Introduction.
Ce titre insolite, aura le privilège de nous permettre de faire
"d'une pierre deux coups" pour parler d'une manière très populaire.
Nous pourrons ainsi, en effet, l'appliquer aux deux volets constitutifs de cet article, à savoir:
Le premier volet consistera à mettre en exergue certaines déclarations extraites d'une émission de la Chaîne
"Planète Choc" (d'où déjà, la présence du mot "choc" dans notre titre), sur un thème déjà évoqué par
ARTivision dans plusieurs articles dont les principaux sont:
Cette émission n'a rien à voir avec celle très controversée, plutôt
"déluré" et
"dénaturée", nommée
"Opération Lune" que nous avions eu l'occasion de voir en
Avril 2003,
(Voir notre article notionsimportantes.html qui développe le sujet de cette émission) et dont nous vous présentons seulement à titre documentaire,
(pour les puristes), les références suivantes :
Mais, dans ce qui va suivre,
pas de faux-semblants et
d'interviews truquées, mais
là, on met carrément
"le pied dans le plat", tout en donnant aussi la parole aux opposants, qui ne croient pas à
la thèse du complot.
Le deuxième volet est, lui, tiré de
déclarations transcendantes qui vont hisser cet article à
un niveau difficilement croyable que l'on pourrait qualifier sans retenue de
"prophétique", domaine jusqu'à présent très peu évoqué par
ARTivision dont les recherches sont plutôt
pragmatiques. Mais les temps changent, et surtout les événements semblent se précipiter, ce qui justifie amplement,
selon nous, cette prise de position.
D'autre part, si
l'url d'un site, vu plus bas, ne fonctionne plus, vous pouvez toujours le retrouver en allant à :
II Genèse de l'affaire.
a) Quand la chaîne d'époque"Planète Choc" entrait en ligne.
Le programme de télévision de la semaine à l'époque nous montrait ceci:
Le
Dimanche 6 Février 2005, nous avons pu enregistrer le volet de 30 minutes de la chaîne
"Planète Choc" intitulé
"l'espace intersidéral" de la série d'émission
" théories du complot".
(Voir l'image ci-dessus).
Nous ne pourrons évidemment que vous présenter,
certains passages de ce film, que
nous avons jugé assez significatifs. Les puristes pourront toujours un jour, si ce n'est pas déjà fait, le visualiser complètement.
Mais que découvre-t-on de surprenant dans ce petit film ?
D'abord le générique nous montre ceci :
La première personne questionnée, ancien membre de la NASA (Nom non mentionné que nous appellerons par commodité Monsieur X ) :
"Apollo, c'est comme le couvercle de la boîte de Pandore. Il y a assez de preuves pour me faire douter qu'un homme est vraiment marché sur la Lune".
La deuxième personne questionnée :. On apprend après, qu'il s'agit du britannique
David Percy, photographe professionnel et producteur de films qui démontre que l'éclairage des photographies d'Apollo n'aurait pas pu être obtenu ailleurs que dans un studio sur Terre. Il affirme même connaître un informateur de la NASA qui aurait confirmé ses doutes.
"Tout semble être faux, quand on regarde les enregistrements des premiers pas de L'homme sur la Lune".
La troisième personne questionnée: (nous l'appellerons: Monsieur Y)
"Pourquoi les événements de l'espace sont-ils dissimulés? C'est très simple, les affaires étouffées, c'est la spécialité de la politique officielle."
On voit ensuite Armstrong posant le pied sur la Lune et qui dit
"Un petit pas pour l'homme un grand pas pour l'humanité".
Puis le commentateur narrateur explique :
" En juillet 1969, on a enregistré la plus grande audience de télévision pendant les dix jours où l'homme a traversé la dernière frontière. Neal Armstrong et et l'équipage d'Apollo 11 ont gagné la conquête de l'espace en posant le pied sur la Lune."
Puis on entend un astronaute qui déclare :
" Cette aventure est un symbole de la curiosité de l'hommme à explorer l'inconnu."
Puis le commentateur reprend:
" Mais une autre version existe, une version de complot, de dissimulation et de culpabilité".
Le même Monsieur Y :
" Je regardais ce petit et ce grand pas, je me suis dit que, c'est fantastique, c'est extraordinaire, l'homme a marché sur la Lune, je croyais ce que je voyais. Mais cela s'est-il vraiment passé, comme on nous l'a montré ?La mission Apollo est-elle une farce ?"
Puis le commentateur explique a nouveau :
"Selon un complot possible, la NASA n'a pas pu atteindre la Lune et les missions ont donc été truquées. Au lieu de monter dans les fusées les astronautes auraient été emmenés dans un studio de cinéma secret au fin fond du désert du Névada. L'atterrisage sur la Lune, y a été filmé puis les séquences ont été envoyées à Houton ainsi qu'aux télévisions crédules du monde entier."
Commentaire à chaud du webmaster: Il n'était pas nécessaire que les astronautes quittent la fusée, car les séquences d'alunissage
(en zone de simulation au Nevada) pouvaient avoir été filmées et fignolées bien avant le vrai départ pour l'espace. Les astronautes se contentant d'effectuer une simple mission de satellisation autour de la Terre, pour redescendre juste au moment voulu. Ainsi cela restraignait le nombre de gens dans le secret. On peut même admettre que ces astronautes aient fait quelques tours de la Lune,
les trois dans la cabine de commande, pour faire des photos de notre satellite, puis ils sont revenus sans y descendre.
Poursuivons notre film documentaire "
choc":
Puis on voit rapidement une image oscillante du paysage lunaire
( moitié sol, moitié ciel lunaire... sans étoiles) présentée par une caméra dirigée toujours dans la même direction
(pas de vue panoramique) avec le dialogue suivant :
Neil Armstrong s'adresse à la NASA:
" Houston vous avez l'image ?"
la NASA répond :
"Oui Neil, une magnifique image"
Commentaire à chaud du webmaster: Pour expliquer pourquoi on ne voyait pas les étoiles, la NASA aurait déclaré
"que le rayonnement du soleil étaient tellement fort qu'il masquait les étoiles ". Et
là, que pouvons nous dire, puisque nous ne connaissons rien du rayonnement du soleil sur la Lune ?
(Si un internaute pouvait nous donner les références exactes de cette explication de la NASA, il permettrait à ce dossier de faire un grand pas).
En effet rappelons que dans le
Sciences et Avenir n° 153 Nov. 1959, il est écrit à propos de la Lune ,
et cette revue n'a jamais à notre connaissance, démenti cela par un débat sérieux :
"...le ciel est noir , même en plein jour, et les étoiles y scintillent sans cesse; le fait que toute diffraction est impossible mène à comprendre que tout objet est divisé en deux moitiés bien opposées, l'une franchement éclairée l'autre franchement dans l'ombre, sans que des molécules gazeuses donnent un certain moelleux aux ombres portées; enfin, élément décisif pour compléter notre tableau, la lumière est terriblement forte, terriblement crue car les feux du soleil ne sont filtrés par rien." (Voir tout l'article de la revue "Sciences et Avenir" dans notre article Nasatangible.html)
De même dans
"Livre jaune n°6" des
Editions Félix page 223", il est écrit:
" - On peut voir les étoiles de jour comme de nuit, mais elles ne scintillent pas, puisqu'il n'y a pas d'air."
La NASA n'a jamais avoué franchement qu'il y avait une certaine atmosphère sur la Lune, sans doute pour en tirer profit secrètement. Mais selon nous, l' affaire du rayonnement solaire très fort, cachant les étoiles sur la Lune, est encore une dérobade de la NASA, qui ne voulait pas que des astronomes calculent la position des étoiles que l'on aurait pu voir et donc qu'ils démontrent ainsi la fausseté des vues prises sur la Lune.
Le même
Monsieur Y, reprend et semble commenter des images furtives des astronautes évoluant sur la Lune :
"Il est donc possible que nous étions entrain de regarder des exercices de simulation, qui ont été retransmis comme un véritable événement. Nous devons analyser ces images avec une grande précaution, car c'est vraiment l'un des événements historique et scientifique les plus importants. "
Commentaire à chaud du webmaster: En effet des spécialistes sont désormais à l'affût. Mais dès 1976
Bill Reid Kaysing,en collaboration avec
Randy Reid, dans un ouvrage très surprenant -
"We never went to the Moon" publié par la Société of Metaphisicians LTD, nous mettent les points sur les is, dans cette mascarade. Il faut savoir aussi que
Bill Reid Kaysing n'est pas le premier venu dans cette affaire, car c'est un ingénieur à la retraite de la
société Rodketdyne qui construisait à l'époque, les moteurs d'Apollo.
En France, nous avons aussi l'ouvrage de l'ami
Philippe Lheureux intitulé
" Lumières sur la Lune: le grand doute ", paru aux
Editions Carnot, fin 2000, très bien fait à ce sujet et qui possède les commentaires des scientifiques sur chaque cas évoqué. Vous avez aussi l'ouvrage américain de
Ralph René "NASA mooned America", dont les éléments descriptifs sont sur le site :
De nombreux autres sites existent dès lors, sur cette incroyable affaire d'Apollo. En voici deux :
Puis apparaissent des images venant de l'union soviétique
(défilés de militaires, de tanks, fusées entrain d'être lancées, photo des exploits spatiaux soviétiques, de Gagarine, etc) et le commentateur reprend :
"Pendant les années qui ont précédé l'atterissage d' Armstrong sur la Lune, les Etas-Unis s'étaient lancés dans une course à l'espace contre l'Union Soviétique, pendant la Guerre froide. Pendant une longue période les soviétiques semlaient mener la danse : Ils ont battu les américains en 1957, en envoyant leur premier satellite, en 1959 avec les premiers essais lunaires, en 1960 en envoyant le premier chien dans l'espace, et enfin en 1961 lorsque Youri Gagarine devint le premier homme envoyé dans l'espace.
Selon cette théorie de complot, voulant à tout prix gagner, les Etats-Unis étaient prêts à tout pour envoyer un homme sur la Lune, les premiers."
La quatrième personne questionnée: Nommons la
Monsieur Z :
" C'était important diplomatiquement, politiquement et économiquement pour le monde, de voir que la technologie américaine était supérieure. Cette vision était menacée par les efforts russes. Pendant les années 60, il y avait une grande inquiétude à ce propos. Si la Russie gagnait cette conquête l'attitude du monde changerait face à la technologie et à la puissance militaire russe qui auraient devancé l'Amérique pendant des décennies. Si ce vol spatial, était symbole d'avenir le succès russe aurait pu directement être traduit comme le succès de la diplomatie russe sur le monde."
Puis le commentateur explique à nouveau pendant que l'on passe en anglais le discours du président
Kennedy:
"Afin de renforcer sa popularité le président Kennedy a soutenu cette mission lunaire : En sous-titre: "Notre nation doit atteindre avant la fin de cette décennie le but fixé est d'envoyer un homme sur la Lune et de le faire revenir sain et sauf. Aucun projet spatial n'a autant d'importance pour l'humanité ou pour l'exploration de l'espace" ".
Mr Y reprend:
" C'était un projet prestigieux qui n'aurait pas pu supporter l'échec et qui devait entraîner un énorme succès. Toute le monde savait ce que devait être le succès : une image de l'homme sur la Lune ou alors ça devait être, et on penchait plus vers ça, "une photo de l'homme sur la lune".
Les Américains en étaient-ils capables ? "
On nous présente alors, une série de lancement de 3 fusées qui furent hélas, trois échecs retentissants.Voici deux images de cela :
Puis le commentateur explique :
"Les théoriciens qui croient à une farce sont convaincus de leur incapacité. Selon un ancien membre de la NASA, la conquête de la Lune avait un coût humain ."
Mr X reprend : "Cette course spatiale entraîna la mort de Grissom, Chaffee et White en 1967. Ces trois hommes sont morts calcinés dans la capsule de commande."
Puis le commentateur explique :
La NASA a été reconnue coupable de la mort de trois ses meilleurs astronutes: Virgil Grissom, Roger Chaffee et Edward White sont morts lors d'un test de décolage de routine.
Me X enchaîne :
" Gil Grisson était sur le point de vendre la mèche sur ce projet. Il trouvait que rien ne fonctionnait, il était très mécontent du projet Apollo. Le jour de sa mort, il a pressé un citron sur la capsule de commande, ce qui montrait clairement son opinion."
Puis le commentateur explique :
" Des modifications furent apportées sur l'engin spatial et le programme lunaire se poursuivit. Mais certains pensaient que la NASA et ses techniciens n'étaient toujours pas prêts pour envoyer un homme sur la Lune.
L'ancien membre de la NASA, Mr X poursuit alors : :
"Au vu des technologies, ils ne pouvaient pas tenir la promesse de kennedy avant la fin de la décénnie. Alors pour maintenir le prestige de l'industrie américaine, ils devaient simuler cet événement."
Entre en scène alors
le journaliste T:
" J'ai fait partie des milliers de journalistes qui ont couvert toutes les étapes de cet événement, la construction du centre spatial Kennedy, le développement de la fusée Apollo à Houston au Texas et en Californie. Il y avait tant de témoins de cet alunissage qu'il n'y avait aucun moyen de truquer tout cela."
Commentaire à chaud du webmaster: La question qu'il faut se poser est de savoir si ce journaliste a pu assister
à une seule séquence filmant les astronautes sur leur aire d'entrainement simulant la Lune au Nevada ou ailleurs? C'est là, le point chaud, car
seuls les techniciens ayant participé à ces simulations pouvaient les reconnaître, après, dans les images que l'on nous a montrées de la Lune. Il suffisait d'envoyer ces images,
en un temps minuté voulu à tous les autres techniciens scotchés devant leurs écrans, pour qu'ils n'y voient que du feu.
Le narrateur et commentateur reprend:
" Les photos d'archives de la NASA contiennent les indices de ce complot. Le producteur David Percy examine depuis des années ces photographies. Il est convaincu d'avoir trouvé la preuve de cette farce."
" Les photos d'Apollo sont truquées. Elles sont encodées avec ce qui semble être des erreurs. Il y a des contradictions entre les photos et les images: Par exemple sur une photo, on voit que l'astronaute saute sur le sol lunaire et son collègue le prend en photo. On y voit un bout de tissu triangulaire sur le dessus qui devrait absolument être fixé. C'est ce qui protège son système de survie et d'oxygène. Puis si l'on regarde le film fait à cette occasion, on s'aperçoit que ce bout de tissu est bien en place, cette fois-ci il est fixé:
Puis le commentateur pose la question :
" Est-ce là, la preuve que l'atterrissage lunaire fut tourné en studio ? "
Alors
Mr David Percy complète en présentant la photo célèbre
NASA AS16-107-17446, d'
Apollo16 :
C'est l'astronaute
Charles M. Duke Jr., le pilote du module lunaire d' Apollo 16, qui se tient debout, le
22 Avril 1972, à côté du
Lunar Roving Vehicle.
" Regardez la roche en bas à gauche de cette photo (flèche rouge).
On y voit écrit dessus la lettre C. Pourquoi une lettre de l'alphabet devrait-elle être écrite sur roche de la surface lunaire ? Il s'agit certainement d'une roche utilisée par des studios de cinéma et cette lettre désigne un emplacement précis"
Commentaire à chaud du webmaster : Certains détracteurs n'ont pas hésité à dire que cette lettre
C, comme le
+ placé à côté et utlisé pour le cadrage de la photo, n'est pas sur la roche, mais correspond uniquement, a des repères sur la pellicule. Mais hélàs,
aucun d'eux n'a été capable de présenter
le négatif en question avec le C correspondant. Donc, on en déduit qu'il s'agit bien, d'une erreur de manipulation de cette pierre,
(en zone de simulation, au Névada bien sûr), et pierre qui devait être tournée à l'opposée, pour que cette lettre n'apparaisse pas sur le film.
A propos de cette lettre
C, le site russe :
nous en donne l'agrandissement clair et net suivant :
Mais si vous jetez un coup d'oeil sur la page actuelle suivante en relation avec la Nasa :
Sur la droite et en bas de l'image des flèches permettent de l'agrandir très confortablement. On voit alors avec un grand étonnement que sur le rocher en question
le C a disparu comme par enchantement. Ne trouvez-vous pas cette disparition plutôt suspecte ?
A vous de juger tout cela !
Vous avez d'ailleurs remarqué sur la droite du rocher ci-dessus, une partie du
+ pouvant servir, on le suppose, au cadrage des éléments du paysage comme le quadrillage établi par les archéologues sur le site d'un terrain ou sous la mer. Ces
+ devraient toujours se situer
en avant des objets de l'image. Mais l'aimable internaute
"PL", nous fait remarquer que justement cette photo
NASA AS16-107-17446, possède à ce sujet
une anomalie notoire, qui nous est bien explicitée par la page russe déjà évoquée ci-dessus :
Comme vous le voyez, la branche horizontale gauche du
+ , passe bien derrière le bout de l'objet de forme rectangulaire et même aussi un tout petit bout de la branche verticale du bas de ce
+ disparait, lui aussi, derrière l'objet. Ceci est la preuve absolue que cette photo a été réalisée par la juxtataposition de plusieurs photos et l'opérateur de la NASA, ne s'est pas rendu compte de l'erreur lors du montage. Voir cependant le développement plus poussé de cette
affaire de croix réticulaire, à notre article :
Lumieresoit.
A vous de juger encore.
Pendant que nous y sommes, en reconsidérant cette photo
d'Apollo 16, nous allons ici, vous apporter
en exclusivité, une autre preuve
tout aussi accablante, que ces affaires de lettre
C inscrite sur une roche et de
+ en divagation. En effet, certains chercheurs ont supposé que l'astronaute qui a conduit la jeep, où elle s'est arrêtée, est vraiment un piètre chauffeur pour l'avoir fait grimper sur un énorme rocher
(au risque de casser un essieu ou quelque chose d'autre) et qu'il a aussitôt après, en plus, braqué brusquement à 90°. Mais analysons, voulez-vous, de plus près, cette photo :
Nous y avons placé deux flèches rouges extrêmement importantes.
La flèche n°1 nous montre que les dessins de la roue de droite de la jeep arrivent
tout à fait au bord d'un petit monticule de roches, comme si ces dessins passaient en dessous de ce monticule. Pour
la flèche n°2, regardez en effet bien la trace gauche de la rainure de la roue en question, trace qui démarre
d'une manière trés proche derrière le rocher, et trace, qui
ne devrait pas exister, si la roue était montée vraiment sur ce rocher.
Avec nos faibles moyens, soyons voulez-vous, encore plus pragmatique: Nous avons le privilège de possèder justement un poster de 47,5 cm sur 40,5cm, de la fameuse photo d'Apollo16 ci-dessus. Nous avons donc scannérisé la roue arrière de droite de la jeep:
qui serait soi-disant montée sur le gros caillou.
Prenons alors,
à peu près, le diamètre de cette roue, puis dessinons la sur du papier calque et plaçons le schéma, juste au dessus du caillou, et de telle sorte que le bord de la roue, arrive jusqu'à la trace visible sur le sol. Évidemment la perspective n'est pas très orthodoxe :
Soulignons, alors par un trait rouge, la portion approximative de la trace que nous mettons en question :
Bien que notre montage soit
très approximatif, on voit parfaitement,
la marge qu'il y aurait de trop, sur la rainure gauche de la trace de la roue, au cas où, celle-ci serait vraiment montée sur le rocher.
Des spécialistes en infographie auront, nous l'espérons vite fait de rectifier l'imperfection de notre montage.
Si ces spécialites, qui travailleraient sur les documents originaux, confirment avec une bonne perspective notre montage, on ne pourra qu'en déduire de la roue droite de la jeep n'est pas montée sur le rocher, mais qu'assurément
le rocher et la terre avoisinante, auraient été placés accidententellement sur les traces déjà existantes de la roue,
après le passage du véhicule.
ll en résulterait alors
des implications énormes, car on ne voit pas du tout pourquoi, un astronaute sur la Lune, considérablement gêné aux entournures dans son scaphandre plutôt rigide, va s'amuser à projeter de la terre et de gros cailloux, sur les traces du passage d'une jeep. C'est donc une photo, faite sur Terre, dans
le centre de simulation du Nevada ou ailleurs , où la terre a été remuée maladroitement pour une raisona ignorée, et elle est venue couvrir le dessin de la roue de la jeep, avant que l'on ait pris la photo en question, et cela sans que le photographe de la NASA s'aperçoive de ce détail scabreux.
Aux spécialistes de répondre au sujet de cette
étrange anomalie, et à ce
nouveau gros point d'interrogation, que nous soulevons ici.
Pour être
fair play, précisons que
les rationalistes détracteurs ont trouvé la parade à cela, en disant que :
" En fait on doit imaginer une dénivellation importante, tout de suite derrière le rocher. Comme une sorte de décaissement (que l’on devine peut-être un peu sur la droite) d’au moins 50 cm en pente raide. Donc la roue de la jeep est tombée derrière le rocher sur cette pente abrupte (là pas possible de voir de trace, puis 1m50 plus loin elle réapparaît en fait en remontant la pente (que l’on devine aussi un peu au niveau de la trace arrondie) et elle réapparaît visuellement juste derrière le rocher alors qu’elle se trouve en fait à plus d’1 mètre. Ce qui donne alors l’illusion d’optique d’une impossibilité de voir la trace à cet endroit si on ne tient pas compte de la différence de niveau. De plus la perspective sur les photos Apollo est très trompeuse , tout le décor semble comme écrasé, et il est donc possible que cette dénivellation n’apparaisse pas sur la photo mais qu’elle soit bien là. Et dans ce cas la taille de la trace s’explique aussi, c’est simplement qu’il s’agit d’une trace du passage superposé des DEUX roues droites, celle de l’avant et celle de l’arrière… et avec le décalage la trace qui apparaît comme la trace du passage d’une seule roue à cause de l’illusion d’optique, parait plus grande que nature…et parait donc impossible alors que ce serait logique avec cette thèse."
Toujours l'explication par
l'illusion d'optique, comme vous le voyez. Nous répondons à cela que
des infographistes confirmés, peuvent
parfaitement déterminer, avec les moyens puissants qui sont à leur disposition, au bout de la
flèche n° 1 de l'image suivante :
où,
il n'y a aucune dénivellation cachée possible, si donc, les traces de la roue
passent sous les gravas. C'est cela qui donnera pleinemernt raison à
ARTivision.
Point barre.
Mais, avec nos faibles moyens, ce
7/11/2010, nous allons tenter ici de présenter
une modeste preuve de cette curieuse affaire, qui se joue au bout de
la flèche n°1.
En effet, partons de l'image très agrandie placée sur le site :
Puis extrayons en., la portion adéquate suivante :
On voit alors que si la roue était montée sur les gravas, elle aurait laissé au moins une trace approximativement à l'endroit où nous avons placé nos pointillés rouges. Or,
pas une seule petite trace ne subsiste aux endroits précités...Revoyez cela, vous même...:
Paradoxalement, c'est la flèche bleue du bas, qui va nous permettre de mieux appréhender la situation. En effet sans tenir compte du rocher, en premier plan, qui semble-t-il est en retrait par rapport à la trace de la roue, on voit alors que la trace de la roue s'arrête brusquement, et que des gravas la couvrent. Ces petits gravas, auraient dû être écrasés par la roue, si elle était montée dessus :
Donc, nous en déduisons, que les gravas ont bien été projetés sur la trace de la roue et que finalement, celle-ci n'est pas montée sur ces gravas, ni sur le gros rocher en question.
Point Barre.
Il ne reste aux détracteurs désormais, que de pouvoir expliquer pourquoi un astronaute sur la Lune, considérablement engoncé, dans son rigide scaphandre, va s'amuser à projeter,
avec une pelle non visible ici , de la terre et de gros cailloux, sur les traces du passage d'une jeep, comme s'il cherchait un trésor.
Remarquons cependant, une fois de plus, sur le site en question, dans la
"belle photo en couleur" suivante :
que, même avec une loupe, la lettre
C , n'apparait pas non plus (
Comme on l'a vu plus haut) du tout sur le rocher de gauche en question. Sans doute nous dira-t-on, qu'il s'agissait encore là, d'une illusion d'optique...!
A vous de juger.
D'ailleurs cette photo d'Apollo 16 présente bien
d'autres anomalies inouies. Par exemple, analysons alors cette portion :
Il semblerait donc que là encore, ce flou inadmissible ici
(vu la masse de la jeep LRV (Lunar Roving Vehicle) qui dépasse de loin celle de l'astronaute), c'est une tentative de voiler, la trace embarrassante d'une
jeep Willys(
souvent utilisée à l'époque par l'armée américaine), par
une manipulation photographique dérisoire.
D'ailleurs, une autre anomalie saute aux yeux, quand on analyse de près le dessin des roues de cette photo
AS15-85-11435 . En effet d'après le site :
,on peut lire :
" Pour faire face aux restrictions de masse et permettre la mobilité nécessaire sur la Lune, on développa des roues hors du commun. Outre les jantes en titane et les enjoliveurs en aluminium, celles-ci ne sont pas équipées de pneus conventionnels. En effet, l'enveloppe extérieure de celui-ci est fabriquée en treillage métallique."
Ce treillis métallique brillant s'est semble-t-il métamorphosé ici en vulgaire
pneu conventionnel à enrobement élastique et très terne. Voyez donc le dessin des sculptures :
Pourquoi la NASA a-t-elle substitué ici pour Apollo 16,
les vraies roues par des fausses ? Ces deux roues conventionnelles ne pouvaient en aucune manière fonctionner sur la Lune.
Poursuivons voulez-vous, notre film documentaire "
choc" :
Mr Y reprend:
"Il a été dit que chaque heure passée dans l'espace correspondait à 5 heures de studio sur Terre. Bien sûr que cela s'est passé ainsi. Ce n'est pas un secret. Les photos et le film ont été faits à partir de modèles sur la surface lunaire. C'était une simulation. Personne d'autre n'y est allé, donc on ne peut pas comparer."
Puis le commentateur pose la question :
" Pendant la mission d'Apollo 11, la NASA a omis de prendre Neil Armstrong en photo, le premier homme lunaire. Buzz Aldrin, son copilote est sur toutes les prises. Si tout avait été tourné en studio, la NASA aurait-elle commis une telle bévue?"
Commentaire à chaud du webmaster : Aldrin a eu un comportement
très aberrant (et c'est le moins qu'on puisse dire) après son
"épopée" lunaire. Lire notre paragraphe tiré de la page 99 de l'ouvrage très documenté de
Pietro Banucci intitulé
"La Lune" publié aux Éditions Bordas 1989 dans notre article
"LettreouverteSA.html". Il n'a sans doute pas accepté de plein gré, cette mascarade et a refusé
(peut-être) que son camarade ou quiconque d'autre, le prenne en photo. Par contre, il a bien voulu en faire des photos pour Aldrin. Voilà une possible explication, mais il y a sans doute d'autres raisons à découvrir.
Monsieur Z enchaîne :
"La recherche de complot correspond à une recherche d'explication. Très souvent un complot correspond à une hypnose. Vous cherchez des causes et vous trouvez ce qui s'est vraiment passé. Vous faites des recherches, vous parlez à des gens et des spécialistes pour savoir ce qui est psychiquement possible."
Commentaire à chaud du webmaster :
Un complot qui correspond à une hypnose pour découvrir le psychiquement possible !!!. Laissons, voulez-vous, définitivement ce monsieur avec son verbiage de psychologue, qui nous éloigne totalement du pragmatisme que recherche le site
ARTivision et n'en parlons plus, car la seule question qu'il faut se poser ici est :
"Les photos de la NASA montrant les évolutions des astronautes sur la Lune sont-elles truquées ?". Il suffit d'en trouver
une seule, pour que
la suspicion atteigne toutes les autres. C'est une affaire de spécialistes de la photographie et cela n'a rien à voir,
selon nous, avec la psychologie.
En ce qui concerne
la photo assurément truquée découverte,
Philippe Lheureux démontre dans son ouvrage déjà cité, en pages 96 à 99, que
la forme des montagnes servant de fond à deux photos différentes d'Apollo 15,
est absolument la même.
Or sur la photo de droite
AS15-82-11057, on voit le LEM
(le module lunaire) qui est bien posé sur la Lune. Sur la photo du centre
AS15-82-11082, le LEM n'y est plus là. Ceci
est absolument impossible, car le LEM, une fois posé, il ne peut plus bouger et il devrait donc apparaitre sur les deux photos, vu la profondeur du champ. La photo de droite, nous montre un montage fait par
Phillipe Lheureux, où il est clair que la juxtaposition des deux photos,
pose problème. Donc il y a là nécessairement
un trucage notoire évident et cela vient d'une erreur de manipulation d'un décor, sans doute en carton pâte, dans la zone de simulation du Névada.
Poursuivons la découverte de notre film
"choc".
Entre à nouveau en scène
le journaliste T:
" Pour réussir une farce, il ne faut ne faut absolument rien laisser filtrer.Il y avait plusieurs centaines de milliers de personnes qui travaillaient sur les engins Apollo. Si toutes ces personnes avaient travaillé pour réaliser une farce, il aurait fallu toutes les tuer. Ils ne pouvaient tuer tant de gens pour garder le secret"
Commentaire à chaud du webmaster: Nous avons déjà répondu à ce genre d'argument. Si les films réalisés sur les zones de simulations au Névada, étaient bien minutés et orchestrés, il suffisait de les balancer au moment voulu, sans même que l'on ait besoin de complices dans les salles de contrôle, car les questions à poser aux astronautes pouvaient parfaitement être listées à l'avance, et ces astronautes pouvaient y répondre de leur cabine en prétendant être sur la Lune. Ainsi très peu de gens seraient dans le secret.
Puis le commentateur nous présente une autre thèse:
" Selon une autre théorie même si un homme est bien allé sur la Lune, la Nasa a été obligé de gardé cela secret du fait de découvertes trop choquantes sur place. Une anecdote apparue dans un journal canadien en 1971, racontait qu'Armstrong et Aldrin ont vu vaisseaux extraterrestres sur la Lune.
Voici la transcription originale de la conversation entre Armstrong et Houston." " Ces machins là sont énormes mon vieux.. énormes, Oh mon Dieu, c'est incroyable!...Il y a d'autres vaisseaux spatiaux ici ...ils sont alignés de l'autre côté du cratère... Ils sont sur la Lune et ils nous observent..."
Les recherches d'
ARTivision étant très pragmatiques, nous ne pourrons tenir compte de cet événement, que quand les spécialistes d'analyse de la voix, auront confirmer par un rapport circonstancié, qu'il s'agit bien de la voix d' Armstrong.
Le commentateur poursuit:
"En 1991, un directeur d'une chaîne cablée de Vancouvert a intercepté une série de transmissions venant d'un vaisseau spatial en orbite. Les enregistrements ont été ensuite analysés par les les chasseurs d'ovnis britanniques Gram Bursel et Russel Calagan(orthographe non garantie). Ils sont persuadés que les astronautes ont vu des ovnis ".
" Il ne faut pas oublier que ces images existent. Cet événement a été filmé par une personne qui était entrain de surveiller cette zone précise de l'espace et quand on surveille un endroit, on n'a l'impression que l'événement était attendu."
Le commentateur repend :
" Le fait que des astronautes voient des ovnis dans l'espace, n'a rien de nouveau. En 1962 John Glenn, le premier américain à avoir fait 3 tours de la Terre dans l'espace, a rapporté avoir vu des lucioles vertes qui volaient à l'extérieur de sa capsule. Plus récemment les astronautes ont remarqué que ces anomalies sont désormais d'une occurence normale. Il doit bien y avoir une explication rationnelle à toutes ces visions."
Commentaire à chaud du webmaster : Rappelons que le célèbre
Adamski, a lui aussi décrit bien avant
Glenn, ces
fameuses lucioles (Voir les photos des journaux de Mai 1962 de l'époque dans notre article Byrdalice.html). Mais cette affaire d'ovnis dure depuis plus de 50 ans et les détracteurs comme ce psychologue
Monsieur Z, ont toujours trouvé des explications bidons au phénomène,
(reflets de lumiéres parasites, débris de glace en divagations, météorites rentrant dans l'atmosphère, etc..). Nous ne reviendrons plus sur ce débat. Voyons la suite, bien plus intéressante.
Le commentateur reprend
" Les photographies de la lune prises par la NASA, laissent à penser qu'une vie existe peut-être dans l'espace. Sur ces photos accessibles à tous, les géologues ont remarqué des formations de roches sur la surface lunaire qui pourraient bien être artificiels:
Le géologue
Steeve Stroy entre alors en ligne:
" Avant tout, je dois préciser que j'ai trouvé, 44 sites lunaires, avec des anomalies suspectes ."
Le commentateur reprend
" Cela fait six ans que le géologue amateur Steeve Stroy, étudie les photos lunaires de la NASA. Suite à ces intenses recherches, il prétend avoir trouvé la preuve d'une présence extraterrestre sous un cratère lunaire."
" Autour de l'impact de ce cratère, on retrouve bien toute la géologie normale. Mais sur le flanc du cratère, on trouve aussi des formes orthogonales et géométriques ainsi que des ruines lunaires. Un des objets particuliers est l'objet appelé est la structure appelée "le rempart", qui fait 8 km de long.
" En plus de cette structure, Stroy pense avoir trouvé des restes de coupoles en verre, reliques d'une civilisation antérieure."
"Les choses que l'on voit sur la Lune sont quelque chose d'énorme. C'est artificiel, ce n'est pas naturel".
le commentateur reprend:
"Les astronautes sont-ils accidentellement tombés sur des bases lunaires construites par des aliens?
L'astronome Patrick Moore, membre de l'équipe ayant réalisé le tracé vers la Lune dans les année 60, pense que toute cette discussion autour des aliens et des bases lunaires est un peu exagérée:"
"Il ne faut pas que oublier qu'une théorie de complot est le point d'entrée d'une plaisanterie. J'ai passé toute ma vie à étudier la Lune, grâce aux meilleurs télescopes du monde et aujourd'hui grâce aux photos de satellites. Nous connaissons toutes les facettes de la Lune. Il y a des cartes de toute sa superficie, des cratères, des montagnes, des vallées, rien n'est inconnu.".
Commentaire à chaud du webmaster : Lorsque l'on a été nourri et abreuvé pendant des années à l'Université, de discours disant que
la vie n'existe que sur Terre, qu'il fait ou trop chaud ou trop froid sur les autres planètes du système solaire, que les extraterrestres même s'ils existaient dans d'autres systèmes
ne pourraient jamais venir nous rendre visite, vu l'énormité des distances à parcourir en années lumières, et cela avec des fusées analogues aux nôtres, ne pouvant en aucune façon, dépasser
la vitesse de la lumière qui est constante dans l'univers etc..., on fera
comme l'autruche en fourrant la tête sous le sable, pour ne pas voir
le petit détail étrange, qui met tout cet édifice culturel en accusation.
Notons que ce Mr
Patrick Moore, qui fut décoré en 1969 de
l'Ordre L'Empire Britannique pour ses travaux sur l'Astronomie, est donc l'auteur de nombreux ouvrages, dont le très connu
"Atlas de la conquête de la Lune" (notez l'orgueil du mot "conquête" qui pourrait parfaitement être remplacé par le mot "découverte", bien plus modeste et surtout plus correct) aux Editions Payot Lausanne 1969.
Croyez-vous, franchement que ce monsieur
Patrick Moore en découvrant
par hasard, la superstructure suivante sur
la face cachée de la Lune, sur une photo de la NASA, publiée le
18 janvier 1969 par le Paris Match n° 1028 :
la placerait justement dans son atlas, même à titre de
simple curiosité ? Pour
ARTivision, la réponse est manifestement:
non. Nous rappelons que la sorte de
"flèche" , qui
"surmonte" les espèces
de sphères de la partie centrale de cette structure, mesure près de
huit km.
A l'époque, ce monsieur aurait sans doute pu facilement retrouver
le négatif utilisé par Paris-Match
(pour publier cette unique photo globale de la Lune, jamais montrée une autre fois dans cette revue), et s'il y avait découvert,
le caractère éminemment artificiel de cette superstructure, croyez-vous vraiment, qu'il irait le crier sur les toits, pour que la NASA et le gouvernement américain lui fasse un sévère rappel à l'orde et qu'il entache ainsi sa grande réputation.
"Faut pas rêver", comme le dit si bien une célèbre émission de télé.
Si l'on admet aisément, que ce
Mr Moore , n'avait pas eu le loisir d'avoir en sa possession cette revue française
Paris Match, car il n'était probablement pas, à l'époque, accoutumé à manier la langue de Voltaire, on peut par contre presqu'affirmer qu'il a eu alors en main l'ouvrage très connu dans les milieux de l'Astronomie anglosaxone, intitulé
"Red Giants and White Dwarfs", de
Robert JASTROW publié dès
1967 chez
Harper and Row Publishers incorporeted ,à l'époque situé à : 49 East 33rd Street New York N.Y. 10016 .
Nous avons le privilège de possèder la 3 ème édition de 1969, en version de poche, publiée par
The New American library (Signet Science book Y4741) et dont voici les deux couvertures:
Nous avons là, une autre preuve flagrante d'une chose étrange que ce Mr Moore a eu obligatoirement dans ses dossiers et chose qui n'a nullement retenu son attention.
On aperçoit en effet, dans cet ouvrage, page 109, une
super photo de la Lune, non produite par la NASA
(donc moins sujette à caution) et venant de l'observatoire du
Mont Wilson aux USA.
Jetons y voulez-vous, un rapide coup d'oeil :
Agrandissons la zone au bout de la flèche rouge:
Mr
Patrick Moore, qui possède dans ses dossiers, certainement cette photo
du Mont Wilson, et qui dit connaître
"toutes les facettes de la Lune", n'a pourtant jamais , dans aucun de ses ouvrages, fait état de cette
étrange configuration dans le petit cratère
Rutherford (ou Rutherfurd en anglais) (61°S; 9°W) sur le bord du grand cratère
Clavius.
Plaçons encore ici cette dernière image :
Là encore,
la profusion des formes géométriques spéciales et
des angles droits de la zone en question, ne laissent aucun doute sur,
le caractère artificiel des structures que l'on y voit, et il faudrait bien, comme ce
Mr Moore, se fourrer encore la tête sous le sable, pour rien y voir de particulier.
Si donc l'on pouvait mettre la main sur
le négatif, utlisé par l'auteur et l'Editeur pour publier cette photo de la Lune dans l' ouvrage en question, on pourrait agrandir tout cela, comme il faut pour en savoir bien plus.
Le site
ARTivision n'est pas resté inactif à ce sujet :
D'abord nous avons contacté
les Editions du Seuil à Paris, sises à l'époque au 27, rue Jacob, Paris VIe, éditeurs
en 1972 en français du livre,
(que nous possédons aussi), de
Robert JASTROW intitulé alors
"Des Astres, de la vie et des Hommes". Et nous avons fait chou blanc. Ils n'ont jamais eu en main ce négatif et de plus ils n'ont même pas été capables de nous fournir l'adresse ,
(qu'ils ont obligatoirement connue), de l'éditeur américain du livre qu'ils ont traduit.
Nous avons évidemment immédiatement après écrit aux USA, pour contacter la maison américaine. Hélas jusqu'à présent, nous n'avons reçu aucune réponse.
C'est alors que nous avons ensuite eu l'idée de demander à motre ami londonien
Eric Barkian de se charger de contacter l'Editeur américain
Harper and Row pour savoir s'il avait gardé
par chance, ce négatif.
Voici la missive que nous avons reçue de lui :
----- Original Message -----
From: Eric Barkian
To: fred.idylle
Sent: Monday, February 28, 2005 12:49 PM
Subject: Echos de mes recherches "Red Giants and White Dwarfs"
Cher Fred,
Vous m'avez contacté, le mois dernier, afin de vous aider à retrouver le négatif d'une photo publiée en 1971 dans l'ouvrage "Red Giants and White Dwarfs" de Robert Jastrow aux Editions Harper and Row.
Mes recherches se sont vite orientées vers le groupe d'Edition HarperCollins auquel j'envoyai une requête et qui m'informait, quelques jours plus tard que le groupe n'était plus propriétaire des droits d'auteurs et n'avaient donc plus le document en question en leur possession. Il m'était précisé que puisque le livre n'était plus publié, il était très improbable que le négatif existe encore et m'était suggéré de contacter le cabinet Greenbaum, Wolff & Ernst, à New york, spécialisé dans les transactions de droits intellectuels.
Mes investigations m'apprenaient que ce cabinet n'existait plus.
Il me restait, comme vous l'aviez vous meme suggéré, à explorer une derniere piste: contacter l'observatoire qui avait pris la photo, celui du Mont Wilson.
Apres une rapide visite sur leur site, je leur addressai un e-mail pour leur faire part de mes recherches.
L'observatoire me conseillait de prendre contact avec L'observatoire de l'Institution Carnegie de Washington qui mettait un point final a ma recherche en m'informant que l'Institution n'avait plus de copie du négatif en question et qu'il était improbable que celui-ci existe encore.
A bientot donc.
Eric.
Comme vous le voyez, le
Maître Temps, a fait son œuvre, et il fallait hélas penser à tout cela plus tôt, surtout si l'on avait les moyens, comme ce monsieur
Patrick Moore qui alors pourtant, n'a rien vu, ni rien fait. Il en est ainsi d'ailleurs, de pas mal de
groupes médiatiques, qui préfèrent agir de même, plutôt que faire des reportages, pourtant plus percutants, conduisant à la découverte d'une dimension plus cosmique de notre humanité. En voici un exemple parmi tant d'autres :
En effet, plusieurs
Chaînes de Télévision, n'ont-elles pas, ces derniers temps, dépêché juqu'aux USA, des
"super envoyés spéciaux", pour retrouver les méfaits d'un habile escroc qui a grugé de nombreuses personnalités importantes du Show Business, comme s'il n'y a avait rien mieux à faire que d'encourager d'autres escros, à agir davantage, encore dans le même sens, pour faire ensuite,
la Une des journaux à sensation, bien que l'on sache que ce genre d'émission pourrait très modestement, servir aussi à avertir les gens encore crédules qui ont pourtant déjà été mis en garde par la presse et la radio ? N'y a-t-il pas, n'est-ce pas, bien plus de sujets importants, à monter en épingle, que cette affaire d'escroc, dans ces temps difficiles de la planète ?
A vous de juger !
Cependant, dès le
28/08/98, le site
ARTivision, a mis en exergue cette affaire du
Paris Match 1028, et pas un de ces messieurs les journalistes soi-disant curieux de nature, n'a osé pousser à fond une enquête sérieuse sur cette affaire incroyable.
Demandez-vous pourquoi ?
De même, dès le
17/09/2000, dans notre article
Nasatangible.html nous avons montré, l'image surprenante de cette zone du
cratère Rutherford, et,
à notre connaissance, aucun journaliste n'a pas, non plus, eu l'idée de remonter à l'Editeur
Harper and Row pour mettre, la main sur le négatif en question.
Demandez-vous encore pourquoi ? et méditons un peu sur tout cela .
Mais nous avons découvert sur Internet, qu'il existait une
édition de 1990, référencée
ISBN 0-393-85004-8, d'après un copy-right de
Reader Librairy Inc, et qui a été publlié simultanément au Canada et aux USA, dont voici une image :
Nous souhaitons vivement alors que cette nouvelle édition
(que nous ne possédons pas en Nov. 2005), n'ait pas été expurgée comme par hasard de cette
page 109 , plutôt surprenante et certainement génante pour ces astronomes émules ou admirateurs du sieur
Patrick Moore, pour qui
la Lune est un désert bien vide. Nous demandons donc à tout internaute qui peut simplement feuilleter cet ouvrage de 1990, dans une librairie, de bien regarder si cette fameuse photo de la Lune avec
son complexe très structuré de Rutherford s'y trouve encore. Et, vous pensez bien , que si d'aventure cette image ne s'y trouvait pas, ou si elle aurait été trafiquée,
ARTivision, en tirerait les conséquences notoires exceptionnelles, qui s'imposent.
Après cette digression importante, poursuivons la narration de notre film "
choc".
C'est alors que rentre en piste
Mr Ken Jonhson et le commentateur reprend :
" Mr ken jonhson dirigeait le service de contrôle des données et des photos de la NASA. Il devait vérifier les films qui revenaient de la Lune. Dans son laboratoire, il a rencontré de techniciens qui modifiaient délibérément les photos lunaires"
Mr
ken Johnson dit alors :
" Un groupe de trois personnes se trouvait autour d'une petite table lumineuse. Il y avait deux hommes et une femme. J'ai remarqué qu'ils avaient déposé des films et des négatifs sur cette table, et qu'ils avaient des pinceaux très fins. Ils étaient entrain de peindre en noir des parties des négatifs. je leur ai demandé ce qu'ils étaient entrain de faire et un des hommes m'a répondu : On est des "bandeurs professionnels". La femme a ri et a ajouté qu'ils peignaient des bandes sur la surface de l'horizon afin de peindre des étoiles pour qu'il n'y ait pas de confusion ".
Le commentateur reprend:
" Retoucher des photos est un travail normal dans un laboratoire photo. Mais, Ken Jonhson pense que ces techniciens de la NASA étaient entrain de supprimer des preuves de bases aliens. A une autre occasion, le même procédé de retouche a été effectué sur une bobine de film."
"Pendant la diffusion de fameux ce film, en arrivant sur un cratère, on pouvait voir un bloc avec environ 5 lumières. Aujourd'hui je les décrirai comme des dômes. 5 dômes de Lumière. "
Le commentateur reprend :
Comment oublier une telle découverte ? Cela n'est rien lorsque l'on sait ce qui se passa lorsqu'il montra le film à d'autres scientifiques."
" On arrive au moment où on approche du cratère, mais là , plus aucune lumières. Elles avaient disparu".
Le commentateur reprend :
"Quelqu'un essayait de cacher la vérité de ce qu'il y avait sur la Lune....Toutes ces discussions autour des bases lunaires ne sont rien, comparées aux découvertes faites sur Mars.... En 1976 la sonde spatial Viking 1 de la NASA, a envoyé des images de Mars qui ont appuyé la théorie d'une autre vie dans la Galaxie. Une série d'images a particulièrement attirée l'attention des scientifiques: Dans la région de Cydonia dans l'hémisphère nord de Mars, la sonde Viking a photographié quelque chose qui ressemble à un visage humain "
Le commentateur reprend :
" Les scientifiques débatent toujours sur les decouvertes de Mars, mais Marc Carlotto (photo au centre) analyste d'images pour la gouvernement américain, est sûr de lui."
" La première fois que j'ai vue cette photo, c'était clairement un visage humain, mais ce qui a le plus attiré mon attention c'est le contexte. Autour de ce soi-disant visage, il y avait des objets de formes géométriques, des angles"
En plus de ce visage, Carlotto a identifié des objets qu'il pense être des pyramides, des remparts et même un complexe connu sous le nom de ville."
"Certaines structures n'ont que quelques milliers d'années, mais d'autres ont probablement des millions d'années."
Bien sûr, nous ne pouvons placer ici, les nombreuses photos que nous présente ce chercheur et pour cause.
Mr Carlotto a reconstitué
en 3D, le visage en question, mais
ARTivision reste très perplexe quand au résultat obtenu, car les détracteurs auront toujours le loisir de qualifier ce visage de
"caprice de la nature", et on aura travaillé pour rien. Mais par contre
cette assertion perd tout son sens, quand on analyse de près la structure nommée
"la forteresse", que nous montre la flèche rouge de la troisième photo ci-dessus.
Il faut encore fourrer la tête sous le sable pour ne pas y voir
une construction archéologique notoire. Il va s'en dire, que c'était de préférence cela, que ce
Mr Carlotto aurait dû reconstituer
en 3D, ce que bizarrement d'ailleurs, à notre connaissance, personne n'a encore osé faire depuis, non plus.
Avis aux amateurs et courage, car la vérité approche à grands pas.
Terminons voulez-vous par ce dernier mot du commentateur :
" Peu de temps après sa création en 1957, la NASA a rédigé un rapport considérant les conséquences éventuelles de la découverte d'une forme de vie dans l'espace. Sa conclusion est, qu'une telle découverte doit être gardée secrète, de peur d'une grande panique. Selon les théoriciens du complot, c'est la preuve que nous ne connaîtrons jamais la vérité sur l'exploration spatiale...Puisque que les voyages dans l'espace deviennent une réalité de plus en plus proche, pourront-ils continuer à nous dissimuler la vérité sous cette forme de vie éventuelle? "
En effet, dans la même optique que ce rapport de la NASA, nous avons aussi fait état, dès
1998, dans notre article
match.html, des conclusions d'un volumineux rapport publié en
Déc. 1960 (après une enquête qui a coûté aux environs de 150 000 € ) par
l'Institut Brookings aux USA disant
que :
"la découverte d'une race
d'êtres supérieurs dans l'Univers pourrait causer
l'écroulement de la civilisation terrestre... et cela
pourrait se produire à tout moment.. Même sur notre
planète des sociétés se sont désintégrées, quand
elles ont été confrontées avec une société
supérieure..."(Voir les Incas, les Aztèques...etc).
Mais nous avons aussi écrit à ce sujet :
Début de citation:
" Ceci fut vrai à une époque, mais
peut-on aujourd'hui,
qualifier de société moralement supérieure, une civilisation qui,
pour imposer son système de vie, (comme l'ont fait les Christophe Colomb, Cortes et
autres Pizarro etc.. ) va détruire
physiquement avec ses armes les plus modernes, une autre
civilisation moins avancée technologiquement.
"La raison du plus fort est-elle une loi cosmique, ", qui s'applique
partout sans exception et sans pitié ?
Si à l'époque de la Guerre Froide, où ce rapport Brooking a été constitué, on pouvait encore tenir ce langage, 45 ans après et vu les événements qui ont eu lieu depuis,
comme par exemple la chute du mur de Berlin et la disparition de l'URSS et les efforts considérables faits par l'ONU et autres Organismes Non Gouvernementaux, pour préserver les minorités de cette planète, n'est-il pas désormais urgent d'en finir avec cette politique du Secret, prônée par certaines Grandes Puissances, politique, qui n'a pour but que de diviser les hommes pour mieux les asservir, et aussi pour prolonger une course effrénée aux armements apocalyptiques, course qui ne pourrait être un jour, que génératrice d'un holocauste planétaire ?
Seule la prise de conscience " que nous ne sommes pas
seuls dans l'Univers " et que le choix d'une vie meilleure existe ailleurs, "au delà de
notre petite planète" , pourra donc briser cet orgueil démesuré qui caractérise les mandarins qui nous gouvernent et les obliger à faire sauter les frontières tant physiques que psychologiques, qu'ils ont sournoisement mises en place pour séparer tous ces terriens qui ne demandent qu'à vivre en paix pour un humanisme intégral dans une nature toujours plus généreuse, mais hélas de plus en plus polluée et qui cependant commence à donner des bien des signes d'essoufflements .
Nos enfants n'hésiteront pas à nous demander des comptes, le moment venu si nous retardons chaque fois, ce sursaut de dignité et de rémission, pour sauver ce qui peut encore l'être de notre belle planète..."
Fin de citation.
b) Prolongement révélateur spécifique en date du 20/12/05, relatif à la photo NASA AS16-107-17446, d'Apollo16 .
Le
20/12/05 , nous avons eu le privilège de recevoir de l'ami
Xavier Tournarie, Architecte D.P.L.G , Collaborateur de presse, la missive importante suivante :
----- Original Message -----
From: Xavier Tournarie
To: idylle
Sent: Tuesday, December 20, 2005 2:47 AM
Subject: Re: Affaires lunaires
Cher Fred,
Tout d'abord je te souhaite de bonnes fêtes et
te présente mes meilleurs
voeux pour l'année 2006.
En ce qui concerne la photo "NASA AS16-107-17446", voici ce que je pense en la regardant :
Ce rocher est bien gros pour avoir été franchi par la jeep des astronautes,
et si c'est le cas elle devrait être en piteux état.
On voit aussi deux traces de roues qui arrivent en butée sur le rocher
en question et un peu plus près et plus à droite.
Plus fort, la trace qui va aux roues de gauche de la jeep présente un
angle droit impressionnant
(je n'ai jamais vu de voiture laisser de
telles traces à moins d'un accident grave).
Bref, on a l'impression que la jeep est arrivée à son emplacement
en vol plané (aurait-elle été suspendue à un câble).
Ce qui me fait me demander à quel moment a été
prise la photo :
Est-ce au début de l'expédition lorsque la jeep a été
descendue pour la première fois ou bien après avoir roulé quelque peu.
On dirait bien qu'elle a déjà roulé car les gardes boues sont très
poussiéreux,
mais d'un autre côté l'inclinaison des roues donne
l'impression que la jeep
a été déposée là par une grue (roues inclinées vers l'intérieur
comme lorsqu'on soulève une voiture avec un cric).
Bref cette photo qui a déjà été remaniée fortement par la Nasa,
nous montre une scène qui n'est pas naturelle.
Ajoutons à cela que tous les arrières plans sont étranges
dans ces photos lunaires : ils semblent flous avec tout d'un coup moins de
détails qu'aux plans plus rapprochés (ici la jeep semble au bord d'un
ravin).
Avec toutes mes amitiés.
Xavier Tournarie.
Fin de citation
c) Prolongement révélateur spécifique en date du 06/07/07, concernant le livre de Robert Jastrow.
Le
03/07/07, nous avons reçu par la poste, l'ouvrage
(vu plus haut) de Robert Jastrow de
1990, intitulé
"Red Giants and White Dwarfs", considéralement agrémenté d'images nouvelles dont plusieurs en couleur :
Nous nous sommes alors précipités à la
page 119 et nous y avons alors trouvé ceci :
La flèche rouge
nous indique que
le complexe très structuré de
Rutherford est toujours là. Il y a une sorte d'obélisque surélévé sur une
plateforme carrée. On y voit aussi cette sorte
d'arche gigantesque en suspension sur du vide,
puique son ombre apparaît en dessous de son extrémité comme
l'indique
ma flèche
bleue. Notons toujours à droite de cette arche, de
nombreux blocs à bords parallèles ou
orthogonaux.
Ce que nous aimerions savoir, c'est si, lors de cette réédition de