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     Nouvel éclairage sur l'incroyable affaire
du Paris Match 1028, et sur
"l' épopée singulière d'Apollo VIII".


I Introduction.

     Des informations récentes et d'autres plus anciennes, nous invitent aujourd'hui à considérer l'affaire du Paris Match 1028, et surtout "l' épopée singulière d'Apollo 8", sous un autre angle, qui reste cependant à approfondir...

II Genèse de l'affaire.


     Le 7 Nov 2010 (Nous aurions pu, bien sûr, en parler plus tôt, dans par exemple dans notre article déjà très détaillé: LuneAffairetardive.html, ce qui prouve qu'ARTivision à encore de la ressource dans cette étrange affaire), nous avons reçu la missive étonnante suivante (les couleurs et la taille des caractères sont d'ARTivision):

----- Original Message -----
From: Jacques N.......
To: fred.idylle@orange.fr
Sent: Sunday, November 07, 2010 4:11 PM
Subject: Anomalie concernant le Paris Match 1028
           Très cher Fred

     Je viens de découvrir sur le Forum : http://88.191.91.156/SMF/index.php?topic=2438.0, la déclaration suivante d'un intervenant :

     "A noter enfin que le numéro de Paris Match est le 1028, daté du 18 Janvier 1969. La photo apparaît aux pages 32 et 33. Ce numéro a été retiré une seconde fois 10 jours après sa première publication, et l'anomalie n'est plus présente sur la photo. On pourrait croire alors à une erreur d'impression du magazine, mais l'anomalie refait son apparition dans un bouquin, "Quelques pas sur la Lune", éditée en Belgique en décembre 1969. La photo provient de L'Associated Press."



     Qu'en pensez-vous ?

     Très amicalement Jacques.

     Et voici le début de notre réponse de l'époque :

----- Original Message -----
From: Fred Idylle
To: Jacques .......
Sent: Monday, November 08, 2010 9:45 AM
Subject: Re: Anomalie concernant le Paris Match 1028.

     Très cher Jacques de B........

          Bonjour de la Caraïbe.

     C'est toujours avec un grand plaisir que je reçois votre missive. Mais cette fois-ci votre info me fait carrément tomber à la renverse , car je croyais être le premier à avoir révélé dès le 28/08/1998 , cette extraordinaire affaire du Paris Match 1028 , et voila que vous m'apprenez que l'on parle de cela, déjà en 1969 dans ouvrage. J'ai commandé immédiatement ce livre à AbeBooks.fr pour la somme de 14 € + frais d'envoi, et j'ai maintenant hâte de le parcourrir . Merci donc pour cette importante info.

     En attendant, je vous souhaite encore de bonnes découvertes sur ARTivision (qui bouge beaucoup ces temps-ci, est-ce un signe ?.... )
     Fin de citation...

     Nouvelle missive de nous en date du 7 Janvier 2011.

----- Original Message -----
From: Fred Idylle
To: Jacques .......
Sent: Sent: Friday, January 07, 2011 1:21 PM
Subject: Re: Anomalie concernant le Paris Match 1028.

     Très cher Jacques,

      Bonjour de la Caraïbe.

     Je viens de recevoir l'ouvrage de John Barbour  "Quelques pas sur la Lune" , et je n'y ai pas trouvé, l'anomalie mentionnée par l'internaute du forum en question :

http://88.191.91.156/SMF/index.php?topic=2438.0



et, en analysant de plus près je vois que :



, rien n'est donc visible à l'emplacement requis et sur le forum, on voit que c'est une affirmation en date 26 février 2008, parfaitement fantaisiste de ce Monsieur Akeenoya .

     Je suis, vous vous en doutez, tout à fait déçu.

     Amitiés tropicales
Fred


      Ce monsieur, sans doute pour se faire mousser sur le Web, auprès des copains de ce forum, n'a certainement pas eu en main l'ouvrage de Mr John Barbour, pour vérifier son affirmation totalement imaginaire et délirante...

     Hélas ce forum ne semble plus opérationnel, et vous comprenez maintenant un peu plus, pourquoi ARTivision ne rentre dans aucun forum, et nous le répétons encore ici à dessein, ARTivision n'appartient à aucun parti politique, aucun groupement, ne participe à aucun réseau social ou pas, ne praticipe aucune religion, et ne fréquente aucun séminaire, et même ne participe à aucune association...


      D'autre part, il va nous falloir ici, éclaircir cette affaire citée aussi par ce Monsieur Akeenoya qui s'est permis aussi d'ecrire évidemment sans aucune vérification : "Ce numéro a été retiré une seconde fois 10 jours après sa première publication, et l'anomalie n'est plus présente sur la photo. "

     Cette assertion bidonnée a été lancée par de nombreux sites dont celui-là qui oublie volontairement aussi de parler d'ARTivision:

http://photovni.free.fr/anomalie%203/pm1028.htm

Et on y découvre ceci :

" Que cette photographie a été escamotée par "X", et ce dans un délai extrêmement court, car elle ne semble plus figurer dans les bases numérisées de la NASA, ni dans le rapport de la Mission Apollo 8 édité par la NASA en 1969. Sans rentrer dans les détails, nous savons que ce fameux Paris Match n° 1028 a été publié une seconde fois pendant les dix jours suivant sa première publication et que la photographie, objet de cet article, ne présentait plus "l'artefact" concerné. Mais ceci est une autre histoire...
"


     Dans la même veine, Il y a aussi le texte du n° 61 de la revue Nexus de Mars Avril 2009, où apparaissait un super dossier intitulé : "La face cachée de NASA". Hélas dans ce dossier de Nexus nous découvrons aussi en page 19, un entrefilet concernant l'affaire du Paris Match 1028, où l'on a aussi oublié de citer le nom d'ARTivision.

     Que cette revue oublie de mentionner l'url d'ARTivision, dans les liens internet, qu'elle presente à la fin de son article, n'est pas une chose qui nous chiffonne beaucoup, nous en avons l'habitude. Mais la revue a osé déclarer, entre autres choses, ceci :

" Vite épuisé, le même numéro a fait l'objet d'un tirage complémentaire sur lequel la photographie, objet de cet article, ne présentait plus "l'artefact" concerné. "

     Nous avons écrit à cette revue pour lui signaler que lorsqu'elle a écrit les mots "vite épuisé", c'était une erreur, car pendant des années, nous avons commandé, progressivement, à la rédaction de Paris Match environ une dizaine d'exemplaires du n° 1028, et que chaque fois l'artefact en question, s'y trouvait, bien en place. Nous avons reçu une réponse qui nous affirmait que l'on ne pouvait plus actuellement obtenir ce Paris Match 1028 à la Rédaction.

     Mais comme ARTivision aime remonter aux sources d'une affaire, en vérifiant sur le site Web de Paris Match, nous avons constaté que cette assertion de la revue est encore fausse, car tout un chacun, nous l'avons vu le verifier , peut encore se procurer de nos jours, le fameux n° 1028 à :

http://paiement.parismatch.com/commande_numero/journal_commander.php
 
     Nous avons souligné cela à la revue Nexus, mais , ce fut le silence de la tombe, ce qui nous étonne grandement, vu le caractère affable que nous avons toujours accordé aux journalistes de cette revue.

     A vous de juger, une fois de plus, tout cela...

     D'ailleurs, voici le début d'une autre missive qui prouve notre propos :

----- Original Message ----
- From: Mikael.............
To: fred.idylle@wanadoo.fr
Sent: Friday, June 12, 2009 2:59 AM

            Bonsoir Fred

      J'ai commandé le Paris Match 1028, directement sur le site de Match, qui vend les anciens numéros, à l'adresse suivante :

http://paiement.parismatch.com/commande_numero/journal_commander.php

     Le service est impeccable. Le prix, frais de port compris, est calculé automatiquement suivant l'adresse du demandeur.

      J'ai retrouvé effectivement la superstrucure en question à la page 33 de la revue.

...............................

Fin de citation.



      Enfin on trouve aussi le site très beau parleur et fin conteur :

http://aliensmania.free.fr/index.php/sectionastronomie/lune0/lune3.html

qui, sans non plus parler d'ARTivision, ni faire allusion à l'épuisement du PM 1028 (une heureuse initiative pour ce site), a vampirisé de nombreuses photos d'ARTivision , et qui utilise largement la forme impersonnelle pour s'exprimer et dit par exemple :

     " ..Ni le journal, ni la NASA n’ont dénié répondre favorablement à la requête des ufologues de l’époque. Pire encore, les seules photographies retrouvées de la région lunaire concernée montre à la place de l’objet mystérieux une tache sombre. Certaines d’entre elles montrent des traces de masquages flagrants, "

     C'est le style de langage d'un internaute qui parle en général et en résumé de tout, sans jamais avancer un seul élément de preuve.

     Pour confondre ces vélléitaires de l'information, ARTivision, une fois de plus, va devoir sortir des documents privés de ses dossiers, en demandant humblement aux protagonistes impliqués, de nous excuser de mettre ainsi à nu leurs correspondances. Les historiens et fins chercheurs, qui ne manqueront pas un jour de fouiller dans cette incroyable affaire du PM 1028, nous seront reconnaissants d'avoir mis en exergue ces documents privés ...

     Toute cette affaire de Paris Match caviardés est partie de ce qui suit, initié par ARTivision bien sûr :

     Voici déjà une missive envoyée en Février 1999, par le Directeur de l'entreprise ci-dessous désignée :





      Donc, le 8 Février 1999, nous avons reçu de notre ami Fabrice Bardeau :



, auteur de nombreux ouvrages et en particulier chez R. Laffont de "Les clés secrètes de la chimie des Anciens", une photocopie de la page 33 d'un Paris Match n°1028 qu'il a eu la chance de découvrir dans un lot acheté en vrac de plusieurs Paris Match. Mais quelle ne fut pas notre surprise de découvrir qu'à la place exacte de la superstructure, il y avait une tache blanche caractéristique "d'un caviardage notoire" sans doute exécuté avec un scalpel soit sur le négatif avant tirage, soit sur la revue elle même bien que l'on distingue cependant la ligne inférieure de la structure .Voyez donc l'image ci-dessous:


au lieu d'avoir ceci :


     Hélas, les analyses poussées , qui auraient dû être faites sur deux Paris-Match différents (nous lui avons envoyé la page 33 d'un Paris-Match correct), pour tirer ceci au clair, n'ont pas pu être réalisées, alors que ces analyses auraient relancer le suspense de cette affaire à un niveau tout à fait Hors-normes .

     A notre plus grand regret, nous avons été obligé de laisser tomber cette piste côté Couiza de l'Aude.

     Les Webmasters, qui ont brodé leur texte autour de cette étrange affaire du Paris Match 1028, ont maintenant le fin mot de l'histoire. S'ils contestent les documents présentés ici, qu'ils nous avancent alors leurs propres preuves, au lieu des banalités dérisoires de leurs sites.

     Mais l'affaire ne fut pas close pour autant...Nous la poursuivrons prochainement.

     Venons en maintenant, à cette affaire d'images caviardées de la NASA, qui fut là encore, la découverte d'ARTivision, ce dont certains évitent soigneusement d'évoquer, et là encore nous allons sortir des documents incontournables qui le démontrent.

     En effet, voici une misive que nous avons adressée, le 30 Mars 1988 au chercheur chevronné et très connu Jean SIDER, auteur de plusieurs ouvrages très documentés sur les ovnis (et en particulier "ULTRA TOP-SECRET: ces ovnis qui font peur" préfacé par le Pr Rémy CHAUVIN (voir alors notre article RemyChauvininderirables.html) aux Editions AXIS MUNDI 1990) :


Cette lettre , comme on le voit fourmille de détails significatifs sur l'affaire en question des clichés de la NSA, et sur l'affaire du Paris Match 1028. Quant à notre amie de Paris Colette Lefèvre Cyril, ( qui fut secrétaire du "Courrier interplanétaire" dirigé par l'ami Alfred Nahon) , elle est justement décédée en 1988, le 21 Juin, et alors pas besoin d'essayer de la contacter.

    Voici donc les clichés que nous avons reçu de Jean Sider qui les avait commandés directement à la NASA:


Et au verso apparaît ce texte :

puis il y a aussi :


Et au verso apparaît ce texte, hélas pas très bien imprimé:

Puis il y a eu aussi ces agrandissements de la NASA:



    Pas besoin de sortir de l'Ecole Polytechnique, pour s'apercevoir que l'on a installé une superbe pastille de camouflage, juste à l'endroit où nous avons détecté la Superstructure en question :



A vous de juger tout cela, documents à l'appui, et nous n'avons pas tout montré...

    Alors Messieurs les velléitaires de l'info facile, réflléchisez à deux fois avant de vampiriser en douce les données pointues d'ARTivision.

    Mais tournons nos regards maintenant vers la mission Apollo 8 , qui aurait pris cette photo incroyable de la page 33 du Paris Match 1028 et analysons certaines caractéristiques de cette mission...

    Jetons d'abord un coup d'Oeil sur cette photo du Paris Match n° 1025 du 25 Déc. 1968, qui présentait en première page, les 3 astronautes de la mission :


    Mais en pages 32 et 33, ce Paris-Match 1025, nous présentait un superbe schéma que notre petit scanner a eu bien du mal à reconstituer :


    Et pas besoin de sortir de Polytechnique pour deviner, la grande complexité de l'entreprise, qui conduirait les protagonistes jusqu'à environ 400 000 km de la Terre, et entreprise menée à l'aide d'ordinateurs, qui à l'époque, avaient à peine la puissance d'une calculette actuelle de lycéen...

    Trois ans plus tôt, (c'est tout de même peu, pour faire d'énormes avancées techniques), nous découvrons un remarquable article de Mr Renaud de la Taille dans le n° 589 du "Science et Vie" d' Octobre 1966 et dont l'image suivante nous donne le titre :


     Voyons de quoi il ressort, bien qu'il ne sagisse ici, que d'une simple trajectoire concernant la capsule Ranger, percutant directement la Lune, sans une satellisation autour de l'astre :


     Nous ne pouvons bien sûr, sans subir les foudres de la revue "Science et Vie", vous transcrire l'article en entier, mais voici donc, en digitalisation les premières lignes :

    " Plus que trois ans maintenant, et l'homme posera le pied sur la Lune. Trois années encore, peu de . chose en somme, 36 petits mois, le temps pour un étudiant de finir une licence et pour un promoteur d'achever un immeuble. Et là, un cosmonaute un peu fatigué mais déjà émerveillé léchera la fusée pour aller s'asseoir au bord d'un cratère, dans l'aveuglante lueur d'un soleil que rien ne voile jamais.

     Peut-être même les Russes nous réserveront-ils la surprise de débarquer là-bas plus tôt encore ; ils ont promis d'être sur place avant les Américains. A priori, on peut leur faire confiance : ce sont leurs cosmonautes qui ont marqué toutes les grandes dates de la conqiiéte interplanétaire. Premier satellite : russe ; premier homme dans l'espace : russe; première photo de la Lune : russe ; première station posée sur notre satellite : russe ; premier homme sur la Lune: ... russe ? Espérons-le, car il y aurait alors encore moins de temps à attendre.

     Mais si les récents exploits, tant américains que soviétiques, avec Ranger, Surveyor ou Luna nous ont habitués à la course vers la Lune, il reste à comprendre pourquoi le cosmonaute n'est pas déjà sur place. Car tout de même, on satellise maintenant des charges de plus de 10 tonnes, on réussit des rendez-vous à journée faite, on va prendre Mars en photo à l'autre bout du système solaire, et toujours personne sur la Lune, c'est Irritant !

     Mais voilà, c'est qu'en fait l'astronautique n'a toujours pas de moteurs pour ses vaisseaux interplanétaires. Le cosmonaute entre deux étoiles est dans la situation d'un conducteur auquel il ne resterait que quelques grammes d'essence dans le réservoir pour faire Paris-Marseille. Juste un petit coup de moteur pour se lancer, et ensuite à la grâce de Dieu : tout le reste du parcours en roue libre. Alors que ce serait si simple avec un réservoir plein !

     L'astronautique en est au même point faute de moteur, ou si l'on veut de carburant : entre deux planètes le cosmonaute est toujours en roue libre. Le défaut de moteur est simple comme tout à comprendre : les fusées actuelles consomment tellement de carburant qu'elles sont incapables d'en emporter assez pour faire tout le trajet, ni même la moitié, le quart, le dixième ou le centième. Faute de stations-service sur le parcours, il ne reste plus qu'à continuer sur sa lancée.

     Encore faut-il exploiter au mieux cette lancée, en espérant qu'elle aura été assez forte pour emmener l'équipage jusqu'au bout. Pas question non plus de s'être un peu trompé de direction : là encore tout serait à refaire. Voilà pourquoi on parle toujours de l'astronautique comme d'une science de précision : tout le trajet doit être fait dans les quelques secondes du départ. Après, plus de moteur, plus de freins, plus de direction, ou si peu. Comment exploiter cette lancée ? A coups d'équations. Une fois partie, la fusée obéit aux lois qui gouvernent le mouvement des corps dans l'espace, et le trajet n'est plus qu'un problème de mécanique céleste. Problème particulièrement ardu dont nous allons dégager les grandes lignes, ce qui nous permettra de comprendre pourquoi-il faut au moins deux jours pour atteindre la Lune, à quoi servent les fameuses orbites de parking et pourquoi on manque si facilement la cible.

Une épingle entre deux aimants


     On sait que tous les corps s'attirent entre eux en raison directe de leurs masses et inversement au carré de leurs distances ; c'est la loi de Newton. La Terre attire les pommes qui tombent dans les prés, comme elle attire la Lune qui nous tomberait sur la tête si elle ne tournait pas. Heureusement, elle tourne, et la force centrifuge compense l'attraction. Mais cette attraction, comme nous l'avons dit, diminue avec le carré de la distance; une pomme est quatre fois moins attirée à 6 371 km d'altitude qu'au niveau du sol, puisque sa distance au centre de notre globe a doublé. On conçoit alors qu'il existe une distance au delà de laquelle l'attraction exercée par la Terre devient faible, tandis que celle exercée par un corps voisin devient prépondérante.

     Puisque nous nous intéressons ici au problème Terre-Lune, qui sont séparées de 384 000 km, la distance à laquelle on peut considérer qu'un satellite n'est plus sous l'influence de la Terre, mais sous celle de la Lune, est de 318 000 km ; la Lune est alors à 66 000 km de ce point. Retenons bien ces deux chiffres, car ils sont très importants dans toutes (es trajectoires qui visent notre satellite.

     On définit mieux ces distances en parlant de sphères d'influence : la sphère d'influence de la Terre par rapport à la Lune n'est qu'une grande boule fictive centrée sur notre globe et dont le rayon vaut 318 000 km. Celle de notre satellite est de même une sphère tangente à la première, centrée sur la Lune et de rayon 66 000 km. On admet alors qu'un mobile quelconque de l'espace est uniquement sous l'influence de l'attraction terrestre, s'il est dans la sphère centrée sur notre globe, et uniquement sous l'influence lunaire s'il navigue dans la sphère qui entoure la Lune. Ouvrons ici une courte parenthèse pour ceux de nos lecteurs qui ont quelques connaissances de mécanique céleste, car il pourra leur paraître curieux de simplifier à ce point un problème en réalité fort complexe. Le satel- lite entre la Terre et la Lune est à l'image d'une épingle entre deux aimants. (Les forces d'attraction magnétiques obéissent en effet aux mêmes lois en mm'/r- ; il faut décoller l'épingle du premier aimant pour l'envoyer sur le second, et inversement.)

    De même on décolle le satellite de la Terre pour l'envoyer sur la Lune ; mais une fois dans le vide, il subit l'influence de tous les corps célestes environnants, de même que notre épingle subit non seulement l'attraction de nos deux aimants, mais également celle de toutes les masses aimantées voisines, en particulier celle du champ terrestre.

    Le satellite est donc attiré par la Terre et par la Lune, de même que la Terre est attirée par la Lune et par le satellite, et la Lune par la Terre. et par le satellite ; encore faudrait-il tenir compte de l'influence du Soleil, et même de celle des planètes voisines. On simplifie la question en ne considérant que l'ensemble satellite-Terre-Lune, et on arrive alors au problème bien connu des 3 corps qui s'écrit sous forme d'équations aux dérivées partielles tout particulièrement salées : il a fallu les travaux de plusieurs générations de mathématiciens pour préparer la solution rigoureuse du problème par Sundman. Et encore, un petit détail suffit à gâcher ce tableau réjouissant : les formules de Sundman sont inutilisables en pratique ! II faudrait calculer des millions de termes pour connaître à peu près le mouvement du satellite. Seules les machines à calculer, travaillant par solutions approchées, permettent aujourd'hui de mener à bien les missions interplanétaires.

    Ce sont ces méthodes de calcul approché, justement, qui ont montré que la théorie des sphères d'influence constituait une excellente approche du problème puisque la masse du satellite est négligeable devant celles de la Terre ou de la Lune. Reprenons notre épingle et nos deux aimants: l'épingle est mise en mouvement par l'attraction de l'un ou l'autre des aimants, l'inverse n'est pas vrai car l'épingle est négligeable devant ceux-ci. De même on pourrait définir une sphère d'influence autour de l'extrémité de chaque aimant : à l'intérieur de cette sphère tout se passe comme si l'épingle n'était soumise qu'à un seul des aimants.

    Envoyer un satellite vers la Lune va donc consister essentiellement à lui faire quitter la sphère d'influence de la Terre pour le placer dans celle de la Lune. Comme l'influence terrestre s'étend, pour le problème considéré, jusqu'à 318 000 km, le problème premier est d'envoyer le satellite au moins à cette distance ; à ce moment, plusieurs solutions sont possibles, et cela en fonction d'éléments fixes que nous allons définir maintenant.

    Le premier paramètre à retenir est la vitesse de la Lune sur son orbite : 1 km/s ; le second la vitesse de libération terrestre au niveau de la mer, c'est-à-dire la vitesse que doit posséderun mobile pour quitter définitivement la Terre d'un sel élan: 11,4 km/s. En dessous de cette vitesse, et suivant sa direction, ou le satellite tourne autour de notre globe, ou il retombe dessus ...
"

      Arrêtons ici cette description bien technique, qui nous explique plus loin, avec schémas, les détails de l'action de la Terre et de la Lune sur la trajectoire de la fusée.

      Mais, pour palier à certains inconvènients cités ici, ci dessus, nous savons que pour Apollo 8, il y avait, des dispositifs pointus de corrections de trajectoires, devant être utilisés avec une précision millimétrique.

      Mais, voyons tout de même, la conclusion finale de Mr Renaud de la Taille concernant le cas où l'on voudrait atterrir sur la Lune :


      Pour en savoir plus sur le sommaire de ce "Science et Vie" d' Octobre 1966 prière de consulter le super site suivant qui nous a beaucoup servi à découvrir ce qui précède :

http://science-et-vie.macollec.net/index_sv/contenu.php?collection=0&numero=589

      Mais concernant les caractéristiques du sol lunaire en Déc. 1966 le n° 591 la revue "Science et Vie", avait déjà présenté l'entrefilet suivant, dans sa rubrique Science Flash :


      Cependant c'est, dans le Paris Match n° 1027 du 11 janvier 1969, dont voici une portion de la couverture :


, que l'on nous présente cette intéressante image montrant le cheminement des 8 révolutions du vaisseau spatial d'Apollo 8 :


      Notre scanner ne pouvant pas prendre l'image en totalité, nous vous en avons présenté presque les 4/5 èmes.

      Le commentaire de la revue est alors : " Le trait indique les huit révolutions d'Apollo VIII à 112 km d'altitude. Ce parcours a permis le survol des sites convenant à un alunissage. Les nunéros désignent les cratères reproduits dans nos pages : 1: Cauchy ; 2: Gocleninus ; 3: Magelhaens ; 4: Colombo ; 5: Lagrenius. "

      Nous aurions, bien sûr, aimé avoir la même image correspondant à la face cachée de la Lune, car sur deux pages du Paris Match 1028 du 18 janvier 1969, qui vient juste après celui qui précède,


on découvre une superbe photo globale de la Lune, où apparaît une petite partie de la face cachée. Mais hélas toujours à cause de notre scanner, nous ne pouvons ici, vous en présenter qu'un petit quart environ :


      Des spécialistes détermineront à quelle hauteur cette photo a pu être prise par Apollo 8, car elle est vraiment sensationnelle. En effet au bout de la flèche rouge, on aperçoit une étrange anomalie ayant l'aspect d'un demi porte-avions de prés de 30 kilomètres de long, et dont la partie centrale serait constituée de sphères de près de 4 km de diamètre apparemment surmontées d'une sorte de" flèche gigantesque". Voyez donc les deux images ci-dessous déjà présentées plus haut :


     De plus, nous avons alors reçu le 27/05/2010, du Service de Création d'une entreprise spécialisée dans la 3D, une structuration imaginée en 3D, qui est la suivante :


Pour en savoir plus, voir notre page : http://www.artivision.fr/docs/match.html

      Hélas, tous les efforts d'ARTivision, ont été vains pour retrouver le négatif du cliché, utilisé à l'époque par Paris Match, qui l'aurait emprunté parait-il à l'Agence World Book Science Service , qui hélas n'existe plus. (Voir les missives en question dans notre article) :

http://www.artivision.fr/docs/lettreouverteTF1.html

     Mais cet article n'aurait certainement pas vu le jour, s'il n'y avait pas eu les récents URLs surprenants suivants :

http://www.nationalgeographic.fr/actualite/un-minerai-lunaire-decouvert-sur-terre/7914055/

     On peut alors vraiment considérer cette info conme très fiable, car elle nous vient d'un organisme presque officiel.

     Surprenante cette affaire n'est-ce pas, d'autant que cette information se rapproche de celle d'un "Science et Vie" n° 606 de Mars 1968 qui nous présentait déjà une région terrestre dont certaines caractéristiques minières, pouvaient être analogues à celles découvertes sur la Lune... Voyez cela vous-même :


, et ceci est accompagné du texte :


     Et il y a eu aussi, ces deux pages 66 et 67, nous expliquant les prouesses de Surveyor III :


     Il ne fut pas donc difficile, étant données des études poussées réalisées, de vite repérer sur Terre, les zones qui présentaient des analogies avec les roches lunaires dépistées.

      Puis, il se pourrait que ces Messieurs de la NASA, aient utilisé cette astuce du minerai trouvé sur Terre, pour nous faire croire qu'ils l'avaient ramené de la Lune. Mais il y a eu aussi de ratés, puisque l'on se souvient de cela qui n'a pas fait grand bruit à l'époque, car les principaux journaux télévisés, sont restés lamentablement bouche cousue, à ce sujet :

http://www.telegraph.co.uk/science/space/6105902/Moon-rock-given-to-Holland-by-Neil-Armstrong-and-Buzz-Aldrin-is-fake.html

Et en français c'est mieux sur le site :

http://www.operationteafortwo.com/2012/02/07/la-pierre-lunaire-offerte-a-la-hollande-par-les-cosmonautes-en-1969-est-un-faux/

      Mais comme tout cela peut disparaître, du jour au lendemain, voici de quoi il s'agit vraiment :

  

      Mais, il y a eu aussi ces temps-ci, et cette incroyable vidéo :

http://youtu.be/TG-2QKsPg24

concernant le livre récent, de Richard Hoagland,


, qui est l'un des plus grands spécialistes américains des recherches spatiales, qui affirme que la NASA a menti concernant certaines caractéristiques de la mission Apollo 8 :

     Comme cette vidéo peut disparaître du jour au lendemain, comme par magie, en voici quelques images très significatives :

     Voici d'abord,la présentation de son livre :


     Puis Hoaland parle :
  

  

     

     




    Nous pourrions bien sûr, ajouter bien plus d'images, mais toutes les bonnes choses ont une fin...

    Mais, d'après ce que nous avons révélé dans notre article clef :

http://www.artivision.fr/docs/Soria2012.html

, peut-on alors encore affirmer que, c'est Apollo 8, qui a pris cette photo incroyable du Paris Match 1028 ??? A vous de juger !!!


III La conclusion est telle que, si la NASA a "volé un œuf" pour Apollo 8 , elle a pu parfaitement aussi, "volé un bœuf", pour les autres missions.

     Tout cela vous laisse encore peu convaincu, alors avez vous déjà trouvé la réponse à la grave interrogation que nous pose par exemple, et il y en a beaucoup d'autres, la photo AS17-137-20979 d'Apollo 17 ? :


     Alors que l'on apperçoit clairement les traces de pas de l'astronaute sur le sol lunaire meuble, , la roue arrière droite de la jeep lunaire (dont le garde-boue, nous dit-on, a été bricolé très grossièrement au cours d'une sortie lunaire bien déterminée), n'a laissé aucune trace ni en avant, ni en arrière prouvant un déplacement quelconque de cette jeep. Autrement dit la jeep lunaire est arrivée , sans rouler sur le sol lunaire, après pourtant avoir fait, de grandes ballades ailleurs. Comme il n'existait pas de grue pour poser, à un moment quelconque, en douceur, cette jeep sur le sol, à cet endroit, soit tout ceci s'est passé "sur Terre" avec une vraie grue (et dans la précipitation de l'action, les opérateurs ont oublié les traces des roues), ou soit, et c'est encore bien plus grave, il s'agit d'une vulgaire manipulation photographique, de diverses prises de vues bien terrestres, et réalisées plus tôt. Donc ici, la tromperie est très claire , et si vous avez une autre explication, nous serions très heureux de la présenter ici. Point barre.

     Puis, n'oublions pas que l'on peut aussi encore trouver le Paris Match n° 1242 du 24 Fév. 1973, où figure l'article intitulé " Ils sont encore dans la Lune", et où; l'on tombe déjà à la renverse, en apprenant que Buzz Aldrin , le second astronaute à prétendre à avoir posé son pied sur la Lune, aurait été interné deux fois : Voici une photo de lui, déjà présentée par ARTivision (le document ayant été plié pour le converver dans un classeur, veuillez excuser les plis apparents sur la photo) :


     Vous avez bien lu cette phrase très insolite :"On nous croit des héros, mais la Lune nous a brisés". Quelle joie ce devrait être au contraire pour lui, d'atteindre la Lune, (comme la joie profonde d'un alpiniste arrivant, après bien des efforts, au sommet d'une haute montagne). Et on voit mal, alors, pourquoi il en a été brisé...

Mais il y a aussi le comportement plus que surprenant de Neil Armstrong . En effet Au sujet de ceux qui trouvent comme P-E Victor et consorts que les épanchements lyriques de Hayes (auteur de "La mer libre du Pôle" de 1877 que nous avons sous la main), ne devaient pas être de mise devant le spectacle fabuleux que lui offrait cette mer libre du pôle au sommet du monde, nous leurs dédions, à contrario, ces quelques lignes extraites du vieux Paris Match n°1242 du 24 Février 1973, déjà mentionné plus haut :


     Là, comme on le voit, nous passons d'une extrémité à l'autre. Où l'émotion bien humaine ( voir notre article : merlibresuite.html) s'exprime avantageusement, selon nous, pour Hayes, voici que pour Armstrong, dans une situation encore plus extraordinaire, puisqu'il s'agissait de débarquer sur un autre astre, (et là, il serait tout naturel, à notre avis, d'avoir à cet effet, le souffle coupé devant un tel paysage d'outre-terre), ce dernier, en véritable robot, refuse même de dire devant ces interlocuteurs seulement que la Lune est belle. Voilà, Messieurs les journalistes intrépides, un sujet d'article passionnant que représente ce parallèle à faire entre deux explorateurs si opposés dans la conception de la Vie. Il y a là, même pour des étudiants en Psychiatrie, Psychologie ou autre Philosophie, une thèse toute trouvée et surtout jamais réalisée à notre connaissance, sur une étude comparative de ces deux modes d'expression, des explorateurs précités...

    Donc on voit dans l'image précédente qu'Armstrong aurait pu amplement en tirer profit par les contrats publicitaires faramineux qui lui ont été proposés, et pourtant il est devenu comme un "ours en cage", fuyant dès que possible toute discussion concernant la Lune.

Voici d'ailleurs quelques phrases tirées de la page 99 de l'ouvrage très documenté de Pietro Banucci intitulé "La Lune" publié aux Éditions Bordas 1989 :

    "Après son débarquement légendaire, sur la mer de la Tranquillité, Armstrong se replie sur lui-même et évite, dans la mesure du possible, de parler du passé. Séjournant dans un quasi-exil à Cincinnati, il évite les journalistes et se contente d'un poste d'enseignant en technologie aérospatiale dans une université locale... A plusieurs reprises, il émet des opinions négatives sur la NASA. En Décembre 1972 après la mission Apollo 17 qui marque la fin de l'exploration humaine de notre satellite, il refuse une invitation de la NASA à une cérémonie au cours de laquelle il aurait dû poser pour une photo avec les onze autres astronautes du programme Apollo. La photo de groupe est donc incomplète. En Juillet 79, il refuse de se rendre à une "party" à laquelle l'a invité le Président Nixon... Il snobe également une réception donnée par l'ex-président en l'honneur des astronautes du programme Apollo dans sa villa du Pacifique en Californie...".

    Mais il y a aussi, le témoignage encore plus direct de David Adair, un ingénieur de réputation internationale spécialisé dans l'aéronautique, et ayant travaillé pour l'Air Force et la Navy des USA.

    Le 12 Mars 2006 l'internaute Jean B.... a eu la gentilesse de m' envoyer l'adresse du site suivant :

http://ovni.free.fr/davidadair.htm

où nous lisons la phrase importante de David Adair :

    " Je connaissais Von Braun quand j'étais gosse parce que je travaillais déjà très jeune sur des fusées au début des années 70 au moment où des hommes marchaient sur la lune. A une heure et demi de voiture de chez moi vivait Neil Armstrong qui habitait à Wapakenneta. Sa mère - Viola elle s'appelait - et moi, nous nous sommes liés d'amitié. Elle était une sorte de seconde mère pour moi, on se voyait tout le temps et je pouvais donc voir Neil également. Souvent d'ailleurs, je me rendais chez eux, je passais devant Neil sans y prêter attention parce que c'est Viola que je venais voir. Et Neil appréciait cela, le fait que je ne sois pas intéressé par sa célébrité et que j'aimais tout simplement sa mère. Neil était un homme très renfermé qui vivait comme un ermite... car lorsqu' il est revenu de sa mission sur la lune, il avait d'une certaine façon littéralement disparu."

    Arrêtons là, voulez-vous, ces propos significatifs, qui justifient parfaitement,  à notre avis bien sûr, l' expression "ours en cage", citée ci-dessus, et qui s'expliquent parfaitement en admettant le fait qu'Armstrong a été blessé dans son orgueil d'être humain , devant toute cette mascarade du Gouvernement américain et de la NASA sa complice.

... A vous donc de juger tout cela...

     Article mis en page le 02/08/2012 , et revu le 03/08/2012, et revu le 04/08/2012, et revu le 05/08/2012, et revu le 12/08/2012, et revu le 14/08/2012, et revu le 15/08/2012, et revu le 18/08/2012.

Pour tout contact : fred.idylle@orange.fr

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