La croissance économique africaine est depuis vingt ans, régulière, homogène, forte et lisible. Mais on rendrait un très mauvais service à l’Afrique si l’on pensait que le chiffre actuel de 5% est suffisant pour relever les défis du continent. On doit accélérer les rythmes mais aussi améliorer la qualité de la croissance pour répondre aux besoins et aux nécessités sociales et environnementales.
C’est la raison d’être de la Fondation franco-africaine pour la croissance, AfricaFrance, dont les opérations commencent en février 2015. Proposée par un groupe de travail réunissant Hubert Védrine, Tidjane Thiam, Jean-Michel Severino et Hakim El Karoui, elle avait été entérinée lors du Sommet Paix et Sécurité de l’Elysée en décembre 2013, par les chefs d’Etats africains et français.
AfricaFrance rassemble des Etats, des entreprises, des collectivités locales, des associations, des établissements d’enseignement et de recherche. Ces acteurs vont travailler ensemble dans des clubs sectoriels rassemblant aussi bien des opérateurs africains que français. Pour la première fois, naît simultanément en France et en Afrique une forme d’institution qui n’est pas une administration, mais une véritable communauté...Lire la suite
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La mission principale d’Ampion est de promouvoir l’entrepreneuriat et l’innovation technologique en Afrique en s'appuyant sur un "venture bus" panafricain. Témoignage de son fondateur, Fabian CARLOS-GUHL.
Le 22 septembre prochain, en partenariat avec l'Association des entrepreneurs de Luanda, en présence du Maire de Luanda accompagné d'une délégation de 40 entreprises angolaises, AfricaFrance organise le forum "Partenariats France-Afrique [...]
A l'occasion des congés estivaux, prenez le temps pour un peu de lecture et (re)découvrez l'actualité d'AfricaFrance de ces derniers mois.
Pour concrétiser l'idée d'une "croissance partagée" entre l'Afrique et la France, AfricaFrance rassemble des Etats, des entreprises, des collectivités locales, des associations, des établissements d’enseignement et de recherche. Ces acteurs travaillent dans divers clubs sectoriels réunissant des opérateurs africains et français, afin qu'ils puissent apporter de leur expertise sur tous ces sujets, mais aussi indiquer les carences, les nécessités, les solutions possibles, et agir pour leur mise en œuvre.
De nombreux clusters ont démarré leurs activités :
Nos programmes et activités répondent à quatre objectifs principaux qui sont d’informer le public français sur la réalité africaine et réciproquement, de jouer un rôle de plaidoyer, faire valoir le potentiel de l’économie africaine en France, et réciproquement, de développer et soutenir les initiatives en faveur du capital humain en améliorant l’offre de formation notamment, et de promouvoir les échanges et les investissements des coalitions d’acteurs à travers des groupes sectoriels (ou clusters).