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people-match | mardi 29 janvier 2013

Alina Kabaeva, la Seconde dame de Russie?

Alina Kabaeva, la Seconde dame de Russie?

Vladimir Poutine et Alina Kabaeva, en novembre 2004, au Kremlin. | Photo REUTERS/ITAR-TASS/PRESIDENTIAL PRESS SERVICE

L’ancienne gymnaste russe, à qui la rumeur prête le rôle de maîtresse de Vladimir Poutine, aurait accouché en novembre du deuxième enfant né de cette liaison.

Elle est jeune, belle, championne olympique de gymnastique rythmique et élue au Parlement russe. Et Alina Kabaeva serait, si l’on en croit une rumeur persistante en Russie, la maîtresse de Vladimir Poutine, et la mère de ses deux enfants illégitimes. Après avoir eu un petit garçon en 2008, Alina Kabaeva a accouché en novembre, et en toute discrétion, d’une petite fille selon le «New York Post». Tous deux se seraient rencontrés lorsqu’Alina avait 17 ans. A l’époque, la jeune femme était tout juste médaillée olympique (en bronze, à Sydney) et déjà plusieurs fois championne du monde de sa discipline. Vladimir Poutine, lui, était déjà président du pays le plus vaste du monde.

Souvent présentée comme «la femme la plus souple de Russie», Alina Kabaeva a toujours gardé secrète l’identité du père de son fils, qui aura bientôt cinq ans. Dans un premier temps, elle avait même nié que ce petit garçon, régulièrement présent avec elle et qui lui ressemble, était le sien: «Tout le monde pense, bien sûr, que c’est mon fils», déclarait-elle en plaisantant à l’édition russe de «Vogue», en 2011. Elle assurait que le garçonnet n’était que son neveu; une information que son ancienne coach et amie proche, Irina Viner, avait infirmé. A la publication de cette couverture –sur laquelle elle porte une robe Balmain à plus de 20 000 euros-, le «Post» citait une source anonyme qui assurait: «Cela pourrait être l’un des premiers pas vers une officialisation de leur relation. Certains pensent qu’il veut faire d’Alina une star.»

En 2007, elle a fait partie des quelques personnalités artistiques et sportives intégrées à la Douma, le Parlement russe, par le parti de Poutine. La jeune femme se spécialise en politique de la jeunesse et du sport, deux domaines qui l’ont motivée pour son élection: «Cela fait longtemps que je m’intéresse aux questions liées à la jeunesse: dans un premier lieu, en lien avec le sport; puis, par cette politique au sens large, à la fois en Russie et à l’international. Donc quand on m’a offert une place sur la liste électorale du parti Russie Unie, je l’ai acceptée presque immédiatement», écrit-elle sur son site Internet.

Une Première dame quasi-invisible

Cette nouvelle de la naissance de la fillette intervient huit mois après la dernière apparition officielle de l’épouse de Vladimir Poutine, Lyoudmila, qu'il a épousée il y a près de 30 ans. Discrète, elle était apparue en mai dernier dans un bureau de vote de Moscou à l’occasion de l’élection présidentielle. Le «New York Times» décrivait à l’époque la scène: «A un moment, elle lui a touché le bras, mais lui ne l’a jamais fait en retour». Un photographe moscovite avait, d’après le quotidien américain, écrit une légende subversive sous une photo du couple se serrant la main: «A dans six ans!», c'est-à-dire pour la prochaine élection… Ils vivraient séparément depuis de nombreuses années, la Première dame occupant une résident officielle près de Sotchi. Et même leurs deux filles, Maria et Yekaterina, 27 et 25 ans, se font très rares publiquement. «Pour les journalistes russes, écrit le "NY Times", il est plus facile d’écrire sur des questions de sécurité nationale que sur la famille Poutine.» Les rumeurs les plus folles circulent concernant l'absence régulière de Lyoudmila -certains parlement même d'un enfermement en hôpital psychiatrique à la demande de son président de mari. (Alina Kabaeva et sa médaille d'or, aux JO d'Athènes en 2004. Photo Mike Hutchings/Reuters)

En avril 2008, un journaliste du «Moskovsky Korrespondent» l’a appris à ses dépends. Il a été le premier –et le seul- à briser l’omerta dans un article qui a valu la fermeture du quotidien, propriété de l’oligarque Aleksandr Lebedev. Un organisateur de mariage de Saint-Pétersbourg avait contacté le journal, affirmant avoir été choisi pour organiser les noces à la mi-juin, au sein d’une des propriétés du président. D’après les informations du «Daily Beast», et en dépit des dénégations du milliardaire, c’est un coup de fil passé par les services du Kremlin qui aurait entraîné, en quelques mois à peine, le démantèlement du titre de presse.

Officiellement, ce sont les finances délicates de l’entreprise qui sont à l’origine de la fermeture express. Pourtant, lors d’une interview accordée au «Telegraph» en janvier 2010, Aleksandr Lebedev concédait: «Je ne pense pas que je puisse me faire de l’argent avec des journaux. C’est un devoir. J’ai vécu pendant des années sous l’Union soviétique, sans aucune presse libre. C’est toujours très restreint.» Dans un article datant de juin 2011, une journaliste de la «Pravda» parle d’un «mythe» pour évoquer les rumeurs de liaison, précisant que cette «intox» provenait d’un journal qui n’existe plus.

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Vos commentaires

5 Réactions

  • c'est vrai lui qui sanctionne tout le monde dans son pays ,ferait bien de donner l'exemple mais un dictateur reste un dictateur ,alors qu' attendre de lui rien .........

    lucye68300@hotmail.fr - mercredi 30 janvier 2013 à 10:13 Signalez un abus

  • @inna C'est elle qui a mauvais gout

    humour - mercredi 30 janvier 2013 à 09:49 Signalez un abus

  • il a mauvais gout;il y a bien mieux en russie

    inna - mercredi 30 janvier 2013 à 09:30 Signalez un abus

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