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Quand l'ADN devient une oeuvre d'art

LE MONDE | 14.01.08 | 16h02  •  Mis à jour le 14.01.08 | 16h02
Après leurs travaux publicitaires pour une célèbre marque de vodka, deux jeunes canadiens font de l'art avec de la science. | D.R. Après leurs travaux publicitaires pour une célèbre marque de vodka, deux jeunes canadiens font de l'art avec de la science.

D.R.

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Deux jeunes Canadiens, Adrian Salamunovic et Nazim Ahmed, fondateurs de la société DNA 11, installée à Montréal, font de l'art avec la science. Ils proposent de réaliser trois types d'oeuvres d'art personnalisées à partir de la photographie d'un brin d'ADN, d'empreintes digitales ou de traces laissées par la bouche lors d'un baiser. Cette activité, née en 2005 outre-Atlantique, s'adresse désormais aux Européens. Pour commander le tableau de son ADN (minimum 31 cm × 31 cm), le client doit prélever un peu de sa salive sur un Coton-Tige, puis l'expédier au laboratoire canadien qui dispose d'une machine capable de le photographier numériquement puis de l'agrandir. Une dizaine d'artistes, employés à plein temps, y réalisent ensuite l'étape finale, à savoir la mise en couleurs. "Nous capturons ainsi le code génétique de chacun et le transformons en une représentation artistique de la vie humaine", se félicite Adrian Salamunovic. Côté budget, compter entre 390 et 790 dollars américains (265 à 537 euros).


Le travail de ces deux créateurs est désormais reconnu mondialement. Après leurs travaux publicitaires pour une célèbre marque de vodka, certaines oeuvres sont entrées au catalogue de collections du Museum of Modern Art (MoMA) de New York (Etats-Unis).


Sur Internet : www.dna11.com.

Florence Amalou
Article paru dans l'édition du 15.01.08.
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