Consultations pour cet article :
 002438 

ARTivision est une page Web strictement personnelle de :

Fred.IDYLLE - COPY RIGHT 1997

Pour tout contact avec ARTivision
fred.idylle@orange.fr

Bonne lecture !
Communiquez nous vos commentaires.
Merci d'avance.
Adresse du site :
http://artivision.eu


Quand la revue Sciences et Avenir, en remet une couche très hilarante, sur l'affaire du disque polaire nord, très brillant de Titan.


I Introduction.

          Récemment de nombreux internautes, nous ont fait part de l'image de la page 19 du Sciences et Avenir de Mars 2013 , qui parle de sujets déjà longuement débattus par ARTivision . Comme les protagonistes de l'article en question semblent totalement ignorer l'existence du site ARTivision, et que de plus le Temps des Révélations, est bien arrivé (voir pourquoi à notre article en cours placé à: )

http://www.artivision.fr/docs/AffaireStevenGreer.html

cet article s'adresse évidemment spécifiquement à ces proptagonistes égarés sur une voie de garage, et d'autre part, cet article s'adresse aussi aux habitués du site, car, de temps en temps, il n'est pas inutile de faire quelques petits récapitulatifs, car parait-il, notre subconscient, s'accommode parfaitement des répétitions pour assimiller l'essentiel concernant un sujet particulier important.

II Genèse de l'affaire.

a) L'affaire de la Terre en forme de boule pleine.

     Pour les puristes qui aiment partir des sources d'un document, voici déjà une photo de la couverture du n° du SciencesetAvenir en question :


     Jetons maintemant un coup d'oeil furtif sur la page 19 :


     Comme par hasard, nous allons là, faire d'une pierre deux coups, car le site ARTivision, a déjà publié, près de 75 articles, qui contredisent radicalement le schéma suivant présenté en haut de la page 19, et prétendant que l'intérieur de la Terre, serait fait de diverses couches de matières, et d'un noyau constitué en majorité, de nickel et de fer :


     Le site ARTivision, n'apporte aucun crédit à ce qui précède, car il se base, pour le démontrer, sur des découvertes polaires , hors normes, et aussi, sur sa modeste traduction d'amateur présentée dès le 5 Avril 2001 sur son site, du livre "The Smoky God"( placée à : SmokyGod.html ), de l'écrivain nord-américain Willis George Emerson, ouvrage paru en 1908 . Cet ouvrage, s'il était une fiction, serait déjà digne de figurer, dans les annales de la littérature hautement fantastique, dépassant de loin le célébre ouvrage "VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE" , de Jules Verne, publié en 1864.

  

     Cet ouvrage prétend que la Terre est "ouverte" aux deux pôles, est creuse à l'intérieur, et en plus, possède en son centre un petit soleil central, qui y entretient vies et civilisations.

    Ce qui est encore plus surprenant, c'est que Jules Verne (mise à part la connaissance du petit soleil central), était parfaitement au courant de l'affaire des "ouvertures polaires" . En effet dans le tome 2 de son ouvrage publié dès 1866, dont voici une édition plus moderne :

  

, Jules Verne a déclaré en page 439, cette chose incroyable :

" Enfin, de nos jours, on a prétendu qu’il existait aux pôles une immense ouverture, d’où se dégageait la lumière des aurores boréales, et par laquelle on pourrait pénétrer dans l’intérieur du globe; "
     Comme on le voit donc, tout cela est dit par Jules Verne, clairement, nettement et sans bavure.

     Donc, dès 1866 au moins, deux ans deux après la publication de son célèbre ouvrage déjà cité plus haut : "Voyage au centre de la Terre", Jules Verne, a su que la Terre, "était peut-être trouée aux deux pôles", alors que nous, ici dans notre petite île de la Guadeloupe, nous n'avons appris cela, qu'en 1972, quand une amie de la Métropole a eu la géniale idée, de nous envoyer le livre (actuellement pratiquement introuvable en France dans les librairies, même spécialisées) de R. Bernard "La Terre creuse", paru chez Albin Michel en 1971 :


     Les internautes, qui nous disent posséder ce livre dans leur bibliothèque, font désormais partie d'un club de privilégiés, dont les membres se comptent sur les doigts de la main.

     Il va sans dire que Jules Verne n'avait aucun moyen de savoir si ces ouvertures polaires existaient bien (sauf en montant une expédition dans ces zones polaires), mais nous, avec nos satellites, nous le pouvons parfaitement...bien que la NASA et ses complices, s'arrangent sournoisement, pour nous en soustraire les preuves.

    Mais, il nous reste les déclarations de certains explorateurs polaires qui font foi et qui demontent qu'enqu'en très haut lieu, on nous cache des choses inouies :

    Mais voyez plutôt, ce qui suit :

      En effet, le 06/10/2010, nous avons eu le plaisir de recevoir de notre ami canadien Sébastien C...., infatigable patrouilleur du Web, cette courte missive suivante qui vaut cependant son pesant d'or.

----- Original Message -----
From: Sebas C
To: fred.idylle@orange.fr
Sent: Wednesday, October 06, 2010 9:11 PM
Subject: Hubert Wilkins.
http://news.google.ca/newspapers?id=NpUcAAAAIBAJ&sjid=KGQEAAAAIBAJ&pg=5124,375324&dq=hubert+wilkins+unknown&hl=en

          Bonne journée Fred .



Disons dès maintenant que SARASOTA, est une ville de la Floride, placée comme l'indique la carte suivante :

         Et voici donc les images qui nous concernent ici :



Puis surtout:


     Traduisons, à peu près, le contexte des deux dernières images :

Mardi 31 Décembre 1929 : SARASOTA HERALD : Au Cœur de la Socièté : Téléphone n° 2855 Page 7

Wilkins trouve une terre inconnue.

MONTÉVIDÉO. Uruguay 31 Dec.(AP)

     Les premiers effets des vols au-dessus de l'Antarctique du Capitaine Sir George Hubert Wilkins, furent révélés ici aujourd'hui par des annonces qu'il avait découvert auparavant une terre inconnue dans sa dernière expédition au-dessus de la calotte polaire glacée.

     A cet effet, le service radio gouvernemental annonça la réception d'un message en provenance du Vapeur Melville, qui véhicula l'explorateur jusqu'à l'île de la Déception, qu'il utilise comme tête de pont. Aucun détail ne fut transmis.


      Fin de la traduction.

      Pour bien comprendre l'importance de cet entrefilet, reprenons voulez-vous, quelques passages de notre article en date du 17 Mars 2006 :

http://www.artivision.fr/docs/affaireWilkins.html

   " Wilkins retourna en Antarctique pendant la période 1928-1930 avec l'aide financière de William Randolph Hearst. Wilkins et son pilote Ben Eielson ont fait leur premier vol historique d'avion au-dessus de l'Antarctique en 1928. Pendant une coupure en 1929, Wilkins était un passager à bord du Graf Zeppelin (Graf Zeppelin) pendant son voyage autour du monde. Wilkins a rendu compte des aspects techniques du vol des Zeppelin. Le 30 août 1929, après exécution du vol de Zeppelin, Wilkins s'est marié avec Suzanne Bennett, une actrice australienne. Ils s'étaient rencontrés à New York pendant une réception honorant Wilkins et Eielson après leur vol au-dessus de la mer arctique. Le couple n'a eu aucun enfant pendant leurs vingt-neuf années de mariage...

.....     Or, comme vous le voyez clairement, rien de saillant n'a été dévoilé dans cet historique sur cette expédition de 1928 en Antarctique.

      Mais cependant Amedeo Giannini , qui a écrit le livre "Mondes au delà des pôles" , paru en 1959, prétend que le Capitaine Sir George Hubert Wilkins, aurait fait une importante découverte le 12 Décembre 1928, dans l'Antarctique.

     Et, à une date qui restait à déterminer, le journal "San Francisco Call" de cette époque, a transcrit une interview exclusive de l'explorateur dont les révélations avaient été faites auparavant à l'Université de Santa Clara.

      Mais en plus Amedeo Giannini dans son livre, a précisé avec insistance encore ceci :

" La découverte mémorable, le 12 Décembre 1928, d'une terre jusque là inconnue, au-delà du Pôle Sud, découverte faite par le capitaine Sir George Hubert Wilkins, exige que la science revise la conception qu'elle s'était faite depuis 400 ans du profil sud de la Terre : Dumbrova explorateur russe."

     Puis il a ajouté même : "Les organes de presse montrèrent des photographies de l'explorateur australien, le Capitaine Sir George Hubert Wilkins "

      Il va s'en dire que nous n'avons pas pensé, une seconde que Amedeo Giannini, ait pu inventer tout cela avec tant de détails précis, surtout à l'époque, où l'on ne plaisentait pas sur la rigueur morale.

      Il nous faut donc, absolument retrouver au moins un élément, "des organes de presse", auxquels il a fait allusion avec tant de clarté.

     Le seul problème qui subsistait, et hélas il était très génant, c'est qu'à l'époque où Amedeo Giannini a écrit son livre, on ne se preéocupait pas des détails concernant un journal. Il suffisait de le nommer pour être satisfait. C'est comme si, lors d'un événement de Mai 68 en France, nous disions simplement dans un texte quelconque, que Paris Match en avait parlé sans rien préciser de plus. Cela est vraiment dommage, car nous avons pensé que si l'on arrivait à trouver au moins le San Fransisco Call en question, qui pourrait imaginer l'impact que cela ferait sur les recherches d' ARTivision, et de bien d'autres sites, concernant l'affaire des ouvertures polaires.

     Il est à remarquer cependant, que le San Fransisco Call, qui nous polarisait , (le mot est parfaitement adapté n'est pas?) ne serait certainement pas daté du 12 Décembre 1928, date où a lieu la découverte de Wilkins, mais sans doute de l'année suivante, car il faut laisser à l'explorateur le temps de revenir de son périple pour en faire ensuite un compte rendu à l'Université. L'année de parution du journal devrait donc être 1929, sinon 1930. Une telle découverte ne devait pas, en effet, rester logiquement longtemps cachée."

     Fin de citation.

     Il semblerait alors que le communiqué présenté ci-dessus venant du Saratosa Herald, correspond bien à un des éléments "des organes de presse", que nous souhaitions découvrir plus haut. Il y en a certainement d'autres du même genre à trouver, et nous disons déjà, merci à tout internaute qui aurait la grande opportunité d'en découvrir. Mais, faisons déjà ici une très grande ovation à l'ami canadien Sébastien C..., qui vient de découvrir ce superbe entrefilet de fin Déc.1929 du SARASOTA HERALD.

     Il est à remarquer que ce communiqué arrive plus d'une année (près de 380 jours), après l'exploit réalisé par Wilkins au pôle sud et que grâce à l'assiduité de ses recherches, notre amie Meriten..., nous a fait découvrir le 15 Avril 2009, que le supposé explorateur russe Dumbrova, était en fait un explorateur roumain du nom de Constantin DUMBRAVA (1898-1935), qui dès 1927, avait participé à une expédition roumaine à Angmassalik au Groenland...Puis il a écrit plusieurs articles qui sont parus en Roumanie, en France et aux Etats-Unis. Il a aussi épousé une américaine et s’est installé à New-York. Nous avons contacté, plusieurs fois, l'Ambassade Roumaine à Paris, à son sujet, mais nous n'avons hélas jamais reçu de réponse. La courtoisie n'est sans doute, plus à la mode ces temps-ci, dans les milieux diplomatiques officiels, n'est-ce pas !

     Bien sûr les irréductibles détracteurs, diront encore que l'expression "terre inconnue", ne signifie pas grand chose, sinon un territoire où l'on n'a jamais mis le pied, comme une montagne de glace ou même une grande faille de même nature ..etc...

     Pour ARTivision, ( et l'avenir dira bien vite qui a raison), on ne peut qualifier de terre inconnue, des zones immenses, au froid glacial,(autour de - 50 °C), où chacun s'attend à n'y trouver, à perte de vue, que des étendues glacées et neigeuses notoires et renommées.

     A vous de juger tout cela documents à l'appui.

    Mais nous avons aussi les incroyables déclarations de l'explorateur américain Richard E. Byrd .

     Mais lisons alors, aussi ceci :

     Le 21 Septembre 2010, nous avions déjà reçu de ami canadien Sébastien C......, la missive suivante :

----- Original Message -----
From: Sebas c ..
To: fred Idylle
e Sent: Thursday, September 16, 2010 11:11 PM
Subject: Une affaire importante concernant Byrd en 1933 à :

http://news.google.ca/newspapers?id=Dw8yAAAAIBAJ&sjid=G-QFAAAAIBAJ&pg=1256,499070&dq=beyond+the+pole+south&hl=en

        Amitiés
        Sébastien


    Pour le cas où ce site disparaîtrait brusquement, on peut trouver les détails, dans notre très important article :

http://www.artivision.fr/docs/VocableTerreinconnue.html

  

     Notre traduction grosso modo de ce passage, donnait alors :

" Il ajouta qu'il espérait faire 10 fois aussi bien que son vol effectué lors de son précédent vol en Antarctique, quand il partit de sa base au Pôle Sud et qu'il y retourna.

"Je suis sur le point de tenter cette fois, de voler au-dela du pôle ". Byrd dit " car là se trouve une zone non répertoriée. Je crois que, aussi longtemps qu'il existera un aussi vaste territoire inconnu de l'homme sur la face du globe, nous allons devoir l'explorer. Nous allons vivre dans une époque de glace, et chercher un nouveau continent et dans le même temps nous mettre au service de 10 à 12 branches de la Science."

    Byrd qui a volé au dessus du pôle, 4 ans auparavant, dit qu'il était plein d'espoir en compagnie de ses amis explorateurs de fournir à la science quelques uns des liens manquants dans le déroulement des faits. "


    Fin de la traduction.

    D'abord précisons que nous n'avons pas trouvé dans nos dictionnaires, le terme unchared, et nous en avons conclus, qu'il devait s'agir d'une faute d'impression et que l'on devrait lire plutôt le mot uncharted (inexploré), que nous avons plutôt traduit par les mots non répertorié..

    Il nous faut maintenant analyser soigneusement le passage en question, tout en sachant que Byrd était un militaire, et donc qu'il était astreint à une obligation de réserve absolue, surtout en ce qui concerne, ce qui ne pouvait être considéré que comme un Secret d'Etat de la plus haute importance qui soit.

    La question qui se pose ici, et qu'il faut creuser encore est : " Comment peut-il exister en Antarctique, un vaste territoire, surtout "inconnu", alors que chacun s'attend à n'y trouver, à perte de vue, que des étendues glacées et neigeuses très caractérisées ?"

    Il y a aussi l'expression "au-delà du Pôle" qui fait penser à une contrée bien à part et qui n'a pas les mêmes particularités que celle que l'on trouve autour du Pôle...

    Il y a aussi cette affaire de "liens manquants", que Byrd évoque, et qui, à notre avis, ne doivent pas s'appliquer à des zones très arides, vraiment austères et plus que désertiques.

    Rappelons ici un autre texte plus récent, où Byrd s'est exprimé d'une manière tout à fait analogue :

    En effet Byrd s'exprime en Janvier 1956 dans le n° du Selection du Reader's Digest, dans un article intitulé "Retour à l'Antarctique", que nous avons le privilège de possèder :

  

      Et voici aussi une image de la première page de l'article en question :


      Et en page 10, on trouve surtout :


      Dans cet article, il nous parle de l'expédition de 1947-1948 nommée "Opération High Jump", qui fut l'expédition polaire de loin la plus importante qui ait jamais été réalisée, et Byrd nous fait la déclaration inouïe suivante :

     " Pour la première fois, nous possédions une image assez nette de la configuration du continent austral, mais il subsistait au-delà du pôle , une région aussi vaste que les États-Unis, entièrement inconnue, et dont il n'existait aucune carte".

   Évidemment, Byrd ne parle pas de la découverte d'une quelconque végétation, mais vous avez bien noté le terme "au-delà" et non "autour" du pôle. Le même raisonnement utilisé plus haut et concernant des étendues glacées et neigeuses très caractérisées, s'applique donc aussi ici et il faut savoir lire entre les lignes, car comment un territoire aussi vaste que les USA fait de zones très froides et austères et n'étant constitué à perte de vue, que d'étendues glacées et neigeuses très caractérisées et habituelles, peut être inventorié comme territoire inconnu, et qui n'existe sur aucune carte, alors que sait déjà que la Terre est ronde et un peu applatie aux pôles et que l'on avait déjà établi, les limités géographiques de l'Antarctique.

    Or, dans ce texte, nous sommes en 1956 (mais là, on le sait, Bryd évoque l'opération High Jump de 47-48), et il reprend pratiquement la même phrase. Ce qui prouve qu'il n'a pas, en 1933 pu explorer à sa guise, le territoire inconnu évoqué.

    Rappelons aussi que dès 1929, donc effectivement 4 ans avant 1933, il avait survolé le Pôle Sud, et participé alors à une incroyable émission de radio dont l'extraordinaire reportage, nous est fait par l'écrivain célèbre (auteur du "Triangle des Bermudes") Charles Berlitz  (qui ne semble pas pourtant vouloir trop se plonger dans cette théorie de la Terre creuse, qu'il connaissait alors probablement ), et qui nous transmet ce reportage, aux pages 164 et suivantes de son livre "Sans Trace " publié chez Flammarion en 1978:

  

    Voir ce reportage inoui, à la fin de notre article :

http://www.artivision.fr/docs/RaymondBernardouvrageTC.html

      Puis, il y aussi en 1947 cet article, page 6, du site :

http://news.google.ca/newspapers?nid=Fr8DH2VBP9sC&dat=19470206&printsec=frontpage

, où il est écrit en titre : " Nouvelle découverte de Byrd rendant les cartes actuelles désuettes pour certaines zones".


      Nous ne traduirons pas cet article qui utilise des descriptions banales, destinées à noyer le poisson, mais nous retiendrons surtout la phrase finale " In all, admiral Byrd estimates the expedition's planes have already sighted 100.000 square miles of this unknown continent..."

"Finalement l'amiral Byrd a évalué que l'expédition aérienne a déjà mis en évidence, 100 000 miles carrés de ce continent inconnu". Comme vous le voyez, ici, on parle de continent inconnu, et non plus de terre inexplorée ou inconnue.

     Un continent comme c'est surprenant n'est ce pas !!!

     Mais il y a mieux encore :

       En effet sur le site :

http://news.google.ca/newspapers?id=UIIhAAAAIBAJ&sjid=eosFAAAAIBAJ&pg=930,6964374&dq=lee+van+atta&hl=en

, l'ami Sébastien C...., nous a fait découvrir ceci :



     Nous n'avons reproduit qu'une partie de cet article, et aussi nous avons souligné en rouge les termes qui ici, nous interpellent.

     Traduisons, à peu près, le titre et les paragraphes en quetion :

Byrd prédit qu'un huitième Continent sera trouvé dans les régions arctiques

Par Lee Van ATTA
Participant à l'expédition de Byrd dans l'Antarctique.

"L'amiral Richard E Byrd a exprimé l' intuition que son expédition, puisse dans les quatre semaines suivantes, faire " La plus grande découverte du 20 siècle "- soit : un huitième continent."

     Plus bas en parlant du capitaine George J. Derek Officier de la Marine US de 43 ans accompagnant Byrd en Antarctique, Lee Van ATTA nous dit :

"Si alors il trouve que les eaux sous glace de la mer de Walddel séparent la terre de James Ellsworth du reste de l'Antarctique, ainsi un huitième continent pourra être ajouté aux cartes du monde, et Byrd croit fermement qu'une telle découverte est possible."

      Il est clair que le début de cette dernière phrase est totalement confus et incompréhensible, mais seule la croyance affirmée de Byrd nous intéresse ici : un huitième continent pourra être ajouté à la cartographie mondiale, après son expédition. Mais que signifie donc tout cela !!

      Précisons d'abord ce que l'on découvre au sujet des continents sur le site :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Continent#Comparaison.html


     Comme on le voit, il a bien 7 continents, mais et l'Antarctique est déjà un des 7. Alors comment se fait-il que Byrd parle d'un huitième continent qui existerait encore en Antarctique ?

     La seule façon de comprendre ce langage tout à fait énigmatique, (voulu sciemment par Byrd, et qui a autorisé Lee Van ATTA à l'utiliser), est d'admettre, une fois pour toutes, que Byrd, ayant déjà, à plusieurs reprises pénétrer, (en quelques milliers de km) dans l'ouverture polaire sud (il l'a fait aussi pour celle du nord), est certain cette fois, avec la puissante armada de l'opération "High Jump", de pouvoir démontrer définitivement l'existence de ce continent, qui s'étend à l'intérieur de la Terre. Point Barre.

    On pourrait arrêter là, cette présentation insolite, concernant l'explorateur Byrd, mais voici un petit dernier pour la route :

     Le 26 Février 2011, nous avons reçu de nouveau de l'ami Sébastien du Canada, la missive suivante dont voici le début :

----- Original Message -----
From: sebas c
To: fred.idylle@orange.fr
Sent: Saturday, February 26, 2011 2:05 AM
Subject: Byrd

          Bonjour Fred,

     J'aimerais vous présenter l'article du Leader Post du 31 janvier 1947. C'est un article ayant pour sujet l'expédition de Byrd vers le pôle sud en Février 1947. (voir fichier joint)

Et voici l'url :

http://news.google.ca/newspapers?id=Kb9TAAAAIBAJ&sjid=kDgNAAAAIBAJ&pg=5209,4664847&dq=south+pole+secret&hl=en
.....................suite coupée...........


     Merci mille fois encore, à Sébasbien, pour sa si efficace participation aux recherches d'ARTivision.

     Après quelques ajustements, voilà ce que l'on découvre sur ce site :


     Le titre surprend déjà : Byrd annonce ses objectifs pour aller investiguer dans le secret polaire.

      Ah Ah... comme vous le voyez, il y a tout de même un secret à découvrir, dans ces immenses zones glacées extrêmement froides et couvertes de neige à l'infini n'est-ce pas ?

     Traduisons quelques paragraphes, où il y a des phrases soulignées en rouge.

     D'abord tout au début on trouve " Little America. 31 Jan. Le Vice Amiral Richard E.Byrd a atteri à Little America jeudi et immédiatement annonça ses objectifs en vue d'un vol à travers le Pôle Sud dans un territoire inexploré pour déterminer si l'Antarctique est un continent unique ou une masse de deux grandes îles.

     Byrd dit que l'expédition de la Navy sous son commandement allait devenir peut-être "La plus importante découverte géographique qui reste à entreprendre dans ce monde".


     Quel tissu de sous-entendus, Byrd nous livre ? Il faut savoir lire entre les lignes, bien sûr.

     En effet d'abord, pour savoir si l'immense continent possède des failles profondes (rappelons qu'à certains endroits, il y a près de 4000m d'épaisseur de glace, d'après le dessin en perspective suivant tiré du Paris Match n° 1088 du 14 Mars 1970 :



où l'on voit que l'épaisseur de la glace peut monter jusqu'à 4200m )
, capables de le séparer en divers portions, il faudrait des centaines d'avions munis de radars puissants pouvant sonder sous la glace et de vastes équipes au sol pour baliser le terrain. Donc, cette affaire d'îles à déterminer est un énorme bluff pour noyer le poisson, et détourner l'attention des journalistes.

     Puis, il y a ceci :"La plus importante découverte géographique qui reste à entreprendre dans ce monde". Comment à l'époque (le Traité de l'Antarctique interdisant toute mesure de nature militaire et non pacifique qui a pris effet le 23 Juin 1961, n'était donc pas encore en vigueur), l'exploration de quelques veines apparentes de charbon ou d'autres minerais utiles à l'industrie, pouvait-elle être considérée comme la plus importante découverte géographique ou géologique qui soit ? .

     Ce n'est pas du tout logique, et ce sont les chercheurs pointilleux comme Ray Palmer et Raymond Bernard, qui nous en donnent l'explication :

     "Le 13 Janvier 1956, nous apprenons ce qu'il en a été réellement. A cette date, les rapports de l'US Navy parlent de l'atteinte d'un point à 4300 km au-delà du Pôle Sud. La distance totale fut réalisée sur une zone terrestre. "

      Le site ARTivision cherche bien sûr, avec une ardeur inégalée, comment trouver au moins un, journal qui a publié ces rapports.

     Plus bas on trouve "I'd like somebody to get into that vast unknown area on the other side of the pole ", he said.

     Cette affirmation de Byrd est superbe et très explicite: " J'aimerais que quelqu'un penètre dans cette immense zone inconnue, au-delà du Pôle".. Que dire de plus ici, sinon que Byrd, vient là de mettre le pied carrément dans le plat. Que ceux qui veulent encore le dédouaner concernant sa découverte extraordinaire, en la considérant comme tout à fait banale, continuent à fourrer la tête sous le sable comme l'autruche, jusqu'à ce qu'ils soient bientôt balayés par le souffle puissant de la Révélation qui approche à grands pas.

     Et pour terminer nos phrases soulignées, on a ceci :

" Byrd dit qu'il était extrêmement intéressé par la région non répertoriée qu'il aimerait explorer. Il la qualifia de "zone la plus inaccessible de la Terre juste au-delà du pôle sud, par rapport à la base Little America". "

     Et nous voilà arrivés, à cette affaire d'inaccessibilité, évoquée souvent par Byrd dans ses déclarations...et affaire qu'ARTivision a déjà développée specifiquement dans son article :

http://www.artivision.fr/docs/Byrdinaccessible.html

c) Quand la revue Sciences et Avenir, a dans les colonnes de son n°1 , la preuve qu'il se passait en 1947, des choses bizarres en Antarctique.

    En effet l'expédition de Byrd de 1947, n'a pas manqué d'interpeller certains journalistes de l'époque, et par exemple, même la revue à vulgarisation scientifique "Sciences et Avenir" de début Mai 1947 dans son n° 1 se pose aussi des questions à ce sujet. En voici d'abord une partie de la couverture de cette revue qui à l'époque avait pour dimension 40,5 cm et 29,5 cm ce qui dépasse de loin les capacités de notre scanner:



     Puis voici le début de l'article, suivi de sa fin, où l'on s'interroge sur les vraies motivations de cette expédition:





     Vous avez donc bien noté que devant l'incroyable armada mise en route par l'expédition de Byrd, la revue Sciences et avenir de 1947 se pose effectivement la question de savoir si cette expédition "n'avait pas d'autres visées non avouées". (À vous de juger sur pièces)

       Donc les journalistes de Sciences et Avenir avaient déjà en 1947, tout le loisir d'approfondir dans leur propre revue, les phénomènes insolites qui se passaient aux pôles de notre planète, pour en tirer comme ARTivision, les extraordinaires conséquences qui s'imposent.


     A bon entendeur Salut...


b) Quand la revue Sciences et Avenir, publie en Mars 2013, la photo d'un dique brillant au Pôle Nord de Titan.

     En bas de la page 19, on trouve en effet ceci :


     Nous avons déjà sur ARTivision mentionné l'explication tout à fait fantaisiste, que des astronomes ont donné à la présence de cet incroyable disque lumineux, qui apparaît au Pôle Nord de Titan, et explication que l'on trouve aussi sur cette image du n° 508, de la revue d'astronomie "Ciel&Espace" de Sept. 2012 :



     Mais, analysons de plus près, l'explication que ces deux revues de la présence du disque très brillant, au Pôle Nord de Titan qui est cet énorme satellite de Saturne (5150 km de diamètre) plus gros que la Lune (3475 km) et même que Mercure (4879 km), aurait à sa surface des lacs d'hydrocarbures et consorts, dont la surface serait si plane et lisse, qu'elle pourrait renvoyer la lumière solaire (avec une brillance inouie), vers une zone polaire discoïdale d'environ 250 km. Les rayons du soleil très lointain, devraient si l'on suit cette explication, arriver verticalement dans une partie restreinte de la zone polaire Nord de Titan (et surtout pas ailleurs comme par exemple à l'équateur) pour pouvoir être réflechis perpendiculairement au sol et traverser les couches supérieures très denses de l'atmosphère de Titan et pour ensuite jaillir sous la forme du disque super brillant au diamètre très net dont la limite tourne autour, nous l'on déjà dit, de 250 Km. Pas de diffusion et autres diffractions parasites aux alentours. Or les rayons du soleil ont une inclinaison bien définie, en arrivant sur Titan, et ne peuvent en aucune manière être réfléchis sélectivement, juste au-dessus du pôle. Donc cette explication est tout à fait bidonnée, et les scientifiques en question auraient mieux fait de dire avec beaucoup d'humilité , qu'ils ne savent pas de quoi il s'agit. Notons en passant, que cette humilité ne devrait en aucune facon, être comme celle de Neil Armstrong, présentée par le journal de France-Antilles du 27 Août 2012 :



     Pour en savoir plus, prière de se reporter à l'article :

http://www.artivision.fr/docs/France-Antilles27Aout2012.html

     Mais, revenons au disque brillant nord de Titan. Dans la revue "Science&Vie" suivante, nous dit-on ( Mr Emmanuel Monnier), dans le n° Spécial de Mars 2008:


, que le flux de lumière, qui arrive dans ces contrées reculées est 900 fois plus faible, qu'au voisinage de la Terre. Lisez cela vous-même :


, alors on se demande, comment ce flaiblard flux, pourra à 1,5 milliard de Km du Soleil, venir par une concentration quasi magique , exciter les épaisses couches atmosphériques de Titan (1200 km d'épaisseur km pour Titan, contre environ 100 km pour la Terre, voir plus bas le Science Magazine), juste au-dessus du pôle pour en illuminer souverainement, un inexplicable disque trop brillant, pour ne pas stupéfier l'observateur.

     Nous connaissions bien sûr, cette image insolite du pôle Nord de Titan. Mais comme il existe également une image semblable au Pôle sud (connue par ARTivision, dès 2004, et dont nous parlerons plus tard), nous nous sommes en effet demandés à un moment donné, si, au Pôle Nord de Titan, il pouvait aussi exister un tel disque lumineux ? Hélas nous sommes d'abord tombés sur cette image du pôle nord de cet astre, où subsiste une ombre notoire très génante, comme si l'on tenait à cacher quelque chose :



     Mais, le 14 Janvier 2010, super hasard, est venu une fois de plus, à notre secours, car en pénétrant occasionnellement, dans le site :

http://saturn.jpl.nasa.gov/photos/?subCategory=10

, à la rubrique concernant Titan ( faire bouger l'ascenseur à côté de GO jusqu'à Titan) , et alors on y découvre, dans le tableau n°1 de 12 clichés, cette extraordinaire image, reprise par le Ciel&Espace 508 de Sept 2012 en question dans cet article :


, avec comme explication en dessous : Reflection of Sunlight off Titan Lake.

On peut retrouver aussi bien sûr cette photo de titan sur le site officiel de la NASA :

http://saturn.jpl.nasa.gov/search/?searchbox=Titan&category=Images

tel que l'on trouve ce montage :


Vous avez bien lu, nous l'espérons la mention "The cassini spacecraft will look for a glint of sun light reflecting off a methane lake" que nous traduirons grosso modo "la sonde Cassini regardera un reflet d'un rayon du soleil qui s'est reflechi sur la surface d'un lac de methane".       Comme vous le voyez, c'est de la NASA elle-même, qu'est sortie cette fumiste explication , que bien d'autres revues ont reproduite sans même voir qu'elle était nulle et non avenue...

     Mais, en droite ligne de cette incroyable affaire, présentons aussi ici, le super entrefilet, de la revue bien connue de notre ami Roch Sauquere "TOP SECRET" n° 47, publié en Février 2010. Et pour les puristes, qui aiment partir des sources, voici d'abord la photo de couverture de cette revue :


     Puis, voici l'image de cet entrefilet :


     Et voici maintenant le texte important de cet entrefilet (Les couleurs sont de nous bien sûr):

TITAN.

Un point lumineux récurrent.

      La NASA a dévoilé, samedi 18 Décembre 2009, une incroyable photographie de Titan. On y découvre une forte lueur jaune qui serait selon l'agence le reflet du soleil sur un lac de méthane.

     Ce "reflet spectaculaire" au pôle nord a été photographié par la mission Cassini depuis l'hémisphère nord de cette lune.

     Curieusement, par le passé, la NASA, nous a déjà montré plusieurs photos de Titan montrant déjà la même lumière au pôle Sud. Une première fois la NASA avait parlé de nuages et une autre fois de "tempête tropicale"... Nous vous parlions déjà de cette anomalie dans les news de TOP SECRET N°20, N°30, et aussi dans le Hors Série N°1 page 55-56. Sur certaines images la lumière semblait même jaillir de la planète. Alors ?

     Après nous avoir parlé de nuages de méthane, ou de tempête tropicale, et maintenant de lac de méthane, la question que nous avons envie de poser à la NASA, c'est comment expliquer qu'il y ait toujours ce même "reflet", très brillant, à la même place et d'un même diamètre ? Cette lumière n'est-elle pas plutôt issue de l'intérieur de Titan ? Ce qui nous ramène une nouvelle fois à l'hypothèse des "Planètes creuses"...

Source: http://solarsystem.nasa.gov/multimedia/gallery.cfm?Category=Planets&Object=Sat_Titan

     Fin de l'entrefilet.

     On a du mal n'est-ce-pas à ne pas se tordre de rire , devant cette explication officielle pour ce disque polaire nord si brillant ..., surtout si l'on sait (nous l'avons vu plus haut) que le Soleil est très loin de là, et que sa lumière devrait arriver à bout de souffle à cet endroit

Mais pour completer sommairement ce tableau il nous appartient ici de transcrire l' information suivante que nous tirons de notre article :

http://www.artivision.fr/docs/Ciel&spaEceSep0t212enquestion.html

      " Le 5/07/10, nous avons eu le bénéfice de découvrir dans une Grande Surface de notre environnement, la revue Science Magazine26 des mois de Mai-Juin-juillet 2010 :


      Extrayons-en alors quelques titres et paragraphes significatifs que nous transmet un responsable des programmes d'explorations du Système solaire du CNES:


      Puis il y a :


     et voici enfin encore l'image inouie en question :


      Dans les images précédentes, nous avons souligné en rouge les termes qui nous interpellent directement. Ainsi donc, à près de 1,5 milliard de Km, les rayons de notre Soleil arrivent à percer sans problème, une atmosphère plus de 12 fois plus épaisse que la nôtre (1200 km au lieu de 100km), ensuite, ces rayons vont aller se refléter sur les zones sombres lisses (où le radar lui-même n'a pas d'écho), et retraverser cette épaisse atmosphère très dense pour donner ensuite cette source ponctuelle très lumineuse au Pôle Nord de Titan. Même si l'on imaginait que les lacs de méthane en question se trouvaient par magie, sous la forme d'un plasma chauffé à blanc par une énergie inconnue et providentielle, cela ne marcherait pas à cause de l'épaisseur de l'atmosphère. Donc toute cette explication officielle, ne tient absolument pas debout, d'autant plus que ce spécialiste des programmes d'exploration du Système solaire du CNES, évite soigneusement de comparer cette situation lumineuse insolite du Pôle Nord de Titan, avec celle encore plus extraordinaire du Pôle Sud de cet astre "

     Fin de citation .

c) Quand la revue Sciences et Avenir, oublie une chose importante au sujet du Pôle Sud de Titan.

     Le site ARTivision, a en effet, dans de très nombreux articles, présenté ces images surprenantes de Titan, et nous avons aussi constaté avec une grande amertume, que la revue Sciences et Avenir de Mars 2013 , en question ici, et aussi celle de Ciel&Espace 508 de Sept 2012 déjà citée et nommée dans notre article : Ciel&spaEceSep0t212enquestion.html , ont soigneusement évité de comparer leur brillant disque du pôle nord de Titan, , vu plus haut avec ceci qui est apparu plus tôt au pôle sud du corps céleste en question.


     Comme vous l'avez sûrement remarqué, ce qui surprend grandement sur ces les premières photos de Titan, c'est le point extrêmement lumineux que l'on aperçoit au bas de la planète, et, vu sa grosseur, (300 km de diametre) , ce point correspond en fait, à un disque superbement lumineux gigantesque.

     Isolons alors le globe de couleur bleue et agrandissons le, quelque peu :



      Pas besoin de dire que c'est cet œil surprenant de Titan , extrêmement brillant , qui nous interpelle ci-dessus et où l'on voit nettement juste en-dessous une sorte réverbération sur les couches de l'atmosphère de la planète prouvant que cette luminosité vient de l'intérieur . (voir le bout de la flèche rouge).

      Il faut aussi remarquer surtout que c'est parce que la sonde Cassini Huygens avait été mise au point par plusieurs nations, dont l'Allemagne, la France, l'Italie..., que ces pays et d'autres, ont eu un accès direct en temps réel aux informations de la sonde. Donc la NASA a été prise de court et n'a pas eu le temps de nous cacher ce disque extrêmement lumineux, qui est apparu au Pôle sud de Titan.

      Mais, voyons plus avant ce que nous dit de cela le site officiel de la Nasa, déjà présenté plus haut à :

http://saturn.jpl.nasa.gov/search/?searchbox=Titan&category=Images

     On découvre alors ceci :


     et en noir et blanc c'est aussi bien :



, puisque nous avons là alors, un semblant d'explication :


     En rouge, on comprend : " Un brillant nuage de particules de méthane apparaît au pôle sud des 3 images. .."

     Oh là ....un " nuages de particules de méthane", disons que ce methane, a dû être chauffé à blanc et ionisé sous forme de plasma, par un phénomène naturel inconnu, pour nous fournir une luminosité d'une telle intensité, amplifiée magnifiquement par les rayons d'un Soleil, on le sait, très éloigné...

      Et...désormais, c'est à vous de juger en toute connaissance de cause ...

     Enfin on trouve aussi ceci :



     Pas besoin d'être fortiche en anglais pour découvrir que le laius en desous de l'image, ne mentionne plus du tout, le disque blanc apparu . A vous de juger.

      Nous avons longtemps cherché, dans de nombreuses revues et journaux, les tenants et les aboutissants de cette affaire de disque brillant au Pôle sud de Titan. Très peu d'explications logiques, nous ont été fournies.

     Notons cependant l'article d'une scientifique astronome à l'Observatoire de Paris et spécialiste de Titan, paru dans le journal "Le Monde" du 10/11/04, et article dont nous avons placé intégralement les importants éléments à :

http://www.artivision.fr/docs/LeMonde101104.html

     De cet article précédent, nous allons extraire surtout la phrase suivante, qui a particulièrement retenu notre attention :

    " Les détails de l'atmosphère font également l'objet de toute l'attention des chercheurs." "Notamment une sorte de nuage" - que l'on appelle ainsi faute de pouvoir mieux le qualifier - qui ressemble à un système météorologique complexe, un vortex tournant autour du pôle Sud de la planète ", raconte Mme Coustenis. "

     Voilà au moins le vocable "Vortex", qui apparaît ici. Nous notons donc bien, que Mme Athéna Coustenis, dit qu'elle ne sait pas, comment qualifier cette sorte de nuage ( elle évite cependant de parler de sa superbe brillance), que l'on aperçoit au Pôle Sud de Titan, tel qu'il se présentait à l'époque selon l'image que nous replaçons volontairement ici et dont le damétre, tourne selon nos modestes calculs, autour de 300 km :


     Voilà donc, enfin une astronome qui avoue que sur Titan, il y a "une sorte vortex nuageux" tournant au pôle sud de la planète, et vortex, qu'elle qualifie cependant de complexe météorologique. A vous de juger tout cela ...

     Mais ce n'est pas tout, d'autres scientifiques avouent aussi, leur incompréhension du phénomène :

     Ainsi sur le site suivant, qui hélas a disparu du Web ( merci d'avance à tout internaute qui en retrouvera le nouvel url) :
http://www.aerov.jussieu.fr/themes/APACHE/CVs/Rannou/RANNOU.html

on trouvait alors en 2004 , cette image :



     Et aussi, ces propos surprenants : "Un évènement particulier a été observé en octobre 2004. Le nuage du pôle sud est devenu extrêmement actif (Schaller et al., 2005) et a recouvert toute la région polaire. L'origine du phénomène et sa caractérisation physique sont encore largement inconnus. Il est probable que le "sursaut" de l'albédo de Titan que Griffith et al. (1998) a détecté est en fait un évènement similaire à celui-là.

     Tout est ici, très clair : On ne sait pas du tout de quoi il s'agit...

     Il y a une autre chose qui nous intrigue dans les 868 photos de Titan du site de la Nasa, c'est le fait que si l'on découvre que dans la page 55 du n° 508 du Ciel&Espace déjà cité, que la sonde Cassini-Huygens est prévue " pour durer quatre 4 ans, et que sa mission devrait se poursuivre jusqu'en Septembre 2017. Elle aura alors effectué 127 survols de Titan scannant toute la surface en radar et en infrarouge" .

     Mais ce qui aurait été utile de savoir, c'est combien de survols de Titan ont été effectués de 2004 à la fin de 2012, donc en 8 ans de bons services. Si de 2004 à 2017 il y aura 127 survols, en 8 ans de 2004 à 2012 il y en aura fin de 2012, près de 78 survols. On s'étonne donc franchement qu'aucune autre photo n'est apparue depuis dans la presse spécialisée( mis à part le si peu de celles qui précèdent), du superbe vortex sud de Titan , et il en est de même, bien sûr, pour la très insolite photo du Pôle Nord de ce sattellite de Saturne, justement vue plus haut...

     A vous, d'en tirer les conclusions qui s'imposent...

      Mais il y a eu aussi cela, en 2004:

      En effet, le 16/11/04, nous avons pu avoir sous la main, le "Figaro magazine" du Samedi 13 Nov. 2004, où nous lisons en page 36, ceci :

 

     Nous extrayons alors, du texte précédent, les mots suivants :

" Un spectromètre de masse était aussi de la partie pour analyser les composants de l'atmosphère: elle est constituée d'azote à 90%. Mais on trouve, du méthane, du benzène, du diacéthylène... Près du pôle sud, ces composés forment un vaste tourbillon de nuages blancs. Découverte surprenante les particules nuageuses sont trop grandes pour être faites de méthane..."

     Nous avons vainement cherché ce tourbillon de nuages blancs au pôle sud de la planète, sur la photo suivante que nous présente aussi la revue :

 


     Ainsi donc, il paraît que ces taches blanches du pôle Sud de Titan, ne sont plus composées de méthane, alors que de nombreuses revues ne parlaient que de cela...Comme les "certitudes", concernant l'espace, se modifient rapidement, ces temps-ci.

     Comparons encore tout cela avec notre fameuse photo bleue de Titan, vue plus haut:

  


     A qui fera-t-on croire, que ces deux photos, représentent le même phénomène, sans qu'il y ait eu en Haut Lieu, une manipulation de l'image ? Mr Olivier de Goursac de la Socièté astronomique de France, fait (ici pour la photo de gauche, obtenue par Cassini Huygens, à partir du 26 octobre 2004) allusion à un tourbillon de nuages blancs (tourbillon vraiment non perceptible comme vous le voyez) alors que sa collègue Mme Athéna Coustenis, astronome à l'Observatoire de Paris, déjà présentée plus haut, parle elle, pour la photo de droite d'un vortex, tournant au pôle sud de la planète, et vortex qu'elle qualifie cependant de complexe météorologique. En parlant de tourbillon, ce monsieur Olivier de Goursac ne garde-t-il pas inconsciemment en mémoire, ce vortex de la photo bleue, qu'il a eu obligatoirement en main, à partir du 4 juillet 2004 ?

     De plus, la partie droite de l'image de Titan du "Figaro magazine" présente une luminosité remarquable, et Mr Olivier de Goursac, nous dit que c'est alors "notre soleil qui illumine par derrière, l'épaisse atmosphère de Titan". Or d'après ce que l'on a vu plus haut, et que disait Mr Emmanuel Monnier, le flux de lumière venant de notre soleil étant 900 fois plus faible dans cette région, par conséquent, cette lumière aurait bien du mal à éclairer si manifestement, ce côté de Titan.

     Nous ne pouvons hélas, en dire plus, ici sur ce phénomêne surprenant, mais pour expliquer cela, au novice, qui a, à peine découvert deux ou trois articles d' ARTivision, nous l'invitons d'abord à bien attacher sa ceinture avant d'entrer dans les pages qui suivent, car à l'altitude où l'on va circuler, il risque d'y avoir de très fortes turbulences :

     Nous l'invitons donc à lire d'abord la fin de la note n° 6 , de notre article :

http://www.artivision.fr/docs/LaMerLibreduPoleNord.html

Et, pour en savoir plus :

http://www.artivision.fr/docs/Byrdalice.html

A vous de juger, une fois de plus, tout cela....

d) Quand la revue Sciences et Avenir, aurait pu aussi regarder du côté de l'astéroide Cérès.

     Mais, il existe en effet aussi un petit corps céleste qui semble vouloir damer le pion à Titan, en matière de lumière insolite, venant dont on ne sait où ... Mais lisez donc ce qui suit plutôt :

    Le 09/09/05, nous avons eu le privilège de recevoir de l'ami Claudisa....le message suivant :

----- Original Message -----
Sent: Friday, September 09, 2005 1:34 PM
Subject: nouvelobs.com quotidien temps réel vous informe...

Pas beaucoup d'explication sur la tache de lumière !!!

La vraie nature de Cérès

Lire : http://www.sciencesetavenir.fr/actualite/espace/20050909.OBS8748/la-vraie-nature-de-ceres.html

    Amitiés

    Claudisa




    Et pour vous éviter d'aller patrouiller sur le Net, voici de quoi il sagit :

© Le Nouvel Observateur
 
La vraie nature de Cérès

Hubble a observé Cérès pendant une rotation complète (9 heures) afin de confirmer l’homogénéité de sa forme. (NASA/ESA/Parker, Thomas, McFadden)
 
 

L’astéroïde Cérès, le plus gros représentant connu de la ceinture principale d’astéroïdes située entre Mars et Jupiter, aurait pu être une planète. Si Jupiter ne s’était pas formée, si du même coup elle n’avait pas empêché nombre d’objets de la cette ceinture de continuer à grossir en acquérant de la matière, Cérès serait peut-être devenu une planète. La forme sphérique de l’astéroïde accrédite l’hypothèse d’un objet homogène, possédant un cœur et un manteau, selon une étude publiée cette semaine dans la revue Nature.

De nouvelles observations menées en décembre 2003 et janvier 2004 par le télescope spatial Hubble montrent que Cérès est un objet sphérique, pas aplati, suggèrant que sa forme est contrôlée par une force de gravité. De plus sa rotation correspond à une distribution homogène de la matière, expliquent Peter Thomas (Cornell University) et ses collègues.

Cérès pourraient donc être composé de deux couches : un cœur rocheux et un manteau riche en glace d’eau. Une structure comparable à certaines lunes glacées du système solaire. Pour se faire une idée plus précise et plus définitive, les chercheurs attendent avec impatience la mission Dawn, conçue pour rendre visite à Cérès et à Vesta, et qui se mettrait en orbite autour de Cérès en 2015.

Cécile Dumas
(09/09/05)

    Vous constatez effectivement, comme le souligne l'internaute Claude, que dans cet entrefilet, il n'est question nulle part de cette lumière éclatante qui éclabousse Cérès. Est-ce un reflet de la lumière lointaine de notre Soleil sur de la glace de l'astéroide? Aucune suggestion, ne nous est proposée. A vous de juger ce mutisme notoire.

    Nous avons aussi reçu d'autres aimables internautes, cet entrefilet qui est tiré du journal "20 minutes TOULOUSE", qui est offert gratuitement. Il est daté du 13 septembre 2005 :



    Vous voyez que là, nous apprenons que le diamètre de Cérès mesure 930 km, et surtout que les astronomes n'ont pour l'instant aucune explication à proposer au sujet de cette tache blanche très lumineuse qui apparaît sur les photos. Voilà une belle leçon de modestie et d'humilité ( ce qui manque beaucoup, on l'a vu plus haut, à certains), que nous offre ici ce journal "20 minutes de TOULOUSE".

    De plus, il faudrait pour en en savoir plus, pouvoir filmer l'autre hémisphère de Cérès et voir ainsi, si l'on y découvre aussi, une lumière éclatante similaire.

A vous de juger cette affaire insolite de Cérès documents à l'appui

     Cette affaire de Cérès est donc à suivre, avec minutie.

e) Quand la revue Sciences et Avenir, aurait pu aussi regarder plus près de nous, la planète Mars .

    Le moment est venu maintenant pour ARTivision de donner une explication concernant cette affaire de vortex insolites aux pôles de Titan et consorts.

    En effet toute cette affaire, vue plus haut, de disques brillants, aux pôles de Titan, et chez certains autres astres, serait vite classée par les détracteurs irréductibles habituels, comme des illusions d'optique, s'il n'y avait pas aussi, plus près de nous, par exemple à la planète Mars, ce genre d'images tout aussi surprenantes :

     En effet, nous allons alors présenter ici, des éléments prouvant catégoriquement que la planète Mars, nous offre aussi, depuis belle lurette, le moyen de résoudre définitivement, l'énigme fantastique, de ces affaires polaires.

    Commençons, si vous le voulez bien, par ce montage mosaïque, réalisé dès fin Sept 1902, par l'Observatoire Astronomique de Yerkes, appartenant à l'Université de Chicago à Williams Bay dans le Wisconsin :



     Traduisons grosso modo, le texte de l'image : " Vues de Mars prise à l'observatoire de Yerkes le 28 Septembre 1902, montrant, la prétendue la calotte neigeuse, se projetant au-delà du globe de la planète, ce qui exclut toute possibilité qu'elle soit faite de neige ou de glace."

    Voici d'ailleurs deux photos agrandies de ce panorama :

  


     Ces images sont extraites, page 80 bis, de l'ouvrage incontournable de Marshall B. Gardner (1920), et voici donc, une photo de l'auteur, suivie de celle de la couverture de l'ouvrage en question :

  

    Nous avons alors ici, le plaisir de vous transmettre un paragraphe en pages 84 et 85 :

     "Earlier writers, however, had noticed that the spots were brighter than the other surfaces of Mars, an astronomer, writing in the Scientific American Supplement as early as 1879, in effect, having made that observation. But this writer was not aware of the real nature of the light. In 1892 the celebrated English astronomer, J. Norman Lockyer, repeated in a periodical a number of observations he had made thirty years before and had then communicated to the Royal Astronomical Society of England. Here is a significant quotation :

     "The snow-zone was at times so bright that, like the crescent of the young moon, it appeared to project beyond the planet's limb. This effect of irradiation was frequently visible; on one occasion the snow spot was observed to shine like a nebulous star when the planet itself was obscured by clouds, a phenomenon noticed by Messrs. Beer and Madler, recorded in their valuable work, 'Fragments sur les Corps Celestes.' The brightness, however, seemed to vary very considerably, and at times, especially when the snow zone was near its minimum, it was by no means the prominent object it generally is upon the planet's disc."
"

     Traduisons, à peu près, cela :

     " Cependant, plus tôt, des écrivains , avaient remarqué que les taches étaient plus brillantes que les autres surfaces de Mars, et en effet, dès 1879, un astronome, écrivit dans le Supplément de la revue Scientific American , le fait qu'il avait découvert cette particularité. Mais cet écrivain n'était pas au courant de la vraie nature de cette luminosité. En 1892, le célèbre astronome anglais, J. Norman Lockyer, a repris dans un périodique un certain nombre d'observations qu'il avait faites, trente ans auparavant, et obsevations qu'il a ensuite communiqué à la Royal Astronomical Society d'Angleterre. Voici une citation significative :

     "La zone neigeuse, était parfois si brillante, que, comme le croissant de la lune montante, elle se projetait au-delà du globe de la planète. Cet effet de la luminosité, a été fréquemment constatable. Une fois même,la zone neigeuse, s'est mise à briller comme une nébuleuse, alors que la planète elle-même était obscurcie par les nuages. Ce phénomène fut remarqué par MM bière et Madler, et enregistré dans leur précieux ouvrage "Fragments sur les Corps Celestes". La luminosité, cependant, semble varier considérablement, et parfois, surtout quand la zone de neige est près de son minimum, elle n'est alors nullement l'objet en relief qui se projette généralement Au dessus de la planète."."

    Pour mieux encore illustrer tout cela, voici quelques autres images de Mars , déjà présentées sur notre site :

  


    Pas mal, n'est-ce pas, ces "couvre-chefs lumineux, ", bien en relief, au dessus de la planète !!!

    En voici encore d'autres, où l'on voit, que la calotte brille sompteusement, alors que la région environnante est dans l'ombre...

  


     Mais d'autre part, nous avons reçu, il y a bien longtemps, de notre ami M. Hertzog, si souvent évoqué dans nos articles, cette étrange photo de Mars, qui ressemble plutôt à un tableau d'artiste, mais qui montre aussi, cependant, une calotte polaire très brillante :



     Cette photo provenait à l'époque du site :
http://www.astronomyforum.net/astronomy-photos/511-mars-photos/16-mars.html

    Nous avons écrit au site : http://www.astronomyforum.net/sendmessage.php, pour savoir quel télescope avait pris cette photo et si elle avait été retouchée par la suite ? Hélas nous n'avons jusqu'à présent reçu aucune réponse. Peut-être qu'un intrépide internaute aura plus de chance que nous ! Courage donc.

     Cependant nous constatons que cette photo est étrangement ressemblante, à celle qui suit, et qui est placée , elle, dès 1920, en page 68 bis du fameux livre de Marshall B. Gardner. (Nous avons mis en français le texte qui apparaissait sous la photo).



    Il y a aussi, cette extraordinaire photo de Mars , prise le 31 Août 2003 par le "Griffith Satellite Observatory", lors de la fameuse opposition de 2003, où Mars, était alors au plus près de la Terre, à environ 56 millions de km :


    Nous insistons ici sur le fait que cette photo ne vient pas de la NASA, (qui vérouille et camoufle toutes images venant des sondes spatiales), mais du Griffith Observatory, à los Angeles, en Californie, (et qui existe depuis 1935), et photo inversée, que vous pouvez découvrir actuellement à l'url :

http://web.archive.org/web/*/http://www.jplrecclubs.caltech.edu/astron/images/din/Griffith/Griffith.html


    Mais revenons à Marshall B. Gardner, et voyons comment, il explique tout cela :

A DIRECT SOURCE OF LIGHT

     No one who reads the above in the light of our theory can fail to see how it fits into it. A snow cap would not reflect light with so much more vividness than the other surfaces of the planet, and only direct beams of light coming from a central sun could give that luminous effect above the surface of the planet and varying as the atmosphere in the interior or above it was clouded or clear. Had it been a mere ice cap there would not have been this luminosity and, in particular, there would have been no luminosity when the planet was covered with clouds as Lockyer says it was. Furthermore, that luminosity is precisely what our own aurora borealis would look like if our planet was viewed from a great distance. And the light is the same in both cases.

     From that early date we jump to 1905 and find Percival Lowell again telling of a bright white "kernel" which he observed at the Southern end of the Martian north polar cap.

     That, then, is the situation. All the evidence points to the fact that it is light, and direct light at that, that causes what we have called the Martian ice-caps but which we ought to call the Martian polar openings. But perhaps the reader is still not convinced. He may recall that the writers who treat this aspect of Mars, whether or not they believe in the "canals" seem to have no doubt of the fact that at the poles we have snow or ice. We have already pointed out some inconsistencies in this view. Here are some other considerations that help to dispel that idea, and then, by turning to the planet Venus, we shall demonstrate absolutely that the polar circles are not snow, or ice, or even hoar-frost caps, but simply apertures leading to the inner and illuminated surface of the planet.


UNE SOURCE DIRECTE DE LUMIÈRE

     Aucun de ceux qui aurait pris connaissance des faits qui précèdent, ne peut manquer, à la la lumière de notre théorie, de voir comment ces faits s'y intègrent. Une calotte de neige ne pourrait pas réfléchir la lumière, avec une intendié plus grande que les autres surfaces de la planète, et seulement des faisceaux d'une lumière provenant diectement d'un soleil central, pourraient produire cet effet lumineux au-dessus de la surface de la planète et subir des variations en fonction du fait que l'atmosphère, à l'intérieur du globe ou au-dessus, soit assombri ou éclairci. Si elle avait été une calotte de glace pure, il n'y aurait pas eu cette luminosité, quand en particulier la planète est couverte de nuages, comme l'affirme Lockyer. En outre, cette luminosité est précisément ce que donnerait, nos propres aurores boréales, si notre planète était, vue à une grande distance. Et la lumière est la même dans les deux cas.

     De cette date du début, sautons à 1905 pour y trouver à nouveau Percival Lowell qui affirme avoir observer un "flash" éclatant sorir à l'extrémité sud de la calotte polaire nord de Mars.

     Voilà la situation. Tous les éléments de preuve montrent que ce "flash" est fait de lumière, et de lumière directionnelle en provenance de ce que nous avons appelé les calottes glaciaires martiennes, mais que nous devons appeler les ouvertures polaires martiennes. Mais peut-être le lecteur n'est toujours pas convaincu. Il peut se rappeler que, les écrivains qui traitent de cet aspect de Mars, (qu'ils aient ou non besoin de croire aux «canaux»), semblent avoir aucun doute sur le fait qu'au niveau des pôles, nous avons de la neige ou la glace. Nous avons déjà souligné certaines incohérences dans cette façon de voir. Voici quelques autres considérations qui contribuent à dissiper cette idée, et puis, en se tournant vers la planète Vénus, nous allons le démontrer absolument, que les diques polaires ne sont pas des calottes de neige ou de glace, ou même de givre, mais simplement des ouvertures menant à la surface intérieure et éclairée de la planète.


    Quant à prendre en considération, les documents de la NASA, où figurent certaines images, des pôles de Mars, comme par exemple, celles-ci :

  


, c'est du temps totalement perdu, car chacun sait, que rien n'est plus facile actuellement pour la NASA, de trafiquer des photos à sa convenance.

     Nous avons même, la preuve que cet organisme, considère le commun des mortels, comme un mouton innocent à qui on peut faire avaler n'importe quelle couleuvre mal dégrossie.

     Nous pourrions aussi montrer les Pôles de Mercure, Saturne, Jupiter etc... qui ont aussi des disques lumineux à leurs pôles, mais cela allongerait beaucoup trop cet article.

    Mais, si l'on a bien lu, la déclaration de Marshall B.Gardner placée plus haut, on voit alors qu'il fait allusion à un soleil placé au centre de la Terre creuse tel que nous le montre ce schéma bien connu des internautes d' ARTivision :


      Ce schéma tiré de l'ouvrage incontournable et devenu très rare et déjà présenté plus haut :


et, livre de Raymond Bernard "La Terre creuse" paru chez ALbin Michel en 1971 et ouvrage qui a vraiment relancé de nos jours, la thèse de la Terre creuse, mise en exergue avec ferveur et une grande détermination par ARTivision dans plus de ( nous l'avons déjà dit plus haut ) 75 articles de son site.

     Disons pour terminer aussi, que c'est donc, ce soleil central qui est à l'origine des supers disques lumineux qui apparaissent aux pôles des astres du système solaire, et qui est aussi responsable du phénomêne dit des aurores boréales, des régions polaires et régions, qui sont munies d'ouvertures pour laisser passer cette lumière centrale. Voyez alors celle-ci qui serait attribuée, à la région nord de notre planète Terre :

     Article mis en page le 04/04/2013 , et revu 05/04/2013 , et revu 06/04/2013 ..

Pour tout contact : fred.idylle@orange.fr

Retour à la page d'accueil