "La Terre creuse" (A. Michel 1971):


, où donc Jacques Bergier (ou l'auteur inconnu), a-t-il pu trouver ces informations (qui ne courent pas les rues), concernant l'expédition de Byrd en 1926 et surtout les autres ?

     Mais, vous le savez maintenant, une partie de cet article a été reprise 7 ans plus tard, par Jean Brun dans le Nostra n° 425 de la semaine du 29 Juin au 4 Juillet 1980. (Voir plus haut)

     En conclusion une fois de plus, nous voyons qu'ici s'applique pafaitement l'adage : " L'habit ne fait pas le moine " , car en effet, ce n'est absolument pas dans les revues bien assises et qui ont pignon sur rue, comme "La Recherche", ou "Science&Vie"... etc... que l'on aurait découvert à l'époque, un tel document, que nous avons la chance inouïe, de posséder, (n'en déplaise aux zélés et zététiques détracteurs en vogue actuellement .

         Mais, pour compléter ce jour, les circonvolutions tortueuses de cette incroyable affaire, rappelons, à toutes fins utiles, qu''aucun détracteur zélé ou pas,, n'a, (depuis 14 ans au moins, en 2018), fourni, (en dépit des puissants logiciels qui circulent actuellement dans le monde informatique), la moindre étude sérieuse, pouvant démontrer la fausseté de cette incroyable image, venue d'Allemagne, et arrivée chez nous, le 13 Février 2004 :

  

      Mais ce jour, disons aussi que ce qui précède est largement suffisant, pour prouver techniquement parlant, ( ceci on le sait, est encore nié par la Science officielle), qu'il a bien existé sur Terre, il y a des milliers d'années, des civilisations superbement développées... et le site ARTivision affirme que les preuves incontournables de cela, nous attendent sur la Lune et dans ses environs, et en particulier nous l'avons vu plus haut, aucun pontife officiel, ou ses fervents et zélés émules intellectuels de nos unuiversités, ne peut expliquer cette découverte faite en fin 1973, par l'imprimeur Michel Girard, (décédé en fin Janvier 2003), sur la face cachée de la Lune, et dont nous vous redonnons volontairemenit ici, le très insolite aspect :


       Pour bien montrer, que nous nous sommes pas tournés machinalement les pouces, devant une telle affaire, nous nous sommes, bien sûr demandés pourquoi à l'époque en 1969, la revue Paris Match (voir d'autres articles concernant l'affaire du Chef des Archives photos de Paris Match), n'avait pas pu se procurer ses propres négatifs, pour monter ses articles, et cela reste pour nous, un vrai mystère, vu que cette revue avait probablement ses entrées à la NASA, comme nous rentrons dans notre cuisine.

      D'ailleurs en 1975, nous avons, nous-mêmes, facilement obtenu à L'agence USIS (United States Information Service ), sise à l'époque au cœur même de l'Ambassade Américaine, 2 rue Saint-Florentin Bureau 200 75042 Paris, pour la modique somme de 50 F de l'époque, un négatif presque identique à celui du Paris Match 1028, mais il s'agissait d'une photo prise non par Apollo 8, mais par Apollo 11 en Juillet 69. Hélas la partie de la face cachée de la Lune, qui nous intéressait était justement et malheureusement surexposée et l'on n'y voyait plus rien. Voici une photo du négatif en question :


     Et voici ce que l'on découvre après développement :



     Le cercle rouge tracé par nos soins, montre bien la blancheur notoire du secteur en question, où toute structure éventuelle a disparu, ce qui nous fait dire que la netteté de l'image est ici inversement proportionnelle au n° d'Apollo et autrement dit, chez Apollo 8, les images étaient bien plus révélatrices que chez Apollo 11, alors que cela, devrait être en principe l'inverse. A vous de juger.

     Voici d'ailleurs les tampons de l'Agence figurant au verso de la photo :



      L'agence USIS, n'avait chose bizarre à l'époque, que ce négatif à nous fournir et alors que nous lui avions apporté, en personne, la revue du Paris Match 1028, afin que son responsable puisse voir de visu la page 33, où se trouvait cette superstructure phénoménale d'Apollo 8 telle que :


      Ce responsable, dont le nom figure sur le tampon inférieur,, nous avait promis de retrouver à la NASA, rapidement le négatif qui nous intéressait vivement. Mais jusqu'à présent, nous n'avons reçu aucune réponse, de ce Monsieur, malgré diverses relances, et même nos vœux de Bonne Année, en début 1976.

     Pour entrer justement, à l'intérieur de l'Ambassade américaine, il fallait montrer patte blanche. Heureusement que nous avions, la carte de journaliste de la revue Ouranos, ce qui nous a permis d'accéder à cette Agence. Mais avant de parler à ce Monsieur; du Paris Match 1028, nous lui avons demandé, de nous montrer toutes les photos qu'il possédait, du Pôle Nord de la Terre. Il n'a trouvé qu'une seule que voici :


     Ce document, d'après les indications de la NASA placées au verso, serait une photo mosaïque, réalisée par le Dr David S. Johnson du "National Environnement Satellite Center", à partir des prises de vue en Avril 1967 du satellite ESSA.

     On constate alors, une fois de plus, que la zone concernant le Pôle Nord, et qui nous intéresse justement, a été encore ici, tout simplement escamotée, sans aucune explication, ni de la NASA, ni de l'Agence USIS. On aimerait bien savoir pourquoi, n'est-ce pas !!!

       En 1975, le préposé en question, et nous-mêmes, nous étions bien loin, à l'époque, d'imaginer ce qui se passe actuellement au sujet, de ces expéditions lunaires trafiquées de la NASA, et sur Google, si vous taper ceci : "La NASA a menti, au sujet du voyage lunaire", alors, on a actuellement, près de 78 900 réponses sur le sujet..

    La parole est donc désormais, aux spécialistes...

     Mais, si donc vous avez la très grande opportunité, de connaître ce Monsieur Guy ÉTÉVÉ (qui est certainement à la retraite maintenant et s'il n'est pas décédé), soyez assez aimable pour lui dire que nous attendons toujours qu'il nous obtienne, le cliché promis concernant la page 33 du Paris Match 1928 du 18 Janvier 1969... et s'il, vous donne signe de vie, alors soyez certain que vous venez de toucher plus que le gros lot au loto.

      Ce Monsieur, en effet doit en savoir un rayon, au sujet l'Agence World Book Science Service, qui possédait le négatif du Paris 1028, et sur, en particulier, la date de la troublante disparition de cette Agence...

         A vous donc de juger, tout cela, documents à l'appui...

      Mais ce 5 Octobre 2018, disons que cette affaire de vortex polaire largement évoquée plus haut , (et qui laisse de marbre les intellectuels suivistes du système bancal actuel) était connu dès le millieu du 16e siècle et pour le demontrer, nous allons encore faire appel, aux internautes qui maitrisent la connaissance du latin, et on va vite voir pourquoi !

        En effet, nous avons découvert, grâce à un très aimable internaute, un document exceptionnel de 1569, qui parle déjà à l'epoque de l'existence d'un inconcevable vortex, au Pôle Nord.

     En effet, disons encore bravo à Super Hasard, qui a fait surgir, juste au bon moment, un texte en latin qui nous a fait a fait tomber carrément, à la renverse .

      C'est en effet, le 03/01/2013, que nous avons reçu la remarquable missive suivante :

From: Pierre .............
Sent: Thursday, January 03, 2013 5:22 PM
To: fred.idylle@orange.fr
Subject: cartes "oubliées", mais pas par tout le monde...

     Bonjour Fred,

          Je vous présente tous mes voeux de bonne santé et de merveilleuses découvertes pour les jours à venir...

     Je pense que vous avez déjà lu le texte ci-dessous, qui est la traduction du latin d'un "cartouche" sur une carte de Oronce Finae(Relevé sur le site "Top Secrêt")

http://dossiers.secrets.free.fr/enquetes/terre.creuse.htm#02

, où l'on parle du n°27 de la revue "Top Secret d'Oct-Nov. 2006".

     Ce qui m'interpelle le plus, dans le texte ainsi que sur la carte en question ci-jointe, est la présentation du "trou polaire" à une époque à définir où la mer extérieure se serait engouffrée dans l'orifice polaire par quatre grands "fleuves marin" en tourbillonnant vers l'intérieur. et provoquant probablement de formidable vortex d'air entre l'intérieur et l'extérieur en forme de gigantesque sablier rempli d'air tourbillonnant.

     La zone d'exclusion aérienne des pôles doit également trouver une de ses causes ici: De gigantesques turbulences cycloniques!!!

     Les intra-terrestres eux-mêmes, ne peuvent probablement pas dans ces contextes là "sortir" ou "entrer" n'importe quand !

     Même eux, puisque la "respiration", dont vous parlez souvent, change sans cesse les conditions extrêmes de cet endroit si particulier...Il devrait donc y avoir ici aussi des "accalmies" au centre, pendant des transitions d'inversions qui doivent fatalement s'y produire.

     Des cartes très anciennes comme celles-ci seraient toujours utilisées par "l'armée" (laquelle? ou lesquelles?) ainsi que d'autres avec beaucoup plus de détails encore, mais elles, encore "classifiées" très probablement. (Du classifié Préhistorique, c'est pas courant!).

     La carte est très connue des chercheurs, mais je n'en connaissais pas la traduction de la légende en Latin qui n'apparait pas toujours visible sur les reproductions...

     Mais le Temps des Révélations, s'accélère de jour en jour si l'on sait observer...n'est-ce pas vrai?

     Amicalement,

     Pierre.


     Nous avons bien sûr, déjà remercié Pierre, pour sa si efficace contribution, aux recherches plutôt pointues d'ARTivision.

     Nous avons alors, vite retrouvé, le n° 27 de la revue "Top Secret" d'Oct-Nov 2006, de notre ami Roch Saüquere, (et nous avions totalement oublié ce qui suit de ce n° 27), et dont la couverture est ci-dessous, à gauche :

  


     L'image de droite correspond à la page 17 de la revue, où figure un texte extraordinaire d'un lecteur de la revue, placé justement dans la rubrique "Le rendez-vous des lecteurs".

     Mettons aussi en évidence, le texte en latin en cartouche, afin que tout spécialiste du latin, puisse en dire plus, si cela lui plait :


      Et voici, le texte surprenant de l'internaute Pierre C, de l'image de droite ci-dessus et qui comprend:

"Cher Monsieur, en complément de votre numéro Hors Série sur la Terre Creuse,

(note du Webmaster)

     Voici quelques commentaires et réflexions... La carte de Mercator, créée en 1569:

     Il y a trois ans environ, après avoir lu le chapitre I du livre "L'empreinte des Dieux", j'ai recherché d'anciennes cartes où l'on pouvait peut-être voir le trou au pôle. Nous sommes allés, ma compagne Lara et moi-même, à la bibliothèque de Bordeaux et, dans un ancien livre rempli de grandes cartes remontant au Moyen-âge, nous avons trouver une carte de Mercator présentant le trou avec une montagne au centre et quatre fleuves se déversant dans l'Océan Arctique.

     J'ai voulu savoir sur Internet avec un ami si nous pouvions trouver autre chose d'important. Sur un site nous avons pu voir que l'armée utilise d'anciennes cartes du XVIe siècle d'Orance Fine représentant le pôle avec des terres entourant le trou, très détaillées, libres de glace avec montagnes, fleuves, etc...

     Après avoir lu que l'armée utilisait ces anciennes cartes détaillées pour compléter ce que les satellites ne lisent pas sous 1500 mètres de glaces, j'ai découvert que ces cartes se trouvaient à la Bibliothèque Nationale de Paris. Lorsque j'ai voulu les voir, "top secret" s'est affiché sur l'écran.

     Il faut savoir tout de même que le célèbre géographe du XVIe siècle Mercator était le disciple d'Orance Fine.

     Voici la traduction du texte latin de la carte :

Sur la description ci-jointe du pôle Nord :

     Comme notre tableau ne pouvait être étendu jusqu'au pôle et les degrés de latitude se prolongeant indéfiniment, nous avons jugé nécessaire de reprendre ici la fin de notre description et de rattacher tout le reste au pôle. Nous avons choisi la figure qui convenait le mieux avec cette partie du monde et qui était capable de reproduire la situation et l'aspect de ces contrées comme sur une sphère. Pour ce qui est de la description, nous l'avons trouvée dans l'Itinéraire de Jacob Croyen d'Hertogenbosch (Nederland) qui cite certains des hauts faits d'Arthur de Bretagne ; mais pour l'essentiel, il la tient d'un certain prêtre qui vivait chez le roi de Norvège en 1364. Il était descendant, au 4e degré, de ceux qu'Arthur avait envoyés habiter ces îles et rapportait qu'en l'an 1360, un certain mathématicien anglais d'Oxford était venu dans ces îles ; les ayant quittées et étant parti vers des terres plus lointaines, il avait tout décrit et pris les mesures au moyen d'un astrolabe comme nous l'avons trouvé dans Jacob. Il disait que l'eau de 4 détroits était entraînée avec une telle violence vers un tourbillon intérieur que des vaisseaux, une fois engagés, ne pouvaient rebrousser chemin, sous l'effet d'aucun vent ; et que d'autre part, jamais à cet endroit le vent n'était assez fort pour suffire au transport de quantités de blé (?). Giraud de Cambrai donne des indications semblables dans son livre sur les merveilles de l'Irlande. Il écrit en effet : Non loin des îles du côté du Nord, il y a dans la mer une sorte de tourbillon prodigieux vers lequel affluent et se rassemblent de toutes parts, venant de lieux reculés, tous les flots de la mer. Se déversant dans les recoins secrets de la nature, ils sont là comme engloutis dans un abîme ; et si d'aventure un navire vient à passer devant ce gouffre, il est frappé, entraîné avec une si grande violence qu'aussitôt sa puissante voracité l'aspire irrévocablement.


          Pierre C.


     Il nous reste donc à retrouver, les écrits des personnages cités en rouge dans la traduction précédente, car un petit détail important, aurait pu échapper à l'auteur du texte en latin de l'époque. (Merci mille fois à l'internaute passionné qui découvrira ce détail)

     Et dire qu'avant 1972, le Webmaster d'ARTivision, n'avait jamais entendu parler d'aucun tourbillon ou vortex, de cette nature au Pôle Nord. Il n'avait même pas eu vent de cette affaire de mer libre de glace autour du Pôle Nord, telle qu'elle apparaît sur cette extraordinaire photo , (acompagnée de nos commentaires) et déjà présentée plus haut :



     Bravo donc, à ces courageux Mr Pierre C. et sa compagne Lara, d'avoir eu la sompteuse idée, de faire traduire ce texte latin sans doute écrit bien avant 1569...

     N'empêche nous pouvons déjà constater que le message de ce texte latin a dû attendre des siècles, avant que nous puissons en comprendre la portée, et de plus, il a fallu attendre que l'on invente les satellites, pour en confirmer l'exactitude , ce que nous cachent nos gouvernements depuis des lustres...

     Donc on voit que, chaque chose arrive à point nommé, dans ce monde que certains intellectuels blasés croient être livré à un hasard purement aléatoire.

     Nous pouvons même affirmer que si certains cosmologistes avaient eu le privilège de connaître ce document de 1569, ils n'auraient pas perdu, leur temps, à écrire des articles insignifiants. , comme il en est, de l'article dérisoire publié dans le n° 326 de la revue de vulgarisation Ciel&Espace de Juillet 1997. .

      Pour l'auteur de cet article, un certain Serge Jodra, sans doute, un astronome officiel qui, du haut de son statut social, croyait devoir fustiger amérement L'affaire de la Terre creuse, en disant qu'elle n'était qu'un fantasme relevant entièrement du mythe, sortes de propos fantaisistes, que justement notre article actuel, remet ici en cause totalement . Voyez vous-même :


     Puis, à la page 68, on trouve ceci :


     Donc, on voit bien que ce Monsieur Serge Jodra, dans cet article tristement mémorable, intitulé "Terre creuse voyage au centre d'un fantasme", met volontairement entre guillemets (en page 68) l'expression "mystère polaire":


et cela signifie, pour lui, qu'il n'y rien de mystérieux au Pôle, sinon un fantasme, comme il le dit si bien dans son titre. Point Barre...

      Mais justement à ce sujet, ce Monsieur, si fier de sa haute culture, aura un mal fou à expliquer le fait que le 26 Février 2011, nous avons reçu de nouveau de l'ami Sébastien du Canada, la missive importante suivante dont voici le début :

----- Original Message -----
From: Sebas c
To: fred.idylle@orange.fr
Sent: Saturday, February 26, 2011 2:05 AM
Subject: Byrd

          Bonjour Fred,

     J'aimerais vous présenter l'article du Leader Post du 31 janvier 1947. C'est un article ayant pour sujet l'expédition de Byrd vers le Pôle Sud en Février 1947.

Et voici l'url :

https://news.google.ca/newspapers?id=Kb9TAAAAIBAJ&sjid=kDgNAAAAIBAJ&pg=5209,4664847&dq=south+pole+secret&hl=en
.....................suite coupée...........


     Merci mille fois encore, à Sébasbien, pour sa si efficace participation aux recherches ARTivision.

     Après quelques ajustements, voilà ce que l'on découvre sur ce site, en page 15:

     Le titre surprend déjà " Byrd annonce ses objectifs pour aller investiguer dans le secret polaire " .

      Ah Ah... comme vous le voyez, il y a tout de même un secret à découvrir (contrairement à ce que prétendait le sieur Serge Jodra), dans ces immenses zones glacées extrêmement froides et couvertes de neige à l'infini, n'est-ce pas ?

       Nous reviendrons, une autre fois sur les propos surprenants de ce document.

       Mais ce jour, il nous appartient aussi de demander une fois de plus au Grand Maître de Findhorn, (voir alors Findhorn.html ), comment mieux appréhender les événements actuels : Voici sa réponse très énigmatique :

Que fais-tu de ta vie?
Es-tu content de flotter à la dérive,
de faire ce que tu veux, de vivre à ta manière,
sans une pensée pour qui que ce soit d'autre que toi-même?

Tu es libre de le faire ?

Beaucoup, beaucoup d'âmes vivent de cette manière
et se demandent pourquoi elles sont malheureuses et insatisfaites.

C'est uniquement lorsque tu apprendras à t'oublier toi-même
vivras pour les autres
que tu trouveras la véritable paix du cœur et le bonheur authentique.

La Source est là pour te montrer le chemin,
mais c'est à toi de le prendre.

Personne d'autre ne peut le prendre pour toi;
personne d'autre ne peut vivre ta vie pour toi.

Apprends à donner et pas seulement à prendre tout le temps.
Pourquoi ne pas donner à un niveau
et recevoir à un autre ?

La vie est une chose à double sens:

un donner et un recevoir constants.

Tu ne peux pas vivre sur toi-même

et trouver bonheur et satisfaction réels dans la vie .

Vis pour le Tout, donne pour le Tout et sois le Tout.

La petite voix :Eileen Caddy. Le Souffle d'or (1994).
Méditation pour le 5 Octobre, après adaptation
d'ARTivision.


      Dur... Dur, à encaisser, n'est-ce pas... cette philosophie cosmique, que ces zélés bien-pensants, n'hésiteront pas a ranger dans la catégorie de la démagogie sournoise réservée à nos brillants dirigeants politiques. Mais au fait, auront ils, d'abord pu déterminer où se situent La Source et son corolaire Le Tout , si bien présentés dans la méditation ci-dessus.


        En ce qui concerne, le site ARTivision, c'est le moment de dire que si ces bien-pensants, qui restent muets devant nos interrogations bien prosaïques et très terre à terre, alors ils garderont encore plus, le silence assourdissant de la pierre tombale, devant ces affirmations cosmiques du Grand Maître de Findhorn. Point à la ligne.

            Fred IDYLLE


     Article mis en page le 20/09/2018, et revu le 22/09/2018, et revu le 24/09/2018, et revu le 26/09/2018, et revu le 29/09/2018, et revu le 01/10/2018, et revu le 03/10/2018, et revu le 04/10/2018, et revu le 05/10/2018..

Pour tout contact : fred.idylle@orange.fr

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