Sandra Fellous en quelques mots
Sandra Fellous est issue d'un milieu de militants. Son engagement en politique est presque naturel. Pour elle, c'est par l'engagement politique que l'on peut agir sur certaines injustices et ce sont les lois mises en places qui contribuent à améliorer le quotidien de chacun. Elle représente le Modem. Après des études en sciences économiques, Sandra choisit la voie de l'entrepreneuriat. Elle crée, à 25 ans, sa première société. Elle lance un système de réservation de billets de spectacle à tarif réduit dans le domaine culturel. Quelques années plus tard, elle mettra sur pied une entreprise dans la communication et l'achat d'espace avant d'en créer une autre dans le vente à distance. Son parcours de chef d'entreprise lui a fait toucher du doigt tout ce qui peut être un frein dans entrepreneuriat en France. Ce sera un des axes de son engagement dans cette campagne.
Trois questions à Sandra Fellous
Pourquoi vous présentez-vous dans cette circonscription?
Sandra Fellous: Je connais bien ces quartiers de Paris. J'ai habité dans le 9e et travaillé dans le 1er et le 8e et c'est tout naturellement que je me suis présentée. Je veux porter les idées d'un parti à part entière, qu'est le Modem.
Comment comptez-vous exprimer votre engagement?
SF: Défendre les idées du Modem, c'est aussi le faire en lien avec les citoyens que je pourrais rencontrer lors de permanences. Il est important de créer de meilleures conditions pour le financement des entreprises. Les baux commerciaux sont trop rigides et parfois peuvent accélérer leurs difficultés. Il est important aussi de défendre les commerçants ou artisans qui sont installés dans des locaux depuis très longtemps et qui ont du mal à faire face à la présence de grands groupes.
Sur un autre plan, il faut rendre les actes de viols d'enfants imprescriptibles. On doit, sur le plan politique, interdire l'existence d'un parti qui se revendique "anti-sioniste" comme celui de Dieudonné. Il faudrait plus de contrôles des partis qui se présentent aux élections. Certains sont des partis fantômes. Il est préférable de vérifier leur authenticité car s'ils font plus de 1% de voix dans cinquante circonscriptons, ils reçoivent 1,70 euro par voix tous les ans pendant cinq ans. Enfin, il faut mettre un terme aux lobbies qui font pression sur l'Assemblée nationale. Ces pratiques sont totalement anti-démocratiques.
Pourquoi faut-il voter pour vous?
SF: Beaucoup de candidats se revendiquent du centre. Nous sommes ni à droite ni à gauche. Nous sommes un troisième parti libre et indépendant. Nous ne souhaitons pas la cohabitation mais nous sommes une force d'interposition. Nous devons éviter que la gauche s'enfonce dans une dette trop importante. C'est pourquoi il faut signer la "Règle d'or". Il y a aujourd'hui de la part du gouvernement des mesures d'affichages pour faire plaisir mais pas de politique de cohésion et de croissance. Le PS parle de croissance mais ne dit pas comment.
Propos recueillis par Katia Kermoal
Voir le site du Modem
Sandra Fellous est issue d'un milieu de militants. Son engagement en politique est presque naturel. Pour elle, c'est par l'engagement politique que l'on peut agir sur certaines injustices et ce sont les lois mises en places qui contribuent à améliorer le quotidien de chacun. Elle représente le Modem. Après des études en sciences économiques, Sandra choisit la voie de l'entrepreneuriat. Elle crée, à 25 ans, sa première société. Elle lance un système de réservation de billets de spectacle à tarif réduit dans le domaine culturel. Quelques années plus tard, elle mettra sur pied une entreprise dans la communication et l'achat d'espace avant d'en créer une autre dans le vente à distance. Son parcours de chef d'entreprise lui a fait toucher du doigt tout ce qui peut être un frein dans entrepreneuriat en France. Ce sera un des axes de son engagement dans cette campagne.
Trois questions à Sandra Fellous
Pourquoi vous présentez-vous dans cette circonscription?
Sandra Fellous: Je connais bien ces quartiers de Paris. J'ai habité dans le 9e et travaillé dans le 1er et le 8e et c'est tout naturellement que je me suis présentée. Je veux porter les idées d'un parti à part entière, qu'est le Modem.
Comment comptez-vous exprimer votre engagement?
SF: Défendre les idées du Modem, c'est aussi le faire en lien avec les citoyens que je pourrais rencontrer lors de permanences. Il est important de créer de meilleures conditions pour le financement des entreprises. Les baux commerciaux sont trop rigides et parfois peuvent accélérer leurs difficultés. Il est important aussi de défendre les commerçants ou artisans qui sont installés dans des locaux depuis très longtemps et qui ont du mal à faire face à la présence de grands groupes.
Sur un autre plan, il faut rendre les actes de viols d'enfants imprescriptibles. On doit, sur le plan politique, interdire l'existence d'un parti qui se revendique "anti-sioniste" comme celui de Dieudonné. Il faudrait plus de contrôles des partis qui se présentent aux élections. Certains sont des partis fantômes. Il est préférable de vérifier leur authenticité car s'ils font plus de 1% de voix dans cinquante circonscriptons, ils reçoivent 1,70 euro par voix tous les ans pendant cinq ans. Enfin, il faut mettre un terme aux lobbies qui font pression sur l'Assemblée nationale. Ces pratiques sont totalement anti-démocratiques.
Pourquoi faut-il voter pour vous?
SF: Beaucoup de candidats se revendiquent du centre. Nous sommes ni à droite ni à gauche. Nous sommes un troisième parti libre et indépendant. Nous ne souhaitons pas la cohabitation mais nous sommes une force d'interposition. Nous devons éviter que la gauche s'enfonce dans une dette trop importante. C'est pourquoi il faut signer la "Règle d'or". Il y a aujourd'hui de la part du gouvernement des mesures d'affichages pour faire plaisir mais pas de politique de cohésion et de croissance. Le PS parle de croissance mais ne dit pas comment.
Propos recueillis par Katia Kermoal
Voir le site du Modem