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Quand
ARTivision, fait un
flash back sur l'affaire intrigante
d' Apollo XIII, alors jamais présentée sur ce site...
En inversant, un proverbe antillais connu, nous débuterons donc , cet article en disant alors :
"Sa I bon pou Zwa, I tou bon pou kanna"
"Ce qui est bon pour les oies, l'est aussi pour les
canards"
En
clair, cela signifie spécifiquement ici , que ce qui est techniquement valable pour Apollo 8, devrait être aussi
valable pour Apollo 13, moyennant bien sûr, quelques petits ajustements.., et que donc, qu' il est indégniable, habituellement la NASA, applique assurément l'adage : " Quand les modalités techniques d'une action, sont approuvées, on continue toujours dans le même sens".
Et cela signifie aussi par exemple, que les supers schémas et textes vus pour Apollo 8, vont s'appliquer texto, pour Apollo 10 et 11, 12 et même 13...
Il n'y a pas bien longtemps, le 16 Août 2017 nous sommes tombés dans notre garage ( en cherchant bien sûr, tout autre chose ), sur quelques élements du vieux Paris Match n° 1094 du 25 Avril 1970 , qui relatait " l'épopéé fantastique d'Apollo 13", "épopéé", que nous n'avions jamais évoquée, sur ARTivision, et dont voici la première couverture :
Disons pour simplifier, que les remarques particulièremant pointues et interrogatives que nous avions attribuées à "l'épopée d'Apollo 8", dans divers articles, sont encore de mise, et pour éviter que le novice aille s'embrouiller dans les arcanes du site ARTivision, voici donc ici directement,notre premier focus, tout à fait significatif :
Premier focus : Quand ARTivision
démontre clairement, que l'on a oublié carrément le système de freinage pourtant incontournable de la mission Apollo 8, et système qui est à peine mentionné pour d'Apollo 10, pour la satellisation du Module de Service, autour de la Lune, et aussi en plus surtout, pour le retour sur Terre.
Avec nos très faibles moyens, analysons encore une fois, pour le novice cette expédition d'Apollo 8, qui fut à l'origne de la gigantesque et très onéreuse, affaire lunaire de la NASA...
Pour bien nous placer dans l'ambiance et dans l'action des protagonistes, de l'époque, il convient de placer ici le texte qui suit, du petit ouvrage de poche intitulé "la Saga de L'espace"
publié chez Gallimard en Octobre 1986:
"Au début de l'automne 1968, les États-Unis et l'Union Soviétique sont prêts à reprendre leurs vols habités. à la mi-octobre, le vaisseau Apollo 7 accomplit un vol parfait de onze jours autour de la Terre . Les soviétiques suivent quelques jours plus tard : Le 26 octobre Georgi Beregovoi s'élance a bord de Soyouz-3 pour rejoindre sur orbite un Soyouz 2 inhabité, satellisé auparavant. Sa mission ne sera qu'un demi-succès car les deux vaisseaux
ne pourront s'amarrer, mais elle rassurera pleinement le
pays sur la sécuritc du Sovouz .
Des objets terrestres reviennent de la banlieue
lunaire.
Les succès d 'Apollo 7 et de Soyouz-3 sont importants. Mais
lorsque les équipages de ces vaisscaux reviennent de
1'espace fin octobre, la grande affaire n'est plus la
realisation de vols spatiaux autour de la Terre. Le problème
est de savoir qui de 1'URSS ou des Etats-Unis enverra le premier des hommes autour de la Lune, Les Soviétiques
viennent en effet d'accomplir un pas décisif dans cette voie : le 14 septembre 1968, ils ont lancé un prototype de
leur Soyouz lunaire, Zond-5, qui a effectué un suryol a 2000 km de la Lune, avant de revenir se poser avec succès dans 1'océan Indien. pour la première fois un objet terrestre est revenu de la banlieu lunaire . Un autre succès suit avec Zond-6, le 17 Novembre. Le doute
n'est plus permis : les Soviétiques sont prêts à envoyer un
cosmonaute (sans doute Pavel Beliaiev) autour de la Lune.
Et une opportunité s'offre à eux de procéder à cette
expérience le 7 décembre 1968...
Mais les Américains n'ont pas attendu le retour de
Zond-6 pour prendre une décision d'une audace inouie : le 11 novembre 1968, un nouvel administrateur de la NASA,
Thomas Paine, annonce que la mission Apollo-8, prevue
pour Décembre, ne sera pas un vol expérimental autour de
la Terre, mais une mission habitee autour de la Lune ! Le
pari est fantastique.
C'est vraiment là que se situe le tournant dans la
course a la Lune. Si 1'Amérique ne.fait pas d'Apollo-8 une mission circumlunaire, elle est sure que 1'Union Soviétique
la devancera au cours des mois suivants, et recoltera 1'essentiel des lauriers de la conquête lunaire. A quoi cela
servirait-il, des lors, d'envoyer plus tard des hommes sur la
Lune ? Mais si la mission Apollo 8 échoue, c'est tout le
programme Apollo qui est compromis.
En fait, l'Amérique joue là, son avenir spatial à quitte
ou double. Et elle va gagner...
Trois hommes fêtent Noël à une centaine de kilomètres de la Lune
Pour une raison que 1'on ignore, les Soviétiques laissent
passer leur dernière occasion de battre les Américains ;
Le 7 Décembre, aucun Soyouz lunaire ne s'élance de
Baïkonour. La route est desormais libre pour les Etats-Unis. Le 21 Décembre à 16 h 51 (heure de Paris), les trois
astronautes d'Apo11o 8, Frank Borman, James Lovell et William Anders, quittent la Terre au sommet d'une monstrueuse Saturn-5. Deux jours et demi plus tard, leur
vaisseau approche de la Lune et passe derriere elle.
Apollo-8 ne se contente pas de survoler la Lune. Il est
placé en orbite autour de 1'astre, et c'est à 112 km au-dessus de la surface lunaire que les trois homrnes passent la nuit de Noël 1968... Ils repartent vers la Terre le lendemain matin et se posent sans probléme dans le Pacifique le 27 Décernbre.
Lorsqu'ils sont partis, Borman, Lovell et Anders , jouaient leur vie et celle du programme Apollo. Lorsqu'ils reviennent de la région lunaire, ils ont virtuellement fait gagner à 1'Amérique le pari de John Kennedy. Le triomphe
d'Apollo 8 marque la defaite de 1'Union sovietique dans la course à la Lune. Après une réalisation aussi brillante, il ne servirait a rien d'envoyer un seul cosmonaute dans un petit Soyouz effectuer un bref survol de la Lune. Le programme Zond habité est donc abandonné. Les preparatifs d'une
mission plus ambitieuse rnais plus lointaine, l'alunissage de cosmonautes, sont en revanche poursuivis, au cas où la
NASA ne parviendrait pas à atteindre cet objectif. "
Fin de citation.
Évidemment, celui qui veut en savoir plus gagnerait, à lire avec attention, le reste de cet excellent petit ouvrage. Nous avons déjà ici mis en relief ici, certaines phrases qui sont selon nous, à double sens, et nous allons maintenant expliquer pourquoi !
Vous avez bien noté nous l'espérons l'expression ci-dessus, que nous avons mise en exergue telle que :
" Borman, Lovell et Anders , jouaient leur vie et celle du programme Apollo ."
Pour mieux expliquer cela, jetons d'abord un coup d'Oeil sur cette photo du Paris Match n° 1025 du 25 Déc. 1968, qui présentait en première page, les 3 astronautes de la mission :
Mais en pages 32 et 33, ce Paris-Match 1025, nous présentait un superbe schéma (53cm -34cm), que nous avons eu bien du mal à reconstituer à cause de notre petit scanner:
Et pas besoin de sortir de Polytechnique, pour deviner, la très grande complexité de l'entreprise, qui conduirait les protagonistes jusqu'à environ 400 000 km de la Terre, et entreprise menée à l'aide d'ordinateurs, qui à l'époque, avaient à peine la puissance d'une calculette actuelle de lycéen...
Mais pour les puristes, présentons en plus clair, les étapes de l'expédition :
Mais faisons déjà ici, une première digression importante, concernant l'étape n° 7 :
Mais, voyons de plus près d'abord, cette affaire d'Apollo 8, décrite en 6 pleines pages (26cm-34cm) du Paris Match 1028 du 18 Janvier 1969 :
tel que le début se présente ainsi :
Et aux pages 29 et 30, on trouve ce passage significatif :
On se demande vraiment comment quelques éventuelles corrections de trajectoire vont pouvoir réduire la vitesse de la fusée de 1400 pieds /seconde ( 426m/Seconde), à une vitesse très réduite, non mentionnée ici , alors que l'on nous dit bien que c'est l'une des opérations les plus délicates de l'expédition. A aucun moment il n'est précisé, que l'on devra inverser le Module de Service, pour que la tuyère centrale, puisse jouer son rôle très important du freinage et de satellisation aux abords de la Lune...
Demandons alors au site Wikipédia, de nous éclairer davantage sur cette affaire :
De ce laius plutot ambigu, retenons seulement les paragraphes ;
Entrée en orbite lunaire
"Après environ 55 heures et 40 minutes de vol, l'équipage d'Apollo 8 devint les premiers êtres humains à entrer dans la sphère d'influence gravitationnelle d'un autre corps céleste : l'attraction gravitationnelle de la Lune devenait plus intense que celle de la Terre. Ils étaient alors à 62 377 km de la surface de la Lune, à une vitesse de 1 216 m/s par rapport à celle-ci. L'équipage calculait toujours sa trajectoire à partir du site de lancement, et continua ainsi jusqu'à la correction à mi-parcours qui devait leur permettre de changer de référentiel pour repartir sur Terre. Cette dernière n'était prévue que pour leur treizième heure de vol en orbite lunaire.
Le dernier évènement important avant leur entrée en orbite lunaire consistait à ralentir, pour obtenir une vitesse de 0,6 m/s. À la 61e heure très exactement, alors qu'ils étaient à 39 000 km de la Lune, l'équipage alluma le RCS pendant 11 secondes.
À la 64e heure de vol, ils préparèrent l'insertion en orbite lunaire (Lunar Orbit Insertion-1, LOI-1). Cette manœuvre ne permettait aucune erreur et devait être effectuée de la face cachée de la Lune, sans contact possible avec la Terre. L'ordre positif fut donné à la 68e heure. Après 68 heures et 58 minutes de vol au total, le vaisseau passa derrière la Lune et perdit tout contact radio avec la Terre.
Apollo 8 passe derrière la Lune .
Dernière transmission du vaisseau avant de passer derrière la Lune .
"L'allumage des propulseurs se fit 69 heures 8 minutes et 16 secondes après le lancement, le moteur brûla pendant 4 minutes et 13 secondes, plaçant Apollo 8 en orbite elliptique lunaire. L'équipage décrivit cet instant comme les « quatre plus longues minutes de leur vie ». Si la propulsion n'avait pas duré exactement le temps prévu, le vaisseau aurait eu une trajectoire très excentrique voire aurait été éjecté dans l'espace. Si elle avait trop duré, ils se seraient écrasés à la surface de la Lune. Après s'être assurés que le vaisseau fonctionnait, ils eurent l'occasion de jeter un œil à la Lune, autour de laquelle ils allaient être en orbite pendant 20 heures.
Sur Terre, le centre de contrôle attendait. S'il y avait eu un problème, le vaisseau apparaîtrait trop vite et les corrections devraient être effectuées rapidement. Au moment prévu, un signal fut reçu en provenance du vaisseau, confirmant son orbite (311,1 km par 111,9 km) autour de la Lune."
Fin de citation :
Vous avez bien noté, nous l'espérons que que l'insertion en orbite lunaire, donc le freinage correspondant pour y arriver, devait se passer lors du premier survol de la face cachée de la Lune, à un moment où aucune communication avec la Terre n'était possible. "
De plus, on voit que c'est une affaire de seconde en plus ou en moins autour des cruciales 4 minutes et 13 secondes, plaçant Apollo 8, en orbite elliptique lunaire, car c'était Ou bien , l'échappée vertigineuse dans l'espace cosmique, ou encore pire l'écrassement fatal sur la Lune...
Quel dilemme n'est-ce pas !!! pour avoir à jongler avec un simple petit bouton.
A vous de juger...
Nous avons demandé à un vrai spécialite, ingénieur aérospatial, dont le site est tel que :
Nous lui avons alors demandé, si les dispositifs RCS et consorts mentionnés, ci-dessous, dans la page de Wikipedia, sont vraiment un moyen pouvant freiner le Module de Service de 1216 m /s, à 0,6 m/s,, sans qu'il y est eu, une inversion de ce module ?
Et voici sa réponse en date du 7 Mars 2016 :
----- Original Message -----
From: X..... P..........
To: fred.idylle@orange.fr
Sent: Monday, March 07, 2016 6:51 AM
Subject: Re : Apollo 8
Pour répondre plus précisément à la question que vous m'avez posée dans votre mail:
Dans Apollo 8, le module de commande aurait réussi à décroître sa vitesse de 1216m/s à 0,6m/s en allumant son RCS (i.e. les réacteurs latéraux, bien moins puissants que le réacteur principal) pendant 11 secondes; cela fait une décélération de plus de 100m/s²!!! C'est complètement délirant ; à titre de comparaison, dans la période de freinage du module lunaire dans la descente motorisée de l'alunissage, celle où il décélère le plus, la décélération était inférieure à 4m/s² (et elle était faite avec le puissant moteur principal, pas avec les réacteurs latéraux).
Cela montre à quel point c'est aberrant.
Ce qui est drôle est que ceux qui écrivent ces pages sur Wikipedia pensent écrire quelque chose de très scientifique, et ne se rendent meme pas compte qu'ils peuvent écrire les plus grandes aberrations, et personne ne s'en rend compte...à part des gens comme moi qui y regardent de plus près.
Fin de citation
Mais de plus, nous allons voir tout de suite, qu'il manque encore au super schéma en question, certaines étapes importantes, que l'on a, sans doute volontairement oubliées, pour en simplifier. l'aspect ,
Reprenons alors la liste des étapes de ma mission Apollo 8 :
En effet, et c'est ici, une exclusivité d'ARTivision.
Si nous rapprochons les étapes 6 et 7 du superbe schéma :
On découvre alors que la capsule conique de commande, qui contient les 3 voyageurs a un sens inversé de l'étape 6 à l'étape 7. En effet Apollo 8, à la 61e heure très exactement, devait se trouver à 39 000 km de la Lune, et l'équipage alluma le moteur central du module de service pendant quelques secondes bien précieuses, pour passer de la vitesse de 1 216 m/s à celle dit-on de 0,6 m/s. Un sacré et impossible freinage n'est-ce pas sans l'inversion du Module de Service .
En effet, ce que ne montre pas le schéma, c'est qu'il faut quelque temps avant, inverser le vaisseau dans son sens de circulation, pour que la tuyère principale du Module de Service, soit en avant de la marche. Cette inversion est donc d'une grande délicatesse nécessitant une prise de risque énorme. Or ceci n'est, on va le voir, mentionné nulle part, dans le récit du célèbre Raymond Cartier, très grand reporter à Paris Match, qui a certainement pris, les informations qui précèdent, directement à la NASA. Tout ceci est très curieux, et on se demande, si ce n'est pas la NASA elle-même qui n'a pas jugé bon, de le mettre au courant de cette affaire de retournement, du vaisseau Apollo 8, qui en effet , hypothéquait la réussite de l'opération
Cette affaire de retournement d'Apollo, est bien mentionnée, pour la mission , Apollo 11. Voyez-vous même par exemple, ce qu'on en dit sur le site :
, tel que :
H + 3h17mn05 s : le troisième étage est largué
H + 3h24mn03 s : après une manœuvre de retournement, le véhicule Apollo vient s'amarrer au module lunaire. Les trois modules assemblés sont en route vers la Lune.
Et il y a même mieux en forme de schéma dans un document PDF placé à :
, tel que :
Tout cela pour bien montrer, la complexité de cette affaire d'Apollo 8, comme bien sûr pour les autres missions Apollo.
Remarquons que cette affaire de retournement pourrait être commandée de la Terre ( à près de de 361 000 km de là avec, on le sait des ordinateurs très balbutiants), mais cette opération pourrait aussi être entreprise directement avec beaucoup de risques par l'équipage d'Apollo 8.
Mais il y a encore, une autre étape délicate, qui n'apparaît pas sur le super schéma, en question. Voyez, vous-même ce coin :
On voit très clairement, que les vaisseaux en question sont inversés, ce qui signifie qu'à un moment donné, il y a eu un autre retournement, non également mentionné sur ce beau dessin. Ce retournement pourrait avoir lieu en effet, immédiatement après le premier survol de la face cachée de la Lune, mais il aurait pu avoir lieu, à un autre moment des 10 révolutions effectuées autour de la Lune, d'après le site :
Mais là, ce deuxième retournement pourrait devoir être amorcé à partir du survol de la face cachée, et ce sont alors les membres de l' équipage, qui en seraient responsables, avec tous les inconvénients en puissance , car ils ne pourraient communiquer avec la Terre, s'il y avait un pépin.
Voyons maintenant, d'après Paris Match, quelques prouesses techniques utiles ( les phases vraiment dangereuses sont en violet), pour réussir cet exploit:
On voit alors bien, que dans ce texte réduit et ramassé, on parle bien de moteurs de Vie et de Mort et jamais du processus de retournement du Module de Service.
Mais de plus, lisons alors ce qui est écrit, au bas de cette photo de Williams Anders ( bien sûr il y aussi celles des autres astronautes et aussi des textes concernant leur curriculum vitae ) :
C'est donc un quidam plutôt rigoureux et cultivé. Alors, pourquoi a-t-il déclaré (d'après Paris Match bien sûr), cette phrase tout à fait insolite et inadaptée ;
" Nous avons moins à craindre que Lindbergh lorsqu'il vainquit l'Atlantique ."
Et malgré, l'explication fantaisiste et
opportuniste, de Paris Match, qui nie les justes réserves, du grand astronome anglais Sir Bernard Lowell :
, le site ARTivision, pense que ce propos très insolite d'Anders, est une sorte de bouteille à la mer, bien calibrée, pour les générations futures, et cela signifie en clair :
" Soyez logique voyons, tout cela n'est, qu'un grand bluff..."
Certains admirateurs zélés de la NASA, très horrifiés de s'être faits lamentablement bernés, pendant des dizaines d'années , vous diront ouvertement : "Mais cette phrase d'Anders, doit certainement avoir une signification bien plus banale que vous lui acordez ,et il n'y pas pas là, de quoi fouetter un chat !!"
Pour répondre à cette cinglante réplique, (et ces admirateurs zélés et consorts intellectuels blasés, doivent savoir que le site ARTivision
, a toujours en réserve, des données irrécusables prouvant ses dires), disons ce jour, qu'aussi incroyable que cela puis paraître, il a un autre occupant de la capsule d'Apollo 8, qui a lui-aussi, prononcé une phrase très bizarre :
En effet le Paris Match n° 1025, du 28 Décembre 1968, nous donne aussi, la silhouette habituelle de pasteur d'une église épiscopale de Franck Borman :
Voyons maintemant, ce qu'il a déclaré, lui aussi, de très bizarre :
Mais pourquoi donc ce pasteur, lui-aussi, a-t-il eu besoin de justifier son excursion spatiale, en la qualifiant d'action moins dangereuse que d'aller au Vietnam ..., où les prémices d'une guerre , avec les USA, se faisaient déjà sentir à l'époque...
Alors que les commentaires de la revue parlent souvent de danger, de moment dramatique, de mort des astronautes par asphyxie etc..,.ne trouvez-vous pas, que cela ressemble aussi, aux paroles voilées d'un lanceur d'alerte (même si cette expression n'existait pas encore à l'époque )...?
A vous de juger, une fois de plus cette nouvelle incongruité...
Et le site ARTivision ajoute, qu'Apollo 8, fut en fait, le premier témoignage de cette fumisterie d'affaires spatiales, et toutes les autres missions "Apollo", sont à mettre, dans le même sac.
De très nombreux sites maintenant, démontrent clairement cette gigantesque imposture, mais de plus, où le bât blesse, on découvre que les spécialistes soviétiques de l'Espace, eux qui, ont dû découvrir ces truquages dès Juillet 1969, n'ont pourtant, absolument rien dit ....
C'est donc, qu'ils étaient, parfaitement complices de cette mascarade, et le concept de Guerre froide, qui battait son plein à l'époque, n'est qu'un autre bluff, mis au point par les soviétiques et les américains, pour noyer le poisson, et poursuivre en douce leur scélérate collaboration avec "Les Petits Gris", dont nous avons parlé dans de très nombreux aricles
De plus, disons aussi que les soviétiques n'auraient jamais abandonné, leur dur système politique, sans une raison d'Etat supérieure, à tout ce qui est économiquement et socialement et surtout militairement valable. S'ils ont laché prise, c'est parce qu'ils ont appris l'existence effective d'un troisième larron, plus puissant que les américains et les soviétiques, et donc que ces deux derniers pays, n'avaient plus aucune raison de se taper dessus... Voir alors l'ouvrage de Milton William Cooper :
A bon entendeur Salut...
Nous voila maintenant arrivé à notre deuxième focus, tout aussi surprenant :
deuxième focus : Quand ARTivision, casse une fois de plus le moule, concernant l'affaire d'Apollo XIII , qui a maintenu en haleine, le monde entier du 11/04/1970 au 17 Avril 1970 .
Conpte-tenu de tout ce qui précède, il ne nous sera pas alors difficile de dépister, les incongruités qui se présentent aussi dans ce super schéma suivant du Paris Match 1094, déjà présenté plus haut :
Bien sûr, les numéros des étapes de l'expédition, ont été refaits par nos soins .
et voici maintenant la liste des étapes :
D'après le super schéma ci-dessus, on voit déjà qu'entre les étapes 4 et 5 , il y a eu un retournement sans doute très périlleux du sytème module de commande-LEM. voyez vous-même :
Ce retournement crucial, qui permet pourtant à la fusée d'accélérer à divers moments, pendant plusieurs jours, jusqu'à la Lune, n'est pas du tout mentionné dans la liste des étapes ci-dessus, Curieux n'est-ce pas !!!
On nous précise bien dans le tableau des étapes, présenté plus haut, qu'au moment de l'explosion à l'étape 5, le Mardi 14 Avril, Apollo XIII était arrivé à 300 000 km de la Terre et à 60 000 km de la Lune. Donc, on avait déjà accompli environ 78 % . de la trajectoire, comme l'aurait fait Apollo 8. Mais relisons avec attention ce passage correspondant à Apollo 8 :
Donc, à ce moment crucial, pendant au moins 4 minutes le vaisseau lunaire, allait devoir effectuer un freinage notoire, pour obtenir la satellisation désirée. Ce freinage aurait soi-disant permis, au vaisseau des 3 hommes, de passer d'environ 1216 m /s, à 0,6 m/s. Or nous savons, que normalement, c'est le Module de Service, qui doit effectuer cette tâche, à partir de l'étape 6, comme il apparaît dans cette position :
Mais on le sait, le Module de Service ne fonctionne plus, par suite de l'explosion arrivée à l'etape 5.Le LEM (Lunar Excursion Module) étant mal placé, son moteur ne pourra en aucune manière ralentir le train spatial, pour obtenir l'extrordinaire freinage requis. La question à 1000 €, est donc : Comment Apollo XIII a-t-il pu réaliser cet indispensable freinage ?
Admettons alors, que le train spatial arrive derrière la Lune, comme par enchantement :
Mais rappelez-vous alors cela concernant Apollo 8 :
Le danger est donc très grand à cette étape, et pourtant, ici, cela se passe comme sur des roulettes. Mais, il nous semble, que pour repartir vers la Terre, cela nécessite encore un certain freinage, que le vaisseau présenté ci-dessus ne pourrait fournir, puisque le Module de Service, est mort. Selon nous, bien sûr, les quelques ajustements latéraux du LEM, ne peuvent pas réaliser cet indispensable freinage
En admettant, une fois encore, que par enchantement, que le vaisseau arrive à se placer correctement, en direction de la Terre, nous voyons alors ceci :
Le vaisseau, attiré par la Terre, a bien sûr, augmenté considérablement sa vitesse, et une autre question à
1000 € s'impose... Par quel moyen le LEM pourra-t-il réduire cette énorme vitesse acquise, puisque le Module de Service, pourtant dans la bonne position, est endommagé, et ne pourra pas le faire ? .
De plus, avec tous ces déboires, sur une seule trajectoire choisie in extremis, il serait très étonnant que la cabine d'amerrissage, soit exactement positionnée, dans l'angle restreint du couloir utile, pour éviter d'étre volatilisée par l'atmosphère terrestre.
Là encore...on a la preuve tangible, que tout cela est cousu de fil blanc, et que l'on nous prend comme d'habitude, pour des nigauds bien calibrés .
A vous de juger, une fois de plus, les incongruités flagrantes de cette affaire ... documents à l'appui
Mais ce 14 Octobre 2017, ajoutons ici un focus n° 3.
Toisième focus : Quand ARTivision
poursuit ses investigations, dans le texte et les vignettes, du Paris Match n° 1094 du 25 Avril 1970 .
Disons d'ailleurs déjà que l'on a pas beaucoup discuté des incongruités présentées plus haut, dans justement le film récemment projeté par la chaîne RTL9 tel que :
En particulier du fait qu'à l'étape 5, le train spatial qui fonçait sur la Lune à la vitesse d'environ, 1216 m /s (voir plus bas une vitesse très voisine) , comme pour Apollo 8 bien sur. et on devrait à ce moment-là déjà prévoir l'inversion du Module de Service et du LEM, comme on le montre l'étape 7 de l'image déjà vue plus haut :
Mais de plus ce qui ne s'explique pas du tout, c'est comment avec un vaisseau endommagé qui ne peut fournir azucune pousée utile, les excursionnistes, Fred Haise, John Swigert, James Lovell, ou aussi les opérateurs de la NASA, ont pu inverser avec des ordinateurs très prmitfs le train spatial comme nous le montre si bien ce super schèma entre les étapes 5 et 6 (non visualisé dans le focus 2), et bien sûr cette inversion spectaculaire n'est, elle aussi, comme la précédente, nulle part mentionnée dans le tableau des étapes d'Apollo XIII, déjà présenté plus haut :
On voit parfaitement, dans cette portion de la trajectoire l'inversion notoire du train spatial alors que l'opération est totalement inutile puisque c'est le réacteur du LEM qui aurait dû rester en avant pour réaliser tant soit peu (Il n'avait pas été étudié pour cela), le terrible freinage requis, pour obtenir le survol adéquat de la face cachée de la Lune...
Voyez à gauche ce terrible freinage pour Apollo 8, et à droite la même situation pour Apollo 13 :
Les puissantes flammes du Module de Service nous éclaboussent à gauche, mais tout est faux et impossible à droite.
A vous de juger une fois de plus, tout cela, documents à l'appui...
Certains détracteurs zélés et zététiques vous diront vite fait, que ces schémas ont été réduits dans leur dimension pour gagner de la place, et c'est sans doute pas la NASA, qui les a refilés à l'époque, à Paris Match . Pourtant Paris Match écrit lui-même en page 22 :
Nous serions étonnés que ce Monsieur Pierre Joffroi, étant à l'époque au cœur même de l'action à la NASA, s'en aille puiser ses dessins dans des sources obscures et contestables...
En passant, vous avez bien noté, nous l'espérons, que l'auteur de l'article en question, parle d'une affaire de mort plutôt que de vie, car si loin de la Terre ( 320 000 km) et à la vitesse 3500 km/h (environ 972 m/s , un peu moins que les 1260 m/s d'Apollo 8) ) L'auteur pensait vraiment que les voyageurs avaient une chance infime de s'en sortir..;
Le site ARTivision n'étant pas du tout, un site scientifique pour des ingénieurs, voici donc pour les puristes, et concernant toujours Apollo XIII, certaines démontrations concrètes et hautement techniques :
A vous de juger et d'essayer de contacter ce Monsieur, s'il est encore vivant, ce qui nous surprendrait franchement...( S'il avait à l'époque, l'âge minimum très respectable de 50 ans, il aurait aujourd'hui en 2017.. 107 ans)
Mais, il y a d'autres incongruités qui nous interpellent dans ce Paris Match 1094.
On voit aussi, au-dessus du super schéma pages 20-21, apparaitre certaines vignettes, comme par exemple celles-ci en page 20 :
Analysons d'abord, la première vignette de gauche : L'explosion a eu lieu à l'étape 5 tel que :
On voit alors que le vaisseau lunaire, est à l'envers, et on se demande pourquoi le dessinateur a inversé le schema? Il fallait tout simplement suivre le sens de la trajectoire présentée, et la vignette de droite devrait être, en principe, la bonne . Pensez-vous qu'il puisse s'agir d'une erreur d'inattention ? A ce niveau là, cela serait tout de même étonnant !!
Mais, ce 16 Octobre 2017, il nous reste encore à analyser d'autres propos du texte circonstancié du Sieur Pierre Joffroi, car dans cette affaire d' Apollo XIII , il faut savoir lire entre les lignes... n'est-ce pas !!...
Commençons donc, si vous le voulez bien, par ce passage en page 22 :
Le titre de ce paragraphe, nous surprend déjà grandement : Une désobéissance si flagrante, ne peut s'expliquer à ce niveau de la NASA, où le mondre petit détail compte. On verra plus loin ce qu'il faut en penser.
Quant à ce contrôleur de vol, il pretend agir comme un robot, qui ne connaît pas la panique, il serait bien moins fier d'avouer cela, s'il savait qu'il participait malgré lui, à la plus grande arnaque de tous les temps...
Plus bas, on veut bien nous expliquer ce qui se passe :
C'est donc la super catastrophe n'est-ce pas !! pour Monsieur Pierre Joffroi, bien sûr, qui nous parle aussi, et eil nous presente en passant, une publicité anonçant le film " Les Naufragés de l'espace " d'Erik Sturgess de 1969, avec Gregory Peck, qui justemant comme par hasard était à l'affiche au Cinéma l'Egyptien (Nous ne savons pas si ce cinéma existait en Amérique ou en France... mais la publitcié en question, venait de Los Angeles)
Mais poursuivons, notre modeste investigation, en page 23:
Vous avez bien noté, que Houston précise que seuls deux membres de l'équipage doivent passer dans le module lunaire Aquarius
Puis, on apprend que le Mardi 14 Avril 1970, il se passe ceci :
Comme on le voit, à aucun moment, il n'est fait allusion au terrible freinage qui aurait soi-disant permis, au vaisseau des 3 hommes, de passer d'environ 1216 m /s, à 0,6 m/s. et contourner la lune. On nous parle seulement d'un moteur bien sûr du module lunaire Aquarius qui pourrait placer le train spatial dans la direction du retour vers la Terre, Or nous l'avons dit plus haut, cela nécessite encore un autre freinage derriére la Lune
d'après l'affaire d'Apollo 8 que l'on voit ici encore :
et puis un retournement du vauisseau, visible sur la figure précédente.
Or on le sait, d'après l'étape 7, d'Apollo 13 :
que ce freinage avant le retour sur Terre, est totalement impossible à l'aide des quelques rectifications latérales du LEM Aquarius. Point Barre...
Mais poursuivons notre très significative lecture :
Monsieur Pierre Joffroi qui lui, voit le côté dramatique de cette l'affaire très mal engagée, dit que la chance
a manqué cette fois à l'expédition lunaire...
Un certain quidam, habitué aux réussites flagrantes de la NASA, dans les missions précédentes parle avec bonheur, de la présence très salutaire et inespéré du module lunaire Aquarius... Ce qu'il ne soupsonne certainemennt pas, c'est que ce destin bénéfique d'Aquarius, aurait pu être, un peu choisi d'avance...
Mais poursuivons notre analyse :
Là, nous voila arrivés à la clef de voûte de cette affaire d'Apollo XIII
. Rappelons que pour Apollo 8, le train spatial, devait passer pour la satellisation lunaire de 1216 m /s, à 0,6 m/s, Or, on nous dit qu'ici, il se présente derrière la Lune à la vitesse de 3393 milles à l'heure, ce qui nous donne environ, 5459,33 km par heure, et donc en arrondissant à 1516 m/s ce qui est 2526 fois plus grand, que les 0,6 m/s requis.
Vous y comprenez quelque chose à ce charabia numérique !! Il y a certainement une magouille quelque part...
Mais le plus impensable est cette affaire du troisième homme du Module de Commande Odyssée, qui contre l'avis des nombreux ingénieurs et hauts dirigeants de la NASA , va aller s'entasser comme des sardines dans Aquarius qui est prévu pour seulement deux occupants, , et cela au risque d'être renvoyé pour rébellion à son retour.
Pour ARTivision, cette attitude est identique , celle, vue plus haut, de Williams Anders, qui a envoyé au Monde, une bouteille à la mer, signifiant à peu près ceci :
" Soyez logique voyons, tout cela n'est, qu'un grand bluff..."
En effet, ce troisième occupant illégal d'Aquarius, savait pertinemment que la NASA ne pourrait jamais le poursuivre pour sa superbe facétie, car il n'y avait eu, ni LEM, ni Module de Commande, ni survol en catastrophe de la Lune , mais une simple cachette spatiale, (ou peut-être tout bonnement, un avion militaire), qui allait vite et bien, les larguer dans un coin du Pacifique au moment voulu.
D'ailleurs tout le dialoque entre Apollo XIII et la salle de contrôle de la NASA,avait été propablement pré-enregistré, pour être canalisé aux instants bien choisis...