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Rappelons-nous qu'en 2014, certaines personnalités de la droite dure disaient en substance "la priorité ce n'est pas d'empêcher les jihadistes de quitter la France mais de les empêcher d'y revenir". On peut penser qu'une large partie de l'opinion publique adhère à ce discours.
Soyons cyniques jusqu'au bout. Ne peut on imaginer que ces djihadistes libérés, se retrouvant dans ce qu'il reste de l'#EI sont voués à une mort quasi certaine dans la mesure où la coalition internationale cherche à liquider le dernier carré de l'#EI en #Syrie @MartinPradel
Oui c'est ce que nos responsables politiques doivent se dire (Macron avait prévu la fin de l'#EI pour février) mais il y a bien des jihadistes tunisiens arrivés durant l'occupation américaine en Irak qui étaient toujours là en 2013, donc il y aura bien des Français qui survivront
On dira d’eux qu’ils ont rejoint volontairement l’EI, alors qu’il y sont en dernier lieu contraints. Moi, je pense aux enfants.
Bonjour . quoi qu'ils disent quoi qu'ils fassent (les décideurs) . les terros ont la vie longue et dure . ils continueront à assassiner de sang froid des innocents dans tous les pays .(gangrène ou lèpre: pas de vaccin)
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