Séverine et son fils ont du quitter le pays, elle dénonce une mafia destinée à les faire taire
Séverine, la maman du jeune A., vient de faire diffuser une série de vidéos dans lesquelles elle explique tout d'abord qu'elle est aujourd'hui en sécurité avec son fils à l'étranger. Ensuite, elle raconte l'enchaînement des faits qui l'a amenée à devoir prendre la fuite, et appelle toujours à ce que d'autres crèvent ce silence à propos des abus rituels, et du système pervers qui dirige ce monde. Je tente ici un résumé, sans toutefois pouvoir donner les noms des protagonistes.
Pour rappeler brièvement comment les événements se sont succédé, Séverine et Audrey, deux mamans dont les enfants se sont trouvés pris dans le même réseau non seulement pédophile, mais aussi sataniste, ont fait des vidéos début août afin d'alerter le public sur la situation. Le 21 août, celles-ci sont diffusées à grande échelle et font plus de 200.000 vues en deux jours.
Séverine prévoit d'organiser une marche le 24 août à 14h, mais le 23 une équipe de gendarmes, ainsi que des gens des services sociaux et des services psychiatriques sont venus la chercher elle et son fils. Elle est parvenue à s'enfuir et à se mettre en sécurité avec A. [1], comme elle l'explique dans ces vidéos.
Depuis, sa page Facebook a été fermée (on ne sait pas par qui), de même que d'autres pages qui avaient diffusé sa première vidéo, elle-même supprimée.
Ces nouvelles vidéos semblent avoir trois buts principaux pour Séverine:
1. Alerter sur la situation : ce qu'a subi son fils, la manière dont réagissent la police, la gendarmerie et la justice, l'impunité des agresseurs.
2. Se constituer une sorte d'assurance survie, en menaçant de donner certains noms et certains détails si sa sécurité et celle de son fils vient à être menacée.
3. Demander que le combat soit poursuivi, que l'on continue à dénoncer ces réseaux, cette impunité.
L'histoire qu'elle raconte est similaire, comme on l'a déjà vu, avec bien d'autres affaires de réseaux pédophiles. D'ailleurs, on y retrouve la même chronologiqe que dans TOUTES les affaires de réseaux réseaux pédophiles.
La perversion
Elle raconte une vie commune avec le père d'A., né en 2012. En gros, elle décrit un type d'un égoïsme crasse, plus attiré par ses amis VIP que par sa famille, qui se comportait comme un tyran domestique. Il n'y a pas de violence physique contre elle, mais plus tard son fils lui raconte qu'elle était régulièrement droguée et violée en présence de son fils.
Elle explique que la fille ainée du père, qu'on appellera "M", adolescente, s'adonnait à des sortes de rituels de magie noire, écrivant dans des carnets qu'elle était la "black power girl", revenue sur terre pour défendre le mal et tuer l'amour et la lumière.
Elle avait constaté à de nombreuses reprises que son fils avait l'anus très irrité, qui lui faisait très mal, mais les médecins ont trouvé moult explications sauf évidemment celle d'abus potentiels.
Séverine finit par quitter le père, non sans mal car il a fait trainer la procédure afin de payer un minimum d'impôts. Elle décrit divers procédés qu'il a utilisés pour limiter ses impôts, quitte à la mettre dans la difficulté.
Selon A., durant toute cette période, l'ex femme de son père était revenue au domicile et lui demandait de faire comme si elle était sa mère, comme s'ils étaient une famille avec elle, son père et sa demi soeur.
Séverine décrit également plusieurs amis du père, dont un prof d'arts martiaux qui s'est vanté un soir en sa présence d'avoir trouvé un moyen de lobotomiser les enfants.
Les révélations
Un soir après la douche, en octobre 2016, A. ne veut pas que sa mère le sèche au niveau du sexe. Il explique que son père lui a fait mal au kiki, et qu'il a vomi le pipi que papa et "beaucoup d'autres monsieurs" lui ont mis dans la bouche. Puis il lui dit qu'elle doit encore comprendre beaucoup de choses. Il raconte qu'on l'a obligé à manger des exécrements, que son père mangeait les siens, qu'il y a eu des actes avec les deux chiennes de son père, qu'on lui a mis des carrottes dans les fesses...
Il explique aussi qu'on lui a pris beaucoup de sang, qu'il en est même tombé dans les pommes. D'après A., quelqu'un "avait réservé" du sang, qu'on a fait couler dans un seau. Il dit qu'il a été obligé de boire du sang, lors de sortes de rituels où les gens étaient habillés en toges avec des capuches, et que tout cela se passait "au Grand Orient".
Le gamin parle aussi de lavage de cerveau avec "une machine qui ressemblait à un pot et un micro-ondes", d'électrocution avec un Taser, de massages cardiaques, de radiations subies dans un lieu militaire.
Il évoque des quantités d'argent et de la poudre blanche sur les tables lors des rituels.
Il parle aussi, plus tard, de plusieurs camionnettes blanches qui appartiendraient à son père, un peu partout dans la région. Séverine explique que selon A., son père l'y envoyait pour être violé par des types, pendant que sa demi-soeur surveillait à l'entrée.
Il raconte de nombreuses maltraitances graves commises par son père: enfermé dans un sac poubelle avec de la nourriture avariée, avec des rats et des souris, les doigts coincés dans la prise, jeté contre une vitre... Il a évoqué également des tournages de films pédopornographiques, de la présence d'enfants étrangers lors d'abus ou de rituels, de meurtres de gens découpés et mis dans des sacs poubelle noirs...
S'il n'y a pas trace, ce serait parce que ces dingues disposent de matériel, d'une technologie réparatrice. Que bien-sûr on n'utilise pas pour les gens dans les hôpitaux, mais seulement pour les élites et leurs victimes, histoire de ne pas laisser trop de traces. Cela peut paraître incroyable, mais je sais que ce type de machine, capable en quelques heures ou quelques minutes d'effacer une pathologie (cancers compris), existe bel et bien, dans des lieux militaires. Ces engins sont incaccessibles au public et très peu de gens, y compris dans les milieux médicaux et militaires, en connaissent l'existence.
Que fait la police ?
Le lendemain des toutes premières révélations de son fils, Séverine a déposé plainte au commissariat de sa ville. Elle a répété ce qu'il lui avait raconté, et les flics lui disent qu'ils vont de ce pas interpeller le père. En attendant, elle doit faire comme si de rien n'était. Quatre jours plus tard, les "enquêteurs" lui disent qu'ils n'ont pas vu le père, mais qu'ils doivent réentendre A., cette fois au cours d'une audition filmée.
Puis, l'affaire est confiée à la gendarmerie du lieu où les faits se sont produits. Une expertise de Séverine et A. est ordonnée (comme d'habitude dans les affaires de viols, ce sont les victimes qui sont passées sur le grill). Une analyse des cheveux de A. est ordonnée, car il est très probable qu'on lui a fait ingérer des drogues et autres substances, mais comme par hasard Séverine n'a jamais eu connaissance des résultats. Il faut dire que les cheveux longs d'A. pourraient réléver des choses comprommettantes sur plusieurs années.
L'expertise psychiatrique est, comme d'habitude, un véritable massacre. Le psy ne croit pas A. ni sa mère et la considère suicidaire, dangereuse pour son fils et pour elle-même. Bref, il convient de les séparer. On notera d'ailleurs que ce même psy est intervenu également pour expertiser Audrey, l'autre maman dont les deux fils ont déclaré avoir vécu les mêmes abus que A., avec les mêmes personnes et dans les mêmes lieux.
Vient l'inévitable enquête sociale. A charge, comme toujours. Quand les deux femmes des sévices sociaux se présentent chez Séverine, A. vient de faire de nouvelles révélations et veut leur parler. Mais elles disent qu'elles ne sont pas là pour cela, se bornant à constater que Séverine est trop fusionnelle avec son fils (c'est le nouveau truc, depuis que le SAP est interdit).
Que fait la justice ?
Le JDE, en mars 2017, demande que Séverine et A. vivent chez les grands-parents, car elle estime que Séverine isole trop son fils. Elle doit aussi accepter une nouvelle expertise psy.
Apparemment, l'enquête n'était toujours pas classée sans suite à la fin août.
Aucune échéance judiciaire n'intervenait lorsque les gendarmes sont venus chercher Séverine, manifestement pour la mettre en internement et pour placer son fils. C'est pour cela qu'on ne comprend pas la raison de cette intervention. Quelle était l'urgence ? Quelle décision de justice a entraîné cette opération, digne de l'interpellation d'un fou furieux ?
Les médecins qui ont vu A. ont constaté un traumatisme mais n'ont jamais pu l'examiner car il est impossible de le toucher. Le père a de son côté réclamé la garde exclusive de l'enfant.
La plainte de Séverine concernant les abus, c'est-à-dire des faits criminels, a été classée sans suite au début de l'été, par le procureur. Selon les lois pourtant, un juge doit être nommé dès qu'il s'agit de faits criminels, afin de réaliser une enquête. Cependant, même si les juges étaient de bonne volonté, on connaît tous l'indigence de la "justice" française. Ce classement a d'ailleurs étonné Séverine, car quelques semaines ou quelques jours plus tôt, la Brigade de Protection des Mineurs lui a dit que la plainte n'était pas du tout classée et que l'affaire était loin d'être close.
On en est à peu près là de la procédure.
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Dans ces vidéos, Séverine donne des noms, dont celui d'un homme d'affaires très connu de la région lyonnaise. Elle dit avoir sous le coude des éléments sur des médecins, des politiques, des sportifs, qu'elle n'hésitera pas à diffuser si elle sent que sa sécurité et celle de son fils est menacée.
Elle dénonce la justice et ses "experts" dont on ne finit plus de lister des preuves de partialité et/ ou d'incompétence crasse.
L'autre maman, Audrey, n'a plus la chance de voir ses enfants depuis des mois. L'aîné, a été diagnostiqué "sociopathe" à l'âge de 9 ans. La procédure semble clairement organisée contre elle puisqu'elle aussi a eu le tort de croire ses enfants.
Dans ces deux affaires, qui sont liées, on imagine mal la justice, mais aussi l'armée, reconnaitre les choses. Il faut exercer une pression populaire sur le public et sur les institutions pour faire sauter la chape de plomb, car je peux déjà prédire que ce genre de témoignage ne fera que se multiplier, à proportion des horreurs commises.
Une "compilation" des vidéos de Séverine:
[1] Je ne peux pas citer le nom de l'enfant afin de protéger son identité. Même, hélas, s'il demande à parler publiquement.
Alfred Kinsey et l'agenda pédophile: les prémisses de l' "éducation sexuelle"
Cet article est une traduction d’un article de Dana S. Scanlon intitulé "Alfred Kinsey et l’agenda pédophile", disponible en anglais ici. Le projet de sexualisation précoce des enfants est un projet intentionnel, marqué du sceau du satanisme (Kinsey, le "scientifique des viols d’enfants", était un fervent fanatique d’Aleister Crowley) et du nazisme. La société de Thulé à laquelle Hitler et Steiner appartenaient fondait sa magie sexuelle sur le satanisme d’Aleister Crowley.
L'article traduit ici évoque un ouvrage du Dr Judith Reisman portant sur les "travaux" d'Alfred Kinsey, le père de la sexologie: "Kinsey, Sex and Fraud : the Indocrtination of a people". J'en recommande la lecture à tous ceux qui s'inquiètent du nouveau délire d' "éducation sexuelle", et qui cherchent à en comprendre l'origine.
C'est la rentrée scolaire, et les parents ne doivent pas douter que le gouvernement enfoncera encore un peu plus le clou dans en matière d' "éducation sexuelle".
On commence par parler d'égalité entre les sexes, puis de "genre", et cela finira d'ici peu de temps avec les cours de masturbation en maternelle, préconisés par les "Standards pour l'éducation sexuelle en Europe" de la branche europe de l'OMS, dont on a déjà parlé... Et avec une propagande destinée à sexualiser les enfants toujours plus jeunes et toujours plus fort.
Alfred Kinsey et l’agenda pédophile
par Dana S. Scanlon.
EIR volume21, Numéro 46, 18 Novembre 1994
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Kinsey, le sexe et l’imposture : l’endoctrinement d’un peuple (Kinsey, Sex and Fraud : the Indocrination of a people ) du professeur Dr. Judith A. Reisman et de Edward W. Eichel. Huffington House Publishers, Lafayette, La… 1990. 237 pages.
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Ce livre mérite d’être étudié par tout citoyen qui tente de comprendre la genèse des programmes d’éducation à la sexualité désormais enseignés dans de nombreuses écoles. C’est justement en enquêtant sur ces programmes que je suis tombée sur le livre Kinsey, Sex and Fraud (Kinsey, le sexe et l’imposture) écrit par Judith A Reisman et Edward W. Eichel. Lire ce livre est une question d’urgence pour les nombreux parents qui croient qu’à cause du SIDA leurs enfants ont besoin d’une bonne dose de ce qui est appelé « Education complète à la sexualité »
En 1981 Judith Reisman a présenté une requête lors du cinquième congrès mondial de sexologie à Jérusalem . Elle y demandait une enquête sur les travaux de Kinsey et l’Institut Kinsey. Elle a non seulement affirmé que les travaux de l’équipe Kinsey étaient peu fiables à cause des statistiques biaisées mais elle a également affirmé que les travaux de Kinsey sur la sexualité infantile étaient basés sur des centaines de cas d’abus sexuels avérés.
Aussi incroyable que cela puisse paraitre Kinsey n’a jamais été rappelé à l’ordre par ses pairs ni poursuivi en justice et il est devenu le célèbre leader d’une propagande menée par des charlatans qui prétendent que les êtres humains sont définis par leurs désirs sexuels et leurs activités sexuelles.
Kinsey est à l’origine des allégations suivantes désormais répandues dans les manuels et les ouvrages qui traitent d’éducation à la sexualité !
- La plupart des êtres humains sont bisexuels.
- Seulement ceux qui restent sous l’influence de tabous sociaux ne pratiquent pas l’homosexualité.
- Seulement une faible minorité d’hommes et de femmes sont véritablement hétérosexuels et 1 sur 10 sont de purs homosexuels.
- Les enfants sont des êtres sexualisés qui doivent être libérés, se libérer.
Le lecteur doit garder à l’esprit que les personnes citées dans les paragraphes ci-dessous ne sont pas uniquement des individus qui écrivent au sujet de leurs préférences sexuelles personnelles et que ce ne sont pas simplement les divagations de la frange cinglée de l’association Amour garçon/homme d’Amérique du Nord (The North American Man/Boy Love Association (Nambla))., ce sont aussi et surtout les professionnels qui forment et donnent une certification aux professeurs d’ éducation à la sexualité. Ils écrivent les manuels et les livres qui sont utilisés dans les écoles et les universités et qui influencent donc largement le modelage de l’opinion publique, qui influencent la vision des médias sur le sujet et au final qui influencent les textes de loi.
La philosophie de Kinsey
Tout d’abord le livre de J. Reisman cherche à démontrer, en reprenant les mots de Kinsey et de ses confrères, que Kinsey avait un projet : mettre à bas les principes de la morale judéo-chrétienne jusque dans les domaines les plus intimes. Ceci est résumé par une affirmation que Kinsey a écrite dans son deuxième livre : Sexual Behavior in the Human Female. "Ce n’est pas difficile d’expliquer pourquoi un animal fait une chose particulière sexuellement. C’est beaucoup plus difficile d’expliquer pourquoi chaque individu sans exception n’est pas impliqué dans chaque type d’activité sexuelle." (p :451)
Il a également écrit dans une étude menée en 1949 par P.H Hoch et J. Zubin "Psychosexual Development in Health and Disease". Kinsey et ses disciples Wardell Pomeroy, Clyde Martin et Paul Gebhard y expliquent que toute activité sexuelle en vaut une autre, peu importe l’âge, peu importe la stimulation physique impliquée, peu importe avec qui et également peu importe avec quoi.
"Nous pensons que la sexualité de par son fondement biologique est une capacité à répondre à n’importe quel stimulus suffisant. C’est simplement une représentation d’une réponse physiologique et d’un conditionnement psychologique en des termes connus des biologistes et des psychologues. C’est la représentation de la réponse sexuelle chez l’enfant et chez la plupart des autres jeunes mammifères. Pour quelques adultes qui ne sont pas inhibés, le sexe continue d’être le sexe, peu importe comment ils y ont accès." (p :27 insistance en caractères gras ajoutée)
Ce qui est "normal", argumenterait Kinsey, est simplement ce que les gens font (ou ce qu’il dit qu’ils font). C’est une "moralité statistique", dont le but est de détruire l’idée de ce qui est normal au sens moral du terme. Laisser de côté l’imposture c’est la même chose que d’ affirmer que ce qui est vrai est simplement ce que la majorité des gens croient.
La première offensive s’est produite en 1948 avec la publication du Male Report. Dans ce rapport non seulement le lecteur peut retrouver la preuve de l’imposture réalisée par l’équipe Kinsey mais il a aussi accès aux preuves qui auraient pu permettre de les envoyer en prison pour abus sexuel sur enfant.
Sur la base d’interviews présentés au public comme un échantillon représentatif de la société dans son ensemble, Kinsey a parlé de ses découvertes aux Américains et de leur représentation puritaine de ce qui est "normal" , et que ce "normal" serait complètement dépassé. Mais en fait l’échantillonnage de la population masculine contenait un pourcentage élevé de prisonniers et d’agresseurs sexuels. Ils composaient ¼ du groupe échantillon d’après J. Reisman.
Le fait que l’échantillon représentatif de la population n’ait pas été un échantillon prélevé au hasard mais construit à l’envie par ceux qui voulaient y participer est plutôt lourd de sens. Le profil du participant moyen avait donc très peu de ressemblance avec le profil de l’Américain type. De tout évidence ceux qui se sont portés volontaires pour participer à l’étude sur les habitudes sexuelles n’étaient pas , pour le peu, des individus avec votre sens habituel de la pudeur et de la décence.
La pierre angulaire de l’éducation à la sexualité
Dans chaque bibliothèque municipale on peut trouver des livres qui reprennent la croyance la plus malsaine de Kinsey, qu’une minorité militante cherche à mettre en pratique : les enfants seraient des êtres sexualisés, les parents doivent apprendre à leurs enfants à profiter de leur sexualité dès le plus jeune âge ,et c’est la dite sur- réaction des parents et de la police face aux cas d’inceste ou face aux cas de sexualité inter générationnelle qui est nocive pour les enfants, pas l’acte sexuel en lui-même.
Tom O’Carroll, président de "Pedophile Information Exchange" et auteur de Paedophilia : The Radical Case (Alyson publications, 1980) explique que les travaux de Kinsey sont irréfutables , en soutien bien sûr à la cause pédophile. La découverte la plus frappante de Kinsey est probablement, en ce qui concerne les enfants avant l’adolescence, celle qui touche à leur capacité à avoir un orgasme. "On a observé l’orgasme chez les garçons de tous âges, de 5 mois jusqu’à l’adolescence" a écrit Kinsey. Et aussi : "On trouve aussi dans nos registres le cas d’un orgasme chez une bébé fille de 4 mois. "
O’ Carroll est membre de la confrérie dont le slogan est : "Du sexe avant huit ans ou c’est trop tard !" (Depuis la parution du livre de J. Reisman l’éditeur de OCarroll a également édité les livres suivants tristement notoires Heather has two mommies (Heather a deux mamans) et Daddy’s roommate ( Le camarade de chambre de Papa) et disponibles dans les jardins d’enfants comme étant une introduction à l’homosexualité .
On peut aussi faire le parallèle avec un manuel de collège très répandu de R. Crooks et K.Baur Our sexuality. (publié chez Benjamin.Cummings Publishing Co en 1983) et qui affirme platement, que les "découvertes" de Kinsey sont "des faits" . "Avec la large diffusion des travaux de Kinsey l’affirmation erronée qui stipule que la sexualité de l’enfant est en dormance s’effrite. En fait il est largement établi désormais que les tout jeunes enfants des deux sexes sont nés avec la capacité d’avoir du plaisir sexuel et celle de savoir y répondre".
Les sexologues ont de plus en plus commencé à aborder le sujet de contact sexuel légitime entre adultes et enfant dans les années 70. L’article Sex Education in the Future publié dans le Journal of Sex Education and Therapy (Printemps/ été 1985) en est un exemple. Il a été écrit par un cofondateur du Sex Information Education Council of the U.S (Siecus). Le professeur Lester Kirkendall de l’université de l’Oregon et le professeur Roger Libby de l’université du Massachusetts ont annoncé que les futurs programmes d’éducation à la sexualité "allaient permettre d’explorer l’expression sexuelle avec des partenaires de même sexe et même franchir la limite générationnelle" Ils proclament qu’avec "une culpabilité plus faible ces schémas deviendront légitimes et l’insistance entre anormalité et normalité se rétrécira grâce à ces futures tendances."
Le Professeur Mary Calderone (ancienne présidente de Siecus) a dit au cours d’une conférence de l’ Association of Planned Parenthood Physicians que le but premier de Siecus « était dorénavant de faire prendre conscience à toute la société de l’importance vitale que revêt la sexualité des nourrissons et des enfants. » Dans le rapport Siecus de Mi-Juillet 1983 elle a écrit que les capacités sexuelles des enfants devraient « être développées , tout comme la capacité innée de l’enfant à parler ou à marcher et que le rôle des parents devrait se porter sur l’apprentissage auprès de l’enfant de cette adéquation de sa vie intime, de sa place à lui et de sa personne en un mot de sa socialisation. »
"L’inceste peut parfois être bénéfique"
Voici les paroles d'un collaborateur du Kinsey Institute, Wardell Pomeroy , que l’on peut retrouver dans l’article du Time magazine du 14 Avril 1980 . "Il est temps d’admettre que l’inceste n’est certainement pas une perversion ni le symptôme d’une maladie mentale, " et " … peut être parfois bénéfique".
Dans un article écrit en 1977 pour une publication(pornographique) de Forum appelée Variations, Pomeroy était en plein délire projectif : "L’inceste entre adultes et enfants peut tout à fait se révéler être une expérience satisfaisante et enrichissante … les relations incestueuses peuvent très bien fonctionner et elles fonctionnent et très bien d’ailleurs… On trouve souvent de nombreuses relations entre père et fille qui sont belles et satisfaisantes mutuellement. Elles peuvent être passagères ou continues, en tous cas elles n’ont aucun effet néfaste. "
Dans son livre Boys and Sex , maintenant dans sa troisième édition et sur l’étagère de votre bibliothèque du coin, Pomeroy ne parle pas de bénéfices de l’inceste en des termes aussi exubérants mais il parle pas de l’inceste comme du "tabou le plus obsolète de tous les tabous." (Pomeroy a écrit ailleurs que Kinsey l’avait choisi pour travailler à l’Institut Kinsey justement parce que lui, Pomeroy, ne s’encombrait pas des tabous de la société.) Après avoir mentionné la croyance dans le fait que l’inceste n’est pas une bonne chose sur le plan génétique, il conclut en disant que ces croyances qui perdurent ont été remises en question par des études récentes et que "l’on peut émettre de sérieux doutes quant à leur validité » (p.182).
Une fois que la pédophilie est étiquetée par les sexologues comme étant une orientation sexuelle et non une pathologie, une aberration ou un pêché, l’étape suivante consiste à mettre en place des défenses et protections pour cette minorité, tout comme l’homosexualité est de plus en plus protégée par des textes de loi. Nous sommes au seuil de cette perspective terrifiante aujourd’hui.
Cela semble tiré par les cheveux et parano ? Alors voici les mots publiés dans Behavior Today, le 5 décembre 1988 page 5 : "il se peut que la pédophilie soit une orientation plutôt qu’une perversion sexuelle".
En fait, l’Université de Amherst-Massachussetts définit dès lors les pédophiles comme "minorité protégée" d’après George Roche président de l’université de Hillsdale, afin de respecter son propre code de non- discrimination !
D’après le professeur Joan Nelson, citée dans le livre de Reisman, les pédophiles sont des visionnaires qui "participent à un contact sexuel non pas pour leur propre gratification personnelle mais pour répondre à la tentative de l’enfant qui cherche à acquérir une expérience pratique". De tels visionnaires sont des partisans des « droits de l’enfant » dans tous les domaines, et "croient que les problèmes qui caractérisent nos époques sont enracinés dans la répression sexuelle infantile qui interdit une expression de l’affection sexuelle affranchie de l’âge." Le professeur Nelson est le fondateur de Institute for the Study of Sexual Behavior ( l’Institut pour l’Etude du Comportement Sexuel). Elle décrit sa soumission à l’inceste pendant son enfance comme la « période la plus heureuse de sa vie ».
Comme tous ceux qui ont lu quelques- uns des ouvrages racoleurs , lecture exigée pour tout adolescent américain, le type de « connaissance pratique » dont parle Dr Nelson est tenu en haute estime. Même si peu, voire aucun de ces livres, ne fait la promotion de la pédophilie de façon explicite, ils incitent fortement et font l’apologie des explorations sexuelles de tous types comme étant hautement bénéfiques aux adolescents.
Tension extrême et convulsions violentes
Dr Reisman signale qu’en 1951, juste deux ans avant la publication du Male report de Kinsey, on avait fait grand cas des procès de Nuremberg des médecins nazis qui entre autres avaient été déclarés coupables d’expérimentations cruelles sur des sujets humains. De la sont nés le Code de Nuremberg, ainsi que d’autres codes médicaux et professionnels qui préconisaient des critères de conduite à tenir lors de toute recherche sur les êtres humains. Pourtant Dr Kinsey n’a fait l’objet d’aucune critique quant au comportement sadique qu’il a eu envers des enfants lors de sa recherche en sexologie.
Prenez connaissance de la description page 161 du male report quant au plaisir qu’ont vécu 190 enfants de sexe masculin sur qui Kinsey et son équipe travaillaient. « tension extrême avec des convulsions violentes.. bouche déformée …langue protubérante … spasmes convulsifs regards fixes … secousses violentes du pénis.. sanglots ou crises de larmes (notamment chez les plus jeunes) … se débat pour écarter son partenaire et peut faire des efforts violents pour éviter l’orgasme bien qu’ils qu’ils trouvent un plaisir infini à cette situation »; prenez note de l’emploi du mot « partenaire » lorsqu’il décrit l’adulte agresseur.
Quant à ce que l’équipe de Kinsey a fait ou cautionné pour ce male report, Dr Reisman note non sans sarcasme : "Fortuitement pour l’équipe de Kinsey, parmi les interviewés il y avait un groupe d’homme qui avaient en main des données provenant de ce qui a été désigné comme de la stimulation génitale sur des enfants. Ces données ont été obtenues via une « observation réelle" et "mesurée avec un chronomètre. (male report page 5). Par chance certains de ces hommes avaient été « formés techniquement". Ainsi, Kinsey en déduit que leurs observations sur les résultats de la masturbation homosexuelle sur de jeunes enfants ( de 2 mois à 15 ans)sont une façon valide et significative d’apprendre ce qu’est la sexualité des enfants.
Sur la base de ces observations Kinsey n’hésitait pas à en déduire que "il est probable que la moitié des garçons, voire plus, pourraient atteindre l’orgasme dans une société désinhibée un peu avant l’âge de trois ou quatre ans et que presque tous les enfants pourraient atteindre l’orgasme trois ou cinq ans avant l’adolescence."
Pour aller plus loin dans le comportement dépravé de l’équipe de Kinsey le rapport mentionne clairement le fait que certains enfants ont été agressés sexuellement, avec des notes détaillées à l’appui, sur des périodes de plusieurs mois. Deux enfants sans défense, l’un âgé de 4ans l’autre âgé de 13 ans, ont été soumis à des traitements particulièrement brutaux pendant au moins 24 heures. Kinsey rapporte que " le maximum observé a été de 26 orgasmes en 24 heures."
Cinq ans après la première publication du Male report l’équipe de Kinsey a publié Sexual behavior in the Human Female ( Le comportement sexuel de la femme) basé sur des interviews de 5900 femmes. Le rapport stipule que des rapports avant le mariage aident les femmes à une meilleure adaptation conjugale. Ce rapport contient également des affirmations surprenantes en ce qui concerne les petites filles, que de nombreux sexologues actuels partagent d’ailleurs.
Le female report plaide l’agression sexuelle sur enfant
Le chapitre 4 du Female Report est intitulé : "Développement sexuel à la pré adolescence", il est entrecoupé de théories (toujours présentées comme des faits) telles que : "il est certain qu’il y a des enfants, filles et garçons, qui sont plutôt aptes à une réponse sexuelle véritable." L’ équipe de Kinsey fait l’éloge des bénéfices que procure le contact sexuel (incestueux ou autre) avec des enfants. Il est incroyable de trouver page 115 "Parmi les contacts avec les pré pubères certains avaient procuré des satisfactions émotionnelles qui avaient conditionné la fille à accepter des activités sexuelles ensuite."
Quelques pages plus loin, Kinsey explique qu’ils ont le projet d’apprendre au public à accepter la notion d’utilisation des enfants comme partenaires sexuels.
"Il y a bien sûr des exemples d’adultes qui ont causé des dommages physiques à des enfants avec qui ils avaient essayé d’avoir des rapports sexuels… mais ces cas sont minoritaires et le public devrait apprendre à les distinguer les contacts graves des autres contacts avec des adultes qui eux ne vont pas faire de mal aux enfants dans le cas où les parents de l’enfant ne sont pas gênés eux-mêmes d’avoir ces rapports sexuels. … nous n’avons qu’un cas de blessure occasionnée par un rapport sexuel et quelques exemples de saignement vaginal qui cependant ne semblaient pas préjudiciables du tout. "
Non seulement le public doit être reconditionné pour accepter que les rapports sexuels sont normaux mais les enfants aussi doivent être reconditionnés : "il est difficile de comprendre pourquoi un enfant, si ce n’est à cause de son conditionnement culturel, devrait être perturbé par les attouchements sexuels ou perturbé par des contacts sexuels plus spécifiques." De plus, "les contacts avec les adultes sont une source de plaisir pour certains enfants et peuvent même éveiller l’enfant sur le plan érotique."
Le réseau sexologue des hétérophobes
Dr Reisman utilise le terme de hétérophobie (peur et hostilité envers l’hétérosexualité) pour décrire le but de cette guerre menée par les partisans pro-Kinsey qui sont contre les normes sociétales traditionnelles, l’institution du mariage et contre la famille. Dans un chapitre fascinant, Edward W. Eichel qui a co-écrit le livre avec Dr Reisman commence à détricoter une partie du réseau des institutions universitaires et professionnelles qui sont parvenus à mettre en place le programme de Kinsey : Eichel a écrit :
"En 1983 la Society for the Scientific Strudy of Sex (SSSS ou Quad S) c’est-à-dire la Societé pour l’étude scientifique du sexe a annoncé la formation d’un comité qui était chargé d’élaborer les grandes lignes d’un organe de certification affilié à l’université et à de nouveaux programmes universitaires sur la sexualité humaine débouchant sur un diplôme. Cette société (SSSS) est l’une des plus vieilles organisations de sexologie aux USA. Parmi ses membres on peut y trouver la grande majorité des sexologues universitaires, chefs de file, y compris les co-auteurs de Kinsey tels que Wardell Pomeroy et Paul Gebhard. Dans ce comité qui élaborait la certification, les universitaires étaient largement représentés. Ils ont développé les trois seuls programmes existant aux USA sur la sexualité humaine et destinés à être enseignés aux futurs éducateurs.
Or ces mêmes membres de ce comité ont participé à l’idéologie de Kinsey concernant les orientations sexuelles. On y trouve Deryck Calderwood de l’université de New York, Kenneth D. George de l’université de Pennsylvanie et Wardell Pomeroy alors doyen de l’institut des Etudes Avancées sur la Sexualité Humaine à Chicago. Un des autres membres du comité était Paul Gebhard qui a pris sa retraite en 1982 après avoir occupé le poste de directeur à l’Institut Kinsey de Recherche sur le Sexe, le Genre et la Reproduction. » Un autre membre du comité de certification du SSSS était Ven L. Bullough, un historien du mouvement homosexuel qui a également écrit la préface du livre du pédophile néerlandais Edward Brongersma intitulé "Loving boys"."
Eduquer les éducateurs
Voici l’organisation peut-être la plus connue qui faisait la promotion de l’éducation à la sexualité dans les écoles : il s’agit du Sex Information and Education Council of the United States (SIECUS) que l’on peut traduire par Conseil National de l’Information et de l’Education à la Sexualité. Il fut crée en 1964 dans un projet impliquant les agences des Nations Unies, et grâce à la Fondation Playboy qui lui octroya les premiers financements.
Ce Conseil se décrit comme "défenseur de la sexualité humaine". Depuis 1978 ce Conseil (SIECUS) est affilié au Département de l’Education à la Santé de l’Université de New York et travaille en étroite collaboration via son programme sur la sexualité humaine. Eichel, co-auteur du livre de Dr Reisman en sait quelque chose : il en est diplômé.
Le professeur Deryck Calderwood a mis en place le programme de l’ Université de New York qui a reçu la certification par le Département d’Etat de New York et qui s’intitulait : « Programme d’Education à la Sexualité, la Vie de famille et au Mariage ». Une des co- fondatrices de SIECUS Mary Calderone a quitté ses fonctions en 1982 pour devenir attaché temporaire d’enseignement et de recherche du programme sur la sexualité humaine de Calderwood.
Calderone est très explicite, très claire dans la défense de sa thèse selon laquelle les enfants sont des êtres sexualisés . Dans un rapport du SIECUS publié l’Année de l’Enfant (1979) elle compare sa mission à celle qui consiste à créer une "nouvelle religion" basée sur l’expansion de la sexualité entre enfants sous toutes ses formes : "Chaque religion, chaque doctrine politique nouvelle doit d’abord mettre les adultes d’accord afin de créer une petite culture nucléaire et à l’intérieur de laquelle ses enfants pourront s’épanouir grâce aux principes directeurs ."
Lors d’un séminaire d’été de l’ Université de New York dirigé par le Professeur Calderwood aux Pays bas en 1983 , auquel Eichel a assisté, les pédophiles étaient invités à présenter leur "recherche".
L’un d’eux, Dr Theo Sandfort professeur à l’université d’Utrecht est l’auteur d’un livre interdit aux Etats Unis : The Sexual Aspect of Paedophile Relations (L’aspect sexuel des relations pédophiles). Ses écrits proclament clairement pourquoi lui et ses acolytes ont déclaré la guerre à la structure familiale telle qu’on la connait aujourd’hui : "Lorsque les limites, les frontières autour de la famille nucléaire tomberont les enfants seront bien plus prêts à accepter des liens émotionnels avec des adultes autres que leurs parents" (p 83).
Un autre conférencier était présent au séminaire : Edward Brongersma, juriste et sénateur néerlandais qui a fondé sa propre fondation en vue de « faire avancer la recherche scientifique sur le développement de la vie sexuelle des enfants .. avec une insistance particulière sur les relations érotiques et sexuelles entre adultes et enfants. » Brongersma a passé du temps en prison pour pédophilie, mais également réussi à réintégrer le barreau et à i à être nommé Chevalier de l’Ordre du Lion par la Reine.
Une autre organisation impliquée dans la certification professionnelle d’individus telles que les sexologues , les thérapeutes et autres est l’American Association of Sex Educators, Counselors and Therapists (Aasect) (Association américaine et éducateurs de la sexualité, des conseillers, des thérapeutes) qui exige que les candidats acceptent un lavage de cerveau via le programme connu sous le nom de « Sexual Attitude Reassessment » (SAR) (Réévaluation de l’attitude sexuelle) ;c’est un prérequis pour la certification.
Quel rôle les agences du gouvernement ont elle joué dans cette affaire sordide ? Ou était le FBI lorsque Kinsey et ses complices participaient à des agressions sexuelles sur des centaines d’enfants ? Aucune enquête de police de quelque nature que ce soit n’a été menée et jamais personne n’a été poursuivi en justice pour avoir participé ou encouragé les agressions sexuelles…
Confessions d'un ex financier sur l'élite mondiale et ses pratiques
Depuis que j'ai rediffusé le témoignage d'Audrey et Séverine, les deux mamans qui dénoncent un réseau pédophile du genre sectaire donnant aussi, apparemment, dans des "expériences" de type contrôle mental, j'ai reçu plusieurs témoignages de victimes qui m'expliquent avoir vécu cela.
Cependant, il est très difficile de comprendre de quoi il s'agit. Je diffuse donc aujourd'hui le témoignage d'un ex PDG et financier hollandais, qui parle de son expérience d'enfant abusé et manipulé pour devenir à son tour un prédateur.
Au sujet de ces pratiques de manipulation de la personnalité, par le recours aux abus, mais aussi aux drogues et à divers appareils, on dispose aujourd'hui d'un certain nombre de témoignages de victimes aux Etats-Unis.
En Europe, la pratique semble un peu différente, davantage organisée dans un cadre rituel, mais dans les faits les choses reviennent au même: les victimes souffrent d'une sorte de fractionnement de la personnalité, et toutes les valeurs humaines sont effacées pour être remplacées par des valeurs de destructions.
Derrière tout cela, il y a un délire qui relève de ce que j'appelle génériquemen le "satanisme", et qui consiste à augmenter son pouvoir en se livrant aux pires horreurs. Ces pratiques, on les retrouve partout dans les pays occidentaux, et sous des formes plus proches de la sorcellerie en Afrique et dans les Caraïbes, par exemple. Ceux qui s'y livrent sont des gens bien sous tous rapports, aidés par des sous-fifres, et dirigés par des gens souvent plus puissants que les politiciens nationaux et internationaux, qui finalement ne sont que des marionnettes entre leurs mains.
Mais revenons au témoignage de Ronald Bernard qui est en trois parties, dont la dernière a été diffusée fin aout, et que je vais retranscrire pour l'essentiel.
Une déviance transgénérationnelle
Ronald Bernard a longtemps été entrepreneur et avant de se lancer dans la gestion de ses propres actifs, à la recherche des placements les plus rentables (ce qui passae pas des montage financiers tellement tordus qu'en réalité ils sont illégaux). Il explique qu'à un moment, quand il était très riche, on lui a proposé d'entrer dans le tout petit monde de la haute finance internationale. Bernard est OK, et l'autre propose de l'introduire dans le réseau contre 10% de ses gains annuels, et il l'avertit: "Si tu es incapable de mettre ta conscience au congélateur, et pour congélateur j'entends à moins 100°C, pas à - 18°C, alors ne le fais pas".
Bernard explique aussi, et c'est loin d'être intéressant, comment fonctionne le monde: qu'au sommet, ils font mine d'être ennemis mais qu'ils suivent un agenda établi en commun. Ils s'organisement pour que personne dans les couches inférieures de la société ne sache ce qu'ils sont en train de faire, et organisent les choses en sollicitant les bons pions aux bons endroits. Il estime qu'aujourd'hui, "entre 8.000 et 8.500 personnes seulement dirigent le monde entier". Cela représente la population d'une petite ville de province, où tout le monde finit par se connaître.
Pendant 5 ans, il gérait des quantités d'argent, souvent issues de circuits illégaux car Bernard devait s'arranger pour le réintroduire dans le système financier normal. Cet argent appartenait à cette "élite", tout "en haut de la pyramide", qui organise le monde. Il a gagné sa place jusque-là en rentrant de plus profondément dans le petit cercle des puissants.
Il explique que l'argent circule entre services secrets (qu'il qualifie d' "organisations criminelles"), banques, gouvernements, organisations terroristes, et son boulot était de le faire discrètement. Bernard dit, tout comme plusieurs de mes sources, que les services secrets se finançaient notamment grâce à l'argent du trafic de drogue, du trafic d'armes, et même, ce que je ne savais pas, du trafic d'être humains. Je savais que les flux de Rroms ou de migrants leur étaient très utiles pour faire traverser la frontière à certaines marchandises, mais je ne savais pas qu'ils en tiraient un bénéfice pécuniaire.
Et puis, tout s'est arrêté d'un coup.
A force d'être le spectateur de toutes ces magouilles, il a commencé à être "dévoré intérieurement". "J'ai suivi un entraînement pour devenir un psychopathe. J'ai échoué", dit-il. Il explique que ces gens du cercle en-haut sont généralement des lucifériens, et l'ont invité plusieurs fois dans des "églises de satan", "j'ai assisté à leurs messes avec des femmes nues, des liqueurs, plein d'autres choses. Je trouvais cela amusant. Je ne croyais pas du tout en ces choses, j'étais très loin d'être convaincu que tout cela était bien réel (...) Arrivé à un certain point, j'ai été invité à participer à des sacrifices à l'étranger. Ca a été le point de rupture", précise-t-il alors qu'il a du mal à parler, "des enfants"... On lui a demandé de le faire et il n'a pas pu.
Après cela il dit qu'il a sombré. Cela lui a rappelé des éléments de son enfance. Il a commencé à refuser certaines missions et devenait ainsi une menace puis a fait un burn out et a mis un an pour se rétablir. Il dit que lorsqu'il sortait de l'hôpital il était physiquement torturé, et même enlevé pendant un certain temps.
Dans cette interview, il évoque le Protocole des Sages de Sion, un document dont on explique en fac d'histoire qu'il est un faux, sans jamais s'attarder sur la question, et surtout sans jamais examiner le texte lui-même. Car plus d'un siècle après sa rédaction, force est de constater qu'une partie du programme a déjà été réalisée. Et peu importe qui l'a écrit.
Témoignage intégral de Ronald Bernhard: partie 1
Le haut de la pyramide
Dans cette 2 e partie, Bernard est d'abord interrogé au sujet du haut de la pyramide, ces 8.000 à 8.500 personnes qui dirigeraient le monde. Il explique que ces gens utilisent le système monétaire et financier (tous deux aussi boiteux et incohérents l'un que l'autre), et aussi la BRI, la Banque des Règlements Internationaux, ou BIS en anglais, une société anonyme chapteautée par l'ONU et installée à Bâle, qui a toujours servi à gérer d'énormes transactions internationales dans l'opacité la plus complète [1].
Selon Bernard, les "8.000" donnent directement leurs instructions pour gérer le système financier comme il leur plaît à la BRI, qui fait appliquer les nouvelles mesures partout: ce sont les "accords de Bâle" que j'ai dénoncés il y a bien longtemps, à l'époque où on nous disait que cette réunion de banquiers était apte à réguler le monde de la finance. C'est-à-dire à ne rien faire, puisque c'est bien connu, les banques savent s'autoréguler. Comme tous les voleurs d'ailleurs.
En dessous de la BRI, on a le Fonds Monétaire International, où Lagarde la fan de numérologie a succédé à DSK, et la Banque Mondiale, qui crééent leurs propres règles et les imposent au monde entier, quitte à détruire des Etats comme la Grèce, après la crise asiatique ou les diverses crises en Amérique latine dans les années 90 - 2000. "Ce qu'ils font en réalité, c'est créer de la dette" dans les pays auxquels ils viennent en aide, "de façon à ce qu'ils ne seront jamais capables de rembourser. Ils calculent le montant [de dette] qu'il faut pour y arriver, ce qui leur permet d'accroître leur mainmise sur le pays ou sur un continent comme l'Afrique qui est riche en ressources, très riche. Grâce à leurs connexions avec leurs "amis", avec des multinationales, ils peuvent extraire la richesse de ces pays en les autorisant à payer en nature cette dette qu'ils ne pourront jamais rembourser".
Pour y parvenir, poursuit Bernard, "la seule chose qu'il faut c'est d'acheter les élites de ce pays, vous les faites chanter avec des enfants".
Il explique comment les banques créent de l'argent quand on s'endette auprès d'elle: l'argent qu'elles nous "prêtent", en réalité elles ne l'ont pas en caisse. Elles le créént à la demande et ajoutent une ligne de compte à leur actif. Les intérêts que l'on verse sont absolument injustifiés, mais Bernard explique que ces 5% de rentabilité annuelle, ce 5% de taux d'intérêt moyen, c'est ce qui est réclamé au système financier par les "8.000".
Plus il y a de dette, plus ces gens s'enrichissent. On imagine les milliards gagnés sur le dos de la Grèce, juste à côté de chez nous. Il explique que c'est aussi pour cela que les dettes souveraines, c'est-à-dire celles des Etats, ne font qu'augmenter (en France on ne rembourse d'ailleurs que les intérêts, et c'est le 2e plus gros budget après l'Education Nationale). Ce système implique une inlation permanente, c'est-à-dire en réalité une baisse de la valeur de la monnaie, et donc des salaires. Il explique que c'est pour cela qu'aujourd'hui un couple qui travaille parvient difficilement à faire faire vivre sa famille alors qu'il y a 40 ans un seul salaire suffisait.
Partie 2 (sous-titrages anglais)
Real Big Power: Revelations by insider Ronald Bernard-part 2
Partie 3 (conclusion?)
Ronald Bernard - Partie 3 (complet + sous-titres en français)
[1] Créée en 1930 pour gérer les réparations dûes par l'Allemagne aux alliés après la 1ère guerre mondiale, elle a immédiatement servi de courroie de transmission entre Wall Street et les caisses d'Hitler et sa clique (ce que confirme Bernard dans la 2e vidéo). LA BRI fonctionne comme un financeur et un superviseur des banques centrales des Etats et groupes d'Etats comme l'Europe. Elle est absolument intouchable, est indépendante de tous les Etats et institutions, et possède même sa propre police.
Réseaux pédophiles: deux mamans seules face à la justice témoignent pour protéger leurs enfants
Aujourd'hui, je diffuse les témoignages de deux mamans, dont les enfants seraient violés et embrigadés par leurs pères dans des sortes de réseaux du genre satanique, avec d'autres victimes mineures. Des affaires qui ressemblent notamment à celle du réseau pédophile du Var, et à d'autres qui n'ont jamais été dévoilées publiquement. Deux vidéos à écouter, pour comprendre que nous ne vivons pas au pays des bisounours, et que les réseaux pédophiles sont une réalité.
J'utilise le conditionnel car je n'ai pas vu les dossiers, mais ces récits me semblent crédibles, même si certains passages du premier posent question.
Les deux femmes qui s'expriment dans ces vidéos ont également lancé une association et un site web: www.auxenfantsdelaterre.fr (qui reste en partie à construire). Leur but est de se regrouper avec d'autres familles dans le même cas, afin de se battre ensemble et d'alerter sur ce qu'il se passe. Car en effet, on n'ose imaginer le nombre d'enfants qui ont subi et subissent aujourd'hui ce genre de traumatisme, avec les conséquences qu'on connait.
L'association cherche également à collecter de l'argent, pour les frais de justice actuels et à venir qui, on le sait, ont de quoi ruiner n'importe qui (en moyenne on peut estimer que cela tourne autour de 15.000 € par année de procédure, ce qui oblige les familles à abandonner le combat judiciaire au bout d'un moment).
Audrey: on lui prend ses enfants dès qu'elle dénonce les abus
Je résume ici le témoignage d'Audrey, qui s'exprime sur la première vidéo, au cas où celle-ci disparaît:
> Cette femme, fille d'un lieutenant colonel de l'armée de l'air et mariée à un militaire, explique qu'elle s'est séparée du père en raison de multiples maltraitances il y a 3 ans. Très vite, ses deux fils lui parlent de violences commises par leur père, puis d'abus sexuels.
> La réponse de la "justice" est la même que d'habitude: au début la justice réagit de façon normale et confie les enfants à la mère ==> puis les enfants parlent des abus ==> la justice reste sur le terrain du conflit familial ==> la mère fait du SAP et manipule ses enfants, elle se fait détruire par un "expert" ==> on ne tient compte d'aucun certificat médical ni de la parole des enfants, d'aucune pièce à charge en fait ==> toutes les plaintes de la mère sont classées sans suite ==> le pédophile obtient la garde.
> Le père se met à avoir des pratiques de sorcellerie avec des africains. Audrey se rappelle que quand elle était avec lui, elle s'endormait souvent à n'importe quelle heure de la journée, sans avoir jamais compris pourquoi. Cela a cessé dès la séparation.
> Les services sociaux et la justice font pression sur la mère pour qu'elle cesse de dénoncer les abus sexuels. Ils disent aux enfants que leur père est gentil et que leur mère dit n'importe quoi (un père qui déclare au psy avoir eu son premier rapport sexuel à 8 ans, ce qui n'a pas du tout choqué l' "expert").
> Au fil du temps, les enfants lui ont raconté des faits de plus en plus horribles. Ils ont commencé par parler de violences, puis d'attouchements, puis ils ont dit que leur père faisait des cérémonies avec eux dans des cimetières, les hypnotisait, que leur grand-père paternel aussi les a violés, qu'ils ont été emmenés sur un ou des sites militaires par leur père, que le plus jeune était souvent drogué et ont participé à des viols collectifs et des tortures sur des enfants, en présence d'autres adultes.
> L'aîné, à 9 ans, est très perturbé. Il ne veut plus voir sa mère, il est devenu sociopathe, sadique (selon des médecins), à vouloir la mort de sa mère et tenter de tuer son frère de 5 ans à plusieurs reprises.
> Un des symboles dessinés par les enfants, qu'ils avaient vu à plusieurs reprises, était un oeil sur une pyramide.
> Son premier avocat lui avait conseillé de ne pas parler des abus, et encore moins en réunion. Il avait hélas raison: c'est à partir du moment où ces faits sont mis sur la table que la broyeuse judiciaire se met en marche contre le parent protecteur. C'est hélas systématique.
Plus étonnant:
> Cette femme, Audrey, explique qu'elle a fait des "rêves lucides" qu'elle considère être des souvenirs, à propos d'expériences qui auraient été menées sur elle dans une base militaire au mont Verdun [1] : implants, injections, viols, dans des salles d'un complexe militaire proche de Lyon. Elle s'est rappelée ainsi que son père l'aurait violée quand elle était petite. Ses parents ont d'ailleurs témoigné contre elle durant la procédure.
> Là où j'ai plus de mal à suivre, c'est quand elle raconte des "rêves lucides" où elle s'est vue autoir d'une table avec des gens puissants autour, dont des politiciens, pour faire un test de résistance à divers abus. Une femme devait subir diverses tortures au cours de ce qui ressemble à un jeu de rôles pervers encadré de manière "scientifique". Cela peut être vrai, j'ai déjà entendu ce genre de chose par des gens qui l'ont vécu, en france.
Documentaire sur l'injustice Partie 1 - Témoignage d'Audrey !!
Séverine et son fils A.
Ici aussi, je vais résumer l'affaire, au cas où la vidéo disparaît.
> A. a entre 8 et 10 ans et a parlé à sa mère de faits de viols, à commencer par des fellations, puis avec des viols collectifs dans le cadre de rituels. Il a dit qu'il a été obligé de regarder des sévices commis sur sa mère alors qu'elle était droguée. Elle ne s'en souvient pas.
> Séverine parle du Mont Verdun où son fils aurait subi diverses expériences (dont une qu'il raconte au début de la vidéo, avec des "vrais" extra terrestres), qui auraient entrainé son handicap sévère.
> Elle parle d'expériences de controle mental, qui existent depuis des années.
> A. a dit avoir été forcé à participer à des films pédopornographiques. Il dit que d'autres enfants étaient parfois là aussi, et subissaient les mêmes abus.
> Séverine explique que derrière ces "expériences" et les abus, il y a du trafic de drogue et une sorte d'organisation qui donne dans de multiples tafics.
> Elle a subi la répression de la justice, qui l'a attaquée et désignée comme étant "la problématique de fond" et l'a fait expertiser par un "expert" pour conclure qu'elle était dangereuse pour son fils et suicidaire. Finalement il fallait qu'elle cesse de dénoncer les faits. Le schéma classique, donc.
> En septembre, elle a un procès devant le juge des enfants, qui a menacé de placer son fils si elle ne faisait pas ce qu'on lui demandait, c'est-à-dire se taire. On lui reproche uniquement d'être "trop fusionnelle" avec son fils, explique-t-elle.
> Séverine sent bien que "l'étau se resserre": elle constate que "tout est tellement abusif, tout est tellement orienté, qu'il suffit d'un peu de clairvoyance pour comprendre ce qu'il est en train de se passer. Et comprendre que notre seule défense, c'est nous tous".
Documentaire sur l'injustice Partie 2 - Témoignage d'A. et Séverine !!
Ma réflexion
En écoutant ces deux témoignages, on ne peut faire autrement que de penser à MK Ultra, ce programme que la CIA a développé dès les années 50, dans le but de maîtriser le contrôle mental.
Des victimes de ce programme ont témoigné -y compris devant une commission du congrès US dans les années 90- d'électrochocs, de prises massives de drogues et médicaments, d'abus parfois commis en présence d'extra terrestres, de viols répétés, de tortures psychiques et physiques durant toute leur enfance, et cela dans un cadre militaire et/ ou universitaire.
Pendant longtemps la CIA a dit que MK ultra n'était qu'une "théorie du complot" (un terme qu'elle a d'ailleurs inventé pour décrédibiliser ceux qui l'attaquaient), mais toutes les archives n'ont pas été détruites, et un certain nombre de victimes ont survécu. Donc aujourd'hui il s'agit de faits, d'une réalité dont rien ne permet d'espérer qu'elle n'a plus cours.
Au sujet de ce programme, deux documentaires sérieux à regarder:
▶ Les cobayes de la CIA - Projet MK-Ultra.
▶ Projet Artichoke: Les experimentations secretes de la CIA (MK-Ultra)
Il est clairement temps de se réveiller. La léthargie dans laquelle nous sommes plongés, en partie à cause du "totalitarisme bright" qu'un certain micron nous impose petit à petit (n'oublions pas son show d'intronisation devant une pyramide du Louvre rougeoyante) devrait nous faire sur réagir. Le doute n'est plus permis aujourd'hui: nous sommes sous la coupe d'un système qui va contre notre intérêt et qui ne profite qu'à une élite, qui ne recule devant rien pour avoir toujours plus. Plus de fric, plus de biens, mais surtout plus de puissance, toujours plus de pouvoir.
Cela ne nous sert à rien, bien au contraire. Reste à s'organiser. Et cela, d'autant plus vite que ce système broie la chair fraiche que sont les enfants, se gave de viols, de tortures et de meurtres. Peut-être faut-il nourrir la "bête"... Je n'en sais rien et je m'en fiche, mais le fait est que j'entends depuis trop longtemps ces gamins, ces témoins qui parlent de rituels sataniques, de meurtres, de tortures sur des enfants, par des adultes parfois en costume, parfois pas. Qui parlent parfois une langue bizarre, mais pas toujours. Qui opèrent des initiations, souvent. A quoi? Mystère.
Mais ces tarés bénéficient d'une impunité certaine. On le constate au fil des dossiers, et cela depuis le début des années 90. Au fil des classements sans suite et des procès iniques. Des expertises bidons, de la collusion, des mensonges racontés dans ce qui fait office de cours de "justice".
Ajout du 24/08/2017:
Hier, le mercredi 23 août vers 15 h, 5 agents de l'ASE et une quinzaine de gendarmes sont venus là où vit Séverine, la maman d'Amoris, afin de placer l'enfant et d'envoyer Séverine en Hôpital Pyschiatrique. Ce jeudi devait avoir lieu une marche, afin de lancer l'action pour dénoncer les réseaux pédophiles, et tenter de sauver Amoris et les autres enfants.
La marche est évidemment annulée. Je pense que le fait d'avoir abordé les "expériences" menées dans un cadre militaire a du beaucoup énerver les autorités, en premier lieu l'armée.
Il faut aujourd'hui que les victimes et les proches de victimes se regroupent, s'organisent et agissent, avec l'aide des militants de cette cause. Il faut faire exploser le couvercle, libérer la parole et tenter d'aider au mieux cette mère et les autres qui sont confrontées à la broyeuse.
[1] Il y a effectivement une installation militaire de l'armée de l'air à cet endroit: article sur une "base secrète" au mont Verdun, où une partie des effectifs travaille aussi pour l'OTAN.
Réseau pédophile du Var (Amidlisa): la mère protectrice relaxée de la dénonciation calomnieuse
L'affaire Amidlisa, celle du réseau pédophile du Var, stagne depuis dix ans. La mère, qui avait tenté de dénoncer des abus sexuels commis sur ses enfants, n'a jamais été entendue, et une procédure pour dénonciation calomnieuse a été lancée contre elle et Jack, son beau-père. Ceci, alors que rien n'a été fait pour savoir si les enfants étaient réellement victimes ou pas.
Aujourd'hui, Sophie est relaxée de toutes les accusations portées contre elle : cela veut dire qu'elle a dénoncé les faits de manière légitime.
Sophie, la mère des enfants, et Jack ont été condamnés pour dénonciations calomnieuses et dénonciations mensongères de faits imaginaires en première instance puis en appel, avant de se pourvoir en cassation et de gagner.
Ce qui implique que les faits de dénonciations calomnieuses et autres devaient être jugés une troisième fois. C'est suite à ce nouveau procès en appel que Sophie a été relaxée en totalité, et que Jack a pris 6 mois de prison avec sursis, pour une raison des plus étonnantes, d'après ce qui a été dit lors du délibéré le 1er juin 2017 : il lui est reproché son appel téléphonique du 23 mars 2009 au gendarme chargé de l’enquête en cours pour demander un rendez-vous ayant des éléments nouveaux à lui transmettre, comme celui-ci lui avait demandé de le faire. Ce grief avait été pourtant cassé et annulé par la Cour de Cassation.
Une procédure à peine croyable
Ce jugement est toutefois une grande victoire: la justice reconnaît que Sophie pouvait porter plainte légitimement pour protéger ses enfants, et qu'elle avait en sa possession des éléments assez inquiétants pour chercher à mettre ses enfants à l'abri. D'ailleurs, il ne faut pas oublier que lorsqu'on a connaissance d'un crime, on est censé le dénoncer.
Pendant dix ans hélas, la "justice" n'a passé son temps qu'à s'acharner sur la mère. Il faut imaginer que dans cette procédure menée à Draguignan, rien n'a été logique.
Par exemple, au tout début de cette affaire, Sophie est allée porter plainte contre un ami du père pour un baiser forcé sur la bouche de sa fille, qui s’en était défendue en pleurant, pour viol buccal et peut-être aussi par les voies basses. Mais dès le lendemain, pas moins de 11 gendarmes sont venus chercher ses 3 enfants à l’Hostellerie de la Sainte-Baume à Saint-Maximin où ils devaient passer la nuit avec leur mère et leurs grands-parents pour se rendre ensuite à Paris à Eurodisney. Le Procureur avait donné ordre de placer les trois enfants en foyer. Les gendarmes n'ont pas présenté à Sophie l’Ordonnance du Procureur, lui enlevant ainsi le droit de faire appel. Après deux audiences chez le Juge des enfants du TGI de Draguignan où la mère était absente, n’ayant pas reçu les convocations qui avaient été envoyées à un mauvais nom et une mauvaise adresse, les enfants au bout de 3 semaines ont été confiés pour un an à leur père. Cette mesure a été sans cesse renouvelée en usant de mensonges et faux témoignages.
Fait incroyable, pendant dix ans les enfants n'ont jamais été écoutés, il n'y a jamais eu d'instruction concernant les abus subis par la fratrie. Toute l'énergie de la justice a été utilisée pour faire condamner Sophie et son beau-père pour dénonciation calomnieuse.
Et pour y parvenir, des pièces telles que des signalements ont été écartés du dossier, les droits de la défense n'ont pas été respectés, les vices de procédure se sont accumulés. C'est pour cette raison que la famille est parvenue à gagner en cassation.
Si aujourd'hui Sophie est blanchie de cette sombre plainte pour dénonciations calomnieuses et dénonciations mensongères de faits imaginaires, c'est parce que la justice n'a pas eu le choix. L'avocate de la famille, Me O., a introduit dans le dossier des pièces sans équivoque, qui montrent qu'on n'a jamais examiné les faits d'abus sur les enfants. Par conséquent la justice est dans l'incapacité de dire que les faits sont faux, et que Sophie a menti sciemment.
Que faire alors? En raison de la prescription de 10 ans pour la famille, la logique voudrait qu'une instruction soit ouverte avant la date anniversaire du 7 octobre des premiers faits de 2007 concernant les abus sexuels subis par les enfants.
Des abus dont les trois enfants ont parlé à l'époque et qui ont été corroborrés par des expertises médicales. En outre, face à l'inaction de la justice, la famille a cherché et récolté de nombreux éléments qui devraient être étudiés si toutefois la justice voulait éclaircir cette affaire. Ces éléments montrent qu'on a à faire à une bande organisée de violeurs d'enfants, ce qui est probablement un peu gênant pour la justice, dont le but est d'assurer le sommeil des ménages dans leurs chaumières.
En tant que citoyen, on n'imagine pas que des faits si graves ne soient pas instruits, dans un pays où la protection de l'enfance a été déclarée grande cause nationale en 2017 (même si tous ceux qui suivent les dossiers de maltraitances sur mineurs savent que c'est du vent, et que micron vient de supprimer le Conseil National de la Protection de l'Enfance).
Pour rappel
Dans cette affaire, les enfants ont dénoncé et cité plusieurs adultes comme leurs abuseurs. Ils ont aussi parlé de plusieurs autres enfants victimes, et même de meurtres d'enfants commis en bande organisée (suite aux déclarations des trois enfants, qui ont été filmées par la famille, on dénombre pas moins de 16 meurtres d'enfants commis sur une période de cinq mois). Ils ont parlé de films qui étaient tournés lors des abus, de CD Roms planqués en urgence, de sortes de rituels meurtiers, de menaces de mort.
Comme la justice s'est attachée à faire condamner Sophie sans jamais enquêter sur les faits, les enfants sont restés confiés... à leur père. Aujourd'hui, hélas, ils ne vont pas très bien. Ils ont dû évoluer dans un contexte difficile, même si les abus, a priori, auraient cessé, les enfants ayant assuré à leur mère en septembre 2010, après un an sans les avoir vus, qu’il ne se passait plus rien.
Depuis 2009, Sophie a eu le droit de les voir mais les enfants ne lui ont pas été présentés pendant des mois, ce qui a entraîné 65 plaintes pour non-représentations d'enfants toujours sans suite. Le père ayant fui dans un département lointain, les enfants sont désormais privés de leur mère de manière totalement inique depuis le 1er avril 2016 !
Afin de classer l'affaire, il a été dit que Sophie était dans un "délire interprétatif". Elle a été traitée de "folle" par des magistrats, malgré sept expertises psychiatriques disant le contraire.
Toutes les plaintes de Sophie ont été classées sans suite. Tous les procès ont été des plus étranges, certaines pièces à décharge ne se trouvant pas dans le dossier, et les rares pièces à charge mises en exergue étaient des faux. On ne compte plus les vices de procédure dans cette affaire, mais finalement c'est le cas dans de nombreux dossiers d'enfants violés par leur père, surtout si les viols ont lieu en réunion.
On doit d'ailleurs citer ce rapport de l'ONU, datant de 2003 déjà, et qui pointait les "dysfonctionnements" de la justice dans ces dossiers. En gros, la justice fait tout pour ne jamais examiner les faits, et s'attaque quasi systématiquement au parent protecteur. Au final, les enfants sont confiés à l'abuseur. J'ai vu cela des dizaines et des dizaines de fois.
C'est à ce prix seulement que l'on peut nous dire que "les réseaux pédophiles n'existent pas en france".
L'affaire du Var est similaire à l'affaire Kamal, à l'affaire Dutroux, à l'affaire d'Outreau et à tant d'autres qui sont restées dans l'ombre, dont les médias n'ont jamais parlé. Il s'agit d'enfants qui dénoncent finalement l'existence d'un réseau pédophile. Mais dans tous ces dossiers, on constate que les enfants ne sont pas entendus, et que tout est fait pour imposer le silence aux victimes et à ceux qui les soutiennent. Quand il y a des condamnations, elles sont a minima. On trouve un ou deux lampistes, les plus grillés et qui en général ont avoué, et on tente de faire croire qu'il n'y a pas de réseau. Ou bien, comme dans l'affaire Kamal, il n'y a pas de condamnation du tout.
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Ce jugement qui disculpe Sophie d'avoir dénoncé des abus sexuels est une étape importante dans cette procédure aussi aberrante qu'interminable. Il ouvre la voie à une enquête digne de ce nom sur les faits extrêmement graves qui ont été dénoncés. Il faut sortir de cette omerta, de ce système d'étouffoir à dossiers gênants, de ce qui relève quelque part d'un système mafieux. Les citoyens doivent aujourd'hui réclamer justice, car rappelons-le, dans ce pays la "justice" est rendue au nom du peuple français.
A l'origine des concepts de "droits sexuels" et d' "éducation sexuelle"
Il est difficile de remonter à la source de cette dangereuse vague des "droits sexuels", même si on commence à savoir qu’elle date de la brillante époque d’Alfred Kinsey et de ses "recherches" largement critiquées aujourd’hui. Ce qui est le plus dérangeant avec ce concept, c'est qu'il considère les enfants comme des "êtres sexuels", dont la sexualité doit pouvoir s’exprimer en fonction de leurs "capacités évolutives". Or, il s’agit d’une vieille revendication des lobbys pédophiles. Pour y voir plus clair, rien de tel qu’une petite chronologie.
D'abord, il faut préciser que dans l'absolu, tout le monde est pour les "droits sexuels", évidemment, à part pour les pédophiles. Mais, lorsque les enfants sont inclus dans ces "droits sexuels", et qu'on considère que les enfants sont aptes à prendre des décisions d'ordre sexuel, on peut deviner une normalisation rampante de la pédocriminalité sous le couvert de ces droits sexuels.
A ce concept de "droits sexuels", il faut ajouter celui de l' "éducation sexuelle", tout aussi pernicieux. Car là encore, tout le monde est pour l'éducation, et tout le monde veut que les adolescentes n'aient pas à avorter, donc on se dit que l'éducation sexuelle c'est bien. Cependant, quand on lit certains documents de référence comme les Standards pour l'éducation sexuelle de l'OMS (qu'on est en train de répandre en Asie), on est effrayé de constater qu'on va évoquer toutes sortes de pratiques sexuelles devant des enfants de maternelle, avec une vision de la sexualité très "pratique". Pour mieux comprendre, je renvoie vers l'analyse d'Ariane Bilheran:
A. Bilheran - Standards pour l'éducation sexuelle en Europe - 26 avril 2017
Années 30 à 50 : l’entrée en jeu des fondations
Ce sont des fondations privées, comme les fondations Rockefeller ou Ford, appartenant aux magnats de l’industrie du même nom, qui ont financé les premiers travaux des précurseurs de l’éducation sexuelle, en premier lieu Alfred Kinsey.
Ces fondations privées, issues de l’argent amassé par des gens qui contrôlent de larges parts de l’industrie du pays, servent à financer le contrôle social via l’éducation et les services sociaux du pays, le tout dans l’intérêt du business, comme cela a été pointé par une commission d’enquête US dès 1915[1]. Ceci, alors que les magnats en question veulent éviter de payer le moindre impôt.
On a déjà évoqué assez longuement Alfred Kinsey et ce que certains qualifient encore de « recherches » au sujet de la sexualité humaine. Lui qui travaillait à l’origine sur les insectes s’est pris de passion pour les pires déviances sexuelles, pédophilie comprise, pour déterminer combien de temps il faut à un enfant pour avoir un orgasme. Il considérait aussi que la société est conditionnée à mal juger les pédophiles, et que c’est à cause de cette attitude que les victimes se sentent mal.
Kinsey passe toutefois pour une référence, même si on n’ose plus le citer dans les bibliographies. Pour diffuser les théories de Kinsey, il fallait une apparence sérieuse, et même scientifique, si bien qu’on a créé l’Institut Kinsey, qui faisait aussi des études à la commande pour des psychiatres, des psychologues, des spécialistes du travail social concernés par l’obtention de données sur les comportements sexuels…).
La fondation Rockefeller a été l’un des premiers et principaux donateurs, via le National Research Council[2] et son "comité pour la recherche sur les problématiques sexuelles : "La Fondation Rockefeller a subventionné le comité pour des recherches sur les problématiques sexuelles du National Research Council’s, pour un montant total de 1.755.000 $ de 1931 à 1954. Dans cette somme, les activités menées par le Dr Kinsey ont reçu 414.000 $ de 1941 à 1949, comme cela a été rapporté par la Fondation Rockefeller au Comité Reece" [3], écrivait Rene A. Wormser dans son livre "Foundations : Their power and influence".
Si Kinsey a pu publier ses premiers ouvrages, c’est donc grâce à la fondation Rockefeller. Le Comité Reece a siégé de 1954 à 1956 afin d’enquêter sur les activités des fondations US qui bénéficiaient d’une exonération d’impôts. Un député s’est opposé à un volet de l’enquête : celui sur le financement de la fondation Kinsey, qui a été clos à peine ouvert avec les donations de la fondation Rockefeller.
Par ailleurs, Kinsey était très proche du directeur des Sciences Médicales de la fondation Rockefeller, un certain Alan Gregg, qui l’a toujours soutenu malgré les polémiques.
En 1948, Kinsey publie son premier tome sur la sexualité masculine, du moins une certaine vision de la sexualité masculine, "Sexual Behavior in the Human Male", avec l’argent de Rockefeller, mais quand des doutes commencent à se faire jour sur ses méthodes et que le scandale éclate, la fondation cesse ses donations annuelles à l’Institut Kinsey.
Dès les années 50, la fondation Rockefeller fonde le Population Council afin de financer de la recherche favorable la régulation de la population, et donc à l’avortement, à l’éducation sexuelle etc. Les chercheurs étaient choisis aussi dans des pays en développement afin d’y porter la bonne parole. La fondation Ford a vite rejoint le Population Council. Parmi les donateurs actuels de ce lobby, on trouve toujours la fondation Ford, mais aussi la fondation Bill & Melinda Gates, IBM, l’IPPF, la fondation Kellogg, la fondation Nike, la fondation Packard, Save the Children, l’UNICEF, l’UNESCO, les gouvernements anglais, hollandais, suédois, norvégien, irlandais, danois, des USA.
1964 : Création du SIECUS, la grande offensive de l'éducation sexuelle
Le Dr Mary Calderone quitte la direction médicale du planning familial pour fonder SIECUS (Sexuality Information and Education Council of the United States) à New York, afin de développer l’éducation sexuelle. Calderone voit les enfants comme des "êtres sexuels" (car des recherches scientifiques ont découvert que des fœtus avaient des érections), dont la sexualité est mal comprise par les adultes en général, et les parents en particulier.
Calderone avait jusque-là milité pour le contrôle des naissances, et dans cette lutte pour l’éducation sexuelle, avec comme conséquence la sexualisation des jeunes et même des enfants, a bénéficié dès le départ de financements des fondations Ford et Rockefeller. Mais, une partie de l’argent venait aussi du ministère de l’Education.
Selon le Dr Judith Reisman, qui a travaillé sur l’Institut Kinsey, "faisant office de branche de l’éducation sexuelle pour l’Institut Kinsey, SIECUS transposait l’idéologie de Kinsey en programmes d’éducation sexuelle". Les objectifs de cette éducation sexuelle ressemblent beaucoup à ce qu’on retrouve dans les Standards publiés par la branche européenne de l’OMS : apprendre aux enfants le sexe pour le plaisir, le détacher de la notion de mariage, normalisation de nombreuses pratiques comme la sodomie, la pornographie…
C’est SIECUS qui a lancé l’idée que la sexualité est une partie de la santé humaine, idée qu’on retrouve dans les Standards comme dans la déclaration des droits sexuels, dont on verra dans un autre article comment ils sont mis en application dans les écoles françaises. Comme tout le monde a le droit à la santé, tout le monde a le droit à avoir sa sexualité. Soit, mais qu’en est-il des enfants et des pédophiles ? C’est là que ça coince : les enfants sont carrément intégrés à cette notion de "droits sexuels", et les pédophiles n’en sont pas exclus.
Dans les années 70, John D. Rockefeller se concentre sur l’éducation sexuelle, avec la fondation Ford. Les deux donnent de l’argent à SIECUS, ce groupuscule qui considère que les enfants ont une sexualité dès la naissance et qui sert de moteur à la propagande sur l’éducation sexuelle.
En 1974, Rockefeller met en place le Project on Human Sexual Development, qui visait à développer l’éducation sexuelle et a travaillé notamment sur la manière dont les parents parlent de sexualité à leurs enfants, se désolant que les parents évitent le sujet, ou encore sur abus sexuels sur mineurs devant les tribunaux. On l’a compris : le but était de développer l‘éducation sexuelle, version Kinsey (c’est-à-dire en cherchant à faire admettre à la société que les enfants ont, et ont besoin d’une sexualité).
Ce machin a été financé afin de faire des pseudo études scientifiques qui influencent le débat public dans le sens voulu au départ. Tous ces groupes financés par les "philanthropes" ont permis d’activer les politiques publiques. Dès la fin des années 60, le gouvernement US s’implique dans le planning familial, qui à partir de 1973 milite aussi pour l’avortement, tout juste légalisé.
Un rapport technique de l’OMS rédigé cette année-là présente pour la première fois le concept de santé sexuelle comme un élément qui permet d’ "enrichir" et d’ "améliorer la personnalité, la communication et l’amour". Ce rapport va même plus loin, en affirmant que "à la base de ce concept il y a le droit à l’information sexuelle et le droit au plaisir". Donc, dès 1975, le pied de l’ "éducation sexuelle" était dans la porte [4].
Clairement, ce rapport fait du Planning familial un instrument de la propagande en matière de "santé sexuelle", qui deviendra ensuite de l’ "éducation sexuelle" et s’adressera également aux enfants.
On parle déjà d’ "identité de genre", et surtout on préconise "une meilleure compréhension" et même une "attitude positive" envers les "pratiques sexuelles", sans préciser que la pédophilie n’est pas incluse. On recommande une "neutralité" des professionnels de santé, ce qui est très bien pour les homos, trans et autres, mais pose un énorme problème dans le cas des pédophiles.
Par ailleurs, les auteurs de ce document critiquent par avance les réactions des adultes (parents et professionnels) face à la "sexualité infantile" et notamment à la masturbation des enfants (p.17). Il faut dire que les années 70 étaient une grande période de revendications pour les pédophiles, qui croyaient à leur prochaine "libération sexuelle", celle-ci passant évidemment par la "libération sexuelle" des enfants.
Enfin, de manière à préparer les mentalités à cette "éducation sexuelle", le rapport préconise de constituer une base documentaire sur la sexualité, de former les professionnels à cette question en particulier, mais aussi de développer un système d’éducation sexuelle avec des manuels, des formations, de la vulgarisation, et qui établit la santé sexuelle comme une partie intégrante de la santé globale. Avec les mêmes "droits" qui s'y rattachent.
Parmi les participants à la conférence qui a préparé ce rapport, on retrouve l’amie Calderone, qui a toujours considéré que les enfants avaient une sexualité, incomprise de leurs parents.
Années 90 : l’éducation sexuelle complète
En 1994 la santé sexuelle est comprise comme une part de la "santé reproductive", très à la mode à l’époque, dans le programme d’Action de la Conférence Internationale sur la Population et le Développement[5].
Cette même année, SIECUS commence à diffuser ses guides pour une éducation sexuelle complète, qui connaissait sa 3e édition en 2004. Petit à petit, cette notion d’ "éducation sexuelle complète" va se répandre dans les milieux professionnels, et elle arrive désormais en Europe, notamment avec les "Standards pour l’éducation sexuelle" de l’OMS. Ce guide de SIECUS compile des recommandations pour éduquer sexuellement les enfants depuis la crèche jusqu’au bac. Comme avec les Standards qui viendront des années plus tard, ces recommandations sont présentées par tranches d’âges des enfants, et disent ce qu’on doit faire comprendre aux enfants autour de différentes thématiques liées à la sexualité.
Au fil des années 90, des conférences de l’ONU parlent de santé sexuelle. D’abord on parle de celle des femmes et des filles, puis des pays en développement, puis la santé sexuelle et reproductive est intégrée dans l’agenda des droits humains, "bougeant les droits sexuels du domaine public vers le domaine privé" (conférence de Pékin en 1995). C’est-à-dire que l’ONU va s’immiscer dans la vie privée des humains, via des politiques publiques qui prennent en charge les questions de "santé sexuelle", d’ "éducation sexuelle" et de "droits sexuels".
Au cours des années 2000, l’IPPF (la fédération internationale du planning familial) a pris le relais, en créant du matériel "pédagogique" à destination des ONG, pour qu’elles mettent en œuvre les actions favorables à la vision ONUsienne des "droits sexuels" & Co. On a par exemple "Sexuality education in Europe. A reference guide to policies and practices" en 2006, qui s’adresse directement aux gouvernements européens, pour qu’ils "développent de meilleures politiques et pratiques liées à l’éducation sexuelle".
2002 : "définir la santé sexuelle".
L’OMS publie un "document" qui est en fait un guide de recommandations à destination des Etats, au sujet de la "santé sexuelle" qu’on redéfinit. Ce document publié à Genève, l’antre du patriarcat, fait suite à une "consultation technique" qui s’est déroulée du 28 au 31 janvier 2002, organisée conjointement par l’OMS et l’Association Mondiale de Sexologie (World Association of Sexology WAS, devenue depuis l’Association mondiale pour la Santé Sexuelle, ce qui fait moins peur).
Le tout, grâce au financement de la fondation Ford, qu’on retrouve décidément souvent derrière le lobbying en faveur des "droits sexuels" et qui bénéficie d’un statut consultatif au conseil économique et social de l’ONU depuis 2014.
On retrouve aussi parmi les participants à cette conférence plusieurs représentants de la fondation Ford, dont un médecin spécialisé dans la santé sexuelle, le genre etc. Il y a aussi plusieurs membres de l’IPPF ou de SIECUS, des "sexologues" souvent rattachés à l’Association mondiale de sexologie, quelques universitaires.
Le but de la conférence de 2002, qui a réuni une soixantaine d’ "experts", était triple :
- Discuter (formaliser en réalité) des concepts clés, notamment la notion de "santé sexuelle" qui a été redéfinie ;
- Examiner les barrières spécifiques à la promotion de la santé sexuelle pour les adultes et les adolescents (notez qu’on ne parlait donc pas encore officiellement de la santé sexuelle des enfants).
- Proposer des stratégies appropriées et effectives pour promouvoir la santé sexuelle.
Ce « document » est assez hypocrite car il prétexte la "santé sexuelle" pour faire passer l’ "éducation sexuelle". Il répond, nous dit-on, à une demande la pan American Health Organization (PAHO), de l’OMS Europe et l’Asso mondiale de Sexologie, qui voulaient mettre à jour le rapport de 1975. L’OMS a suivi en organisant des groupes de travail qui ont permis de pondre ledit "document".
Les chevilles ouvrières de cette « consultation technique » sont :
- Esther Corona de WAS, une Mexicaine qui est aussi consultante en « santé sexuelle » pour l’OMS, l’UNESCO et autres machins globalistes. Elle est très active pour instaurer l’éducation sexuelle en Amérique Latine. Selon elle, les principaux leaders de cette thématique sont l’UNESCO, le Population Council, l’IPPF (planning familial international), WAS, qui ont préparé des recommandations pouvant être adoptées au niveau international et local, comme la formation des enseignants à cette historie d’ "éducation sexuelle". Maintenant que la notion d’éducation sexuelle est bien rentrée dans les mentalités, elle attaque sur la théorie du genre, version Kinsey bien-sûr.
- Eli Coleman : c’est un autre sexologue, US, fondateur de l’International journal of Sexual Health et de l’International journal of Transgenderism. Il a aussi présidé la Society for the Scientific Study of Sexuality, la World Professional Association for Transgender Health (anciennement la Harry Benjamin International Gender Dysphoria Association), la World Association for Sexual Health (WAS), et la International Academy of Sex Research. En 2013, il est devenu président de la Society for Sex Therapy and Research1.
- Rafael Mazin, président de la Pan-American Health Organization , en pointe dans la propagande sur l’éducation sexuelle, et consultant à l’OMS.
La conclusion cette conférence de 2002, et du document qui va avec, attaque sur tous les fronts de la propagande, afin de rendre évidente cette notion obscure de "droits sexuels" :
- Développer et étendre un programme de recherche élargi sur la sexualité et convoquer une réunion pour définir les priorités de recherche.
- Élaborer des documents d'orientation normatifs sur la sexualité, la santé sexuelle le développement sexuel pour les pays en voie de développement.
- Élaborer des programmes et des outils de formation sur la sexualité humaine pour les médecins et les agents de santé.
- Évaluer les modèles de prestation de services et les programmes pour établir les meilleures pratiques liées à la santé sexuelle.
- Plaider pour la collecte de données relatives à la sexualité et à la santé sexuelle dans tous les pays.
- Évaluer les méthodes de recherche pour étudier la sexualité et les comportements sexuels et élaborer un document d'orientation sur les méthodes de recherche.
- Développer la capacité de recherche dans le comportement sexuel et la sexualité dans les pays en développement.
- Élaborer un document d'orientation complet sur la santé sexuelle pour aider les pays à élaborer une stratégie nationale et des politiques publiques en matière de santé sexuelle.
2006 : le Plan stratégique de l'IPPF pour une "éducation sexuelle complète"
En 2006, l’IPPF sort son "plan stratégique pour une éducation sexuelle complète". D’entrée de jeu, on nous explique que "L’IPPF reconnait le droit de tous les jeunes à profiter de la sexualité et à exprimer leur sexualité de la manière qu’ils ont choisie". Très bien, mais à partir de quel âge est-on un "jeune" (young people) ? Est-ce qu’à 12 ans, 10 ans, on est un "jeune" ?
L’IPPF se donne donc pour mission de "promouvoir, protéger et faire respecter" les droits sexuels et reproductifs de "tous les jeunes". Et de préciser que "Cela inclut le droit à l’information et à l’éducation à la sexualité", y compris pour les enfants de tous âges en fonction de leurs "capacités évolutives", ce concept flou et génial qui permet de considérer des mineurs comme des personnes libres d’avoir un consentement éclairé. Ce qui n’est évidemment pas le cas, mais rejoint toutà= à fait la propagande pédophile.
Le concept d’ "éducation sexuelle complète", quant à lui, touche aussi bien les aspects biologiques que sociétaux, émotionnels, et concerne toutes les tranches d’âge. Cette éducation complète comprend sept volets :
- Le genre
- La santé sexuelle et reproductive et le SIDA
- Les droits sexuels et la « citoyenneté sexuelle »
- Le plaisir
- La violence
- La diversité
- Les relations
Jamais l’IPPF ne rappelle que les mineurs doivent être protégés de la sexualité adulte et avec les adultes.
Dans ce document, l’IPPF donne aux ONG un mode d’emploi pour mettre sur la place publique ces questions d’éducation sexuelle : en développant des partenariats axés sur l’ « éducation sexuelle complète » avec des professionnels de tous horizons, impliquer les jeunes dans le processus, axer la communication sur les besoins des jeunes en matière de sexualité, créer un plan afin de surmonter les obstacles dans la mise en œuvre de l’éducation sexuelle complète, intégrer les questions du SIDA et des MST dans le concept…
L’IPPF recommande encore, par exemple :
- D’"établir un environnement d'apprentissage sécurisé dans lequel les discussions ouvertes et sans jugement sur le sexe, la sexualité et la santé sexuelle peut avoir lieu". On comprend donc qu’il ne sera pas question de remettre en cause le concept d’éducation sexuelle complète ni ses corollaires comme celui d’enfants aux "capacités évolutives".
- " Élaborer un "accord de groupe" avant de commencer tout travail pour s'assurer des limites de discussion qui protègent les jeunes et les éducateurs". C’est-à-dire qu’avant même les débats, un consensus est déjà défini par les spécialistes qui sont dans le coup, pour cadrer ce qui est acceptable ou pas. D’où, probablement, l’absence totale de la notion de mineur dans ces textes et la non exclusion de la pédophilie des pratiques acceptables.
2011 : "Le guide des jeunes sur les droits sexuels"
L’IPPF sort en plusieurs langues une plaquette à destination des "jeunes", intitulée "Exprime-toi ! Le guide des jeunes sur les droits sexuels : une déclaration de l’IPPF". Ce guide explique donc aux « jeunes », dont on ne nous précise jamais l’âge minimal (12 ans, 10 ans) en quoi consiste ce concept de droits sexuels. On y retrouve le jargon habituel, mais un passage est assez interpellant : c’est les 3 paragraphes de la page 9 qui répondent à la question « qu’est-ce qui rend les droits sexuels des jeunes différents de ceux des adultes ? ». Il est assez édifiant (j’ai mis en gras quelques passages) :
"Les droits sexuels des jeunes sont différents et plus complexes que les droits sexuels des adultes. Une raison pour ceci est le reniement généralisé de la sexualité des jeunes. Il existe une idée fausse selon laquelle les jeunes ne sont pas, ou ne devraient pas être des êtres sexuels, avec l’exception de certains groupes, tels que les jeunes mariés ou les jeunes au-delà d’un certain âge. La sexualité est un aspect fondamental de l’être humain durant toutes les phases de la vie de chaque individu.
Une autre raison pour laquelle les droits sexuels des jeunes sont particulièrement complexes est due au besoin, d’un coté de protéger les jeunes et de l’autre, de leur offrir des opportunités de développement.
Il existe une supposition commune que les jeunes sont incapables de décider par eux-mêmes, donnant donc aux parents ou aux autres adultes une autorité complète sur les décisions liées à leur sexualité. La résistance à reconnaitre la sexualité des jeunes ainsi que leurs capacités de prendre des décisions faites que la lutte pour les droits sexuels des jeunes est encore plus difficile.
Un des défis les plus fondamentaux dans le travail ayant une perspective basée sur les droits est de réussir à trouver un équilibre entre les droits des jeunes à la protection et leur droit à la participation et à la prise de responsabilités pour exercer leurs droits.
Comme chaque jeune se développe à son propre rythme, il n’existe pas d’âge standard dans lequel certains droits sexuels et protections gagnent ou perdent de l’importance. Par conséquent, le fait de trouver un équilibre entre la protection et l’autonomie devrait être basé sur le développement des capacités individuelles de chaque jeune."
Si on comprend bien ce texte, les jeunes de tous âges, donc les enfants compris, ont des capacités évolutives différentes d’un individu à l’autre. Il est donc arbitraire de fixer une limite d’âge à l’exercice des droits sexuels, et jauger en fonction des "capacités individuelles". On revient donc sur la notion de mineur, qui n’a pas le libre consentement et ne peut donc consentir à des rapports sexuels, qui plus est avec un adulte.
Un peu plus loin dans le document, on tombe sur une explication d’une des notions-clés contenues dans les droits sexuels : le jeune, ou enfant aux "capacités évolutives". Où l’on comprend clairement que selon les rédacteurs de ce guide, mêmes des "enfants de bas âge" sont aptes à prendre des décisions.
On fait aussi beaucoup l’amalgame entre "jeune" et "enfant", passant d’un concept à l’autre au gré des besoins. Tout cela pour finalement nous expliquer qu’il faut arrêter de protéger les enfants/jeunes en fonction de leur âge, mais le faire en fonction de leurs "capacités évolutives". Si on suit ce raisonnement, un enfant déjà sexualisé car déjà violé, même s’il n’a que 6 ou 7 ans, est considéré comme un être sexuel capable de décider d’avoir des relations sexuelles, y compris avec des adultes.
Et on comprend aussi que personne n’aura le droit de s’opposer à ces choix sexuels, même pas les parents. Précisions aussi que dans sa déclaration des droits sexuels, l’IPPF préconise de laisser les jeunes signer des contrats, comme des contrats de mariage, peut-on supposer, ou des contrats avec un chirurgien esthétique pour changer de sexe.
Voici ce texte, j’ai mis en gars des passages inquiétants, je propose un petit exercice de lecture entre les lignes afin de mieux comprendre les objectifs poursuivis par ce machin :
"L’enfance et la jeunesse sont des périodes de transition et de changement. Le concept de l’enfance peut varier d’un pays à l’autre, mais en général les enfants de bas âge ont plus besoin de protection et d’assistance de la part des adultes pour prendre des décisions que les jeunes plus âgés. En grandissant, les capacités émotionnelles, intellectuelles, physiques et mentales des enfants se développent".
Explication : si on nous dit que les enfants en bas âge ont "en général" plus besoin de protection et d’assistance pour prendre des décisions, c’est qu’on considère :
- Que les enfants en bas âge peuvent prendre des décisions
- Que les enfants en bas âge n’ont pas toujours besoins de protection et d’assistance pour prendre des décisions, y compris en matière de sexualité puisque c’est bien de cela dont il est question.
"Parallèlement, les jeunes peuvent encore avoir des expériences et des informations limitées, surtout celles liées à la sexualité. ‘ Le développement des capacités ‘ signifie que chaque jeune développe graduellement la capacité d’assumer complètement ses actes et décisions. Ceci a lieu à un rythme différent pour chaque jeune. A un âge déterminé, certains jeunes seront plus mûrs et expérimentés que d’autres. Les iniquités sociales influencent également sur les capacités des jeunes. Ceci signifie donc que le fait de trouver un bon équilibre entre la protection et l’autonomie est un processus complexe qui demande à ce qu’on tienne compte de la capacité individuelle de chaque jeune, au lieu de se focaliser sur son âge".
Explication : L’IPPF considère que les jeunes/enfants peuvent avoir des expériences "liées à la sexualité". Que les jeunes/enfants évoluant à des rythmes différents les uns des autres, certains sont aptes à "assumer complètement leurs actes et décisions" dans le domaine de la sexualité. Enfin, l’IPPF nous explique qu’il faut donc moins protéger et rendre davantage autonomes les jeunes avant même leur majorité sexuelle, concept qui, si on lit bien le délire de l’IPPF, est obsolète.
"Les adultes, parents, tuteurs et l’Etat ont la responsabilité d’assurer que les droits des jeunes soient respectés à tout âge. Ceci implique l’assurance d’un environnement propice pour le développement, qui garantit simultanément une protection contre le danger lorsque les jeunes manquent de connaissances, capacités ou d’expérience pour se protéger entièrement. En toute situation, le développement des capacités des jeunes pour exercer leurs droits de manière autonome doivent être reconnues".
Explication : ce passage est très dangereux. En effet, il soulève l’obligation pour les parents et tout autre adulte de reconnaitre le "développement des capacités" du mineur dans la prise de décision en matière sexuelle. Autrement dit : votre nièce de 12 ans vous dit qu’elle est tombée amoureuse du voisin qui en a 25 ou plus, et vous devez l’encourager dans sa prise de décision puisque la freiner est interdit et que vous devez la laisser "exprimer sa sexualité".
Rappelons encore une fois que si les mineurs ne votent pas, ne signent pas de contrats et ne peuvent pas s’engager dans l’armée, c’est parce qu’ils n’ont pas de consentement éclairé, parce qu’en tant que mineurs ils ne peuvent pas prendre du recul par rapport aux situations comme ils le font des adultes. L’IPPF anéantit totalement cette notion de protection des mineurs.
« Nous devons adopter une approche progressive des droits sexuels des jeunes. Ils devraient simultanément être habilités à exercer leurs droits par eux-mêmes, tout en étant protégés et guidés avec leur meilleur intérêt à l’esprit. Les programmes et services pour les jeunes doivent également respecter leur diversité, par exemple ethnique, culturelle et les différences sexuelles.
Le concept de développement des capacités des jeunes est issu de la Convention relative aux droits de l’enfant (ONU). Cet instrument met l’accent sur les droits des enfants et des adolescents, et également appelle les dirigeants et les sociétés à valoriser les opinions et les décisions des jeunes en vue de leur développement des capacités ».
Explication : les jeunes ont des droits sexuels dès leur naissance, et ceux-ci sont évolutifs en fonction des capacités de chacun à prendre des décisions. Les adultes doivent favoriser l’autonomie dans la prise de décision du jeune en matière sexuelle.
L’IPPF s’appuie sur la Convention des droits de l’enfant de l’ONU [6], qui n’a pas grand chose à voir avec la sexualité, pour affirmer des principes tels que le "développement des capacités" ou encore celui d' "enfant aux capacités évolutives", évoqués par la Convention.
La Sexual Rights Initiative
Cette coalition d' "organisations" favorables à l’ "éducation sexuelle" mène elle aussi un important lobbying auprès des institutions internationales. Elle est notamment financée par la Fondation Ford. Son but est d’intégrer les "droits sexuels et reproductifs" dans les droits humains, en agissant principalement sur le Comité des Droits de l’Homme de l’ONU, qui fait ensuite des recommandations aux Etats.
"Pour assurer la responsabilité et la mise en œuvre par les États membres, Ford soutient également les organisations de la société civile et leurs partenaires pour invoquer stratégiquement les normes et les arguments en matière de droits de l'homme dans leurs plaidoyers nationaux et internationaux", explique une chercheuse de la fondation Ford. En gros, on cherche à faire passer des lois répondant aux objectifs de l’éducation sexuelle et des droits sexuels, via la pression d’associations censées représenter la "société civile".
En Amérique Latine, le lobbying est particulièrement intensif, et vise le monde académique, le monde de la recherche ainsi que les juristes : "Les bénéficiaires (des dons de la fondation Ford) collaborent également pour organiser des rencontres régionales biennales en Amérique latine afin d'éduquer les juges, les huissiers de justice, les associations d’avocats, les universitaires et les militants en matière de santé et de droits reproductifs dans les forums internationaux, régionaux et nationaux et de renforcer les approches sur la façon d’appliquer ces avancées dans leurs contextes respectifs. De même, Ford finance un réseau de militants juridiques et de chercheurs en Amérique latine pour promouvoir l'engagement des professeurs de droit latino-américains et les juges dans l'avancement des droits sexuels et reproductifs et l'intégration des normes relatives aux droits de l'homme dans leurs pratiques juridiques et pédagogiques.
Les droits sexuels et reproductifs en tant que droits de l'homme sont également poussés dans le cadre de l’agenda du développement global".
On peut citer des dizaines et des dizaines d'ONG qui travaillent à répandre l'éducation sexuelle à travers le monde, comme en d'autres temps certains ont joué les missionnaires. Tous les continents sont concernés, et rvasemblablement d'Europe, où on a diffusé en premier ces théories de "droits sexuels" et d' "éducation sexuelle" a servi de laboratoire. Maintenant que l'argumentaire est rôdé et que les structures qui répandent cela passent pour légitimes, le rouleau compresseur peut passer dans les pays moins riches.
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En filigrane des principaux textes sur le sujet, on comprend bien que l'enfant devient un être sexuel, avec des droits sexuels qu'il convient d'épanouir. Par ailleurs, introduire dès l'école primaire les questionnements sur le genre peut poser question, surtout quand on sait que la déclaration des droits sexuels de l'IPPF prévoit que les enfants aux capacités évolutives puissent signer des contrats.
Si on n'y prend pas garde dès à présent, nous allons faire face à une légalisation rampante de la pédophilie, mais pas seulement. le corollaire de cette sexualisation très précoce des enfants sera de les mettre en insécurité davantage par rapport à la sexualité en général, et la leur en particulier. L' "éducation sexuelle" telle qu'elle est conçue aujourd'hui dans les instances internationales et etlle qu'elle sera bientôt transmise en france, répond à la vieille demande des lobbys pédophiles, à savoir considérer les enfants comme des êtres sexuels avec des fantasmes d'ordre sexuel, plaqués sur la sexualité adulte.
[1] La commission Walsh.
[2] Créé en 1921, le National Research Council a été financé par le bureau de l’hygiène sociale, puis c’est la fondation Rockefeller qui a pris le relais à partir de 1933. Bien que les administrateurs se soient toujours montrés conservateurs dans leurs décisions, ils ont financé les « recherches » de Kinsey avec l’argent de la fondation Rockefeller : 1.600 $ en 1941, et 40.000 $ par an à partir de 1947. Le National Research Council servait de devanture pour le financement d’autres structures du même genre, comme l’Institute for Sex Research.
[3] Devant la commission Reece, le représentant de la fondation Rockefeller a expliqué qu’en 1931, l’idée est venue de s’intéresser de près à « la physiologie reproductive et au comportement ». On est alors à quelques années seulement de l’arrivée d’Hitler et de son délire eugéniste.
[4] Notamment, l’un des buts de la conférence de l’OMS qui a précédé la rédaction du rapport était de faire des recommandations sur « le rôle de la sexologie dans les programmes de santé, et particulièrement dans les activités de planification familiale. Il était également question de faire des recommandations sur « le contenu et la méthodologie d’enseignement de la sexualité humaine aux professions de santé », de lancer et organiser des programmes d’enseignement sur la sexualité humaine… A ce stade, on ne parle toujours pas de sexualité des enfants aux « capacités évolutives », mais aucune barrière n’empêche qu’on parle de cela ensuite.
[5] International Conference on Population and Development (ICPD)
[6] Dans la convention des droits de l’enfant, on affirme le concept de « développement des capacités » des enfants, et on oblige les parents et tous les adultes à leur donner « l'orientation et les conseils appropriés à l'exercice des droits » des enfants. Parmi ces droits, « la liberté de pensée, de conscience et de religion » (comme si un enfant de 5 ans pouvait choisir une religion de manière éclairée, et pouvait penser de manière autonome à avoir des relations sexuelles avec des adultes ou même d’autres enfants), mais jamais la convention ne parle de « droits sexuels ».
Cuando la educación sexual y los derechos sexuales saltan a la protección de menores
Hoy, intentaremos entender lo que se esconde detrás de la “declaración de los derechos sexuales” promovido por el plan familiar internacional (IPPF), pero también por la asociación mundial de la salud sexual que reagrupa el medio de la sexología y escribió su propia declaración, por la institución Kinsey, y finalmente por la Organización Mundial de la Salud. Porque esta declaración garantiza sobretodo el “derecho” de los menores de tener relaciones sexuales con pedófilos.
*********** Pero: las declaraciones de los derechos sexuales del IPPF en francés, ingles y espanol no son exactamente las mismas:
==> Declaracion en espanol.
==> Declaracion en francés.
En este articulo, se trata de la versión en francés *****************************************
Leyendo esta “declaración de los derechos sexuales” relativamente breve, la primera cosa que viene es un gran dolor de cabeza. Las formulaciones son torcidas, borrosas, y como más se lean algunas frases, menos se entienden. Al final esa “declaración de los derechos sexuales” de la IFFP garantiza sobretodo los derechos de los pedófilos. De todos modos, al hilo de las 36 páginas nunca se nos dice que los niños, menores, deben estar protegidos de la sexualidad adulta. Nunca tampoco se precisa que los “derechos sexuales” no son aplicables a los pedófilos.
Ídem que en varios textos de la misma categoria, que abogan la educación sexual desde la edad más joven reclamando la puesta en marcha de los “derechos sexuales” ,evocando la noción del ”consentimiento” de los “jóvenes”, pero olvidan hablar de la protección de menores y de la prevención de los abusos sexuales de los menores. En cuánto a los pedófilos, nunca se precisa si los derechos sexuales reclamados se los están aplicando.
Si se trata de un descuido, es recurrente y necesita ser colmado rápidamente. Si no se trata de un descuido, hay que entender cual es el objetivo de esta propaganda. En los dos casos, estamos frente a un trastorno, con una percepción cada vez mas sexualizada de los niños, incluyendo muy joven. y que corresponde perfectamente a la retórica desarrollada por las asociaciones de pedófilos.
La discreta y constante propaganda de los pedófilos
Ya hemos evocado aquí el delirio de la ONU para promover la masturbación en la escuela, se habló de la justicia completamente ineficaz, y de los aficionados del SAP, este síndrome de alienación parental el cual sirve de chaleco antibalas a los pedófilos que son enviados delante del os tribunales, de la movilización mediática para defender a Polanski...
Todo esto y más contribuye a esta propaganda llevada discretamente por lobbys pro pedófilos cuyo objetivo final es que se considera que los niños, incluido muy jóvenes, estén aptos a tener relaciones sexuales con adultos.
Hoy en día, las asociaciones de pedófilos están suspendidos del poste por la opinión pública, entonces éste lobby incorpora otros grupos respetables, como algunas asociaciones LGTB o asociaciones de masculinistas,. La propaganda de pedofilia pasa igualmente, como ya lo hemos visto, bajo la máscara de una pseudo investigación científica : los famosos "síndrome de falsa memoria" de Underwager, y el "síndrome de alienación parental" de Gardner, ilustran ésto perfectamente.
Para lograrlo, nada mejor que a través de la "educación sexual", pero en una versión bastante cerca del delirio de los años 70, volviendo muy de moda, es decir “sexualizando” a los niños, prestándoles comportamiento sexual alineados con los de los adultos. El ministerio de la salud ha dado el tono desde 2009 con una web titulada onsexprime.fr, destinada a responder a todas las preguntas que los jóvenes de más de 12 años se preguntan, e incluso a los que no se lo preguntan tampoco.
Se encuentra en esta web cosas bastante increíbles, principalmente en los comentarios del moderador de esta web. Aunque algunas limites proceden recordar, las respuestas normalizan practicas como el incesto entre primos o la visualización de pornografía (tomo nota de que el sitio está dirigido a adolescentes de 12 años) y tolerar las relaciones sexuales entre menores de edad que no hayan alcanzado la edad de consentimiento. La web fue completamente revisada en 2012, convirtiéndose claramente más agresiva en la forma de abordar las cosas.
En un libro que acaba de ser publicado en Amazon, "La impostura de los" derechos sexuales o la ley de la pedofilia al servicio del totalitarismo mundial", Ariane Bilheran analiza muy bien la retórica perversa de ésta “educación sexual” que se encuentra el la web del gobierno, pero también en la declaración de los derechos sexuales de la IPPF, sobre la cual volveremos.
El lobbying de la OMS para una “educación sexual” orientada
Ya había evocado un documento publicado en francés en 2013, publicado por la Oficina Regional de Europa de la Organización Mundial de la salud, emanación de la ONU que se llama modestamente "Normas para la educación sexual en Europa – una referencia para los responsables políticos, las autoridades competentes en la educación y de la salud y de los especialistas”
Esa cosa és edificante, recoge ampliamente los derechos sexuales de la IPPF, pero aún va más allá haciendo recomendaciones para que los estados miembros pongan en marcha cursos de educación sexuales, lo que se explicará a niños entre la edad de 0 hasta 4 años de que tienen el derecho a rechazar si la experiencia o el resentido no les agrada, y que también les enseñará entre la edad de 4 hasta los 6 años “ el placer y la satisfacción relacionada con el tacto de su propio cuerpo, la masturbación infantil precoz, el descubrimiento de su propio cuerpo y sus genitales "(p.42).
No voy a extenderme sobre este texto, pero aconsejo a todos los padres de leerlo porque se trata de los programas escolares que serán infligidos por la educación nacional dentro de 5 y 10 años gran máximo, ya que los redactores de este texto tienen como objetivo el que se emplee en las políticas públicas.
Incluso se está formando en las universidades los primeros profesionales “en salud sexual y derechos humanos” ya que ambos conceptos se entrelazan cada vez más. Se trata de una buena cosa en lo que concierne la homosexualidad, el hecho de concebir “los derechos sexuales” inalienable resulta ser problemático cuando los pedófilos no són excluidos del ejercicio de una parte de sus "derechos sexuales",al saber agredir menores.
La iniciativa de Normas para la educación sexual fué lanzada en 2008 por la oficina regional de la OMS para Europa y desarrollada por el centro federal alemán por la educación a la salud (Bundeszentrale für gesundheitliche Aufklärung BZgA), un centro de la OMS de salud sexual y reproductiva. Pero en ésa misma época, otras iniciativas como la declaración de los derechos sexuales de la IPPF, o la de la asociación mundial de sexología, se habían también puesto en marcha. Y hoy en día, todos estos textos están a punto de concretizarse.
La “declaración de los derechos sexuales” de la IPPF
En 2008, el plan familiar de Europa escribió su declaración de los derechos sexuales, desarrollado por una comisión de “voluntarios y miembros del personal de seis regiones de la IPPF, como expertos reconocidos internacionalmente en salud y derechos sexuales y reproductivos”. Así que tenemos un grupo de especialistas, todos ellos del dominio de los “derechos sexuales”. No hay psiquiatra infantil o victimólogos al parecer.
Este texto que se encuentra después de algunas investigaciones en su versión alargada, és perfectamente indigesta. Se presenta como una serie de recomendaciones que los gobiernos supuestamente ponen en marcha, destinada a garantizar los “derechos sexuales” y “reproductivos” (contracepción y el aborto) de todas “las personas” sin discriminación según la edad , de las orientaciones sexuales etc...
Curiosamente se habla de “jóvenes” , de “personas” sin nunca recordar que por debajo de la edad de la mayoría sexual, un menor( término nunca empleado en el documento) sin el consentimiento en asuntos sexuales. Esta noción de “joven” es muy borrosa y cuando se utiliza el término "niño" es casi sistemáticamente para recordar que hay “capacidades evolutivas” y que entonces puede consentir al acto sexual, incluso con adultos.
Un ejemplo de la utilización de ésta expresión de “capacidades evolutivas de los niños”, que deja la puerta abierta a las derivas evidentes :
==>Principio 2 : “ Los derechos y protecciones garantizados a las personas menores de dieciocho años difieren de los derechos de los adultos y deben tener en cuenta las capacidades evolutivas de cada niño a ejercer sus derechos por su propia cuenta”
El hecho de que los niños tienen la "capacidad" evolutiva puede también permitir, si leemos bien, de firmar contratos : "cada persona debe poder beneficiar de la capacidad legal y de las mismas oportunidades de ejercer la dicha capacidad, y derechos legales de firmar contratos y administrar bienes y debe ser tratada con igualdad en todas las etapas del proceso delante un tribunal teniendo plenamente en cuenta las capacidades evolutivas del niño " precisa el articulo 1. Se habla de un contrato matrimonial? De un contrato de negocios?
Y cuando se lee la frase siguiente, se pretende que el niño sea una persona? "Toda persona tiene el derecho a la autonomía sexual y debe poder tomar decisiones concerniente su sexualidad, su comportamiento y su intimidad sexual sin interferencia arbitraria". Los niños son personas? (Sobretodo que la declaración de los derechos sexuales prohíbe “ la discriminación por la edad”)? Y los pedófilos, son “personas”?
Aquí no se va hacer una análisis de texto exhaustiva ya que todo está en revisión. Al final, nunca se precisa que “los derechos sexuales” no se aplican a los pedófilos, ni que los menores deben ser protegidos de la sexualidad adulta por qué no tienen el consentimiento. Se recuerda que la noción de menor fué creada en derecho al final del siglo XIX, con el fin de proteger a los niños de la violencia familiar o de la sociedad adulta.
Se considera entonces que los menores están sobretodo condicionados por su entorno, que no tienen el discernimiento suficiente para ser juzgados como adultos, para unirse al ejército, para votar, para firmar contratos, justamente. Estas leyes fueron un gran paso adelante en términos de protección de los menores, y gente como Sarkoléon, haciéndolos penalmente responsables cada vez más jóvenes, vuelven a lo adquirido.
Cierto que los niños tienen “capacidades evolutivas” menos mal, sinó no hablarian nunca, no caminarian nunca, quedarian en estado de bebes. Pero a partir de qué edad un niño/ joven está suficientemente armado para no ser una victima de la manipulación de un adulto?, Más aún de un depredador sexual? Obviamente ésto nunca está especificado en este texto ,lo que puede, a fuerza, preguntarse si los pedófilos no han participado en su redacción.
Lo que es preocupante en esta "declaración", es que satisface exactamente a la demanda de organizaciones pro pedófilo, tales como la moribunda NAMBLA (North America Man Boy Love Association), quien dice militar para los derechos de los niños a decidir cuando y con quién desarrollar una sexualidad.
No estaremos sorprendidos de constatar que entre los apoyos financieros de la IPFF, se encuentra diversas fundaciones como la fundación Bill&Melinda Gates (3,6 millones de dolares en 2015), la fundación Ford (405.000$), o también la fundación MacArthur (350.000$), además de unos cuantos millones de la ONU, de Europa y otros países principalmente europeos.
Me refiero también para esta declaración a la análisis de Ariane Bilheran, que constata que los “derechos sexuales” en cuestión no están claramente definidos que muchos borrones rodean los conceptos mencionados en este texto, y que nada evoca la protección de los menores en comparación con la sexualidad adulta.
La palabra “disfrutar” esta repetida 27 veces en esta declaración contra 0 por las palabras “menores” y “pedófilo” o “pedocriminal” revela por ejemplo y encuentro que ésto resume bastante bien el problema principal resultante del texto.
Otro problema (pero hay algunos), señalado por Ariane Bilheran és el contenido en el” principio 1” de la declaración, a saber que “La sexualidad es un aspecto de la vida humana y social que hace intervenir el cuerpo, el espíritu, la política, la salud y la sociedad”. Habéis leído bien : la sexualidad entonces és una cosa pública, incluso política. Y según este texto la “sexualidad” de los niños/jóvenes/personas y también una cosa tiene que ser gestionada por la política.
>>> A. Bilheran - La impostura de los derechos sexuales (ES) - 30 03 2017, Sobre el libro "La impostura de los derechos sexuales, o la ley del pedofilo al servicio del totalitarismo mundial":
>>> Ariane Bilheran, Dr en psicopatología y autor del libro "La impostura de los derechos sexuales" (Amazon).
Estudio sobre la educación sexual de los niños, según los "Estandares de educación sexual para Europa" :
http://www.madridsalud.es/publicacion...
A. Bilheran - Estandares de educación sexual para Europa - 26 April 2017
La educación sexual o como sexualizar a los niños
Nótese también que uno de los ex presidentes de la IPPF, la doctora Mary Calderone, dejó la IPPF para fundar en 1964 SIECUS (Sex Information and Education Council of the U.S, Inc.), una organización basada en el Deleware, un paraíso fiscal.
SIECUS lanzó una campaña de recogida de donación para abrir Parent Learning Centers, con el fin de enseñar a los padres su sexualidad y la de sus hijos. Según ella, los niños son “seres sexuales” desde el nacimiento, mientras que sus padres reflejan "una sociedad sexófoga ". Para Calderone[1], sin embargo, reciben a lo largo de su infancia una “educación sexual”. Además, la “educación sexual” era su gran combate. Ya en los años 60 cuando se unió a la Asociación de Planificación Familiar, utilizando como puerta de entrada la contracepción y la educación para la reproducción. SIECUS tenía también como objetivo de formar a los profesores, médicos y otros profesionales en el hecho que la sexualidad hacía parte integrante de la educación.
Por otra parte, el fundador y dueño de Playboy, Hugh Hefner, consagró la primera donación de su "Play Boy Foundation" a la creación de un “oficina de investigación” a la SIECUS, al final de los años 60. La epidemia de SIDA, a continuación permitió el desarrollo de una educación sexual mas anticipada para los jóvenes, desde el instituto a veces.
Calderone ha viajado decenas de miles de kilómetros a través del mundo para presentar sus puntos de vista sobre la educación sexual, principalmente sobre la pornografía(” la pornografía no crea crimen. Su ausencia, si" declaró de un tono perentorio. Se podría responder a esta aserción basada en suposiciones debatibles sobre páginas y páginas, pero no importa).
La institución Kinsey
Una gran parte de los delirios que se acaba de evocar, no todos, También se realizan por la Institución Kinsey, fundada en 1947 en la universidad Indiana para llevar a cabo "estudios" sobre el sexo, el "género" y la reproducción. No vamos a volver sobre quien era Alfred Kinsey, que organizaba violaciones sobre niños de todas las edades, y eso de manera repetitiva, para determinar cuando tienen un orgasmo. Como eso no llegaba, Kinsey pedía multiplicar las violaciones. Kinsey quería ser el especialista de la “sexualidad infantil” y consideraba la pedófilia como una simple “orientación sexual” que por lo tanto debía ser respetada.
Durante sus “investigación” sobre la sexualidad, Kinsey elegía como testigo prostitutas y ex condenados ( entre los cuales violadores y/o pedófilos) de modo que sus muestras fueron rápidamente cuestionadas, y la objetividad de sus investigaciones con este tipo era sólo un loco, pero todavía és la autoridad mundial de la sexualidad. También hay que mencionar que si Kinsey tuvo tanto éxito, és porque tenía el apoyo de lobbys como la Fundación Rockefeller.
Basta decir que no hay nada sorprendente en el ambiente lamentable de esa época con respecto a la sexualidad: tampoco a los lobbys pedófilos como le Paedophile Information Exchange inglés, el cual militó por el consentimiento sexual a 3 o 4 años. Hacen regularmente referencia a los delirios de Kinsey y sus amigos.
En 2014, el Consejo Económico y Social de la ONU, reconoció la institución Kinsey como organismo consultivo. Es decir que participa en los debates del consejo económico y social "ECOSOC" con los sujetos que les interesan. Según algunos, este reconocimiento estaría basado sobre las declaraciones engañosas de los representantes de la institución Kinsey [2]. El IPPF, la planificación familiar internacional por su parte fue reconocido en 1973 como un organismo consultivo.
De momento, las recomendaciónes de la ONU, vía la OMS, por los "derechos sexuales" son bastante básicas. Pero una tendencia se destaca claramente.
Hay una definición de 2006, que queda borrosa y que no integra la noción de menor o de pedofilia :”La salud sexual es un bienestar físico, mental y social en el dominio de la sexualidad. Ella requiere una cercanía positiva y respetuosa de la sexualidad y de las relaciones sexuales, y también la posibilidad de tener experiencias sexuales que sean fuentes de placeres y sin riesgo, libre de toda coerción, discriminación o violencia”.
Se encuentra las grandes lineas de la declaración del IFPP.
Mas precisamente, los derechos sexuales según la OMS consisten en los derechos siguiente :
- de preguntar, obtener y transmitir informaciones relativa a la sexualidad;
- a una educación sexual;
- al respecto de su integridad física;
- en la elección de su pareja;
- de decidir tener una vida sexual activa o no;
- a las relaciones sexuales consensuadas;
- a un matrimonio consensuado;
- de decidir tener o no tener hijos, en el momento de su elección;
- de tener una vida sexual satisfactoria, agradable y sin riesgo.
La asociación mundial de la salud sexual
En el arsenal de la propaganda relacionada con "derechos sexuales", que se deriva una cierta visión de la "educación sexual", también existe la "declaración de derechos sexuales" de la asociación mundial de la salud sexual, donde se encuentra los mismos ingredientes que en los documentos precedentes. Por ejemplo, Esta buena intención de "no discriminación", que se define como :
"la igualdad y la no discriminación son el fundamento de la protección y promoción de los derechos humanos en su conjunto, y que incluyen el rechazo de toda distinción, exclusión o restricción basada en la raza, el origen étnico, el color de piel, el sexo, el idioma, la religión, las opiniones políticas u todas otras opiniones, así como el origen nacional o social, la propiedad, el estado de nacimiento o cualquier otra condición incluyendo la discapacidad, la edad, la nacionalidad, el estado civil o familiar, la orientación y la identidad sexual, el estado de salud, el lugar de residencia, y la situación económica y social".
He puesto dos elementos en negrito que son problemáticos :
> La no discriminación en función de la edad equivale a dar a niños los "derechos sexuales", lo que presupone el consentimiento. ¿Esto significa que los niños tienen el derecho a "elegir" su pareja sexual?
> La no discriminación según la orientación sexual también plantea la pregunta : quid de los pedófilos y de los zoofilos? Uno podría especificar que estos derechos se aplican por todas las orientaciones sexuales ya que las practicas tienen lugar entre adultos que consienten. Pero nunca se precisa eso en éstos textos, sin embargo se quieren exhaustivos.
Una vez más, sería largo decodificar todo el texto, y se trata de los mismos ejes de ataques que los otros documentos. Uno de éstos ejes comunes es la educación sexual, algunos dicen concreta, aquí se dice”completa” y desde la infancia :” Cada uno tiene el derecho a la educación y a una educación sexual completa. una educación sexual completa debe adaptarse a la edad del niño, científicamente exacta, respetuosa de las diferencias culturales, basada sobre los derechos humanos, la igualdad de género, y un acercamiento positivo de la sexualidad y el placer ".
Sin comentario
Esta "world association for sexual rights" (WAS), bajo la 'url www.worldsexology.org, agrupa diversas federaciones de sexólogos y sexología, y también asociaciones de promoción de la educación sexual a través el mundo.
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Está claro que estamos frente a una especie de apisonadora en marketing en torno a la educación sexual, con varios lobbys que claramente no es una prioridad para prevenir los abusos sexuales contra los menores de edad. A pesar de las buenas intenciones y reivindicaciones, el fondo de éstas "declaraciones", seguidas de conferencias, formación y otros grupos de trabajo sobre la temática, pone problema a éste nivel. Ninguna precaución particular para los menores de edad está resaltado en las recomendaciones, y el caso de los pedófilos no está tratado por separado. Peor : los que se atreven a cuestionar ésta propaganda són tratados sistemáticamente de extremistas, de complotistas y otros cumplimientos, sin nunca aceptar un debate sobre el fondo.
Por otra parte, también hay que cuestionar la forma de "educación sexual" que se recomienda, sobre todo cuando se toma conciencia de las "normas" de la OMS. Queremos finalmente una información explícita, o incluso práctica, desde muy temprana edad?
[1] Calderone, nació en 1904 y murió en 1998, era la hija de un famoso fotógrafo, Edward Steichen. En 1939, su segundo marido fue un alto funcionario de la OMS. Se unió a la Planned Parenthood Federation of America en 1953.
[2] Entre las críticas, la institución Kinsey habría declarado a la ONU que no era un organismo de lobbying, que era una organización de investigación, que promueve una sexualidad responsable, y que trabaja para mejorar la salud sexual.