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Avant-propos
L'article qui va suivre est du
Dr Fabrice Bardeau, chimiste écrivain,
conférencier, ancien Directeur du
Personnel pour la formation des ingénieurs au Centre
National d'Etudes Spatiales à Kourou en Guyane. Nous
sommes en relation épistolaire avec le Dr F. Bardeau depuis
Juillet 1992 et nous avons eu le privilège de le rencontrer
le 8 Déc.2000 lors d'un Salon de la
Santé et du Bien-être qui a eu lieu en Guadeloupe
du 6 au 10 Décembre où il a présenté les huilles
essentielles et les autres produits aromatiques naturels réalisés
dans ses laboratoires de COUIZA
dans L'AUDE en France.
Un grand merci donc au Dr
Bardeau pour son aimable participation culturelle à notre
site.
|
Les
derniers secrets de l'Île de Pâques et l'écriture
"rongo-rongo".
I Introduction
Il
est au milieu du grand océan, dans une région où l'on
ne passe jamais, une île mystérieuse et isolée. Aucune
terre ne gît en son voisinage et, à plus de huit cents
lieues de toutes parts, des immensités vides et
mouvantes l'environnent. Elle est plantée de hautes
statues monstrueuses, oeuvres d'on ne sait quelles races
aujourd'hui disparues, et son passé demeure une énigme.
PIERRE LOTI .
L'île de Pâques, est l'îlot le plus oriental de toute la
Polynésie à près de 2000 milles marins de la côte
chilienne. Son isolement.
à l'écart des grandes routes marines fut la cause
qu'elle resta si longtemps inconnue des navigateurs
européens. Mais, le
5 avril 1722 au soir
du dimanche de Pâques l'amiral hollandais Jacob Roggercen et sa flotte aperçoivent une terre inconnue. Il
nomme l'ile minuscule "PAASCH EYLANDT" soit "l'île de Pâques".
Voyez donc l'image ci-dessous :
II La genèse de l'
affaire.
Le débarquement eut lieu
le lendemain matin, mais le premier contact avec la
population fut
gâché par une tuerie. Une dizaine de Pascuans sont tués pour s'être livrés au pillage sur les
navires...
Roggereen reprend son
voyage le 10 Avril
à la recherche du continent
austral, but véritable de son voyage. Sa courte visite
lui permet de voir les gigantesques statues dressées sur
la côte, et son récit dévoile à l'Europel'existence d'une île
étrange peuplée de statues colossales.
Et ce n'est que cinquante ans plus tard en
Décembre 1770, que les Pascuans
distinguent de nouveau, des voiles à l'horizon. Il
s'agit cette fois-ci de deux navires espagnols commandés
par Don Felipe
Gonsalesy Haedo.
Les Espagnols prennent
possession de l'île purement et simplement au nom de sa
Majesté, le Roi
d'Espagne Carlos III. Elle est
alors rebaptisée Isla
San Carlo. Et puis, le14 mars I774, le fameux capitaine Cook,
fait escale à l'île de Pâques, lui aussi à la
recherche du fameux continent austral. Ses deux navires
la "Résolution"
et "l'Adventure"
mouillent alors dans
la baie de Hanga Roa.
La rencontre avec les
Pascuans est identique, ils sont amicaux, mais
terriblement chapardeurs et s'emparent de tout ce qu'ils
trouvent sur les navires. Aussi James Cook décide de
repartir dès le troisième jour pour éviter un
regrettable incident...
Louis
XVI demande alors à La Pérouse d'entreprendre une grande expédition dans les
mers du Sud pour "découvrir les terres ayant
échappé au capitaine Cook"
C'est ainsi que "l'Astrolabe" et "la Boussole" jettent l'encre le 9 avril 1785 dans la baie de Hanga Hoa.
Comme pour les autres navires, les Pascuants montent à bord
et s'y livrent au pillage. Mais, finalement les rapports
sont sans heurts et les femmes pascuanes sont une aubaine
pour l'équipage, ce qui fait dire à La Pérouse " Quant aux femmes, je n'ose me
prononcer si elles sont communes à tous ...Il est
certain qu'aucun indien ne parait avoir aucune femme et
, si c'est le bien de chacun, ils en sont très prodigues ".
Néanmoins, La Pérouse est
le premier à visiter l'île de fond en comble, à
examiner le sol, les plantes, les cultures, la
population, les monuments, les statues...
Durant cette exploration, Monsieur de Langle, accompagné de plusieurs officiers et du
jardinier des "Jardins du Roi de France", sèment " des graines, de choux, de carottes, de betteraves, du maïs. de citrouilles,
d'orangers et de citronniers " tandis
que des "chèvres, des moutons et des cochons"
sont offerts comme présents aux habitants.
Monsieur de Bernizet, le géographe de l'expédition, relève avec précision les plans des monuments et des grandes
habitations collectives. Mais la flotte de La Pérouse
disparaît mystérieusement en 1788. Ce n'est qu'une trentaine d'années plus tard, que l'on retrouvera les traces du naufrage aux "îles de Santa Cruz".
Heureusement, Monsieur de Lesseps, lors d'une escale au Kamtchaka le
7 septembre, ramena le journal
de La Pérouse. L'autre partie fut envoyée, plus tard de Botany Bay en
Australie.
FIN DE LA CIVILISATION PASCUANE
La cohorte des expéditions
suivantes, notamment celles des chasseurs d'esclaves,
déciment la population de l'île. Les "négriers" enlèvent les hommes et les femmes
pour les revendre comme esclaves.
Un millier de Pascuans sont ainsi capturés, soit plus de la moitié de la population
de l'île en 1 862.
L'évêque de Tahiti, Monseigneur Tepano Janssen, intervient alors auprès du Gouverneur de Lima pour que cesse ce trafic criminel d'esclaves
destinés aux carrières de guano du Pérou, où la
plupart meurent en quelques années. Les
missionnaires arrivent alors au secours des Pascuans.
Mais, s'ils parviennent à calmer l'ardeur des négriers,
leur zèle évangélique contribue à la destruction totale des
archives du passé.
En 1870 le
missionnaire Hyppolite Roussel, découvre
aux mains des derniers habitants, des tablettes de bois
recouvertes de signes gravés, d'une écriture inconnue. On les appelle "Kohau Rongo Rongo", c'est-à-dire "Bois Parlants".
Hélas, cette découverte
fut fatale aux archives de la civilisation pascuane. Les
missionnaires donnèrent l'ordre de détruire toutes les tablettes " Rongo Rongo", qui existaient sur l'île. On retrouve là
encore le zèle iconoclaste qui avait animé les
missionnaires qui
ont détruit tous les vestiges écrits des civilisations
Aztèques et Incas. A ce
Jour, il n'existe plus guère qu'une trentaine de Rongo Rongo dispersés de par le monde, entre les musées
et les collections particulières, dont un important lot à Braine-le-Comte en
Belgique.
LE MYSTERE DE
L'ÉCRITURE RONGO RONGO
Les pictogrammes gravés
sur les tablettes représentent des personnages, des
objets utilitaires: des poissons, lézards, singes, oiseaux,
pagaies, etc... stylisés.
Le nombre de caractères est de l'ordre de cinq cents environ. Il s'agit donc d' une écriture idéographique, et non d'une écriture alphabétique ou
purement syllabique.
En dépit des
contestations, cette écriture s'apparente d'une façon
frappante avec l'écriture
dite «proto-indienne» de la
vallée de l'Indus (Cette
écriture peut être datée au minimum de 2600 à 3000
ans avant Jésus Christ) . Malheureusement, toutes les études faites
sur l'écriture de
la civilisation harappéenne du Penjab, notamment celle de Mohenjo-Daro, n'ont pu
être déchiffrées à ce Jour!.
Voyez donc l'image ci-dessous :
On ignore donc l'âge de
ces tablettes " Rongo Rongo", de ces bois parlants, qui ne sont pas
originaires de l'île de Pâques et ceci, pour la simple
raison, que leur
bois n'existe pas sur l'île !
Le seul bois dur disponible est celui dont on a fait
les statuettes des fameux "hommes-oiseau", les dieux des ancêtres, sculptées dans le bois de "Toromiro" (sophora
toromire) qui tend à
disparaître définitivement. Les traditions
locales se contredisent, l'une dit qu'elles ont été
importées par les premiers colons venus sur les pirogues du chef Hotu-Matua, l'autre affirme qu'elles ont été gravées
dans l'île même, d'après des documents anciens aux
mains des envahisseurs polynésiens.
L'écriture de ces bois
gravés découverts sur l'île de Pâques est unique en
son genre. Il s'agit, comme pour le grec ancien, d'un "boustrophêdon", mais inversé, les lignes
impaires sont orientées de gauche à droite,
les lignes paires de
droite à gauche, et chaque
signe est placé la tête en bas. Il semble
que les indigènes aient su lire les "Kohau Rongo Rongo", jusque vers le milieu du siècle
dernier, avec la mort du dernier grand chef en 1860 tout juste avant l'arrivée des
missionnaires... Depuis, la tradition est perdue à
jamais, comme toutes celles détruites de la même
manière, comme les hiéroglyphes égyptiens ou mayas, par exemple...
Un fait est certain, c'est
que l'écriture des tablettes"Kohau Rongo Rongo" offre une telle similitude avec l'écriture
proto-indienne de la vallée de l'Indus, encore non déchiffrée, qu'il n'est pas
possible de douter d'une relation évidente entre les
deux.
Les pictogrammes gravés
sur les tablettes représentent des personnages, des
objets utilitaires, des poissons, des lézards ou des
caïmans, des singes, pagaies, oiseaux stylisés, etc....
Il s'y trouve même des éléphants ! Or, les singes et les
éléphants étaient totalement inconnus sur l'île de
Pâques ... Non, seulement les
envahisseurs de l'île de Pâques sont venus de l'ouest,
mais ils sont certainement originaires de l'Asie
sud-orientale comme le laisse à penser la présence de
ces animaux inconnus en Polynésie. On affirme même que
cette écriture est à l'origine de toutes les écritures
et même de l'une des plus anciennes : L'écriture chinoise.
MATA KITERANI, LES
YEUX QUI REGARDENT LES ETOILES
Depuis les débarquements
des envahisseurs polynésiens jusqu'aux marins
européens, ce sont "les statues de l'île de Pâques", les moai
, qui ont laissé la plus forte impression à
tous les visiteurs....
Mata Kiterani, de leurs grands yeux aux orbites vides,
ces immenses têtes regardent le ciel et donnent
l'impression de scruter les étoiles d'où sont venus, il
y a des millénaires, ces dieux qui ont laissé tous ces
témoignages...
ll y a peu, on a retrouvé
les yeux disparus. Sur le site d'Anakena
des yeux brisés sur le sol et reconstitués coïncidaient exactement
avec les orbites vides des
statues. Tous les Moai avaient des yeux en os, ou en vertèbres
de requins, avec une incrustation d'obsidienne
ou de corail pour la pupille. Les têtes
sculptées des Moai sont d'une impressionnante majesté. Leur hauteur varie en général de quatre mètres à six et
huit mètres. La
plus grande se trouve sur la côte nord sur l'Ahu Te Pito Te Kura, et elle mesure plus de dix mètres de haut et son poids est estimé à plus de 85 tonnes. Ce qui est le plus frappant, c'est que toutes
les têtes sont comparables à des têtes de Vikings,
avec une barbe ! Elles
n'ont rien a voir avec les Polynésiens ou les Pascuans, leurs successeurs....
Dans ce faciès, aucune
caractéristique des originaires polynésiens, il s'agît
de nez aquilins, de lèvres fines, de fronts hauts, bref,
il est bien évident qu'elles furent sculptées, il y a des milliers d'années
par un peuple totalement différent et étranger aux
envahisseurs maoris. Par
ailleurs, les primitifs qui s'installèrent sur l'île n'étaient pas en mesure
de sculpter des monolithes aussi imposants, avec des outils très rudimentaires en leur
possession, pierre taillée, os, bois, etc ... Jusqu'au XlXe siècle, les habitants de l'île étaient des tribus guerrières, anthropophages, qui se livraient encore aux
sacrifices humains, avec des connaissances technologiques
très réduites...
Les têtes géantes, les
Moai, sont presque toutes
disposées au bord des falaises et elles font toutes face
à la mer. On
ignore totalement, eu égard à leurs poids et à leur
taille, malgré les hypothèses les plus délirantes, comment elles furent déplacées de leur carrière ? Il en existe encore une quantité qui sont couchées
dans la pierre où elles ont été taillées, mais non
déplacées, et encore solidaires de la roche.
L'amiral Roggereen fut le premier à exprimer la surprise en voyant ces sculptures géantes :
" Des centaines de statues
gisent, éparses, au pied des pentes herbeuses du volcan Rano Raraku où elles sont encore emprisonnées
dans la pierre...
Sur cet îlot de 117,9OO km2 des Moai gisent près des ahu et dans la
carrière du volcan Rano
Raraku culminant à près de 150
mètres. Toutes ces sculptures ont été
abandonnées à différents stades de leur fabrication.
Certaines sont à peine ébauchées, d'autres presque
finies, d'autres achevées et finement travaillées
semblent prêtes à être enlevées...
Leur taille moyenne varie
entre cinq et sept mètres, La plus gigantesque occupe
toute l'arête de la montagne sur plus de trente mètres de long où elle est encore sertie dans la roche. Elle
aurait pesé entre 135 et 150 tonnes !
Mystère... "
On se demande pourquoi ces très lointains
ancêtres se sont donnés autant de mal pour sculpter ces
gigantesques têtes de pierre, et pour abandonner leur
ouvrage brutalement, alors inachevé?
On se pose la question,
d'ailleurs, pour tous les monuments cyclopéens qui ont
été édifiés par les lointains ancêtres, comme pour
toutes les
pyramides, par exemple ?
Les légendes racontent que le fameux, "Mana" , cette force comparable à la lévitation
permettait de déplacer des charges considérables,
telles que les statues, après leur finition au pied du< volcan Rano Raraku. Les géants de pierre étaient ainsi
acheminés, parfois à plus de dix kilomètres de
distance... Voyez donc l'image ci-dessous:
Mais, Ko Ihu ordonnait alors aux statues de
"marcher", jusqu'au lieu qui leur était destiné.
Enfin, pour donner vie à la statue, il
fallait la coiffer d'un énorme cylindre de tuf
volcanique rouge, le "pukao", sorte de chapeau terminé par un
bouton conique. Beaucoup de statues furent basculées par
les différents envahisseurs, et en 1834 , l'amiral
Dupetit-Thouars sera le dernier
européen à contempler les statues dressées sur leur
plate-forme.
III Conclusion.
Le mystère des têtes de
l'ile de Pâques,
dressées par un peuple inconnu, il y a des milliers
d'années, bien avant l'arrivée des Polynésiens, reste une véritable énigme.
FABRICE BARDEAU
IV prolongement révélateur en date du 28/12/2011.
Le 23 déc. 2011 nous avons reçu dans notre ami belge la missive superbe suivante :
----- Original Message
-----
From: Pierre L...
Sent: Friday, December 23, 2011 6:52
AM
Subject: Le passé de La
Terre...
Cher
Fred,
Que s'est-il passé sur l'île
de Pâques ?
Qui a écrit sur les statues
?
Source
:
Amitiés,
Pierre
Mardi 13 décembre
2011 2 13 /12 /Déc /2011 10:27
Incroyable, les statues de l'île de Paques déjà mystérieuses possèdent un corps !
La découverte ne date pas d’hier mais depuis quelques semaines refait surface sur internet : les statues de l’île de Pâques ont un corps !
Alors qu’elles sont vraisemblablement connues pour avoir une grosse tête, ces statues recèlent visiblement de nombreux secrets puisque plus de la moitié de leur taille est enfouie sous terre et révèle l’existence d’un corps et de mains.
Si on attribue au couple Routledge la découverte des parties enterrées des statues de l’île de Pâques, un groupe privé de recherches a récemment excavé une des statues pour y découvrir de nombreuses écritures sur le corps.
Située dans l’océan Pacifique, cette île volcanique a été découverte par le navigateur néerlandais Jakob Roggeveen, le jour de Pâques de l’an 1722, et est devenue ensuite possession Chilienne en 1888. Si de nombreux mystères entourent l’île de Pâques, la découverte de ces écritures enfouies sous terre risquent de relancer de nombreux débats.
En effet, si les scientifiques sont presque tous d’accord pour dire que c’est à la suite d’un écocide que la population (environ 4000) de l’île a disparue, qu’en est-il de ces géants de pierre enfouis sous terre ? L’ont-ils été dès le départ par les Rapanui (premières civilisations de l’île) ou bien le temps a t’il eu raison de ceux-ci ?
L'hypothèse la plus vraisemblable est qu'un raz de marée ancien a balayé l'île et sa civilisation ancienne, qui se perd dans la nuit des temps, est là, sous nos pieds de touristes inconscients du trésor caché qui nous attend. Les statues n'ont pas été enterrées, mais le déluge a dû transporter et amener tant de débris, de poussières et de terre que la civilisation a disparu comme effacée d'un seul coup.
On pense ici au mythe de l'Atlantide et du continent de Mu dont les légendes refont surface avec cette découverte exceptionnelle.
Mais pendant que nous y sommes sur l'île de Pâques proposons ici notre découverte qui risque que mettre très mal à l'aise les journalistes et écrivains irréductibles qui pensent toujours, à tord, que Lobsang Rampa n'a jamais été au Tibet et qu'il ne fut d'un ressortissant irlandais nommé Cyril Henry Hoskin.
nbsp; Dans l'ouvrage de Lobsang Rampa intitulé "C'était ainsi", le lama Mingyar Dunduf (ou Dundup) explique à Lobsang, que lors d'une plongée dans les annales akashiques, il a vu, à une époque où le Tibet était au bord de la mer, "d'étranges choses dans le ciel" et aussi "des êtres à la tête en forme de cône" qui vivaient comme nous sur cette terre.
Or dans son fameux troisième Oeil ,
Rampa dit aussi qu'il a visité une caverne sous le Tibet
où ont été conservés les
restes momifiés et couverts d'une pellicule d'or d'
êtres fantastiques qui ont disparu
actuellement de la surface connue de la Terre :
" Regarde mon fils, me dit le doyen
des Abbés. Ils
vivaient comme des dieux dans notre pays à l'époque où il n'y avait pas
encore de montagnes. Ils arpentaient notre sol quand les
mers baignaient nos rivages et quand d'autres étoiles brillaient
dans nos cieux.
Regarde bien, car seuls
les Initiés les ont vus.
J'obéis; J'étais
à la fois fasciné et terrifié. Trois corps nus, recouverts d'or,
étaient allongés sous mes yeux. deux hommes et une
femme. Chacun de leur trait était fidèlement reproduit
par l'or.
Mais
ils étaient
immenses. La
femme mesurait plus
de trois mètres
et le plus grand des hommes pas moins de cinq. Ils avaient de grandes têtes légèrement
coniques au sommet,
une mâchoire étroite, une bouche petite et des lèvres minces. le nez était long et fin, les yeux droits et
profondément enfoncés.
Ils ne pouvaient être morts, ils avaient l'air de
dormir."
Fin de citation.
Mais
cette description ne vous rappelle-t-elle pas la
physionomie de géants, eux,
bien connus ?,... Des géants dispersés par
centaines sur une petite ile perdue du Pacifique? : l' île de Pâques.
Cette singulière affaire de géants a fait sourire sous cape les archéologues qui se croyaient bien avisés et qui avaient oublié que, pourtant, dans un texte célèbre, on en parlait franchement :
" Quand les hommes commencèrent à se multiplier à la surface du sol et que des filles leur naquirent, il advint que les fils d'Élohim s'aperçurent que les filles des hommes étaient belles. Ils prirent donc pour
eux des femmes parmi toutes celles qu'ils avaient élues. Alors Iahvé dit : "Mon esprit ne restera pas toujours dans l'homme, car il et encore chair. Ses jours seront de cent vingt ans ". En ces jours-là il y avait des géants sur la terre et même après cela : quand les fils d'Élohim venaient vers les filles des hommes et qu'elles enfantaient d'eux, c'étaient les héros qui furent jadis des hommes de renom."
D'après la Genèse , chapitre III, versets 1 à 4. Bible d' Edouard Dhorme dans la collection "Bibliothèque de la Pléiade" publié chez Gallimard en 1956.
Cependant d'après A. D. Grad, le Kabbaliste mondialement connu, dans son livre intitulé "Les clefs secrètes d'Israël" pages 29 et 30, les termes en hébreu " bnei ha Elohim " traduits par Dhorme en fils d'Élohim, signifient sans contestation possible : " les fils des Élohim" (voir aussi à ce sujet : La Lune clé de la Bible de J. SENDY Editeur J'AI LU 1974).
Mais justement à propos de l'île de Pâques, voici quelques mots d'un très aimable internaute Xavier N :
----- Original Message -----
From : Xavier N......
To: fred.idylle@wanadoo.fr
Sent: Monday, September 17, 2007 5:49 AM
Bonjour
A propos des murs de Sacsahuayman de votre page de garde, voici un autre édifice dont les pierres sont aussi magnifiquement taillées! C'est sur l'île de Pâques, où je suis allé l'an dernier! Fantastique non ?
.......................................
Fin de citation...
Et voici, une petite partie, de notre réponse à ce si aimable internaute :
----- Original Message -----
From: fred.idylle@orange.fr
To: Xavier N.....
Sent: Wednesday, September 19, 2007 9:20 AM
Subject: Merci pour vos superbes photos et votre petit mot .......
Bonjour de la Guadeloupe encore appelée l'île d'émeraude.
..............................................................
Même si vous ne me dites rien des articles du site ARTivision , vous ne pouvez
pas vous imaginez combien ces simples petits mots de vous,
m'apportent de satisfaction et de confiance pour la suite de mon travail.
Merci mille fois.
Merci aussi pour vos superbes
images en provenance de l'extrordinaire île de Pâques. J' étais au courant de la
présence de cet édifice étonnant sur l'île, mais c'est bien la première fois que, depuis la création de
mon site en Janvier 1997, je
reçois des images de cette construction.
En effet, je possède de nombreux films en français du
célèbre l'explorateur suisse Erich von
DÄNIKEN et il montre, dans l'un d'eux, cet
édifice, où l'on utilise la même technique de construction que celle des Incas. Ceci est d'une importance capitale pour les recherches
du site ARTivision, car il
est difficile d'imaginer que des
incas, aient pu traverser l'océan sur environ
3700 km et aller
si loin du continent pour appliquer leur méthode inouïe de construction sur un
édifice magnifique de cette si petite île du Pacifique. D'ailleurs on n'a pas du
tout encore réussi à comprendre, comment ces incas arrivaient à tailler et à
joindre ces blocs ( Granite ou porphyre..pesant
parfois des tonnes ) avec
une telle perfection, que l'on ne puisse même pas glisser une lame de rasoir
dans les fentes.
Donc, il y a bien un lien entre les constructions des incas et celle de l'île de Pâques. Ce sont les mêmes Maîtres constructeurs considérés comme des Dieux et en visite sur cette Terre, qui en sont responsables .
Pour comprendre
ce lien, il faut, selon moi, faire un
déchirant retour sur le Passé de cette
planète, qui est beaucoup plus fabuleux que l'on ne
saurait le deviner. Le site ARTivision propose, pour explorer ce prestigieux
Passé, des pistes totalement
hors-normes, et des preuves irréfragables, qui font
grincer des dents, les chercheurs orthodoxes.
..............................................
Fin de citation
Tout cela n'est-il pas encore une confirmation des dires de Lobsang Rampa ? A vous de juger...
Article mis en page par Idylle Fred le 22/12/2000, et revu le 08/10/01, puis le 19/11/01, puis le 02/06/05, puis le 28/12/2011 .
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